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[RP] Taverne le Rat Crevé

pnj
Il c’était assoupis durant un bref instant. Les gens entraient dans la taverne. Il reconnu la jeune femme qu’il avait aperçut dans la ruelle. Un homme était là également affaler d’une drôle de façon sur le comptoir. Cela le fit sourire. Cet homme paraissait perdu. On ne venait pas pleurer en taverne à la cour. L’habitude était de trouver le coin le plus sombre de la cour et de se défouler sur le premier rat qui passait ou bien de combattre les démons qui nous hantent directement, en provocant un duel ou encore par tout autres moyens.

La jeune femme qui était entré après le jeune homme, sembla touché par son attitude triste et quelque peu mélancolique.

Il jeta un regard à Luna d’un œil amuser. Oui, la cour était trop triste. Il fallait donner un air de folie. Rendre vivant tout ces murs si tristes, si gris, si sales.

Alors qu’il était encore dans ces pensées une autre femme entra dans la taverne, suivit d’un grand chien noir. Il ne savait pas que leur présence ici, était tolérer, mais ce n’était pas lui le tenancier, et ne voyait donc aucun inconvénient à la présence d’un animal dans ces lieux. Si cette femme avait besoin de cela pour se sentir en sécurité ce n’était pas plus mal. Chacun à un compagnon secret, celui-ci, et peut être un peu plus visible que certain autres. Mais après tout, cela rester dans le fond, la même chose.

La jeune femme s’assit à une table. Le chien s’allongea à ses pieds.

Il se leva prestement et vint commander une nouvelle choppe de cet hydromel si étrange au goût au tavernier. Il passa aux côtés des deux jeunes gens apparemment en pleine conversation. Il s’approcha d’eux.


Voulaient venir boire un verre à ma table ? Je vous l’offre, et peut être pourrais-je vous aider à régler ce qui vous tourmente l’esprit ?

Il jeta un œil à Luna en attendant.
---fromFRThanas
Une femme entra dans la taverne. Thanas n'y fit pas attention, ce n'était qu'une personne de plus. Il concentra plutôt ce qui lui restait d'esprit sur celle qui lui parlait. Qu'on lui parle lui fait du bien. C'est comme l'alcool, ça permet de faire le vide, mais avec l'avantage de ne pas faire perdre la tête et de ne pas tomber d'encore de plus haut lorsqu'on se réveille, ni d'avoir mal à la tête, et de finalement n'avoir rien arrangé les choses. Thanas écoute cette femme parler, ne l'interrompant pas. Il médite sur ce qu'elle a dit. Il laisse quelques longues secondes de silence après qu'elle eut fini. Il la regarde, se disant effectivement qu'elle n'a peut-être pas le profil de celle de la Cour. Mais toujours, peu lui importe. Elle pourrait lui planter une lame dans le coeur, la douleur n'en serait que très brève. Après, tout redeviendrai néant. Et le néant est peut-être mieux que la vie, finalement. Thanas pleure toujours. Avec l'alcool additionné à une tristesse déjà existante, c'est inévitable. Pourtant, il souffre moins qu'il ne souffrait avant qu'il entre dans la taverne. Il faut dire, il a maintenant oublié ce qu'il devait oublier. Il ne s'en rappelera que lorsqu'il aura désaoulé, ce qui prendra quelques temps, à présent. Il repense à ce que la femme vient de dire. Celà fait peut-être maintenant vingt secondes qu'elle s'est arrêtée, et que Thanas médite toujours dans la même position, la tête posée contre ses avant bras et tournée vers elle. Il dit enfin :
Si... Elles le sont toutes... Même celle qui... qui ne le paraissent pas... Même celles qui ont quelque chose en particulier... Elles ne resteront ja... jamais fidèles...
Un homme apparut alors soudainement derrière eux, leur demandant s'ils voulaient à boire. Thanas n'avait pas le coeur à répondre, et il avait déjà assez bu pour l'instant. Il laissa son interlocutrice s'en charger, trop las d'ajouer quoi que ce soit.
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Mort
---fromFREleonore07
Eléonore demeurait silencieuse... attendant peut-être une réponse du jeune homme... ou peut-être pas... elle le regardait simplement, la tête posée sur son avant-bras... elle ne bougeait pas et lorsqu'il se mis finalement à parler, le silence ne l'avait nullement troublée, elle l'écouta et sourit... surement oui... il avait raison... les femmes n'étaient capable vraiment que de ça... trahir d'une manière ou d'une autre...

