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[RP] Taverne le Rat Crevé

---fromFRgauteffroylejoinvillois
Gauteffroy arriva sur son cheval blanc,entra, s'assied,il garda sa capuche pour cacher une horrible cicatrices vertes sur sa joue

-bonjour,comment aller vous je ne connais pas grand monde ici je pense que je ferais mieux de retourner doit je viens de plus j'ai du travaille sur la planche mais.........
sorti une feuille et ecrit
-miss.leyana,des nouvelles de morna ???
Bu sa chopine
Mis quelques mie de apin pour son cheval avec de l'eau
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---fromFRAnonymous
blackbibe aviat quiter sa maison et FayraLuna.Il marcha longuement dans la rue avant d'arriver devant "le rat crevé" la ou tout aviat commencer pour lui.Il decida d'y retourner pour se rasasier etprendre des nouvelles et voir les nouvelles tétes de la cour.

Il poussa la porte qui grinça et s'engoufra dans la piéce sombre ou était present plusieur persone.Il regarda autour de lui et vit akemi et un homme qui semblait nerveux à une table en pleine discussion.Plus loin au fond il vit le gris qui était de retour à la cour assis avec lui une femme qui ne semblait pas lui parler et plus loin une jeune femme seul.
Blackbible recouvert d'une cape noir,la téte caché par un capuchon ou seul ses levres et ses yeux verts était visible marcha jusqu'au contoir ou il comanda à boire en observant les gens present dans la taverne.
---fromFRVvarnëleen
Le Gris regarda la femme . Il la detailla de ses yeux songeurs , tout en buvant sa tymbale de vin . Avec un sourire narquois .
Ses cheveux gris retombaient harmonieusement de part et d'autre de son visage , qu'il avait fin , empli d'une sorte d'arrogance ... Et dans ses yeux brillait une flamme de haine pure , une flamme de colere a peine refoulée , comme le signe qu'il pouvait exploser a tout instant ...


"Tu desires ?"

Il avait énoncé ces mots d'une voix froide et monocorde , avec un soupçon d'ironie ... Et ses yeux se planterent dans le regard de la jeune femme .
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Mort au 19 décembre 1453 Dans la Cour, qu'il à tant aimé qu'il lui donna sa vie.
---fromFRSöphie D'Italie
L'Italienne regardait l'homme devant elle, avec couruositè, crainte, ironie, arrogance, beaucoup d'expresion changeantes, toutes très visibles, car aucune d'elles ètait nessaisere de cacher. Sophie savait cacher, rester sans expresion, mais pour l'instant c'était pas son choix, ou peut-être justement qu'elle ne laissait voir que des fausses expresions, ou des jugèes pas importantes par elle.
L'ètrange, c'est que la vangeance, la colere qu'elle pouvait lire dans les yeux de celui devant elle, ne pouvaient pas ce lire dans les yeux de L'Italienne... et cela, que ce n'ètait pas une dame pure de ces delicieux sentiments...

Le Gris lui parla, il avait de l'ironie, de l'arrogance, de la froideur... Comme tous les Gens de la Cour. Les vrais gens de la Cour.
Elle, elle garda le silence un moment, elle ne cherchait pas quoi repondre, simplement, le ton du Mônsieur l'avait poussè a garder le silence, le supsence même?

Finalement elle le regarda droit dans les yeux.


Je ne sais pas...
Je dèsire trop... ou alors trop peu.


Elle parlait d'une voix qui semblait enfantine, inocante, mais que justement, ce ton donnait a comprendre qu'elle jouait bien son jeu, qu'elle cachait bien ces choses. En tout cas, c'est ce que tous devraient comprendre, car elle, elle ne savait pas pourquoicet homme l'avait attirè de suite. Atirè dans un sens de gen de la Cour, et pas comme un homme attire a une jeune femme.

Et vous, savez-vous ce que vous dèsirez dans la vie?

