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[RP] Taverne le Rat Crevé

Ilmarin
Elle a déjà vu cette lueur. En un sens, elle espérait que celui ou ceux qui les suivaient s'étaient trouvés là par hasard.
D'un autre côté... Ah ces sensations enfouies qui remontaient à ses côtés!!


Merci Lorenzo, dit-elle avec un sourire ironique.

Elle se dirige vers la porte, jetant un dernier coup d'oeil à la taverne. Des pirates... Encore une piste à creuser si les pirates se réveillaient de leur éviction.
Elle tient la porte à ses amis, rendant son sourire à Lorenzo; Polgara ne connaissait pas Lorenzo, peut-être allait-elle le voir à l'action dans les ruelles de la Cour.
---fromFRAbdul Al Bobar
Abdul regarda le crochet qui prolongeait son avant bras gauche et eu un rictus sinistre :

An sqoual caaapiiitaine! jè mè suis endormi ivrè mort près de la rembarde du bateau quand soudain jè senti an traction! A peine jè ouvert les yeux... que l'ombre de la bête avait disparu... avec ma main...

Abdul se reprit une bonne rassade de la bouteille brunâtre

Les hommes sont en retard caaaapiiiitaine Jack...
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Al Inshawi Kazam!
---fromFRCapitaine Jack Paw
Le Capitaine eut un moment d'absence, comme celui lui arrivait fréquemment.
Il se ressaisit et fit entendre son mécontentement à travers un raclement de gorge assez surprenant


Ces bambinos né savent pas encol'e cé qu'il en coûte dé fail'e attendl'e lé Capitaine Jack Paw!
Yé mé l'ésel've lé dl'oit dé leulé infligé oune pounition col'pol'elle!

Un sourire mauvais semblait avoir transformé le visage du Capitaine. Un rire s'en suit
Puis il reprit un air sérieux, réfléchissant...


Dis, tou à vu la jeune damoiselle sol'tant? Elle nous a jeté oune l'egal'd dé dédain! Yé né souis pas sûl' d'appl'écié ça!
---fromFRAbdul Al Bobar
Abdul tourna la tête vers la jeune femme qui sortait... Il passa sa grosse langue épaisse sur ses lèvres enflées...

Si vous lè permettez caaapiiiitaine, je vais m'assurré qu'elle ne pose pas de problém...

Un rire aussi noir ne pouvant provenir que de la plus sordide des âmes fit trésaillir l'assistance... La jeune femme prit ses jambes à son coup, faisant redoubler d'intensité le rire d'Abdul...

Cela promet une belle partie de pêche!

Abdul commença à s'avancer vers la sortie... lentement... mais avec grande confiance sur son visage... Elle ne lui échapperait pas...
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Al Inshawi Kazam!
---fromFRCapitaine Jack Paw
Jack Paw regarda la scène avec un désir profond de voir le sang couler sur les murs de cette taverne, le sang de jeunes personnes troublant la sereinité du Capitaine.
Mais il reprit ses esprits, et se leva pour prendre le bras graisseux de son second.
Voilà la chaire glisser sous ses doigts, il prit simplement la parole


Laisse pauvl'e idiot! Tou va fail' gâché notl'e dépal't pal' tes envies idiotes et non l'éfléchies!
Nos lames cl'oisel'ont sa gol'ge une autl'e fois, nous aul'ons toujoul's l'occasion de venil' ici!
Viens pal' ici, je t'offl'e la toul"née!

Il attendait de voir la réaction d'Abdul en fronçant les sourcils, le visage montrant l'esprit excédé du Capitaine.
---fromFRAbdul Al Bobar
Abdul croisa le regard du capitaine... celui qu'il connaissait si bien... ce signal d'avertissement qu'il ne fallait pas rater... si on ne voulait pas finir au bout d'un hameçon morceau par morceau...

Abdul se remit au bar avec un profond regret pour la partie de chasse qu'il devait laisser tomber... un si beau gibier...


