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[RP] Taverne le Rat Crevé

---fromFRRobertLeVaillant
Robert encaissa le coup sans sourciller, il souffla profondément … et le fameux rictus revint sur ses lèvres fines.

Oui ma belle, je suis à la Cour Ici, mais en es tu la Reine pour vouloir décider de tout ?

Des brutes épaisses ne sauraient capturer une femme, surtout si une femme telle que celle ci, incapable de gerer ses émotions, se chargeait de la traque !

Après tout ici ou ailleurs il trouverait ce qu’il recherchait. Apparemment il n’était pas le bienvenue et ces gens ne cherchaient pas à comprendre l’aide qu’il pouvait leur apporter.

Qu’importe !

Il se frotta la mâchoire quelques instants en regardant Trez partir.

Finalement, il ferait peut être mieux de le suivre… Un instant il hésita.
pnj
L'importun allait partir. Parfait. Elderlyne ne tenait pas à partager avec un inconnu, ni a faire confiance au premier venu. Elle haussa les épaules. Il faisait mine de s'éloigner, parfait. Elle abaissa sa garde et reprit son siège au côté de Jehan.

- La cour n'a pas de reyne mon gars, on t'a mal renseigné. A ta place, je quitterai les lieux avant de finir avec une dague entre les épaules.

Se désinterressant complètement du jeune imprudent, elle se tourna à nouveau vers Anne Bony.

- La trouver et l'amener à la cour, parfait. J'ai compris.
Si Jehan est d'accord, on va s'occuper de votre colis et passer sur la place centrale.
---fromFRnetra
La pluie avait finit par ce calmer. Le sol détrempé, seul, témoignait de l’averse passagère. L’eau ruisselante sur les toits chutait en de nombreuses cascades dans les rues.

Voila déjà longtemps qu’il arpentait les rues en espérant trouver un refuge adéquat. En vain. Il y avait bien quelques battisses qui puisses être investit mais n’était malheureusement pas un repaire sure.

Des ombres reprenaient place dans les ruelles. Des cris de temps à autre interpeller le silence rythmé par le bruit des sabots sur les pavés. Un chien en quête de nourriture croisa son chemin, la peau sur les os il fouillé de son museau le sol. Il lapa quelques gouttes d’eau dans une flaque et continua sa recherche sans plus se préoccuper du cavalier.

Netra observait les alentour jaugeant du regard les bâtiments, comme le chien il cherchait quelque chose et comme lui il commençait à avoir faim. Gerhardt lui avait donné rendez vous à la taverne, il ne lui restait plus qu’à y aller et voir s’il était déjà arrivé.

Il tourna à l’angle d’une rue, et se retrouva dans une artère un peu animée, où la porte de la Taverne du rat crevé donnait. Il n’aperçut aucun cheval, Gerhardt n’était manifestement pas revenu. Il ne lui rester plus qu’à l’attendre. Arrivée devant la taverne, il descendit de sa monture et s’apprêtait à accrocher les rênes de son cheval afin de pouvoir se désaltérer l’espace d’un instant Lorsque la porte s’ouvrit laissant place à Trez.

Netra qui avait quitté Trez en ce même lieu ne s’attendait pas à le revoir ici. Ses recherches avaient durée un certains temps. Au moins s’il avait à attendre ce ne serait plus seul.

Renonçant a accrocher la bride, qu’il garda en main Netra s’avança vers Trez.


Je viens de faire quelques recherche je n’est rien trouver de très bien. J’espère que Gerhardt aura trouver quelque chose, sinon au aura plus qu’à se loger sous enseigne.

Netra accompagna d’une moue cette fatalité, qui ne l'enchantait que moyennement. Il préférait encore dormir sur les chemins que d’être l’hôte de quelqu’un.
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pnj
Elle avait levé les yeux vers l’inconnu quand il avait pris la parole, il avait à nouveau ce sourire mauvais, Anne commençait à l’apprécier.
Elle en avait à présent fini avec Elderlyne et Jehan, elle se leva.

Très bien, bonne chance à vous, vous en aurez besoin

Elle ramassa alors la bouteille de rhum qu’elle avait poussée vers l’inconnu, Anne plongea un instant ses yeux dans les siens et lui sourit.

