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[RP] Taverne le Rat Crevé

---fromFRTythia
Tythia mit quelques temps à répondre...Le lieu était bien calme...
Elle qui l'avait quitté peu de temps avant...L'agitation avait laissé place à une atmosphère plus sereine, plus tranquille...
Cela n'est pas pls mal pensa-t-elle...ainsi je vais pouvoir me reposer un peu...me détendre si cela est possible..;


"je n'ai pas très soif"
répondit-elle à blackbible J'ai juste faim, trrès faim, commandez moi n'importe quoi à manger et je crois que je me jetterai dessus" Comme pour faire écho à ce qu'elle venait de dire, son estomac émit un gargouillement si bruyant qu'il laissa blackbible perplexe quelques instants!
Devant la mine intrigué de Blackbible Tythia ne peut s'empêcher de rire..
"et oui" dit-elle " cela doit bien faire un bon moment que je n'ai pas mangé" se caressant le ventre elle continua "et celui ci me charge de me le rappeler, d'une manière, il est vrai pas trés élégante..mais ce genre de choses ne se commandent pas..."

L'interruption de son estomac l'avait mise de bonne humeur, d'ici quelques instants elle allait pouvoir manger,et satisfaire cet appétit qui la tiraillait...à cette pensée elle sourit...
Elle regarda Blackbible qui n'avait quasiment pas ouvert la bouche durant tout ce temps...

"tout compte fait je prendrai bien un verre de lait..."
ajouta-t-elle souriante...

Elle aimait faire tourner les gens un peu en bourrique et intérieurement elle se dit que cela n'était pas très gentil de sa part..Blackbible avait l'air vraiment très serviable et gentil...
---fromFRAnonymous
blackbible regarda Tythia qui semblait étonnante et qui l'intriguait. Il arriverait peut-être mieux à la cerner lors du repas.
Pour répondre à sa demande, blackbible cria au tavernier.

EH!TAVERNIER!sert ton meilleur plat a la jeune dame et vite fait.
la jeune femme ne voulait pas boire d'alcool peut-être avait t'elle peur ou avait elle un secret qu'elle ne voulait divulguer ou lui divulguer.
Elle voulait juste du lait ce qui était étonnant pour quelqu'un de la cour. Mais bon il avait vu plus étrange que ça. Il commanda le verre de lait.

Tavernier rajoute un verre de lait pour la dame et sert nous ça à la table ou nous seront installé!

Se tournant vers Tythia
Vous voulez me faire parler en me soûlant mais vous ne prenez pas de risque ce n'est pas très bien ça.
Il invita ensuite Tythia a s'installer sur une table vers le milieu de la salle où était sa cape.
---fromFRTythia
Tythia, allait pour s'installer quand elle sentit une profonde agitation la submerger...
Quelque chose se passait à la cour, quelque chose qui concernait la communauté Libertad, elle le sentait mais n'arrivait pas à décrire ce que c'était..une chose était sûre elle voulait savoir ce qui se tramait...elle ne pouvait laisser l'agitation qui la prenait sans savoir...

Elle se tourna vers Blackbible, et d'un ton confus lui répondit...
"Pas le temps, problèmes..désolé..."

Elle remit sa capuche tout était confu en elle..elle n'arrivait pas parler correctement...elle abandonna blackbible ainsi..lui jetant avant de partir un regard confu et désolé...
---fromFRAnonymous
blackbible allait s'installer avec tythia quand soudainement elle quitta la taverne très agitée.
Il paraissait démoralisée, pour une fois qu'il avait trouvé de la compagnie féminine et jolie de surcroît.

Tant pis, pensa t'il.
Il termina son repas, prit quelques verres seul avant de partir la cape sur le dos en jetant quelques pièces pour
le tavernier qui les ramassa comme un rat.

Bon allons au bordel où a cette auberge qui organise un tournoi. Enfin on verra bien.se dit-il à lui même en quittant la taverne.

