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[RP] Taverne le Rat Crevé

---fromFRAnonymous
Mirade n’entendit pas l’homme arrivé, mais elle entendit un Boom, alors elle tourna le visage et regarda l’homme à terre, enfin il avait l’aire de bien avoir prit une dose d’alcool…Elle se demandait si il allait se relever et engendré une bagarre. Mirade écouta l’homme parler, mais elle ne se sentit pas viser, car c’était bien la première qu’elle venait ici…
La jeune femme dévisagea l’homme qui venait de parler.
Il n’a pas l’aire très commode pensa-t-elle.
Mirade regarda ensuite l’action de l’homme il cracha dans la choppe, la vida sur l’homme à terre et lui donna un coup de pied dans l’abdomen. Elle décida donc de se lever, la jeune femme se dirigea vers l’homme, heureusement pour elle n’avait but que deux choppes d’hydromel…
Elle se mit devant l’homme qui était à terre pour faire en sorte que celui-si soit au milieu. Bien sûre Mirade avait peur, dans son ventre il y avait un nœud de peur…et ses mains tremblait légèrement et elle rétorqua à l’homme qui venait juste de parler :


Et il devra profiter de quelle spectacle ?

Sa voie était bien entendu fébrile, elle avait réussit à placer des mots, mais elle ne savait pas la suite des événements… Et cela pouvait aussi bien mal tourné.
---fromFRBalmung du Ciel Azur
[Mod Modo On]

Poste de Morgail supprimé a sa demande... Continuez et bon rp...

Balmung du Ciel Azur.

[Mod Modo Off]

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pnj
Loo entra dans la taverne. Le vent s'engouffra avec elle et elle quitta précipitemment l'entrée pour s'installer à une chaise miteuse. Elle ôta sa capuche, secoua ses cheveux et s'étira avant de regarder autour d'elle. Elle soupira, se dirigea vers le comptoir et s'assit. Elle prit une choppe à l'aspect plus que douteux. Elle soupira. La vie était bien difficile à la Cour pour les amateurs de chouchen. Elle porta la choppe à ses lèvres et grimaça en la reposant sur le comptoir. Oui, très difficile...
Elle jeta un regard circulaire sur la pièce. Personne. Elle haussa les épaules. Elle avait le temps...
---fromFRAnonymous
Tedeso entra dans la taverne apres avoir vendu la bague et déposé ses écus en lieu sur.Il avait apporté un mince bourse pour se rafraichir mais devait faire tres attention,vu qu'au moment où il entrait les regard se posèrent directement sur sa bourse.
Le coude toujuors en sang,il s'approcha du comptoir et dit


Quelque chose de frais,que dis'je,de gelé!
pnj
Loo eut un sourire moqueur en entendant l'homme du mur entrer et parler au tavernier, et continua de fixer le comptoir, le visage planqué derrière sa capuche.

" L'hiver ne vous suffit pas ? Il fait pourtant bien assez froid pour ne pas en rajouter. "

Elle porta la choppe à ses lèvres et but non sans réprimer une seconde grimace. Décidément, elle s'habituait beaucoup trop aux bonnes choses... Elle n'aurait pas voulu devenir trop raffinée...
---fromFRAnonymous
Tedeso écouta la remarque ironique de la femme de toute a l'heure.

voyez vous,ce n'est pas pour moi,comme vous vous en êtes peut etre douté,je me suis un peu fait mal au coude tout a l'heure


Il versa le contenu de la chope sur son coude et grimaca,au moins cela allait atténuer la douleur.Il lanca un regard moqueur a la femme et s'installa devant le comptoir
pnj
Loo tourna la tête et porta ses yeux verts sur le coude l'homme avant de remonter jusqu'à croiser son propre regard.