Mais avant qu'elle ne puisse répondre, Trez s'était approché... elle posa alors son regard sur lui, elle l'avait déjà vu, dans la rue devant le bordel... elle le reconnaissait... mais elle déclina son invitation...


Oh c'est gentil... mais peut-être plus tard... mais merci quand même pour l'invitation...

Elle lui sourit puis s'en retourne à sa contemplation du regard de Thanas... réfléchissant à ce qu'il a dit et à ce qu'elle pourrait répondre... ne pouvant démentir cela de toute manière... les femmes sont ainsi mais elle finit par murmure...

...peut... peut-être que... lorsque l'on rencontre la bonne personne on se décide enfin à être fidèles... qui sait... mais peut-être qu'on est jamais satisfaites de ce que l'on reçoit...

Je ne sais pas... je ne voudrais pas m'aventurer à dire une chose qui pourrait être fausse... mais je pense que dés le moment où une femme se sent bien... elle n'ira pas voir ailleurs... elle... elle restera fidèle...
---fromFRluna.ciredutemps
Le rire, le rire fut le plus fort... Et Luna ne lutta pas longtemps avant de le laisser jaillir cristallin et moqueur.

Sautant de son tabouret et s'avançant entre les tables, elle harrangua la foule :


Alors c'est ça la cour des miracles ?
C'est ça, ce lieu soit disant maudit ?
C'est ça, le repaire des briguands, voleurs et autres écorcheurs ?
C'est ça, qui fait trembler vieillards et frissonner de désirs innavouées les pucelles le soir au fond de leurs lits ?


Le rire de Luna chanta de nouveau, s'engouffrant dans chaques recoins de la taverne telle une vague déchainée, faisant fuir rats repus et araignées dodues dans leurs abris depuis longtemps abandonnés.

C'est ça, la cour des miracles ?
Un vague tas de cendres ou l'on vient se cacher dans l'ombre, de peur de s'affronter sois même ?
Un lieux ou l'on se donne la mort pour ne pas affronter le vie ?
Un lieux ou l'on ne se montre que pour disparaitre ?
Un lieux ou l'on n'est que l'ombre de sois même et bien souvent dissimulé derrieres capuches, capes, capuchons et autres masques ?
Un lieux ou l'on porte fièrement épées, coutelas et autres dagues dans l'infime espoir d'intimider ?

Oh, oui, il y a eut un miracle à la cour...
La cour est devenu le repaire des pleureuses sur leur sort et radotteurs d'un temps "qu'étaitmieuxavant..."

Ce soir la lune se lèvera, ce soir la lune rira, ce soir les étoiles fremiront de plaisir...
Ce soir le ciel et la terre sauront que la cour n'est plus qu'une tombe de ruines et de regrets moisie.
Et moi, je danserai sur cette tombe, j'y planterai paquerettes et rhododendrons pour que chacun se souviennes qu'à trop chercher à oublier on en oublie parfois son ame...

Moi, Luna ciredutemps, fille du soleil et du vent, voyageuse et croqueuse, je suis venue ici sans armes, sans douleurs cachées, sans secrets tellement innavouables qu'on ne peut que les avouer, sans envie de mourir car bien décidée à vivre... Je suis venue et je n'ai rien vu !

Et toi, mon Trez, toi qui fut le compagnons de quelques nuits et l'accolytes de bien des bétises, toi qui m'invita, entre autres, en ce lieu... Toi, danseras tu avec moi ?
pnj
Les propos de Luna raisonnaient dans sa tête. N’avait-elle pas raison ? Est-ce qu’il faudrait encore verser d’autre larmes pour comprendre qu’a force pleurer sur la mort de la cours, elle ne fait en réalité que se vider d’avantage de son sang rendu si rare ?
Il but d’un trait sa choppe, et la lança sur le mur. Elle s’éclata dans un bruit de verre brisé.

Il se leva, un sourire narquois au coin des lèvres, en regardant les deux jeunes gens pleurnichaient sur leur sort.

Il regardait Luna. La tête lui tournait. Le vertige qui l’avait pris lors de sa rencontre avec Panthère le reprenait.


AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !

Il poussa un cri. Luna dansait et virevoltait. Il l’attrapa par le poignet brusquement.

Je suis prêt à danser avec toi. Lançons cette danse, qu’elle gagne toute cette cours, désormais engourdis par le temps. Qu’elle regagne sa fraîcheur et sa joie de vivre.