[mode modo on] relisez vous je prie, et plutôt deux fois qu'une.
L'homme du Nord. [mode modo off]
---fromFRAnonymous
Une silouhette élancée qui n'avait pas arpenté ces pavés déchaussés depuis longtemps se dessina dans la timide lueur de la lanterne accrochée à la facade de la taverne. Cette taverne qui avait été crée lors de la première bataille pour l'utopique prise de pouvoir de la cour des miracles par divers protagonistes, morts à ce jour pour la plupart.

Il avait à la main sa vieille planchette de scribe, et sans s'en rendre compte, il s'était appuyé contre le mur, perdu dans des images qui lui semblaient appartenir à une époque révolue, des images oubliées, comme venues du fond des âges, tout cela s'était produit il y a des mois, des années, des siècles. Andom, Hébus, Poilchat, Lycius. Disparus. Il fallait qu'il voie Xenedra, ne serait-ce que pour retrouver la conviction que son passé n'était pas qu'une illusion.

Les semaines qui venaient de s'écouler avaient été un enfer, un doux enfer à vrai dire, car il avait enfin pu être seul. Et cette solitude retrouvée valait tous les sacrifices.

Pourquoi était-il là ? Il l'ignorait, peut-être juste un impérieux besoin de concret, de retrouver des éléments de son passé que sa compréhension n'avait pas pu entièrement appréhender. Au fond de lui, il savait qu'il avait quelque chose à faire, quelque chose qui lui tenait à coeur, qu'il n'avait jamais pris le temps de faire aboutir. Il jeta un oeil à sa tablette, la tapota un bref instant, avant de la glisser sous son bras et de partir en direction de ce lieu oublié de la cour, aussi étrange qu'inachevé.
---fromFRKateline
Kateline entra doucement dans la taverne étouffant de justesse un nouveau gargouillis de son ventre vide. Elle s'installa au comptoir et commanda un repas ainsi qu'une bière. Elle paya le tavernier puis avala une première bouchée de l'étrange repas. A peine eut-elle la nourriture dans la bouche qu’elle se figea.

Beurk ! Mais qu’est-ce que c’est que ça ?!

Elle avala malgré tout l’infâme bouchée à grand renfort de bière qui lui sembla devenu le plus délicieux des nectars en comparaison avec ce qu’elle venait d’avaler. Elle jeta un coup d’œil interrogateur vers son assiette comme si elle cela pouvait l’aider à deviner ce que celle-ci contenait. Elle remplit de nouveau sa cuillère, la retourna et regarda suspicieusement la gluante mixture qui semblait s’accrocher désespérément à l’ustensile. Elle avala une nouvelle bouchée qui lui fit faire la même grimace que la première. A présent c’était certain, seul quelqu’un d’affamé pourrait manger cela ! Son ventre grogna à ce moment, comme pour lui signifier que tel était son cas. Elle jeta un coup d’œil sur le contenu de son assiette puis sur le tavernier avant de revenir sur son assiette. Le mystère demeurait entier…qu’est-ce que la spécialité du chef ? Qu’est ce que cet homme lui avait servit ?

bah... il est probablement plus sûr de ne même pas chercher à savoir ce que c'est...