Bien mon caaaapiiiitaine...

Il se saisit de la bouteille et essaya de noyer les protestations de son esprit lent...
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Al Inshawi Kazam!
---fromFRCapitaine Jack Paw
Le Capitaine fulminait toujours, il prenait de longues respirations pour éviter une de ses crises.
Il attendait depuis longtemps que les matelots, son équipage, qu'il avait engagé viennent dans cette taverne pour les dernières directives.
Il devenait littéralement rouge de colère et commença à tourner en rond pendant que Abdul Al Bobar était en train de cuver.
Le regard noir foudroyant chaques personnes dans la taverne, il se dirigea vers le tavernier et le prit par le col.


Bouseux! Yé veux ton meilleul' alcool et vite avant qué yé détl'uise ton maudit bol'del!

En guise d'exemple il mit à bas une chaise haute du comptoir et quelques verres qui se trouvaient sur une table.

Plous vite mal'l'aut!
---fromFRAlexandros FRANCISQUE
Le Capitaine ayant cessé ses futilités ne semblait pourtant pas avoir eu vision d'une personne se tenant face à son dos, du moin ce qu'il semblait être... D'un point de vus totalement imagé, ce derrière paraissait être en fait un serpent vacillant de droite et de gauche mais restant clouer sur un os pourtant aussi mou que le corp invertébré du reptile. La colonne vertebrale, voilà une chose importante pour nous, humains, mais peut-être moins pour ce pirate qui ne prend conscience des choses qu'offre Dame Nature, qui plus est, Cérès.

Pour en revenir à l'inconnus venant à l'improviste sans être repéré de quelques façons que ce soit par les deux pirates, il avait le teint charmant et charmeur, un visage qui pouvait séduire n'importe quelle femme, un visage d'homme, d'un être venant du Sud comme le prouve ses cheveux d'un noir macchiavélique, ou même aussi doux qu'un trou noir comme celui que l'on a après une longue nuit de sommeil, perturbant, mais reposant.

Mais ce qui pouvait choquer d'autant plus les personnes présentes dans cette taverne que lui même s'il eut été une autre personne c'est la présence d'une corde autour de son coup, une corde comme celle que l'on met sur les potences, mais celle-ci était coupée tombant ainsi sur son flanc droit. Ses mains, belles de celles qui ne travaillent jamais ou qui sont prises avec soin, étaient liées par une corde de même manufacture que celle que l'homme a autour du cou.

De ses yeux bleus azur de sorciers, envoûtant n'importe qui les regardant, médusant les personnes trop curieuses de connaître l'histoire de l'inconnus, ces yeux étaient entourés d'un masque, un loup que l'on trouve surtout dans les bals masqués, oui il y avait un mystère en ce personne, un mystère qu'il ne fallait mieux pas découvrir si l'on tient à notre pauvre vie.

Il portait une chemise blanche, enfin d'origine car elle a sûrement trempée dans la boue, ainsi que son porteur, elle avait autant souffert que n'importe quels détenus mais se portait fièrement. Mais jusque là, elle si paisible, ne bougeant que de très peu, laissa paraître à ce moment un fort creux montrant ainsi que son mannequin voulait sortir un flot de paroles de ce ventre.
Il toussa