Et si elle reussisait a lui tirè quelques paroles?
"Parlons un peu de vous, MonSire..." Ce disait-elle al interieur
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"Il y a trois portes a cet antre
L'espoire, la folie et la mort
C'est par la premiere qu'on entre
Et par les deux autres qu'on en sort"


HRP: (un autre RP) Vérone
---fromFRVvarnëleen
Le Gris ne sourcilla pas au détail de la jeune fille . Ce qu'il pensait ? Baste . Le Gris ne montra rien . Il afficha un sourire narquois qui s'étendit légerement , et posa sa main gauche sur la table . Il lui manquait trois doigts .

"Ce que je désire ? Je le sais . Servir le Roud . Servir Libertad . Et tuer les ennemis du Roud . Et de Libertad ."

Il se tut a nouveau et s'avanca legerement sur la table , sa main gauche toujours en évidence . Le gant Noir tresaillit legerement , la cape s'entrouvrit pour reveler un jeu de dars argentés . Il se taisait , le regard toujours planté dans les yeux de Sophie . Avec des tremblements imperceptibles qui secouaient ses épaules .

"Je désire tout ce qui passe a ma portée . Je suis un homme de désir . Que serait notre vie sans désir ?"
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Mort au 19 décembre 1453 Dans la Cour, qu'il à tant aimé qu'il lui donna sa vie.
---fromFRSöphie D'Italie
Le Gris avait mit la main en avant, il lui manquaient trois doigts, Sophie regarda la main rapidement, mais detourna le regard, discretement, le relevant de nouveau vers le visage de l'inconnu.
Elle avait vu pire, mais les doits, tenir son èpèe, son verre, ses poignars avec simplement deux doitgs...

Elle avait entendu parler de Libertad, mais qui ètait-ce Roud?
Elle savait qu'elle allait s'aventurer loin, peut-etre trop loin, mais cet homme en valait le coup.
En quelque sorte, cette discution lui rapella son rendez-vous avec l'Azur... Si elle recevait de l'homme une reponse, elle saurait assez sur les organisation de la Nouvelle Cour comme pour se sentir plus afamèe et curieuse


Si tels sont vos désirs, vous n'aurez aucun inconvenient a me parler de Roud et de Libertad...

C'était dit doucement, avec cette pointe d'ironie, et cette dose de mystere qui l'entouraient toujours

Car effectivement, qu'est-ce un homme Ou une Femme sans dèsirs...

Et vous venez de me faire conaitre un autre des miens... Vous entendre parler de la Libertad et de son, je supose, meneur

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HRP: (un autre RP) Vérone
---fromFRVvarnëleen
Elle allait loin . Trop Vite , et trop loin . Son visage se ferma tout a fait , ses levres se serrerent . La flamme dans ses yeux s'accrut .

"Qui es tu , que veux tu ainsi , a quemander des informations ?"

Sa main gauche bougea sechement vers le visage de l'Italienne , mais la dague qui lui piquait le genou était tenu par la main droite . Son sourire avait parfaitement disparu . Il ne restait que le froid . Et comme un leger feulement , qui crissait au fond de la gorge du Gris ... Ses machoires étaient contractées ... et son regard suintait la haine .

"Roub signifie maître en arabe . Qui es tu , d'où viens tu ? Tu y joues ton genou . Et ta vie . "
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Mort au 19 décembre 1453 Dans la Cour, qu'il à tant aimé qu'il lui donna sa vie.
---fromFRSöphie D'Italie
Elle le savait. Elle allait trop loin, mais elle n'avait pas peur. Elle cpnnaissait la peur, et c'ètait pas ce qu'elle resentait en ce moment.

Quand l'homme aprocha les deux doigts qui restaient de sa main vers le visage, maintenant aussi fermé mais moins dure et cruelle de Sophie, elle se leva. C'était très practique de se lever grace au soin qu'elle avait prise de retourner la chaise. Son visage n'avait plus aucune trace d'ignorance et même d'enface qu'avant. A présent l'on pouvait voir Son visage. Tous ces traits restaient doux, d'une douce ironie plutot, mais ils n'avaient plus rien de la naif jeune femme qu'elle avait apparaentè jusque là.