Elle grimaça à chaque bouchée qu’elle arrosait copieusement de bière mais continua à manger tout en observant quelques-uns des parchemins qu'elle avait dans son sac.
---fromFRErnie Languedeboeuf
Il se faisait tard. Malgré cela, les affaires allaient bon train à la Cour, et l'on voyait de nombreuses ombres défiler au dehors. Assis à une table de la crasseuse taverne qu'était le Rat Crevé, un homme attendait. Cet homme, c'était Ernie Languedeboeuf, un modeste marchand ambulant qui s'attardait souvent en ces lieux. Il connaissait l'endroit depuis bien longtemps, mais jamais n'avait cherché à s'y faire remarquer. Pourtant, c'était là, à travers les ordures et autres immondices, qu'il tenait un douteux commerce de divers produits, achetant, revendant tout et rien. Un receleur, comme on les appelle aujourd'hui.
Cependant, Ernie ne se trouvait point là pour effectuer quelque troc, ou régler une bénigne transaction. Pourquoi, alors ? Lui-mesme ne le savait point. Il attendait un homme. Un homme qu'il n'avait jamais vu. Un homme qui lui avait donné rendez-vous pour une "affaire de la plus haute importance". Certes, la plupart des affaires ici étaient relativement louches, mais il valait toujours mieux se méfier, aussi Ernie Languedeboeuf serrait-il, dans les replis de sa tunique, un poignard à la lame effilée, parfait subterfuge pour changer l'issue d'une situation défavorable à son avantage. Bien qu'il puisse avoir une sécurité -toute relative, je vous l'accorde- grâce à son arme, Ernie n'était point tranquille. Son visage laissait de temps à autres transparaistre quelques spasmes de nervosité, autant de signes dénotant la peur. La peur de l'inconnu. La peur de se voir embarqué dans de sombres histoires, d'où le sang et la mort ne seraient point absents. Mais tandis que nostre homme s'imaginait d'innombrables hypothèses, une silhouette parut sur le seuil de la porte. Encapuchonné dans un long manteau noir, l'arrivant se découpait largement dans le halo de lumière, pâle clarté d'une lanterne tremblotante. Ernie releva la teste, essayant de discerner ne serait-ce que le moindre trait de ce singulier personnage, mais en vain. L'encapuchonné se dirigea, après quelques instants, vers la table à laquelle Ernie Languedeboeuf patientait.


- Pas de doute, c'est mon homme, se dit-il intérieurement, je vais enfin savoir ce qu'il me veut...

L'homme en noir s'attabla en face d'Ernie, et d'une voix aussi froide que calme, lui déclama :

- Ernie Languedeboeuf, je présume ? Ernie répondit d'un hochement de teste. Vous vous demandez sûrement la raison de mon... intervention, soyez sans crainte, je vous l'exposerai bientost. Au sujet de mon identité, il en verra de mesme. Tout d'abord, expliquez moi donc ce que vous faites dans ce lieu immonde, où règnent pourtant le vice et la crasse...

Ernie Languedeboeuf parut, plus qu'intrigué, soupçonneux de la question de cet étrange homme. Ainsi donc, il n'était nullement au courant de ses affaires. Voilà qui estompait bon nombre de suppositions... Ernie se mit, bien qu'il n'ait aucune confiance en son interlocuteur, à lui expliquer quelques rudiments de son fructueux commerce.

- Et bien... J'ai ici de nombreuses connaissances, qui me refilent leur camelote à bas prix. Je revends tout dans les grandes villes, là où les prix sont plus intéressants. Pour les vendeurs, bien sûr...

- De la marchandise volée, bien évidemment...

- On ne peut rien vous cacher... lâcha Ernie, avec une expression teintée d'ironie, Je... Euuuh... Et vous, sans vouloir me mesler de ce qui ne me regarde point, que faites vous ici ? Ou d'abord, qui estes vous ?

L'encapuchonné ne répondit point. L'obscurité complétait le voile sombre de sa face, déjà à demi dissimulée derrière sa capuche, et Ernie en éprouvait une gêne grandissante. Quoi de plus déplaisant, en effet, que de tenir conversation avec un homme dont on ne voit point le visage. De plus, ce sombre animal ne se lassait point de se taire sur ses intentions. Face au mutisme acharné de l'homme, Ernie sut néanmoins garder son calme. Il se contenta d'afficher une moue indiscrète. L'encapuchonné reprit alors la parole, impassible aux questions du marchand.

- N'auriez vous point, parmi vos... fournisseurs, quelque quidam du nom de Friedrick ?

A ces mots le regard d'Ernie se mit à briller. Friedrick. Une connaissance qui ne datait point d'hier. L'homme se fit insistant, et Ernie demanda :

- Que lui voulez vous ?

- Je ne crois point que cela vous regarde, Ernie Languedeboeuf, aussi je vous conseille de vous en tenir à de simples réponses, et non des questions.