Messire, oui vous messire, je vois que vous êtes l'homme que je cherche, ni trop grand, ni trop petit, peut-être laid? Mais ça ne rentre pas dans ma description de vous, donc je n'appuyerais aucuns avis sur votre doux, enfin brusque physique.
J'aimerai, si votre petite colère ne vous en empêche point, que vous me délivriez de mes liens, vous voyez, ce n'est pas non plus la grande mode en ce moment de se ballader ainsi dans des ruelles si peu sûre, surtout qu'en ce moment elles grouillent de petits pleutres, je parle bien sûr de ces gens d'armes! Quelles pestes que ceux-là! J'ai beau les renifler à plus de 100 lieux à la ronde je me suis fais avoir...
Mais dites moi, vous n'êtes pas fort nombreux! Enfin il faut tout de même avouer que votre acolyte, oui celui au comptoir qui ne cesse de boire, et d'ailleurs on le voit bien qu'il aime finir les tavernes qu'il rencontre.
Mais cessez de me regarder ainsi Messire, vous semblez être choqué de me voir... ou peut-être surpris! Alors une douce surprise s'il en est! Vous m'en voyez flatté!
Ah, je comprend votre désarrois, vous ne savez pas qui je suis? Soit, je me présente, quel idiot suis-je de n'avoir point pensé une seconde de décliner mon patronyme comme il se doit d'accoutumé!
Je suis Alexandros Di Francisque, voleur, espion, pirates, cuisinier, chanteur, poète, écrivain et autres broutilles dont l'énumération ne serait que trop longue et fastidieuse.
Il faut dire que je suis heureux de vous rencontrer! Il me fallait du travail en ce moment pour arrondir mes fins de mois, vous savez, en étant quelqu'un comme moi, on ne gagne que peu! Mais vous avez l'air excédé mon bon ami, si vous permettez que je vous nomme ainsi?
Ah mon retard... Et bien écoutez, juste un petit soucis avec mes camarades de joutes, il se trouve qu'ils voulaient me pendre, comme je vous l'ai dis tout à l'heure, les Gens d'Armes, sont des gens forts sympathiques mais leurs jeux ne sont décidemment pas à mon goût alors j'ai décidé de prendre la fuite, oh ce ne fut pas une affaire ridicule, puisqu'ils me chassent toujours, du moins s'ils ne sont pas fatigués, ils sont aussi gros que votre ami là.


Un fou rire non dissimulé se fit entendre assez fortement dans la taverne où tous se retournèrent, certains même semblaient demander non poliement au jeune Alexandros de se la fermer, mais il n'entendit rien à cela, c'était ça nature, il est ainsi fait, et ne sera point autre chose, on ne cache pas sa nature.
Par contre, aux derniers mots de celui-ci, Abdul semblait fort mécontent.


Mais prenez ceci à la rigolade mon bon ami! Je plaisante, je vous aime déjà! Ab imo pectore (du fond du coeur) si je puis dire
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Un masque couvre une partie de mon visage, seulement une partie pour garder une certaine dose de mystère
---fromFRAbdul Al Bobar
Abdoul resta un moment sans réagir au propos se voulant outrageant... Derrière son crâne, la mécanique s'ébrouait lentement... Soudain, le signal "insulte" se fit entendre dans la petite tête...

Aussi rapide que lors de la prise de la bouteille, le crochet d'Abdul vint se placer en dessous de l'entre-jambe...


Tu tè dis chantèr pètit oiseau... et bien vas-y! Chante! Et si jè trouve sa trop bas... et bièn j'accordèrè tè cordes vocales!

Un sourire mauvais passa sur le visage d'Abdul... une promesse...
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Al Inshawi Kazam!
---fromFRAlexandros FRANCISQUE
S'attendant à des représailles de la part de cet homme, Alexandros étant habitué maintenant à ce voir infliger des punitions corporelles à cause de ses dires, de ses divergences politiques avec de grands Seigneurs et quelques insultes par ci par là envers des hommes de lois, bref Alexandros n'avait pas, pour le moment, peur pour ses bijoux de famille, qu'il tenait qui plus est à conserver en état pour ne pas devenir comme un Castra espagnol.

Il prit une pose assez comique vu la situation pourtant complexe dont il était la victime.
Il afficha un sourire mais pas au but de charmer la boule de graisse qui se tenait tel un gorille boueux devant lui. Il joint ses mains


Dites, j'aimerai que l'une de vos trois, enfin quatre bouches répondent franchement, puis-je faire ma petite prière avant d'être transpercer par votre humble crochet?