Jouer ma vie? Mais pourquoi ma vie devrait être en jeu? Je suis désolé si je fait affaire a un paranoiaque qui perd son calme aussi vite!

Elle avait parlè durement, sa main droite fermmenent fermée sur le poigné de son épée. Elle se calma et reprit un air moins cruelle, mais tout aussi sien, rien de chaleur mais froideur et ironie. Voila tout le lisible sur sson visage.
Elle savait qu'une épée a la main elle aurait des chance de vaincre, et de toute facon, perdre ou mourir n'était pas un affaire de grand interet. Elle ne voulait pas ca, et les mots qu'elle dit ne furent absolument pas par crainte a la mort, mais car elle voulait savoir plus. Cet homme l'intriguait, un peu trop, même.


Mais puisque vous aussi vous vous montrez curieux, sachez qui je suis, il est de votre droit de le savoir, même si moi je me suis jamais interresée a un nom.
De mon passé rien sera dit, seulement sachez que j'ai assez vècu a la Cour, avant, puis que je l'ai abandonée et prit une autre identitèe, et c'est par cette derniere que vous me conaitrez, d'ou moins jusqu'a ce que vous soyez assez bon dans l'art de la déduction, ou alors assez estimé ou respecté par moi, et qu'alors vous aprendriez la vrai moi. Par vos moyens ou par les miens.
Je suis, pour vous, Mon Sire, L'Italienne, Sôphie l'Italienne.
Je ne me crois personne, et je demande par curiosité. Je suis curieuse, voila mon moindre defaut... ou plutot, ma plus grande qualitèe.
Ne vous inquietez pas, je n'ai rien contre vous, et donc rien contre Libertad ni contre leur Roud...
Peut-être même que j'ai quelque chose a faveur.

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---fromFRVvarnëleen
Le Gris se leva . La main sur le sabre ecarlate qu'il portait a son côté . Des tremblements spasmodiques agitaient ses bras ... Et ses yeux s'étaient faits deux miroirs de folie pure . Suintant a travers les murs de sa raison , les éclairs de haine crispaient légerement son visage ...

"Je n'ai rien a te dire , rien a t'offrir ni a te proposer . Libertad est un cri . C'est tout ce qu'il te faudra savoir . Viens au Palazzo , d'autres l'expliqueront mieux que moi . "

Il fixa l'Italienne . Avec un visage froid , démenti vibrant de son regard fou . Et cracha au sol .

"Le Roub n'est pas de Libertad . Le Roub ... Le Roub n'est pas même arabe . Le Roub est le Roub . Peut être nous recroiserons nous dans ces ruelles . Ou ailleurs . Prends garde a toi , Italienne ."

Le sabre écarlate étincela a la lumiere , le rubis du pommeau révélé en pleine lumiere ... Le sabre de Lame Ecarlate . Le Sabre du Gris . Et de celu qui le reclamera comme sien ensuite . Il poussa la porte de la taverne , en silence , et se fondit dans les sordides ruelles .
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Mort au 19 décembre 1453 Dans la Cour, qu'il à tant aimé qu'il lui donna sa vie.
---fromFRSöphie D'Italie
Libertad? Elle savait bien ce que cela voulait dire, et vraiment elle ètait un peu deçue que l'on ose parler de la Libertée dans un ton pareille, dans une colère égale...
Mais après tout, elle devait rester le plus neutre possible, elle ne voulais pas d'ennemis, pas pour l'instant, elle ètait a peine revenue a la Cour, et elle devait se rehabituer.
Quand l'homme sorti de la taverne, avec sa lourde armure, l'italienne laissa de nouveau son air naive, inocente et idiote, reprit son air d'adulte qui a soufert, laissa en arriere les fantasies de femme, les fantasies d'enfant qu'elle avait desfois, et redevint elle. La rapidité dans laquelle elle changeat d'expresion, d'un regard vif vers un regard las, d'une langue parlante vers un silence attentif, aurait surement laissait impresioné le Gris qui devait la croire naive, ou alors, trop naive pour l'être vraiment, et alors espionne. Elle n'était aucune des deux, elle travaillé pour soit... pour l'instant elle retsait neutre. Mais la neutralité est le plus dur des rôles, ètre neutre veut dire conaitre a tous tes ennemis, c'est a dire a tous tes alliés... Être neutre veut dire savoir comment reagir dans chaque camp, savoir comment actuer dans chaque thetre, et tout cela, gardant le minimum de dignité de ne pas thrair tes autres ennemis-alliés. Voila ou elle voulait arriver, pour l'instant, et de là, savoir choisir. Elle avait trop d'idées, et la Cour avait trop de camps, peut-etre que l'un d'eux lui conviendrait un jour...