Ernie déglutit, ravalant sa salive. Son rythme cardiaque s'accélera quelque peu. Le ton de l'homme se faisait aggressif, non dans la forme, mais dans le fond. Instinctivement, il serra plus fort encore le poignard caché sous sa tunique de bure. Malgré la crainte qu'imposait cet inconnu, Ernie ne voulait point se laisser impressionner. Il chassa la peur qui naissait en lui, et déclara d'un ton ferme :

- Je ne dévoile jamais l'identité de mes... fournisseurs, comme vous dites. Et je ne ferai aucune exception. Aucune.

L'homme eut un semblant de rire, souffle répété à une cadence assez rapide.

- Un commerce est si fragile... Un jour comme un autre, un simple petit, ou du moins, le croit on, évenement... D'un geste vif, il sortit sa dague, et la planta dans la table, traversant presque le bois vermoulu qui la composait. ...et tout peut s'effondrer...

Quelques testes s'étaient tournées vers les deux protagonistes, mais elles se désinteressèrent rapidement du piètre spectacle qu'ils exposaient, et une à une s'en retournèrent vaquer à leur -futiles, pour certaines- occupations. Devant le regard effaré d'Ernie Languedeboeuf, son interlocuteur désigna l'endroit où la lame avait creusé.

- Cette araignée est passée trop près de moi... fit l'homme, non sans un certain amusement.

En effet, sur la table, on pouvait distinguer une araignée, quatre pattes en moins, se trainant du mieux qu'elle pouvait.


- Savez vous, dit Ernie entre deux déglutissements, que tenir de tels propos, compte tenu de mes relations à la Cour, tient presque du suicide... Le savez vous ?

- Peste soit de vos relations, diable d'homme ! J'ai moi mesme de nombreux appuis en ces lieux, alors ne vous engagez point sur ce terrain là avec moi, cela risquerait de mal tourner.

La voix de l'encapuchonné s'était clairement modifiée. Le ton calme du départ avait laissé place à une toute autre intonation, beaucoup plus aggressive.

- Qui que vous soyez, je désapprouve vostre façon d'argumenter. Sachez désormais que le nom que vous avez évoqué m'est inconnu. Cela vous suffit-il ?

Le sombre personnage s'immobilisa. Sa main alla chercher le pommeau de son épée, et tira légèrement cette dernière, tandis que de son costé, Ernie avait pratiquement dégagé son poignard de son habit.

- Très bien, Ernie Languedeboeuf, j'ai ma réponse. Il est temps pour moi de me retirer...

L'homme fit volte-face, avant de disparaitre comme il était entré. Ernie poussa un soupir et rangea son poignard. Finalement, cette rencontre avait été meilleure que ses pires espérances, bien qu'il n'en soit fallu de peu qu'un duel soit engagé. Ernie Languedeboeuf n'était nullement rompu aux arts du combat, et répugnait, plus par crainte que par morale, à batailler contre quelque ennemi. Aussi il fut grandement soulagé que cette affaire s'arreste ici. Par prudence, il attendit quelques minutes puis emprunta la petite porte à l'arrière de la taverne.

- Nous nous reverrons, Ernie Languedeboeuf, et bien plus tost que tu ne le penses... Du sang coulera, oh oui. Pour avoir protégé un serviteur félon tu paieras de ta vie... On ne se moque point impunément de Flashback Sombrecoeur de Louvelle...
_________________
Ernie Languedeboeuf, receleur de la Cour des Miracles
"Peu importe le produit, tant qu'il y a du profit."
La Langue de Boeuf
---fromFRAnonymous
Ettaniel poussa la porte sale de la taverne du Rat crevé ... Son nez se plissant quasi instantanément de dégoût .

"Mais comment ces .... gens .... Font pour vivre dans une ... odeur ? pourriture ? infection ? beeerk ? pareille ?"

Mais il ne pouvait se mettre la main devant le nez ... Pour cause . Un attirail d'ecriture , avec du fin papier d'Espagne , un veritable miracle même en ces temps ... Ou un IMPRIMEUR VAUT PLUS CHER QUE LA COURONNE SUR LA TETE DE LEVAN !!!!! Rhaaa ! Vite , un pamphlet ... lui encombrait les bras . Il regarda le tavernier qui le detaillait de haut en bas , essayant de deviner la valeur marchande de ce personnage qui venait de pousser la porte de son modeste bouge .