" Si cette piquette vous guérit de quoique ce soit, fit-elle le plus sérieusement du monde avec une lueur toute aussi moqueuse dans les yeux, je veux bien entrer dans les ordres. "

Elle leva légèrement les sourcils et sourit avant de porter son regard sur sa propre choppine. Elle tourna la vinasse avec son index droit pendant un moment puis fit gicler quelques gouttes d'une pichenette et posa le menton sur sa main droite dans un soupir et une moue ennuyée.
---fromFRAnonymous
Tedeso rétorqua

au moins cela me fera passer la douleur cher madame.
Vous avez l'air de vous enneuyer,que diriez vous de me faire visiter la cour


dit il plus aimablement.En même temps,il prit soin de bien l'examiner.Qui sait,elle pouvait cacher une dague.Ses jolis yeux verts montraient un iar innocent mais pouvait cacher quelque chose de moins...beau.Il fallait que tedeso s'en souvienne,ici il était a la cour des miracle et donc faire attention si l'on tenait a sa vie
pnj
Elle leva vers lui un regard taquin.

" N'en soyez pas certain mon cher, fit-elle en repoussant sa choppe, ce que vous venez de verser contient un concentré des diverses immondices que vous pourrez trouver... "

Pour preuve, elle s'avança et allongea le bras au-dessus de l'épaule de l'homme. Il sentait la vinasse mélangée à la sueur et à un relent de vieux parfum qu'on oublie au creux du cou.
Elle sourit et se recula, le poing fermé, le regard fixe. Elle ouvrit la main et laissa apparaître une araignée qui s'empressa de monter le long de son bras. Elle la suivit du regard.


" Et encore, cette charmante demoiselle n'est pas la pire des vermines que vous trouverez ici. "

Elle releva les yeux vers lui. A sa question, elle vit qu'elle ne s'était pas trompée. Un nouveau.

" M'auriez-vous prise pour une agence de voyage monsieur ?, fit-elle sur un ton espiègle en ôtant sa capuche, la Cour ne se visite pas, elle se vit. "

Très fière de sa phrase, elle émit un léger sourire. L'homme la scrutait. Méfiant. Normal. Et puis, elle avait le temps...
---fromFRAnonymous
Tedeso regarda Lootchak.Un regard méprisant,mais bon au fond,dénué de méchanceté

Eh bien,au moins cela a atterris sur mon bras et non sdans mon gosier.De plus,on dit que les insectes ont des propriétés bénéfique.

non,je ne vous considère pas comme une agence de voyage,mais une personne en qui j'ai l'impression,et je peux me tromper,je ne vous connait pas,mais je ne crois pas que vous allez me poignarder dans le dos,et donc j'aurai pu croire que vous aurez pu m'aider a y "vivre comme vous avez l'air de si bien le dire.Mais si je me trompe,ce n'est pas grave, je ferais mes premiers pas seul...


Il enleva ce qui ressemblait a un mille patte de son bras et le jetta par terre pour l'écraser avec férocité.Décidément,il aurait du mal a faire ses premiers pas en ces lieux si bondés.Il avait comprit qu'ici il ne fallait faire confiance qu'asoi même
pnj
Loo eut un sourire étrange.

" Seul? Mais vous êtes entouré d'amis ici mon cher ! "

Sur ces mots, elle se hissa sur le comptoir et s'assit en balançant les pieds.

" Il est si simple de devenir un mille patte sous une chaussure de nos jours... "

Avec rapidité, elle allongea le bras jusqu'à l'étui de sa botte, saisit l'homme du mur par les cheveux et glissa la lame de son poignard sous son cou. Elle était à présent allongée le ventre sur le comptoir, les pieds en l'air, tenant d'une main ferme la tête de l'homme et l'autre était agrippée à son arme. Elle eut un sourire et prit le temps d'observer son visage, puis avança son visage en lui frôlant la joue.

" Vous avez raison, souffla-t-elle à l'oreille de l'homme au mur, vous ne me connaissez pas. Ne prenez personne pour un enfant de choeur mon petit monsieur, ça pourrait vous causer des problèmes. "

Elle eut un rire silencieux et releva le menton de l'homme avec sa lame.