L'Italienne se regarda, une belle femme, très belle même, habillée en homme, une douce figure remplie de soufrance, des charmant levres dessinés d'ironie. Ah! C'était bien elle, et comme ça elle s'aimait.
Elle prit sa pipe et l'alluma.
Elle fuma plusieurs fois avant de sourire ironiquement, sadiquement.


Oh! J'irais surement au Palazzo, mais pour vous et pas pour Libertad!Sifla t'elle entre les blanches dents

Elle rangeat de nouveau sa pipe, mit sa cape sur ses epaules, et fit un signe d'"aurevoir" au tavernier, puis, jettant un dernier regard sur la salle, elle poussa la porte, mit sa capuche sur ses cheuveux noirs et quitta la taverne, pour aller, on ne sais ou, ou plutot elle le savait bien, imposible pour moi de deviner.

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L'espoire, la folie et la mort
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HRP: (un autre RP) Vérone
---fromFRKunaï
Une sombre silhouette s’engagea dans la rue au teint noir, située devant un bâtiment. De cet endroit s’échappaient des éclats de rire d’ivrognes, le son de cris précédents quelconques rixes de tavernes, une forte odeur de bière et de plats à la qualité aussi douteuse que ce dernier breuvage. Une main d’albâtre souleva la capuche de la cape posée sur les frêles épaules d’une enfant de quatorze hivers. Un sourire ironique constamment gravé sur son jeune visage accentuait quelque peu l’éclat dur de ses yeux noirs. La jeune voleuse posa son regard froid sur la porte de la taverne. Cela faisait bien longtemps qu’elle n’était venue à la Cour des Miracles…

Kunaï fit tressauter dans sa main une bague surmontée d’un rubis à l’éclat sanglant. Son dernier vol. En effet, la jeune voleuse l’avait empruntée dernièrement à une duchesse d’une quelconque contrée lointaine. La noble n’avait pas cillé lorsque la jeune fille avait subtilisé le bijou à son doigt, alors que la duchesse reposait dans les bras de Morphée.

Observant une flaque de lumière s’échappant d’une fissure dans le bois légèrement vermoulu de la porte menant à la taverne, Kunaï se rendit compte que ce lieu et ses dangers quotidiens lui avaient manqué. La jeune voleuse posa sa main aussi blanche que l’écume, qui contrastait avec le noir corbeau de ses longs cheveux, sur la poignée branlante de la porte et, actionnant cette dernière, la jeune fille entra dans une pièce bruyante. La soudaine lumière lui fit cligner des yeux. Laissant d’un geste à l’apparence nonchalante sa main sur le pommeau de sa dague, Kunaï alla s’asseoir à une table libre. La jeune fille commanda une bière et, attendant sa demande, observa attentivement la pièce et les personnes s’y trouvant. Un ivrogne hurlant une chanson paillarde qui ferait rougir de honte les femmes de marins, passa d’un pas hasardeux près de la jeune voleuse qui, d’un geste leste et d’une rapidité peu commune – suffisante pour qu’on ne puisse la voir – lui subtilisa sa bourse trop légère.