"Heu ... Dis moi , noble tavernier , combien pour ... Louer une chambre dans ton etablissement ?
-nob' quoiii ?
-Euh ... tavernier , quoi ...
-Ah ! Tôlier , céçça ! Ouééé ... Y veut une chamb' le jeunot ?
-Je vous prie .... Mess... euh , M'sieur ."

On le lorgna dans toute la salle . Il pouvait deviner le bruit sourd des lames qu'on tirait de leurs fourreaux . Sentant sa sueur dégouliner le long de son front , il posa son attirail sur le comptoir .

"Ouais , y veuuu une chamb' l'petioooo .... Ben y va avoiiir la chamb' d'la vieill' Gudule qu'a cané d'la variole avat'hier , hein ? il en dit quoi l'jeunot ?
-Hem ... pauvre femme ... soit ..."

On ricana . Manifestement , la vieille Gudule avait du être connue pour des raisons d'ordre horizontale .

"Ben Y va monter l'jeunot , hein ? Maaa y va payer ava , l'Jeunot , ausssi !
s'Trois piess d'or !
-La nuit ?
-L'mois . A général , j'recupere l'investiss'ment pour l'gens com' vous en deux jours .
-Charmant ..."

Il paya . Ainsi allégé de sa fortune , il monta a la "chambre" ... simple cagibi ridicule affublé d'un lit taché ... Mais aux draps propres ... et avec une fenêtre qui donnait sur une cour interieure ... Ou pendait un cadavre au bout d'une corde .

"Hem . Parfait ."

Il deposé ses affaires et descendit , commandant une biere sous le regard de tous .
Ettaniel Du Clairvent était en Ville .
---fromFRPanthere_noire
C'est avec peine et misère que Panthère entra dans la taverne du rat crevé, là ou elle avait fait la rencontre de Trez.

Elle se rendit dans un coin sombre à l'abri des regards, boitant et traînant sa jambe gauche. Elle était comme un animal blessé qui cherchait à se cacher pour se soigner.

La morsure du rat, lui causait une douleur atroce.

C'est alors qu'elle appela le serveur d'un signe de la main désespéré. Le serveur lui apporta un verre de vin rouge.

Elle espérait que ce délicieux nectar arriverait à geler la douleur.

Elle déposa sa jambe sur la chaise à sa gauche. Le sang avait traverser la bande de tissu qu'elle y avait placée. Elle n'osait trop lui toucher.

D'un trait elle but, puis en redemanda d'autre...au serveur d'une voix briser par la douleur.


Amenez moi .....la bouteille..... je vous prie....

Puis elle déposa dans ses mains plus d'écus que nécessaire puis d'un trait, vida un nouveau verre.

Elle se demandait bien comment elle se rendrait à la place centrale rejoindre les autres. Trez était-il partie avec la jolie dame....elle n'en savait trop rien..

_________________
Âme déchue, corps perdu, dans un tourbillon s'évanouit les rêves le plus fous et l'absence d'amour, la mort attendant au détour.

Mais comme à toute mort, la vie prendra forme de renouveau et force.
pnj
Il arriva devant la taverne. Il espérait la retrouvait ici. Il était inquiet. Il ne savait pas comment expliquer l’étrange sentiment qui lui nouer l’estomac. Non…. Elle ne pouvait avoir disparut.

N’importe où qu’elle puisse être il la retrouverait… Il le fallais…

Il s’arrêta quelque instant mis sa tête entre ses mains pour reprendre ses esprits. Il toussa, repris son souffle puis ouvrit les portes de la taverne.

Il aimait ce lieu, il lui avait apporté la sérénité et surtout des amis, dans cette cour infestée de mauvais esprits.

