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[RP] Taverne le Rat Crevé

Vilissë_morna
A croire qu'on peut tout avoir avec de l'argent Ayumi en rajoute une nouvelle couche et propose d'allonger le prix si elle change ses habitudes... Elle ne doit pas être une simple demoiselle égarée pour proposer ainsi de l'argent à une Courienne inconnue...Sombre n'est pas une enfant de coeur, mais il est vrai que pour de l'argent elle peut se montrer très serviable, mais il ne faut pas exagérer non plus, elle ne va pas faire tout d'un claquement de doigts! De plus il s'agit de chevalier à en croire les dires d'Ayumi...Qu'est ce qu'elle veut à la fin ? Si elle veut quelque chose de précis venant d'elle qu'elle crache le morceau! Elle n'est pas patiente quant il s'agit des affaires. Aussi elle reprit tout en fixant le liquide à la couleur plus que douteuse qui se trouvait dans la chope.

Mouais, j'peux faire beaucoup pour de l'argent...Mais des chevaliers ce sont pas des proies faciles, surtout qu'ils doivent pas être venus les poches vides et sans protection...

Sombre finit par hausser les épaules, une histoire insignifiante, qu'est ce qu'elle en a à faire des deux messieurs venant chercher la misères en la Cour ? Rien, strictement rien, peut être demain leurs corps passeront dans la Seine...La Seine est pareil au Stix, elle emporte les cadavres et permet de nettoyer un peu les lieux des détritus et de la vermines qui y pullulent. Morna porta finalement la chope à ses lèvres et avala une gorgée de cette boisson puante. La porte de la taverne s'ouvrit à nouveau laissant un jeune homme entrer, tiens, le revoilà celui la, ça faisait un baille qu'elle l'avait pas vu lui.

Il vint à la tablée en passant sa main dans le dos de la jeune fille. Toujours aussi charmant celui la...Morna l'écouta cracher ses imbécillités en silence. L'histoire de la pièce gagné honnêtement la fit sourire, elle n'a rien demandé, son simple regard parlé pour elle. Ah ce cher Celan, toujours en train de parler, il parle trop d'ailleurs, un jour il laissera sa langue encore palpitante sur le sol de la Cour. Il débitait des phrases avec vitesse, reprenant son souffle par moment et tout cela sans la moindre crainte qu'on l'entende. C'était vraiment un cas à part celui la quant on y pense. D'ailleurs sa visite était bénéfique pour les affaires, il venait de confirmer les ragots de la Cour et les paroles d'Ayumie par la même occasion. Sombre finit par taper un bon coup dans le dos de Celan, affectivement bien sûr...et peut être par plaisir aussi.

Ah Celan, Celan, Celan...toujours en train de l'ouvrir hein ? Tu peux pas la boucler des fois ? Pas que tes histoires m'ennuis, bien au contraire, mais bon, un peu de discrétion que Diable! SI j'te trouve en train d'agoniser un beau matin la langue quelques mètres plus loin j'me poserai pas d'questions...eheheh. J'suis contente de t'revoir tiens! Toujours là quant il faut, merci pour ton histoire sur la Place... D'après s'que j'vois j'suis l'une des seuls à pas les avoir remarqués...toujours à la traîne eheheh.

Sombre finit par regarder Ayumi, un rictus aux lèvres...Cette histoire peu tourner à leur avantage s'ils jouent bien leurs cartes, et s'ils frappent les premiers, même si d'après Celan ils viennent par ici. Ce serait parfait si nos amis venaient ici, avec une Courienne de plus, l'une des chiennes de la Cour, enfin que dis-je...Juste la folle qui marche comme un chien. Hum...Par contre Celan l'intrigua quant il parla de l'Hesten et de la Raclure... Des connaissances à lui ? Apparemment, ça serait utile ça tiens...Mais pour l'heure il faut s'occuper de cette histoire étrange, des chevaliers doivent pas être là par pur hasard. Il faudrait faire plus ample connaissance...Après seulement on pourrait juger de se que l'on fait ou se que l'on ne fait pas. Or de question de prendre une raclé par deux suicidaires venus chercher une nouvelle maison dans les bas fond de Paris...