Il lâcha Luna, pour s’approcher des deux jeunes gens. Il passa sa tête, au dessus de leur épaule en lâchant un sinistre ricanement.

Arrêter de vous lamentez…Levez vous…Battez vous contre ce qui vous meurtris. Ne soyez pas des victimes…Mais soyez des hommes et des femmes fiers… Fière de vivre… Fier de vos actes.

Il parlait d’une voix rendue rauque, et grave. Il toussota.

Puis repris cette danse dans la taverne, cette danse bondissante et joyeuse.


Allons-y Luna. Faisons de cette cours un lieu où il fait bond vivre. Où les êtres aiment à se voir mourir, mais où la vie est considérée comme une chance. Chaque jour passé en vie, doit être une récompense. Allumons ce feu, qu’il gagne toutes ces ruelles sombres, et qu’elles en soient éclairées.

Il s’approcha de Luna. Et lui attrapa la main. Il lui colla deux baisers sonores, sur les joues.

A nous deux nous serons assez fort, pour redonner ce feu. Que tout ceux qui se sente capable de faire vivre cette cours, comme elle n’aurait du cesser de vivre nous suivent et dansent avec nous. Et si personne nous suit…. Allez au diable…

Il poussa un second ricanement. Puis sortant son poignard de sa ceinture, il s’ouvrit sur tout le long de son avant bras. Le sang coula gouttant a chaque doigts de sa main.

Voilà, que le sang coule de nouveau, ici. Voilà, ce que doit être la cours. Un lieu de folie…Luna, je suis ton homme.

Il s’approcha du jeune homme pleurant, et essuya la lame de son coutela sur son dos.

Voit, comme la vue du sang est agréable…Bat toi, défoule toi, et tu verras ce qu’il te manque. Tu trouveras la solution à tous ces démons qui t’envahissent.

Il lui sourit amicalement, et remis son coutela dans sa ceinture.
---fromFRluna.ciredutemps
Luna vit Trez, se lever brutalement et écouta ses paroles, les savourants, s'en délectant.

Oui, Trez, la vie est un cadeau de chaque jour et le sang versé le prix qu'il faut parfois payer...
Oui, soit mon homme ... Enfin l'un de mes hommes... Et que les cendres dissiminées nous servent de terreau...
Mais viens, il est l'heure d'autre frasques... J'entend au loin, la voix de la religion qui s'élève... Viens, ne dis rien et laisses moi faire... Une farce, un jeu, un cadeau aux habitants d'ici...


Riant d'avance de la bétise qui prend forme dans sa tête, Luna attrape Trez par la main et l'entraine vers la sortie.

Et si certains par ici, ne sont pas trop noyé par leurs larmes ou la noirceurs de leurs regrets, qu'ils viennent assister au pestacle... Il est gratuit !
---fromFREleonore07
Aux bruits que faisait Luna, Eléonore se redressa et tourna la tête vers elle... souriant, écoutant ses paroles tellement lourdes de sens... Elle était tout à fait d'accord... Elle-même à la Cours était venu chercher cette ambiance qui avait dépérit depuis longtemps... alors elle s'était repliée sur elle-même, attendant on ne sait quoi... ayant longtemps cherché de quoi trahir le monde qui l'entoure, de quoi démontrer qu'elle n'était pas la petite Eléonore gentille que tout le monde voulait qu'elle soit...

Voilà pourquoi elle était venue à la Cours, sa réputation lui avait plu... elle aurait voulu venir faire la fête ici, voir le sang couler, son sang couler dans la trahison, dans la débauche, partager sa folie avec celle des autres... c'est ce qu'elle voulait... mais en arrivant elle n'avait pas trouvé ce qu'elle était venu cherché, jusqu'à ce que ces deux personnes aient ranimés la flamme de la Cours...

Ainsi dans ses réflexions elle souriait, se disant que la Cours se devait de retrouver son rôle où les spectacles, la danse, le sang et l'horreur se devaient de retrouver leurs places premières...

Ainsi elle se tourna à nouveau vers le jeune homme assit à côté d'elle, en sale état mais lui aussi devait réagir... pour ne pas rester ainsi dans la mélancolie et le chagrin... ça ne l'avancerait à rien... Alors subitement elle lui pris la main et sautant de son tabouret elle le remit également debout... Oh il vascillerait surement... alors elle le soutiendrait mais il fallait absolument qu'il bouge... rester là ne servirait à rien...