Voyant la contrariété de l'homme et l'inflexibilité de celui-ci, Alexandros récita sa prière et à la fin s'exprima, ou fit entendre ce qu'Abdul voulait ouïr.

¡Dios, me salva me!
Voilà, ma prière étant terminée, je pense qu'il est tant de chanter, de danser, et je compte sur vous Messire, pour mettre de l'ambiance, je pense qu'en sautant, même d'un mini pouce du sol vous pourriez déclencher un petit tremblement de parquet, ce qui pourrait amener certaines personnes à se lever et danser avec nous.

Bon vous êtes sûr que vous voulez m'entendre chanter? Bon soit, attendez que je me règle MOI-MEME, mes propres cordes vocales.
DO- RE - MI - FA - SOL - LA - Si - DO

Qu'avez vous? Il s'agit là d'un Octave, vous le savez non? Peut-être que votre montagne qui vous sert de tête ne le comprendra jamais... Enfin bon le volcan qui vous sert de cervelle se remplira peut-être un jour d'une lave plus constructive et plus solide que le néant que vous avez.

bref, la musica va se faire entendre dans quelques secondes.

Il se racla la gorge sous les brouhahas incessant de jeunes gens souhaitant discuter en paix sans être dérangés toutes les secondes par la troupe insolite de pirates.
C'est partis! Le jeune homme commença à chanter


J'ai un gros nez rouge
Des traits sous les yeux
Un chapeau qui bouge
Un air malicieux
Deux grandes savates
Un grand pantalon
Et quand je me gratte
Je saute au plafond

Puis il éclata de rire, enfin plutôt un genre de gémissement car il tenta tant bien que mal à retenir son rire, mais il se fit entendre tout de même et bien malheusement.

Vous vous sentez concerné par la chansonnette Messire? Veuillez m'en excuser, il faut dire que vous m'avez inspiré sur ce coup là, ma mère m'a toujours fait manger le gras de ma viande, alors tout ce qui se rapporte à ceci me donne la nausée, ou une inspiration plus ou moins violente.
Quoique, cette chanson, n'étant pas de moi, ne signifie en rien que vous me répugniez.
Non je vous adore, et je prend plaisir à vous taquiner, puisque nous allons faire du bon travail ensemble!
Allez souriez un peu, même si l'on ne voit pas vraiment vos lèvres, le geste sera apprécié tout de même.

Messire Capitaine Jack Paw, vous devriez lui apprendre les bonnes manières, je pense que quelques coups de fouet seront suffisants à le calmer!
Non bien sûr je plaisante, mais puissiez vous lui demander, lui ordonner de retirer son crétin de crochet du côté adjacent de ma cuisse frémissante?
Je vous en serai reconnaissant! Après tout nous parlons bien de ma douce virilité non? Un homme comme moi doit pouvoir la garder pour satisfaire le monde de connaîtrer et de compter un homme aussi bon et fort que moi non?
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Un masque couvre une partie de mon visage, seulement une partie pour garder une certaine dose de mystère
---fromFRCapitaine Jack Paw
Le Capitaine fit apparaitre sur son visage granuleux un petit sourire en coin.
Il n'y avait aucun doute à faire là dessus, le nouveau plaisait beaucoups au Capitaine.


Pétit, buenvenido dans l'équipe! Yé té pl'is d'excousé notl'e ami Abdul Al Bobal', il est pal'fois incontl'olable, il faut lé pl'endl'e avec les pincettes!
Tou nous sel'a utile dans notl'e mission, je le sais, je le sens.

Ma qué! Abdul! Lâche cé malheul'eux, laisse lé en paix, il est des notl'es ne l'oublit jamais!
---fromFRAbdul Al Bobar
Abdul était très contrarié... à nouveau il devait laisser échapper sa proie... deux fois en une soirée... cela ne lui plaisait guère...