Une serveuse aux yeux embués par une quelconque drogue apporta à Kunaï sa bière qui se fit payer grâce à la bourse de l’ivrogne hurlant toujours. Sirotant tranquillement le breuvage jaunâtre, au goût aussi ragoûtant que sa couleur, la voleuse écoutait les multiples conversations l’entourant. La jeune fille essayait ainsi de percevoir des informations sur la situation actuelle de la Cour. Cette dernière ne paraissait pas avoir beaucoup changée, sortant et revenant en son apathie au rythme des actes de ses habitants. Pourtant, quelque chose semblait nouveau en ce lieu. C’était comme si une nouvelle solidarité s’était nouée entre les protagonistes de la Cour. Il ne semblait plus pour le moment avoir de Rey en cet endroit et les rixes entre les habitants de la Cour des Miracles se faisaient moins fréquentes. Mais la Cour restait la Cour, un endroit emplit de multiples dangers, rendant la vie des protagonistes de ce lieu plus palpitante. Ce n’était pas pour déplaire à Kunaï, bien au contraire…

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Kalian
Kalian marchait d'un pas rapide. Elle avait déjà mis une fois les pieds à la Cour, il n'y avait pas si longtemps. Elle ne pensait pas y revenir, mais l'odeur étrange qui y règne, l'ambiance de la Cour, l'avait marqué. Elle voulait y retourner, apprendre, comprendre, participer.

Elle longeait les rues, vêtue tout de noir, pour ne pas se faire remarquer. Sa démarche se faisait souple, ses pas touchant à peine le sol. Elle se déplaçait rapidement, à la recherche d'un bâtiment où rentrer. Une taverne peut être. Son regard d'un bleu perçant scrutait le coin. Les gens dans la rue paraissait tous autant dépravés les uns que les autres. Des ivrognes, des drogués. De tout pour faire un monde...

Elle aperçut une batisse éclairée. De là provenait toutes sortes de bruits qu'on entend pour le plus souvent des les tavernes. Autant tenté sa chance... Kalian s'approcha de la porte et avança une main vers la poignée. Elle jeta un coup d'oeil derrière elle. Quitté l'enfer de la rue pour entrer dans l'enfer d'une taverne. Et surtout se rassasier d'alcool.

Elle poussa doucement la porte et jeta un regard rapide dans la pièce. Une jeune fille était assise, en train de boire. Une serveuse au regard vitreux. La drogue? Un homme qui chantait. Elle entra et alla s'assoir dans un coin, dos au mur, face à la porte d'entrée. Simple précaution, même si elle n'avait pas encore eu le temps de se faire d'ennemis. Installé aussi confortablement qu'on le pouvait dans ce genre d'endroit, elle appela la serveuse pour que celle ci lui ramène quelque chose à boire bien fort. Elle laissa tomber quelques écus sur la table et quand celle ci revint enfin, Kalian la dévisagea de haut en bas, avec un air de pitié dans les yeux.

Elle attrapa son verre et but une longue gorgée. Elle sentit la chaleur de l'alcool descendre dans son corps. Elle continua d'observer ainsi longuement ce qui se passait dans la taverne, les personnes s'y trouvant.
---fromFRlord_darknesse
Akuma alluma de l’encens comme à son habitude il porta le bâton à la bouche et respira quelque bouffé avant de se remettre debout, le sourire mort et la peau pâle, Akuma bien qu’heureux d’avoir revue Akemie, il gardera toujours un petit goût âcre, pourtant c’était bien la seule chose qui le faisait encore espérer retrouvée sa place dans le cœur de la louve. En partant il aperçut brièvement l’Italienne qu’il avait rencontré quelques semaines auparavant, il n’y prêta guère attention pourtant, et encore moins sans doute à l’homme à ses cotés, parlant de liberté avec dégoût, un sourire sadique sous cape apparue. Même en les dédaignant leurs conversations ne lui passa pas inaperçue partageant le même dégoût envers se mot, excuse de crime inutile.

Akuma s’arrêta quelque empans avant la porte et parla à Akemi.

J’espère que tu ne feras pas la même erreur que moi, à présent bonne journée je doit me retirer.