Allé... venez!! Il y a tellement de choses à faire... ils ont raison... et rester là ne vous aidera nullement à oublier... il faut avancer maintenant... venez... il faut rapporter son image à la Cours... pour qu'elle demeure éternelle et ne tombe pas dans l'oubli... Se morfondre sur son sort ne rîme à rien...

Venez dans ce monde de folie... venez faire tout ce que vous n'avez jamais osé faire... et tant pis pour le prix à payer... nous sommes à la Cours... ET NOUS SOMMES TOUS FOUS!!!


Elle rit alors et tenant la main du jeune homme l'entraîne avec elle... essaye de le remuer, de le réveiller pour qu'il prenne un peu conscience... plongeant sa main dans un seau d'eau glacée, elle la passe sur le visage de Thanas peut-être cela le réveillera-t-il...
---fromFRSharlnak
Sharl de la rue entendit les bruit à l'intérieur de la taverne et se dit que sa paraissait vivant, qui sait peut-être Thanas serait ici.

Sharl entra dans la taverne restant sur le pas de la porte il entendit les propos puis vit Thanas à côté d'une femme:


hum espérons qui en fasse pas de bêtise.

Sharl souriait et s'avança vers le comptoir et dit:


Et bas Thanas tu es, entre de bonne main j'ai eu tord de m'inquiète en te voyant si déprimé tu sais que tu devrais faire la fête sa passera mieux .

Sharl regarda la damoiselle à côté de Thanas et lui dit:

Jolie damoiselle il est vrai qu'il n'est pas au beau fixe, mais si vous continuez comme ça peut être que vous lui redonnerez le goût de vivre néanmoins ça va être difficile, si vous le bougez de trop il va tomber dans les pommes après le nombre de verres qu'il a vide.

Sharl héla le tavernier jeta un écus et commanda une bière.

Sharl dit à l'autre femme présente:

Vous avez raison mademoiselle je n'ai guerre vu beaucoup de sang ici beaucoup pleure en revanche enfin nous verront bien si cela changera.

Sharl se dit que cette taverne était pas mal ambiance jolie fille, alcool de bonne qualité qui sait, arriverait-il a trouver un peu de joie et de plaisir ici il verrait bien.
Vilissë_morna
Morna entra dans la taverne encapuchonée dans sa cape,elle referma la porte derrière elle,ou;plutôt la claqua un grand coup.La jeune fille retira sa capuche et remit ses cheveux en place,laissant toujours ses mèches devant le côté droit de son visage.Elle sourit et finit par rire,un rire moqueur.Peut être même plus sombre encore.

Ahah nan mais...avez vous déjà vus en ce lieu un curé prècher !? Et bien moi oui quel spectacle dite moi!

La Rose Noire cacha son sourire derrière sa cape,elle ce dirigea vers le comptoir et vit Eléonore,elle lui adressa un simple signe de tête en quise de salutation.Il y avait deux hommes...elle les avait vut devant la batisse de l'Azur...son sourire bien que caché ne fit que grandir en pensant à ce qui avait du ce passer après son départ.Morna demanda un verre d'absinthe.Elle déposa sur le comptoir un écu et prit le verre qu'elle porta à ses douces lèvre.Le doux nectare coula dans sa bouche,dans sa gorge...bien que la boisson soit...hmm étrange pour certain elle,elle trouva cela..bon..mais sans grand plus.La jeune fille prit une place sur le comptoir a s'assayant,le tavernier bien sûr reluquait la demoiselle un sourire pervers sur le visage.Morna l'ignora elle savait bien ce que certain pensés mais elle s'en fiche complètement.Aussi la jeune fille regardait de nouveau les deux hommes.Sourire au lèvre,rire étouffé...La Rose Noire est bien là...non,pas la jeune fille innocente qu'elle est parfois...la Rose Noire simplement..dangereuse car dans ses griffes on ce perd mais jamais on n'en ressort...
---fromFREleonore07
Eléonore sourit au jeune homme qui venait d'entrer... alors qu'elle venait de rassoir Thanas dans un fauteuil, tout de même un peu trop lourd pour ses petits bras... tranquillement elle passait ses mains qu'elle trempait d'abord dans le seau, sur son visage pour le réhanimer quelque peu...

