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[RP] Taverne le Rat Crevé

---fromFR-Jarlaxe-
L’homme observa un long moment la situation entre Trez et Panthère. Il sorti une pièce de monnaie et commença à la faire rouler entre ses doigts. Il bu une gorgée de sa cervoise tout en continuer à observer les clients. Toujours emmitouflé dans sa cape et sous sa capuche, l’homme dégageait une certaine froideur, assez commune dans un tel endroit.
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"Ce qu'il y a de beau dans un mystère, c'est le secret qu'il contient et non la vérité qu'il cache."
pnj
Panthère semblait déterminer, elle avait cédé. Il déposa le verre et le pichet d’eau sur la table et se pencha sur la blessure.

Il savait que cela serait certainement très douloureux. Mais sur la table trônait quelque verres qui montrait que visiblement Panthère avait prit le soin de fondre sa douleur dans les douceurs de l’acool.

Il prit souleva doucement la jambe fine de panthère d’une main, et de l’autre il commença à retirer très lentement afin de minimiser la douleur, le morceaux d’étoffe qui recouvrait la blessure.

Panthère semblait tendu, concentré sur ce qu’il faisait.

La douleur devait être énorme mais elle ne disait rien courageusement elle se contentait de serrer les dents laissant échapper quelques grognements.

Il prit un morceau de tissu d’une de ces poches, et l’enduisit d’eau. Puis il se mit à tapoter très doucement, la plaie. Il épongeait le sang mêler à un liquide purulent.

Il déposa son tissu sur le sol, puis déposa la douce et fine jambe de Panthère. Puis il se releva pour prendre, le verre d’alcool, il fixa Panthère.

Cela allait certainement provoquer une vive douleur. Mais, c’était nécessaire afin d’écarter tout danger d’infection.


Es tu prête ?..... Ça risque d’être très douloureux.
---fromFRPanthere_noire
Panthère avait laisser savoir à Trez qu'elle était prête, mais il en était rien...sa peur de la douleur, était très intense.

Elle le regarda prendre sa jambe avec délicatesse. Définitivement, il semblait savoir s'y prendre.

Panthère serra les dents lorsqu'il prit un morceau de tissu imbibé d'eau et tapota sa plaie.

Pendant un moment Panthère mit son regard sur le reste de la pièce, puis aperçue un homme qui semblait les fixer du regard. Elle le fixa un moment....et se dit que s'il avait à lui parler il viendrait.

Panthère reporta son regard sur Trez qui se relevais pour prendrel l'alcool sur la table pour en mettre sur sa plaie. Lui demandant si elle était prête, elle le fixa, le regard en peur, puis tout en prenant un autre verre de vin qu'elle but cul sec elle lui répondit d'une voix incertaine.


Je suis pas trop prête, mais fais le plus rapidement possible...pour que s'achève cette souffrance atroce je te prie.

J'aime pas trop la douleur tu sais....mais plus que celle du coeur au
moins....

Panthère prit une grande respiration, retenant son souffle et ferma les yeux, attendant qu'il est terminé de jeter l'alcool sur la plaie.
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Âme déchue, corps perdu, dans un tourbillon s'évanouit les rêves le plus fous et l'absence d'amour, la mort attendant au détour.

Mais comme à toute mort, la vie prendra forme de renouveau et force.
---fromFRBalmung du Ciel Azur
Pose son oeil unique sur Trez... Puis Panthere. Se faire attaquer par un rat... Pfffff... Balmung ne dis rien et se tourne pour regarder le fond de sa chope qui est trouble a cause de la biere dedans. Un homme des plus banale etait aussi ici. Balmung ni jeta meme pas un coup d'oeil et but une longue gorgée. Le nabot ne l'avait pas encore vu et tant mieux se disait il.

*J'me demande si j'vais pouvoir encore partir sans payer... hehehehe*

La plupart de ses vetements n'etaient pas a lui mais etaient volés... Bah tiens on s'en serait jamais douter vu qu'il a a peine de quoi s'offrir un verre. Malgres la jambe de Panthere qui faisait un peu la gueule, la jeune femme etait charmante ou plutot envoutante... Mais ! C'est qu'il se remet a la matter ! Balmung s'etait encore retourné et regarder la donzelle souffrante le matyr. L'esprit chevasleresque Balmung n'avait meme pas eu l'idée d'aller l'aider... Voila qu'il se gratte la tete et prend un air d'Ahuri... Il merite des baffes c'lui la ! J'vous l'jure ! Il se retourne encore pour boire un peu... A force de se retourner l'Azur devait parraitre louche... Enfin... Il descend d'une traite le contenu de sa chope et se leve l'air de rien. Le tavernier l'interpelle.