Dis moi Celan...j'pense que tu vas pouvoir m'aider, tu vas rester avec nous tout d'abors et ensuite tu me feras le plaisir de la fermer si les chevaliers viennent par ici, capiche ? Sinon je t'arrache la langue de mes propres mains et je donne en pâture aux rats...J'espère être clair ?...

Ayumi, j'pense que j'peux t'aider à t'occuper de tes amis qui se baladent dans les rues sombres...Mais à deux toutes petites conditions...Premièrement je veux être payé, ça on pourra s'arranger pour le mode et paiement et la somme...Secondement j'veux m'occuper du second chevalier, toi c'est le Maître que tu veux, laisse moi son larbin...
Ayumi
Ayumi regarda durement le nouvel arrrivant dénommé Celan d'après les dires de Morna l'évaluant du regard, elle se dit qu'il pourrait peut être servir...puis l'ignorant elle se tourna vers la jeune fille qui lui parlait...

Ayumi aurait dût s'en douter si elle était capable de faire beaucoup de chose pour de l'argent il ne fallait pas miser que dessus, lorsque celle-ci parla de Diego elle l'a regarda surprise mais se reprit rapidement et elle lâcha amèrement


Le paiement c'est le second qui l'a...qu'est-ce que tu veux faire de lui?

Elle l'a regarda s'attendant au pire et prête à réagir si nécessaire
---fromFRCelan
Celan regarda Morna d'un regard amusé. Il reçut les mots durs et la tappe sur le dos sans un mot. Leur relation était comme ça, il n'y avait rien d'étrange dans le comportement de l'Ombre, rien d'anormal.
Il écouta patiament, en buvant de sa bibe, les dires des deux jeunes filles, tout en se disant que Morna était comme toujours dans ses affaires.
Aux mots de la dite Ayumi, il sourit et d'étira de son large corps pour l'approcher par desus la table.


Ce qu'elle veut du deuxième? Voyons... d'abord: sa bourse, ensuite son sang.

Avec un lèger rictus, il se reacomoda sur sa chaise et regarda encore une fois Morna. Il joua quelques secondes avec une mèche des cheveux de la fille avant d'approcher sa bouche de son oreil.

C'est moi qui parle alors que tu devoiles mon nom partout? ah la la...

Il sourit et se remit normalement, a contempler la jeune inconnue sa biere aux lèvres.
Il revint a sa conversation avec Morna.


Dit, c'est l'Azur qui t'a appris l'Italien? hehe... pas terrible la prononsiation.

Avec un grand sourire, il fit vite de changer de sujet pour eviter un coup bas... sous la table peut-ètre?

Quand a si j'ai capiche, oui, ho capito, je reste avec la belle Morna et je me la boucle...
Mais fait toi pas des fausses ilusions, je doute vraiment que tu me trouves tué avec la langue coupée...
Si j'ai des raisons de mourir, ma langue est la dernière, tu sais bien que je sais être discret... J'ai une bonne prof après tout.


Avec un clin d'oeil il posa malicieusement sa main sur l'hanche de Morna sous la table, son expresion n'ayant pas changé, impossible pour Ayumi d'imaginer qu'il embetait la jeune Sombre.
Il regarda d'aileurs l'étrangère.


Et bien, puisque je doit rester avec vous et que je suis de très grande utilité aparament, mon nom est Celan, tite Ayumi.
Et... je tiens aussi a être payé.


Il porta sa choppe a la bouche.
Ayumi
Ayumi avait le visage qui se fermait de plus en plus, elle n'aimait pas Celan il mettait son jeu avec Morna en l'air, a goutte qui fit déborder le vase se fut quand il dit qu'il voulait être payé, elle planta alors un de ses dagues sur la table les yeux jettant des éclairs

Ecoutes-moi bien petit rat je traites avec Morna alors attends ton tour bien gentillement compris?

Enelevant la dague d'un coup sec, elle se tourna de nouveau vers Morna enfin calmée mais l'air impassible

Tu voles sa bourse si tu veux, tu prends tout son argent, mais tu lui laisses la vie...c'est mon fiançé et je tiens à le garder encore un peu.