Il cligna quelque peu les yeux. La lumière dans la taverne était faible. Il jeta un bref regard sur l’ensemble de la pièce mais ne remarqua personne. Il s’avança de quelque pas. L’air était empli de fumée et d’odeur multiple. L’air était toujours aussi chaud et sec.

Soudain, il reconnu dans un coin assit a une table, sa chère Panthère.

Il poussa un souffle de soulagement. Elle se tenait là. Apparemment elle semblait souffrir, mais sa présence le rendait en joie. Elle n’avait pas fui. Il s’approcha lentement la regardant, son regard fiévreux la fixant.

Il ne disait mot, en arrivant aux côtés de Panthère, il lui déposa ses lèvres sur son front chaud et bouillonnant.

Il avait envie de la serre de toutes ces forces dans ses bras. Mais elle semblait blesser. Du sans marquait un morceau d’étoffe quelle avait enrouler autour de sa jambe meurtrie.

Il esquissa un sourire à Panthère.


Comment t’es tu fais ça ? Il faut le nettoyer rapidement.
---fromFR-Jarlaxe-
La porte de la taverne s’ouvrit sur une silhouette sombre. Il portait des vêtements sombres, une cape noir et une capuche de même couleur recouvrait son visage. On ne pouvait point discerner ses traits. Une légère brise entra dans la taverne qui fit vacillé le flammes des chandelles.

Le sombre homme s’avança parmi la foule vers le comptoir. Il commanda une chope de cervoise et vint s’asseoir à une table près du feu de bois le dos au mur. L’homme reste dans l’ombre à observer les gens.

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"Ce qu'il y a de beau dans un mystère, c'est le secret qu'il contient et non la vérité qu'il cache."
---fromFRBalmung du Ciel Azur
Balmung arrive devant la taverne... Il regarde l'enseigne de son oeil unique et se dit que cela doit etre une taverne. Il se gratte la tete ce qui lui donne l'air bete puis se decide a s'avancer pour tater la poignée du batiment et enfin la tourner pour entrer. L'odeur de gnole, bibine et ivrogne viennent se glisser dans ses narines... Les traits de son visage ne bouge pas d'un pouce et reste sans emotion.

*Pouhhaaaa... Ou la bonne odeur de taverne que voila !*

Plusieurs personnes sont presente dans l'gamin qu'il avait rencontré dans une autre taverne...

*Tiens... Ne fait il donc que cela ? Boire dans les taverne et matter les catins en action ? Hehehehe*

Balmung se dirige vers le comptoir et s'y installe. Il tape sur le comptoir et fait signe au tavernier qui lui rapporte une biere. Il soupir laissant un instant son visage afficher l'ennuie qu'il ressent mais cette expression disparrait en deux secondes. La biere arrive, il boit.

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---fromFRPanthere_noire
Surprise Panthère releva la tête et aperçue Trez qui se tenait là devant elle.

Heureuse et inquiète à la fois, la souffrance se lisait sur son visage en sueur. Elle prit un autre verre et le but tout aussi rapidement.

Trez regardait sa jambe qui saignait toujours. Il se voulait savoir ce qui lui était arrrivée et voulait nettoyer la plaie.

Panthère affolée à l'idée que Trez pourrait toucher à sa plaie, s'empressa de lui répondre, le regard inquiet et souffrant.

D'une voix brisée par la douleur, elle lui répondit


Trez, je me suis éveillée dans une ruelle, puis un rat, pleins de rats sont sortis de partout. Un d'eux m'as sauté sur la jambe et ne voulait me lâcher. Alors je l'ai retiré de mes mains avec toutes mes forces.

Il est parti avec un morceau de chair, mais ne t'inquiètes pas, sa famille est morte ainsi que lui même écrasé sur un mur.

Je ne veux pas y toucher, c'est trop douloureux Trez.


Panthère mit ses mains au dessus de sa jambe blessée.
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Âme déchue, corps perdu, dans un tourbillon s'évanouit les rêves le plus fous et l'absence d'amour, la mort attendant au détour.