Si vous voulez toujours conclure affaire avec moi, vous savez ou me trouver.
Sur ces mots, Anne alla s’installer à une table au fond de la taverne, dissimulée dans l’obscurité, elle se servit un verre de rhum tout en gardant un œil sur l’inconnu…
---fromFRJehan Rictus
Jehan regardait impassible la réaction d'Elderlyne. Elle avait été prompte à menacer l'homme. Qui avait touché sa dague, il est vrai. Geste pas très intelligent dans ce genre d'endroit; tous sont à cran, prêt à sortir leur arme pour tout et, surtout, pour n'importe quoi.

Jehan n'était pas habitué à ce type de comportement. Il avait connu des campements dont tous avaient le même objectif. Cela n'empêchait pas les querelles, surtout après les combats. Après les beuveries d'après combats, serait plus précis. Malgré cela, les tensions ne duraient jamais; le prochain combat faisait que chacun devait compter sur les autres pour espérer s'en sortir vivant.

N'eut été Elderlyne, il serait reparti bien vite de la Cour. Trop de haine larvée entre chaque groupe. Il n'en comprenais pas le sens, pourquoi tant de haine, tous ici étaient plus ou moins similaires: des personnes qu'aucun village n'aurait toléré. La Cour était le refuge de beaucoup, était-ce là l'origine des haines? Jehan ne le savait pas. Il n'en avait cure d'ailleurs. Il allait où ses pieds le menaient. Et c'était bien ainsi, pensait-il.


L'affaire était conclue! Elderlyne et Jehan allait retrouver cette femme, la nommée Ambre. Le nom lui évoqua le parfum de l'ambre gris qu'un jour, dans le sud, il avait découvert des hommes occupé à le récolter sur les plages. Les récoltes étaient maigres et aléatoires. Personne ne savait, le matin, s'il en trouverait.


Ça m'va! On va l'trouver vot'e géline.

Il se tourna vers Elderlyne : En rout', on va allez voi' l'messager. T'as un' idé' de à quoi qu'elle ressemble c'te Ambre? Sans attendre la réponse, déjà il se levait et prenait la direction de la sortie. Deux pas tou' dreut, comptait mentalement Jehan en marchant, cin' pas su' l'gauche, deux vé l'd'oite, èt se't pas pou' onv'ir l'port'.

Rendu dehors, il prit la direction de la Place centrale. Il connaissait ce lieu, il était passé à proximité lors de son arrivée.

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P’têt’ ben qu’un jour gn’aura du bon
Pour l’ Gas qui croit pus à grand’ chose,
Qu’ a ben sommeil, qu’ est ben morose
Et qui bourlingue à l’abandon ;
---fromFRAnonymous
Après avoir erré un moment dans les ruelles de la cour,complétement perdu dans se dédale de ruelle batiste trouva une taverne dont le non voulait tout dire et se décida a entrer dedans pour boire un coup et manger un peu.
Poussant la lourde porte en bois il pénétra dans l'établissement faiblement éclairer par quelque torche.
Plusieurs personne était déjà présente et discuter entre eux.Aucune tête connu ce qui était normal puisqu'il était nouveau à la cour.Il examina attentivement toute les personnes présente avant d'aller au comptoir et dire au tavernier.

Et tavernier sert moi un truc un becter et de ta meilleur pisse de chat .J'ai soif.

Le tavernier habituer à être traiter comme ça ne dit rien et se mit à préparer le repas.
Batiste alla s'installer à une table pas trop loin des gens qui parlait et attendit que le tavernier vienne le servir ce qui se fit rapidement.
Batiste commença alors à manger et à boire chose qu'il n'avait pas fait depuis quelque jour.Il paya le tavernier et repris son repas.
pnj
Elderlyne avait bien noté l'air réprobateur de Jehan et d'Anne_Bonny, mais elle estimait qu'elle n'avait fait que se défendre. Elle choisissait son travail, ses compagnons et décidait avec qui elle partageait ses éventuels bénéfices. Elle estimait qu'elle n'avait fait que réagir à une intrusion non désirée.
A la suite de Jehan, elle sortit de l'auberge en croisant un homme qui y entrait et elle le suivit dans le dédale de ruelles sombres de la cour. Ils avaient à faire.
---fromFRRobertLeVaillant
Il avait entendu les conversations du petit groupe se tenant quelques pas en arrière mais cela ne l'intéressait plus.