"- Hey mon gars ! T'a pas payé ta consomation !

-Euh..."

Il c'est fait griller... Mais une idée lumineuse percute son crane. Il sourit au tavernier et regarde Jarlaxe.

"C'est lui la qui paye ma conso.."

Sans un mot de plus il sort rapidement de la taverne pendant que le tavernier va racketer Jarlaxe pour les ecus que lui doit Balmung... Balmung s'eloigne dans la rue de la taverne en riant.

"Hahahaha il c'est fait avoir ! J'espere qu'il a de quoi payer hehehehehe"

Il tourne a droite au croisement de deux ruelles...
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pnj
Il sourit à Panthère. Elle était courageuse, elle acceptait qu’il mette l’alcool sur la plaie.

Il soutenait la jambe d’une main et de l’autre, il versa brusquement le verre.

Le liquide glissa sur la blessure. Une odeur d’alcool se dégageât. Des gouttes tombaient sur le sol de la taverne, formant une petite flaque.

Il se leva déposa le verre sur la table, puis prit le morceau de tissu. Il l’appliqua sur la blessure. Afin de maintenir, le bandage improvisé, il fit un nœud.

La blessure pouvait maintenant cicatriser. Elle était propre et le risque de maladie était minime. Ils avaient rapidement réagit, afin de limiter les dégâts.

Il leva les yeux sur Panthère, et la serra dans ses bras. Elle tremblait, elle lui paraissait fragile et il voulait la réconfortait. Il l’embrassa doucement.

De nouveau il se sentait bien, il était emporté par ses sentiments. Cela pouvait être dangereux d’oublier, ce qui pouvait se passer autour d’eux dans un tel endroit. Mais il s’abandonner à Panthère.

Elle avait douter de lui, quelque instant avant. Il ne voulait pas que cette impression lui revienne un de ces jours.

Il ne pouvait penser à une autre personne qu’elle. Elle hantait ses pensées, son talon d’Achille était cette femme aux formes gracieuses, et ensorcelantes.


Voila, c’est finis. Tout va bien, ta jambe va pouvoir guérir et tu te remettras certainement rapidement. Je suis content de t’avoir retrouver.

Car je penser que tu aller disparaître, comme la première dame que j’ai rencontré. Tu ne peux imaginer, l’anxiété dans laquelle je me suis trouvait. Mais je suis heureux de t’avoir retrouver.
---fromFRPanthere_noire
Lorsque l'alcool versée pénétra les chairs internes, Panthère se tenait fermement sur sa chaise, les dents serrées, elle fixait Trez d'un regard sombre et douloureux.

Elle laissa échapée un petit cri, mais s'empressa de boire un autre verre de vin pendant que Trez terminait de lui bander la jambe soigneusement.

Trez croisa son regard et la serra dans ses bras avant de l'embrasser doucement. Cela fît cesser ses tremblements.

Panthère avait doutée de Trez pour un moment, non pas qu'elle ne l'aimait pas, bien au contraire, là était peut-être le problème.

Elle s'était promis de ne pas tomber dans ce monde qu'est l'amour et voilà que devant Trez, elle baissait les armes laissant cet amour la pénétrer.

Elle devait se l'avouer, elle vibrait d'une panoplie d'émotions pour cet homme qu'est Trez.

Mais cela ne devait pas les empêcher d'être prudent dans ce lieu qu'est la cour car un moment d'innatention et on pouvait se retrouver à la roue des supplices ou encore six pieds sous terre avec une dague dans le coeur.

Le fixant toujours, Panthère avait aperçut un autre personnage étrange entrer. Les deux hommes semblaient nettement les dévisagés. Elle décida de ne rien dire pour le moment.

Portant toute son attention sur les paroles de Trez, elle l'écouta et par la suite enchaîna d'un ton plein de gratitude et de douceur.


Trez, je ne pensais jamais que tu serais revenu pour moi. Je suis comblée de ta présence à mes côtés.

Merci d'avoir soigné ma blessure. Je regrette de t'avoir causé autant de soucis Trez. Je te promets que cela n'arrivera plus. Désormais je resterai à tes côtés quoi qu'il arrive.