Mais comme à toute mort, la vie prendra forme de renouveau et force.
pnj
Il ne pensait plus a ce qui c’était passer quelque instant auparavant. Il devait faire quelque chose pour Panthère.

Elle semblait avoir effectivement très mal. Elle ne voulait pas qu’il fasse quoi que ce soit. Mais elle ne pouvait rester comme ça.

Il murmura à l’oreille quelque mot afin de la rassurer :


Calme toi. Je vais faire ça calmement. Tu m’as porté secours quand j’en avais besoin, je ne peux te laisser comme cela.

Je vais chercher de l’eau. Il faut absolument désinfecter cette plaie. Si c’est un rat, il faut d’autant plus nettoyer ta blessure. Tu ne sais pas ce que cette bête pouvait trimbaler comme maladie avec elle.


Il se leva et aller chercher de l’eau, et demanda un verre de l’alcool le plus fort. Il servirait à désinfecter la plaie.

En attendant qu’il soit servi, il observa, Panthère. Même blesser elle gardait ne perdait rien de sa superbe. Elle était là assise la jambe en sang, et elle refusait qu’on lui porte secours.

Cela il ne pouvait le laisser faire. Un rat, pouvait apporter la peste, il y avait déjà eu des alertes de ce fléau à la cour. Ce mal ravageur était présent à n’importe quel coin de rue, là ou on voyait des rats, on pouvait être infecter de ce terrible mal.

Il espérait que ce ne fut pas le cas de sa charmante compagne.
Le tavernier lui donna ce qu’il avait demander, il donna quelque écus dorée en échanges et retourna auprès de Panthère.

Elle mettait ses mains au dessus de sa jambe.


Accepte mon aide. Il est réellement urgent d’agir. Ici, la plaie s’infecterais très rapidement, et ce serais l’amputation assurer. Tu es trop belle pour perdre un de tes membres. Cela me ferais trop mal de te voir ainsi, en sachant que j’aurais pus faire quelque chose.

Il passa la main sur le front de Panthère pour l’apaiser, la rassurer. Il ne voulait que son bien. Il l’aimait.
---fromFRPanthere_noire
Panthère savait bien que Trez avait raison lorsqu'il parlait du danger de la peste et autres maladies apportées par les rats.

Il tentait de la rassurer du mieux qu'il pouvait et Panthère le regarda et vite une lueur apaisante dans son regard. Il l'avait retrouvée et cela elle en était heureuse, car ne se rappelant même plus être sortie du Bal, elle ne sait nullement ou elle aurait pu se retrouvée.

Le murmure à son oreille de Trez lui donnait des drôles de sensations, comme celles dans la ruelle lorsqu'elle lui était venue en aide.

Panthère ne le quitta pas des yeux lorsqu'il partit pour chercher de l'eau pour soigner sa blessure. Elle ressentait un amour profond pour Trez, mais ne voulait se l'avouer de peur de devenir faible à ses yeux.

Même si la douleur la transperçait, elle n'en ressentait rien le temps d'un murmure et d'un regard remplie d'émotions diverses, la faisant frissonner.

Lorsqu'il revint, ses mains couvraient sa plaie, pour ne pas lui laisser toucher, mais de ses paroles, Trez réussit à la convaincre de le laisser faire.

Lorsque Trez passa sa main sur son front, elle ferma les yeux, et prit sa main dans la sienne. Ses mains étaient fortes, mais douces à la fois.

Elle lui dit d'une voix faible tout en le fixant droit dans les yeux.


Je vais te laisser faire Trez...... car .....j'ai confiance en toi, puis ...que..j.....

Elle s'arrêta brusquement de parler. Elle ne voulait pas se laisser aller à cette faiblesse qu'est l'amour.

Elle détourna son regard de Trez et reporta son attention sur son mollet qui la faisait terriblement souffrir.


D'accord.....Je suis prête.....Tu peux y aller Trez.....
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Âme déchue, corps perdu, dans un tourbillon s'évanouit les rêves le plus fous et l'absence d'amour, la mort attendant au détour.

Mais comme à toute mort, la vie prendra forme de renouveau et force.
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