Il fixa Alexandros droit dans les yeux... la machine grinçante qui lui servait de cervelle faisait mille cliquetis qui se seraient certainement entendu à l'extérieur si n'était l'épaisse couche d'os et de graisse qui entourait cette cervelle préhistorique...

Il monta son crochet de quelques millimètres, creusant le pantalon du petit freluquet...


Caaaapiiiitaine... Il me plait pas ce gars là... commença-t-il...
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Al Inshawi Kazam!
---fromFRAlexandros FRANCISQUE
Sentant le crochet se rapprocher d'autant plus sur sa partie intime et la mieux préservée de son corps, le jeune homme prit une forte dose d'air

Messire, mon bon messire, celui aux cornes du minotaure, qui n'a d'ailleurs pas perdu de son charme ni de sa volupté et de sa largesse d'esprit, un ordre du Capitaine est toujours un ordre et doit être respecté comme tel!
Vous savez sûrement qu'une hierarchie s'instaure en tout et pour tout, nous en avons dans la religion, qui normalement se doit être un modèle d'égalité, vous en avez dans l'armée et ça c'est déjà un peu plus normal, mais vous en avez aussi chez les pirates, avec un charmant code d'honneur!

Votre Capitaine a la bonté d'esprit de bien vouloir m'apprécier, ce que vous vous ne faites pas, mais je vous excuse vous n'avez pas d'esprit assez développé pour savoir pardonner! Ce que vous aimez c'est le sang, les tripes, la chaire et autres petites choses ravissantes que l'on vous sert en apéritif!
Vous savez, si vous ne voulez pas de moi je puis partir et ne jamais revenir! A vous de décider la boule!

Il attendait, les bras croisés malgré le crochet qui piquait légèrement la partie sous les braies.
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Un masque couvre une partie de mon visage, seulement une partie pour garder une certaine dose de mystère
---fromFRCapitaine Jack Paw
Le Capitaine commençait à fulminer, il prit le crochet d'Abdul pour le retirer de l'entre-jambe d'Alexandros.

Tou vas al'l'êté bougl'e d'idiot! Yé m'en vais té foutl'e oune l'aclée si tou continue ainsi!
Tou va fail'e fuil' tout mes matélots qué jé engagé à la sueul' dé mon fl'ont!

Sur un moment d'enervement intense, le capitaine donna un coup de pied sur la tête d'Abdul qui ne devait pas avoir sentis grand chose, mais cela avait le mérite de mettre les choses au clair.
---fromFRAlexandros FRANCISQUE
Le crochet enfin éloigné de sa partie génitale, Alexandros respira de soulagement, il aimait à se montrer fort d'esprit afin de contrecarer les plaisirs des autres à nous massacrer sans vergogne.
Il s'éloigna de craintes que la montagne revienne à sa charge.


Mes Sieurs, je m'en vais, j'ai besoin de prendre de l'air, des vacances, que sais-je? Visiter un quelconque bordel pour me faire quelques connaissances plus fructueuses en matière d'amitié que celles que je côtois ici.

Veuillez me pardonner Capitaine, mais je ne puis accepter de travailler avec un balours de la sorte qui ne sait sans doute pas épeler son patronyme, s'il sait de quoi il s'agit.
Malgré mon respect pour vous Capitaine, je sors et ne reviendrai peut-être pas.

Au plaisir de vous revoir, je ne vous serre point la main après tout nous ne sommes pas sur le même pied d'égalité.

Il s'avança vers la porte en souriant, saluant toutes femmes qu'il croisait alors.
Il ne se retourna guère pour ne pas apercevoir la réaction des deux ex-compagnons.
Il avait mieux à faire que de traîner avec d'aussi vils gens.


En fait, je dirai même, au plasir de ne pas nous revoir, cela serait plus juste pour mon humble personne et pour votre égo disproportionné.

Il quitta la taverne d'un pas élégant pour se rendre dans le premier bordel qu'il croiserait
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