S'il voulait oublier l'alcool n'était pas la bonne solution... bien qu'aidant il ne fallait pas abuser... et certainement pas jusqu'à en tomber dans les pommes... bien que ce soit le style de la Cours


Hé bien... vaut mieux pas le bouger de trop alors... quoique... s'il vomissait un bon coup... ça le remettrait un peu d'aplomb... quelle idée de boire autant... ça aide mais quand même... jvai lui trouver un autre moyen d'oublier...

Voyant Dama Morna elle lui fait un signe de la tête puis reprend ce qu'elle était occupée à faire... Oui elle avait entendu le sermont du curé au dehors... quelle sotise tout de même pour la Cours... quelle honte même... Elle sourit se doutant de la tête que les personnes présentes ont du faire en le voyant arriver avec l'envie de tout régler à la Cours d'une simple parole... Ca la fit même rire...

Dites Morna... s'en est-il sorti indemne ce curé?
---fromFRAnonymous
Kimika était rester assise sur sa chaise, à taper ses doigts sur la table. Mais elle sortie de son ennuie, et écoutas les paroles de la jeune dame qui riait, dansait et disait des paroles sensé… Elle suivait les événement de ses yeux, l’homme qui accompagnais cette femme, prit un couteau et se fit couler sont propre sangs. Sur le visage de Kimika, un sourire apparut enfin elle voyait du sang oui ce liquide rouge qui ce balade dans notre corps. Et quand notre peu est ouverte, ce liquide rouge coule lentement partout…doucement, délicatement oui le sang devait couler a nouveau ! Répandre son odeur…

Un autre homme était rentrer, et était rester au seuil de la porte. Il parlait au deux jeune gens qui était installer au comptoir, et ne prêtant pas garde à ses dires. Mais le mot sang, l’avait sortie de ça penser. Un rire sonore, presque sadique se fit entendre…Ne prêtant pas attention a personne, elle continuait a rigoler…seule comme une folle…
Une autre femme était rentrer, celle-ci aussi se dirigeas vers le comptoir et avait parler d’un curé…Et Eleonore demanda à la nouvelle arrivante si celui-ci était sorti indemne…
Le rire de Kimika était devenu moins sonneur…mais restais coincé dans sa gorge, comme une boule de coton…
---fromFRThanas
Thanas voit la femme avec qui il discutait elle aussi refuser un verre. Elle repart dans ses paroles à propos de fidélités et trahisons. Thanas aimerait bien la croire, mais il n'y arrive plus. Celle qu'il aimait ne se serait donc jamais sentie bien avec lui, pour qu'elle aille voir ailleurs soudainement ? Il n'a de toute façon déjà plus de temps pour méditer là dessus car une femme restée muette jusqu'à présent se mit à haranguer dans la taverne. Thanas l'écoute, ne prenant pas ses paroles au sérieux. Elle a l'air de vanter les mérites des brigands, alors que Cour des Miracles ou pas, lorsqu'on est brigand, on ne le crie pas dans une taverne. Elle enchaîne ensuite sur un tas de questions, à propos de quelle ambiance devrait-il y avoir dans la Cour. Un lieu d'ombre, un lieu de mort, un lieu pour disparaître... Thanas a envie de répondre par oui. Pour lui en tout cas, la Cour représente bien plus ça qu'un lieu de bonheur et de vie. Pourtant le discours de cette femme reprend de l'optimisme. Elle parle alors sur le même ton que prendrait un général à ses troupes après avoir gagné une bataille. Un lieu de danse, un lieu de plaisir, un lieu qui ne serait plus comparable à une tombe. Le tout déclaré dans un certin lyrisme dont même Thanas ne pourrait être indifférent. Pourquoi me morfondre ? pense-t-il alors. Elle me trahit, et alors ? Grand bien lui fasse, je n'ai pas besoin d'elle pour survivre, finit-il par conclure avec toujours plus de trois verres d'eau de vie dans le sang. Néanmoins, ce même liquide qui est en lui l'empêche de se déplacer. Il vient de relever la tête, et sent déjà bien qu'il tombera s'il venait à se lever de son tabouret. L'homme qui voulait offrir à boire se lève alors. Lui aussi entame une espèce de discours glorieux. Il s'entaille l'avant bras avec un couteau. Il semble y prendre du plaisir. Il s'approche de Thanas, il le motive. Une flamme d'un certain fanatisme est arborée dans ses yeux. Thanas passe alors son bras sur son visage. Il veut faire disparaître ses larmes qui n'ont que trop durer. D'une voix peu audible, mais presque hargneuse, il se cracha à lui même, comme pour s'arracher à sa propre tristesse.