Anne confiait une mission à des incompétents, elle se disait dirigeante?? Elle verrait le résultat ! Anne ne voyait même pas les lacunes des deux compères qui sortirent de la taverne. Il souri...

Il scruta l'homme qui entrait puis alla s'assoir à une table proche de celle d'Anne. Il savait qu'elle avait fait fausse route et inconsciemment il voulait l'aider.
---fromFRAnonymous
Batiste finissa son repas et son vin tout en observant les aller retour des couriens dans la taverne.Il se leva ensuite pour aller voir le tavernier et lui murmura quelque mot en lui montrant une petite bourse.Le tavernier le scruta avant de lui faire un signe de téte.Batiste lui donna un sac ainsi que la bourse.Le tavernier prit le sac et monta à l'étae avant de redecendre pour s'ocuper de son commerce.

Batiste satisfait d'avoir pu trouver une chambre pour la semaine à bon prix prit une derniére biére qu'il bu cul sec avant de quiter l'auberge.
pnj
Anne avait vu Elderlyne et Jehan quitter la taverne, elle espérait qu’Azmaar serait à l’heure tout reposait sur lui à présent… Anne resta quelques minutes à réfléchir, elle ne savait pas s’ils parviendraient à la ramener, à vrai dire, elle en doutait, la retrouver tiendrais déjà du miracle…
Sortant soudain de sa rêverie Anne remarqua que l’inconnu n’avait pas quitté la taverne, mais était venu s’assoire à une table proche. Anne le considéra un instant et sourit.

Ma table est-elle trop sombre pour vous ?

Toujours souriante, elle empoigna sa bouteille de Rhum, se leva et s’approcha de la table de l’inconnu.

Vous permettez ? demanda t-elle en montrant la chaise. Cependant elle n’attendit pas sa réponse et s’assit, elle plongea alors ses yeux dans les siens et attendit
---fromFRRobertLeVaillant
Il se leva quand il la vit s'approcher.

Vous avez un regard merveilleux et un adorable prénom ! lui lança il en souriant.
Non Ma Belle, votre table n'est pas trop sombre pour moi, mais au moins ici je peux admirer la flamme vengeresse qui brille dans votre regard !


Alors ! Dites moi tout ! Je serai ravi de vous proposer mon aide.
pnj
Anne avait sourit, du moins elle continuait de sourire d’un sourire plus franc. Elle se servit un verre de Rhum, combien en avait-elle déjà bu ? Elle l’ignorait, quelle importance. Elle but quelques gorgées et plongea à nouveau son regard dans celui de l’inconnu assis en face d’elle. Au bout d’une minute elle posa son verre sur la table soutenant toujours son regard.

Qui êtes-vous donc ?Demanda t-elle avec un sourire. J’ai l’étrange impression de voir avoir déjà rencontré… de plus vos manières sont nobles et votre audace démesurée… je doute que vous soyez un habitué de la Cour… vous devriez être un peu plus méfiant. Anne reprit son verre dans ses mains bu quelques gorgées et le reposa.

Vous pensez qu’ils vont échouer… je pense qu’a deux ils ont plus de chance d’y parvenir que vous seul… Je connais cette femme, je sais de quoi elle est capable, et je doute également de leurs chances de réussite…Anne soupira. Regarda sa bouteille de Rhum puis l’inconnu

Vous n’en voulez pas ? Elle poussa la bouteille à moitié vide vers lui pour qu’il se serve.
Je dois me rendre à la place centrale, j’ai quelqu’un à voir, voulez vous m’accompagner ?
A moins que vous ailliez une autre idée ?
Anne plongea à nouveau son regard sombre dans les yeux de l’inconnu.
---fromFRRobertLeVaillant
Robert accepta la bouteille. Un p'tit rhum allait lui réchauffer l'estomac ! Il se servit en silence puis leva son verre.

A votre santé ma belle !