J'ai eu peu tu sais moi aussi. J'ai eu peur de ne plus te revoir.


Panthère caressa de sa douce main le visage de Trez. Ses joues étaient brûlantes, ses yeux pétillants. Elle y ressentait la même chose qu'il pouvait ressentir à ce moment.

Plongeant son regard dans ses yeux au regard profond, l'épiant sensuellement des ses yeux doux, elle déposa sur ses lèvres douces, un long baiser enveloppé d'une sensualité débordante.

Elle s'éloigna légèrement avant de poursuivre tout en pensant aux amis de Trez qui ne l'accompagnait pas.

Elle lui demanda avec curiosité.


Dis donc Trez, on ne devrait pas être à la palce centrale pour ton ami??
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---fromFR-Jarlaxe-
L'homme continua à observer la scène en silence. Il buvait tranquillement sa cervoise sans qu'on vienne le déranger. Il était bien content d'ailleurs qu'on le laisse tranquille. Il n'était pas très causant.

La première chose qu'il avait repéré en entrant c'était les armes de chaque homme. Il se sentait bien dans cet endroit avec des gens … disons de bonne compagnie … Le sombre personnage avait toujours ses sens aux aguets, et une dague était à portée de main, juste au cas où.

L'homme termina sa cervoise d'une traite et continua de jouer avec sa pièce de monnaie. Il avait vu l’autre homme le borgne qui les observait également. Il vit alors que celui-ci voulait quitter l’endroit sans payer sa consommation. L’homme était amusé par la situation. On ne fait pas ça dans ce genre de taverne.

Enfin, il reporta son attention sur le couple Trez et Panthère qui s’apprêtait à partir. L’homme sombre pensa à les suivre jusqu’à la place. Après tout, il fallait bien parler à des gens s’il voulait trouver du travail. L’homme attendit que le couple se lève pour se diriger discrètement vers le bar et y payer sa consommation. Il allait les suivre vers cette place …

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"Ce qu'il y a de beau dans un mystère, c'est le secret qu'il contient et non la vérité qu'il cache."
Lucine
Revenant de la place centrale et cherchant la tranquilité, Lucine pénétra dans la taverne. Elle ne voulait pas revenir à l'antre des bohémiens sans avoir fait quelque chose de sa journée. Elle s'arrêta devant le comptoir pour commander une bière et s'installa dans un coin obsur de la pièce. Elle se mit à observer les clients de la taverne. Elle se rappela qu'elle avait laissé ses affaires dans l'antre des bohémiens et n'avait rien à chiner. Elle chercha du regard une personne en mal d'aventure à qui lire l'avenir, mais ne vit personne qui l'inspirât vraiment. Elle allait se reposer un moment et repartirait l'esprit plus tranquille. Elle avait eu peur sur la place , avait erré à travers les rues sans trouver quoi faire, et avait besoin de calme pour se remettre les idées en place.
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pnj
Les lèvres de Panthère étaient douces et délicieusement chaudes.
Il ferma les yeux s’échappant de la taverne durant quelque seconde.
Puis reprenant ses esprits, il regarda Panthère.

Il vie son regard, s’échapper au dessus de son épaule. Il tourna la tête pour voir ce qui avait attirer son regard, il aperçut un homme les regardant, mais on pouvait lire dans ses yeux que c’était plus par curiosité que par agressivité.

Il continua de d’observait ce qui se passait dans la taverne, il vit Lucine, l’air fatigué, entré puis allez s’assoire, elle respira de façon profonde quelque instant puis ne bougea plus.

Il revint à Panthère, la regardant, il passa le bout des doigts sur les lèvres de la jeune femme, et lui sourit.

Aux paroles de Panthère lui rappelant qu’il devrait être sur la place, le fit se lever brusquement. Oui en effet, il aurait du y être depuis quelques instants, mais les évènements l’avait fait troubler, il en avait ainsi perdu de vue, ce qu’il aurait du faire initialement.


Oui, on devrait y aller. Je dois y être. Mais est ce que tu va pouvoir marcher jusque là ? Tu peux compte sur moi, pour t’appuyer si tu as encore mal.

Il tendit la main à Panthère pour l’aider à se lever.
---fromFRPanthere_noire
Visiblement Trez s'était aperçut de son regard fuyant au dessus de son épaule car il se retourna. Entre temps une femme qu'elle ne conaissait pas faisait son entrée, puis semblait quelque peu désemparée. On aurait dit que la peur la paralysait à voir son visage.