Si la vie n'est qu'une souffrance, je ne souffrirai plus jamais malheureux !

Il regarde alors cet homme et cette femme sortir de la taverne, comme s'ils avaient le diable en eux. Puis c'est celle qui lui parlait tantôt, cette femme dont il ne connait même pas le nom, qui agit. Sans même qu'il s'en aperçoive, elle l'a mit sur pied. Il se sent vasciller, mais il tient debout. Heureusement, la femme le tient toujours. Dans un certain effort, il parvient à s'en détacher quelques secondes avant de se rattrapper sur le comptoir. Là, il finit d'une traite son quatrième verre qui gisait là à moitié plein depuis tantôt. Puis il reprend appui sur celle qui vient de le relever. Celle-ci l'entraine avec elle. Elle lui passe de l'eau glacée sur le visage. Thanas reprend alors vraiment conscience du monde qui l'entoure. Il ne peux toujours pas marcher seul sans tomber, mais il veut tout de même bouger, il veut aller voir ce que sont partis faire les deux qui ont réveillé cette salle il y a quelques secondes. Mais il dépends de celle sur qui il se tient, il le sait.
Il voit alors arriver Sharlnak. Thanas lui trouve alors un air blazé, presque prétentieux.
A croire qu'il se prendrait pour mon père, cet imbécil ! pense-t-il. Il n'a pas envie de le voir. Il veut juste aller regarder ce que font les deux de tantôt. Ils avaient parlé d'une voix de la religion, se rapelle-t-il. Il se dit que si un prêtre était dans cette Cour, il serait amusant de le voir piétiné par tous les débauchés qui la peuple. Une flamme malseine apparut dans les yeux de Thanas pour la première fois de sa vie.

Suivons ceux de tantôt ! Je-je veux voir ce qu'ils vont faire ! dit-il alors à la femme lui étant toujours inconnue.

Une autre fille entre dans la taverne. Celle-là, Thanas n'y fait pas attention. Il veut juste entrainer la première avec lui par là-bas

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Mort
---fromFREleonore07
Eléonore sourit alors que Thanas reprend de la contenance... toute contente elle se redresse avec lui le soutenant pour l'emmener là où elle pensait aussi aller... cette même flamme dans les yeux, sourire aux lèvres, se disant qu'un curé aura vite fait de déguerpire d'ici s'il ne veut pas mourir... ou alors elle s'amusera avec les autres de voir son sang couler...

Bras dessus, bras dessous ils sortent donc tous deux de la taverne vascillant légèrement mais assez motivé à aller où ils ont décidé d'aller...


C'est partiii!!! soyons fou... la vie est une défection et bien... elle sera une défection folle!!

Tout en marchant elle lui murmurera à l'oreille: jm'appelle Eléonore...et toi?
Vilissë_morna
Morna écouta Eléonore en sirotant son verre.Le curé ?..ah oui..celui la.La Rose Noire sourit...un sourit malsaint avec une point d'amusement en coin.Elle but une gorgée de son breuvage et regarda la jeune femme en souriant.Qu'avait elle en ce momment celle la? Et bien que vous dire si ce n'est qu'elle à deux facettes.La jeune fille souriait toujours te son sourire ne fit que grandir en posant son regard sur les personne ici présente.

Et bien pour te répondre Eleonore...il est encore vivant d'après ce je sais...du moins quand je suis partit il l'était après je n'en sais pas plus...d'un autre côté il n'avais qu'à pas venir ici...il doit être suicidaire.

La jeune fille sourit mais cette fois ci un sourire plus calme et pas le moin du monde sombre...mais seulement cette fois ci.Après cela elle termina son verre et ressortit aussi rapidement qu'elle était venut.
---fromFRAnonymous
Après sa folie, Kimika remarquas qu’elle se retrouvais seule, a part quelque personne qui se trouvait là. Mais peut être avait elle chercher trop loin…Ce qu’elle voulait, Kimika pouvait sur ment le trouverait-elle pas si loin, un sourire presque infini sur ses lèvres…Elle se levas, et sont chien se redressas aussitôt. D’un pas décidé elle se levas pour aller. On ne sais où, mais oui elle était sur d’avoir chercher trop loin…D’un pas décider, elle se dirigeas vers la porte, suivit de son animal. Kimika refermas la porte et se dirigeas dans la rue avec le même rire à l’intérieur d’elle.
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