Oui Anne, moi aussi j'ai la vague impression de déjà vous connaitre. Mais j'ai beau chercher dans mes souvenirs, je ne trouve pas. Maintenant en ce qui me concerne vous posez beaucoup de questions mais cela est compréhensible. Vous apprendrez à me connaitre bien assez tôt, prennons notre temps !

Il avala une lente gorgée puis reprit, cette fois ci son sourire avait quitté son visage et il planta son regard dans celui de la jeune femme.

Ne soyez pas non plus surprise par mes manières un peu nobles, je n'en suis plus un et cela depuis bien longtemps, tout cela ne fait parti que du passé !

Je ne vous connais pas non plus d'ailleurs mais la grande force interieure qui fait briller vos yeux ne me laisse pas indifférent.

Nous apprendrons à nous connaitre et reste persuadé que nous ferons un petit bout de voyage ensemble. Il lui fit un clin d'oeil tout en lui resservant à boire.

Finissons nos verres et je vous accompagne à la place centrale.
pnj
Anne ignorait si le sourire qui s’affichait sur ses lèvres était venu là naturellement ou s’il était la conséquence des verres de Rhum qu’elle avait bu depuis un moment… Malgré cela elle but, d’une traite le verre que venais de lui servir l’inconnu…

J’ignore toujours votre nom… lui dit-elle en reposant son verre sur la table. Anne jeta un œil à la fenêtre, il était tard, il ne fallait pas qu’elle tarde, elle se leva… son sourire avait disparut

Allons-y

Elle récupéra sa cape, qu’elle jeta sur ses épaules. Il semblait faire froid dehors. Anne se retourna un instant pour regarder l’inconnu puis ramena sa capuche sur sa tête. Elle sortit une de ses dagues qu’elle garda dans sa main et se dirigea vers la sortie. Elle se dirigeait vers la place centrale…
---fromFRAnonymous
Mirade avait bien entendu des choses sur la Cour des Miracles… Oui qui n’a pas entendu parler de la Cour ? Mirade était à la recherche d’une chose qui était elle réellement ? Une femme qui devra vivre, aider les autres… Bref à force au comprend que bien des personnes, se mette tout seule dans le malheur. Alors à quoi bon se casser la tête ? Vaut mieux les laisser !

La jeune femme semblait perdu dans ces rues qui sentait un mélange d’alcool, de poussières, et parfois même il y avait des traces de sangs. Quelques passants semblaient regarder Mirade de haut en bas… Oui elle n’avait pas le profile de quelqu’un qui traînerait dans des lieux pareil, jeune femme fluette, gracile, qui semble fragile et les mains vident…
Ses petits yeux vert regardait les ruelles, les gravaient dans sa tête, pour ne pas se perdre ! Oui ça serait fâcheux…


Mais elle se doutait que la Cour serait grande, alors se perdre ne serait que facile ! Au bout d’une ruelle qui ressemblait aux autres…Les ordures y régnait, les mouches avec et les rats sans doute… Tient en parlant de rat, Mirade tomba nez à nez avec un écriteau Taverne du Rat Crevé… La taverne ressemblait à une vieille masure, les vitres était pleine de crasse, un reflet jaunâtre…De la lumière pensa Mirade…
Alors elle poussa la porte, la pièce était comment dire…pas d’une propreté hallucinante , mais Mirade découvrait de nouvelle chose…peut être était ce un mal ? ou un bien ?
Il semblait encore y avoir des soûlard qui ne voulait pas se résigner de laisser leurs place, la jeune femme se dirigea vers le comptoir et elle s’asseya sur un des tabourets qu’il y avait, d’une voie furtif elle demanda :


Tavernier…de l’hydromel si…

Mirade arrêta de parler, la politesse n’était sans doute pas employée ici, alors elle ne dit plus rien et se contenta de baisser les yeux.
Le tavernier la regarda un moment et lui donna sa choppe d’hydromel, bien que la choppe n’était pas d’une propreté, le liquide qu’il y avait dedans semblait bon. D’une mains abîmée par le travail de la mine, elle prit la choppe et la but cul sec. Oui c’était bien le goût de l’hydromel…
Mirade demanda une autre choppe et la but aussi cul sec. Et ensuite elle resta assise sur la place qu’elle c’était choisis.
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