" Remarquez, vous avez de la chance ; je ne supporte pas l'ennui et je saisis chaque occasion pour m'amuser. "

Elle releva la tête et parla plus distinctement.

" Alors mon bon monsieur, que comptez-vous faire maintenant? ", lança-t-elle d'un ton espiègle
---fromFRAnonymous
La situation était pittoresue,il se retrouvait maitrisé par un femme.
Il regarda ses solution.Son coude en sang était a l'opposé de la femme parfait,il avait trouvé


Vous me sous estimez.Je ne serai pas entrée dans la cour si j'étais un homme dépourvu de maitrise de combat,alors regardez comment je vais m'en sortir


Il lui donna un voilent coup de coude dans le ventre,la faisant tomber du comptoir.le couteau rapa sa peau,mais ne fit pas de blessure garve.Il se leva et profita de sa surprise pour lui envoyer un puissant coup de pied sur la main qui tenait le poignard,qui valdingua.Il sortit son propre poignard et le pointa sur la femme

Alors on fait quoi,on continue jusqu'a que l'un de nous meurt ou vous me laissez tranquille?Je ne sais pas pour vous,mais je n'ai pas envie de voir mon cadavre jeté dans les égouts.
pnj
Loo soupira en levant les yeux au ciel. Le quidam n'avait pas l'ombre d'un poil de sens de l'humour... C'était bien sa veine.
Elle fit quelques moulinets avec sa main droite qui avait reçu le coup de pied du rustre bonhomme.


" Permettez, fit-elle en se mettant à genoux, repoussant légèrement la lame avec son index et fixant l'homme d'un regard hautain, le fait que vous soyez entouré de vermine ne vous autorise en aucun cas à ignorer la galanterie. "

Elle éclata de rire à la remarque de l'homme.

" Je vous en prie mon sieur, qui vous parle de cadavre?Nous nous connaissons à peine... "

Elle se leva doucement et s'approchait, la main sur la lame du poignard. Elle sourit et se retrouva bientôt juste devant l'homme, la main posée sur le plat de la lame, l'autre face de l'arme elle-même sur le torse du nouveau. Elle le fixa de ses yeux espiègles.

" Et puis, entre nous..., murmura-t-elle, voilà bien longtemps que les égouts ne sont plus de rigueur par ici. "
---fromFRAnonymous
Il aurait éclaté de rire en d'autre circonstance.Cette femme faisait comme si rien ne s'étiat passé,quel culot,mais il appréciait son courage.
Elle lui parlait de galanterie alors qu'elle avait failli l'occir.Vraiment,quels talents d'oratrice.Heureusement pour Tedeso,il avait souvent déjouer les tentative de manipulation,ces ames qui tentent de l'amadouer pour mieux le poignarder dans le dos.
Il regarda Lootchak


Alors simplement parce que vous êtes une femme,vous avez le droit de me tuer sans que je résiste?Pitoyable,c'est pitoyable.
Je ne vous veux aucune mal,mais sachez que cela ne m'epêchera pas de planter ce poignard que vous tenter d'éloigner de vous dans votre corps.
---fromFRMorag Black Douglas
Ils avaient suivi les rats. Enfin, certains rats. Il en grouillait partout! Les suivre tous les auraient perdus dans le quartier ... Des miracles, elle en voyait tout autour d'elle! Des éclopés qui passé le tournant d'une rue se mettaient à courir, des manchots qui se grattaient soudain furieusement l'entrejambe des deux mains..
Elle cheminait, serrée contre Sualtam, ne faisant plus vraiment attention où elle posait les pieds. Des éclats de voix sortaient d'un établissement on ne peut plus louche, et si mal famé qu'elle en eut les larmes aux yeux. Ils étaient tombés bien bas! Cachant son visage dans le tartan de Sualtam, elle étouffa un gémissement. Puis elle pointa l'enseigne rouillée du doigt.

Ici, il y a des chambres!
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