Panthère ne s'en occupa pas, après tout, la cour était remplie de gens bizarroîdes qui entraient et sortaient des ruelles, des tavernes, touts aussi bizarres les uns que les autres. C'est un peu ce qui faisait le charme de la cour. Les différences entres les gens. Pourtant si différents, mais si similaires à la fois.


Trez se retourna la regardant toujours avec ce regard qui lui était impossible de fuir, puis passant le bout de ses doigts sur ses lèvres, Panthère ferma les yeux un moment puis savoura le sourire délicieux de Trez. Elle lui rendit son sourire, et de ses yeux naissait la tendresse à son égard.

Il se releva rapidement, lui tendant la main pour se relever. Elle prit sa main dans un semblant de sourire, car sa jambe la faisait toujours souffrir, mais l'alcool avait dissipée le plus gros de la douleur. Elle se sentit alors apte à marcher seule.


Ne t'inquiètes pas pour moi Trez, je vais pouvoir marcher.

Je vais seulement prendre la bouteille et la terminer rapidement, pour engourdir la douleur restante, puis ça ira.


Panthère se saisit de la bouteille de vin, puis le goulot dans la bouche elle ingurgita ce qui restait dans celle-ci. Elle la déposa sur la table puis s'essuya la bouche du revers de la main.

Elle saisissa son fléau laissé au sol près de sa chaise, puis tous deux se dirigèrent vers la sortie d'un pas lent mais certain.

D'une voix mielleuse elle dit à Trez


J'espère que nous ne serons pas trop tard pour ton ami le Rey. Tu crois qu'il voudra bien que je sois là ??
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pnj
Panthère avait visiblement envie de sortir, elle pouvait marcher, cela était un bon signe. La plaie ne serait bientôt qu’un lointain souvenir.

Elle finis la bouteille qui était rester sur la table d’une seule gorgée.
La quantité quelle avait ingurgiter devait très certainement suffire à son rôle anéantissant.
Tout en élégance, elle s’essuya la bouche avec la main.
Et saisie son arme, elle semblait prête.

Ils pouvaient partir.


Oui, je pense qu’il doit y avoir déjà pas mal de monde. La nouvelle a eut le temps de se propager depuis. Je te le présenterais. Ne t’en fais pas, je pense que tout soutiens pour lui et le bienvenue. Nous rejoindrons comme cela, nos amis que j’ai laissés au bal et qui doive nous attendre.

Tout en disant cela, il avait prit le bras de Panthère et ils sortirent, la porte était entre ouverte, il n’eut qu’a la pousser légèrement du pied, pour quelle s’ouvre.

Il faisait clair et beau. Il cligna des yeux. La taverne ne laissait point rentré de lumière et cela entraîner toujours quelque instant de gêne, aveugler par la lumière.

Il tourna la tête vers la belle jeune femme qui ne semblait pas trop boiter par rapport a l’importance de la blessure. Il sourit en pensant qu’il avait du bien jouer son rôle, de médecin de fortune.


Par où, y allons nous ? Je te laisse le choix de la route que l’on va prendre. Truth nous attend très certainement.
---fromFRPanthere_noire
Trez et Panthère étaient enfin sortit de la taverne, arpentant la ruelle.

Elle trouvait Trez tout simplement adorable.

Plus elle le regardait, plus le temps passait et qu'elle était en sa compagnie, et plus son coeur s'allègeait doucement.

N'en reste pas moins que sa fureur intérieur, ses qualités de chasseuse n'en n'étaient nullement atteint. Animale, en elle, féline lorsqu'elle le désirait, de sa tendresse ou de sa cruauté, elle savait charmer.

Regardant Trez affectieusement, elle lui chuchota tout doucement à l'oreille


Mon ange, peut importe le chemin, je te suivrai. Si j'en crois ce que tu me dis, nous serons dans une grande foule c'est ça??

Puis détournant son regard vers la ruelle, elle restait attentive à tout ce qui pouvait s'y retrouver. Son fléau sur l'épaule d'un côté, serrant la main de Trez de l'autre, elle avançait inquiète.

Tout en marchant, elle dit à Trez, après qu'il lui eût donné le nom du Rey, d'une voix taquine...


Tu sais que Truth veut dire Vérité?? Il a bien sa place ton ami.