Akuma n’en dit pas plus malgré son envie de raconter l’erreur qu’il avait commise. Il sortit et ferma la porte calmement, il n’avait nie la force ni l’envie de claqué la porte, en peut de temps il avait disparut dans les recoins de la cour…
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La Famiglia dello Cielo Azzuro
---fromFRAnonymous
blackbible qui avait fini son troixiémme verre de vin avait vu la sortie du gris avec qui il aurait voulu discuter pour savoir ce qu'il faisait ici mais c'était maintenant trop tard et de l'homme qui était avec Akemi quelque instant auparavant de la taverne ainsi que l'arrivé de Kunai toujour aussi jeune mais qui était une talentueuse voleuse et une bonne combattante. Elle était installé tranquilement à à une table,elle ne semblait rien attandre .Il ne l'avait pas vu depuis le combat entre le pretendu roy fou et les gris qui était à cette époque à son service contre de nombreux combatant qui voulait sa mort.Mais ce temps était révolu méme si des rumeurs annoncé le retour du fou à la cour.Peut éte le sang coulerit voulerità nouveau et le feu s'installeriat comme lors de cette nuit.
Il commença à prendre la direction de la table de kunai pour avoir quelque renseignement et dicuter avec elle mais il fut interrompu par l'entrée d'une jeune femme vétu de noir qu'il n'avait jamais vu à la cour auparavent.
Il l'observa et en deduit qu'elle n'était pas un danger éminent alors il alla s'installer à la table de Kunai avec un verre de vin à la main en attendant ien reaction de la jeune voleuse.
---fromFRAkemi
Akemi regarda partir Lord sans prononcer un mot, elle n'aurait su quoi dire. Ni à lui, ni à personne d'autre...C'était vrai, elle aurait du s'estimer heureuse, elle avait tout d'une vie heureuse. Mais quelque chose n'allait pas. Akemi regrettait ses escapades en solitaire ici, à la Cour, au Rat Crevé, partout...Il lui semblait que, tout comme pour la Bretagne, elle avait toujours vécu ici. Elle se sentait liée à cet endroit. Elle avait comme l'impression qu'elle aurait encore, un jour ou l'autre, un rôle à y jouer. Ses yeux tristes redevinrent froids, glaciaux, dénués d'émotions. Elle resta là, à sa table. Elle attrapa la bouteille de chouchen et la finit. Elle se laissa retomber sur le dossier de sa chaise. Que voulait-elle à la fin?Elle ne savait pas. Rattraper le passé peut-être, alors que la plupart des gens la regardait encore comme une enfant. La Fille de Mazarine, celle qui recu l'enseignement de la Diablesse...Jamais il ne s'effacera, jamais Elle ne s'effacera. Quand elle avait parlé de son père, Lord s'était trompé, c'était de Gomoz dont elle parlait, de son idée d'annulation de mariage avec Mazarine...Akemi se sentait blessée au fond d'elle-même, comme si c'était elle qu'il voulait effacer. Elle avait tout fait, tout, pour qu'il soit fier d'elle, pour qu'il soit fier de Mazarine, de l'enseignement qu'elle lui avait apportée, seule, sans aucune aide de sa part. Et maintenant...
Elle fit détourner le fil de ses pensées sur la taverne et ses occupants. Elle avait remarqué un homme encapuchonné. Il l'avait regardée à plusieurs reprises, comme s'il la connaissait. Non, elle ne se souvenait pas de lui. Du moins, elle ne se souvenait pas lui avoir déjà parlé. Mais elle connaissait son nom, Blackbible. Il avait beau mettre capuche sur sa tête, Akemi était une louve avant toute chose, elle savait reconnaitre les gens grâce à l'odeur de leur peau. Et elle n'oubliait jamais un nom.
Elle le regarda farouchement, assuse en tailleur sur sa chaise. S'il avait quelque chose à lui dire, qu'il vienne donc, elle saurait le recevoir.
Elle fit signe au tavernier de lui amener une autre bouteille. Elle voulait se noyer dans l'alcool, dans le chouchen. Peut-être en ressortirait-il quelque chose de bon...

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Tous les hommes vivent ensemble, mais ils suivent des chemins différents.
Epouse d'Elfyn, maman de Marzina et Erispoë.
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