Puis elle se mit à rire pour détendre l'atmosphère car elle était très nerveuse de rencontrer le Rey et tous les gens qui allaient être sur place.
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Âme déchue, corps perdu, dans un tourbillon s'évanouit les rêves le plus fous et l'absence d'amour, la mort attendant au détour.

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Il tenait la fine main de Panthère dans la sienne. Il pouvait sentir par ce lien qui le reliait à Panthère une certaine tension. En effet, lui-même se tenait sur ses grades, il avait déjà vu ce qu’avait donner l’auto proclamation du Rey.

Il y avait eu du grabuge, ce qui avait causé le duel entre Blackbeard et le Scorpion. Tout deux en étaient sortit en vie, mais il redouter le pire.

Maintenant nommer officiellement Rey, les opposant ne pouvait que se montrer plus violent, plus agressifs envers son ami. C’est pourquoi il tenait à lui montrer une nouvelle fois son soutien et qu’il se rendait sur la place.

Le rire de Panthère était mélodieux à ses oreilles. Il lui sourit. Oui, il le savait, cela lui avait jouait parfois des tours, d’où sa volonté de se faire appeler sous le nom du Scorpion, plus propice dans ce quartier.

Ils s’éloignaient de la taverne et pénétrèrent dans une ruelle, elle était sombre.

Il lâcha la main de Panthère et mis la main sur le fourreau de son épée. Non pas qu’il craignait le danger, mais il voulait être prêt à riposter à toutes attaques.
Lucine
Lucine reconnut Trez. Il était en compagnie d'une très belle femme qui était blessée et à laquelle il semblait très attaché. Elle chercha son panier du regard, se rappela être partie uniquement avec les dagues, et s'en voulut d'avoir été si peu prévoyante. Elle ne pouvait même pas vendre ses médicaments. Prétant une oreille indiscrète aux propos de la taverne, elle comprit qu'on commentait encore le couronnement du Scorpion. Les opposants semblaient s'être dispersés, et les gens continueraient d'affluer sur la place... Elle devait revenir à l'antre des bohémiens pour récupérer ses affaires sans lesquelles elle ne pouvait survivre. Elle se sentait beaucoup plus calme et sûre d'elle. Elle se leva prestement et partit sans un regard pour ceux qui se préparaient à rejoindre la place. Elle irait certainement, mais plus tard, la place serait certainement occupée pendant un long moment.
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---fromFRBlack Jack
Sorti de la ruelle, il déboucha sur une taverne. Elle avait fière allure. Petite battisse sombre, elle avait un certain charme. Son nom Le rat crevé semblait lui aller à merveille.
Il marchait de son pas lent et traînant. Le bâton frappant le sol.

Il ouvrit la porte d’un geste brusque. Les battants de celle-ci frappèrent le mur de la taverne d’un grand bruit. Il pénétra dans la pièce. Il faisait sombre, il s’y sentait déjà chez lui.

Il avança au milieu de la pièce. Avisant ce qui pouvait être intéressant. Son regard fixe fit le tour de la pièce très lentement, enregistrant chacun des détails.
Il aperçut une femme, visiblement une gitane. Son teint bronzé parlait pour elle.

Il appuya son bâton sur le comptoir et commanda d’une voix rauque :


Une bière… Et fraîche !!

Là dessus, il sembla fouiller sous sa robe noire, et en sortie la main remplie d’écus.

Il jeta un bref regard autour de lui, puis prit 2 écus qu’il jeta sur le comptoir, puis rangea les autres pièces.

Il lançait des regards autour de lui. Il était peut être déjà venu ici. Mais rien de ces murs ni de la pièce, ne lui évoquait quoi que ce soit.

Le tavernier lui servit sa bière, en lui jetant au passage un regard inquiet, il n’en oublia pas de prendre les 2 écus gisant sur le comptoir.

Il prit la chope. Il prit une gorgée. La bière était fraîche et mousseuse. Il reposa son verre sur la planche de bois et passa sa main sur sa bouche pour enlever la mousse qui lui encadrait la bouche.

Soudain comme prit de folie, il donna un coup dans la choppe, ce qui la fit traverser la pièce, elle alla se fracasser contre le mur, dans un bruit de verre brisé.

L’homme se leva d’un bond prit son bâton, puis alla s’asseoir à une table.
Une fois assit, il déposa son bâton sur le sol. Puis ferma les yeux, sa tête se dandinant sur ses épaules.
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