Se calant sur le dossier de sa chaise elle déclara

Son maitre veut l'entrainer dans les bas-fonds...je lui en donnes l'occasion mais je veux aussi me venger de m'avoir enlever mon fiançé et d'avoir créer autant de problèmes
Vilissë_morna
Le second détiendrait sois disant la monnaie...Intéressant tiens, comment cela ce fait il ? Bah, d'un autre côté elle ferait d'une pierre deux coups...Mais le petit détail de stupéfaction sur le visage d'Ayumi n'était pas passé outre, elle l'avait bien remarqué, et puis d'abord, pourquoi ce qu'elle veut en faire l'intéresse t'elle ? De toute manière elle ne va pas lui cacher ce qu'elle veut faire, au moins elle verra bien la réaction de celle-ci suite à ça...Avec un peu de chance celle-ci va se trahir dans ses gestes ou autres laissant son vrai visage à découvert, ou alors elle restera neutre et là on pourra continuer à parler affaire tranquillement...La jeune fille avala une nouvelle gorgée de sa boisson puis fixa son interlocutrice avec un sourire narquois.

Se que je souhaite en faire ne te regarde normalement pas...mais comme tu semble prête à mettre le prix je peux te dire ce que je compte faire... Tu vois il y a un vendeur d'esclaves à la Cour, et un chevalier, même de bas niveau peu se vendre un bon prix...Alors si j'arrive à mettre la main sur le larbin il ne me restera plus qu'à trouver notre ami marchand...eheheh...De toute manière tu l'as dis toi même, l'autre ne t'intéresse pas, tu veux le Maître toi...moi le larbin, c'est donc parfait. Sauf si tu me caches des choses, et si c'est le cas il vaudrait mieux que tu me dévoiles ça maintenant...C'est dans ton intérêt bien sûr, moi je sais déjà ce que je compte faire...

Sombre détourna le regarde d'Ayumi est termina sa chope, vraiment répugnant, mais pourtant elle en reprendrait bien une seconde. D'un autre côté finir ivre ne serait pas du luxe pour la suite de sa conversation avec la demoiselle aux poches d'or...Celan n'avait put s'empêcher de l'ouvrir...Si elle voulait la bourse et le sang de l'autre ? Non pas le sang, la bourse par contre oui. La jeune femme écouta Celan s'amuser à jouer avec ses nerfs...Quel mariol celui la...Il parla de l'Azur et de l'italien, encore moqueur, un peu trop d'ailleurs. Morna donna un coup de poing sur la cuisse du jeune homme puis regarde Ayumi. Celle ci venait de répondre d'une façon plutôt nerveuse à Celan, chose qui lui déplait fortement. Ayumi planta une dague dans la table, amusant...Sombre finit par rire, un rire fourbe.

Tatata...Ayumi ce petit rat comme tu dis est un bon ami, aussi si tu ne veux pas repartir avec une main en moins je te conseille de la boucler à ton tour..

Morna croisa les mains et posa les coudes sur la table avec un grand sourire. Elle est donc la fiancée de la proie qu'elle vise...Mais voilà qui est parfait! Rien de plus simple pour attirer un chevalier dans ses filés, il suffit d'avoir l'appât adéquate...Et voilà que comme par hasard cette fleur sauvage ce trouve être la femme du chevalier... Un coup de Maître à faire là...Tout d'abord rester en confiance avec la demoiselle en question, après quoi, un petit changement devra ce faire...Mais pour le moment il faut rester dans la confidence et continuer à être calme même si Celan commence à la chauffer sérieusement...

Par contre si le larbin et ton fiancé alors là je suis plus qu'intéressée par ton offre ma chère...Le Maître ne m'intéresse pas de toute manière. Ils voulaient rencontrer les Couriens, non ? Ils vont être au premier rang...Et toi aussi ma jolie...

Sombre donna un coup de pied dans la chaise de Celan et lui fit un mouvement de tête en direction de leur hôte...Ceci n'est que le début, il fait d'abord qu'elle mette au point deux ou trois choses avec son complice. Emmener Ayumie dans un lieu plus bas ne sera pas difficile...Histoire que les deux chevaliers ne la trouvent pas entre temps. Il serait dommage qu'on la trouve avant la fin des opérations...Un rictus apparut sur le visage de la Sombre. Cette histoire devient véritablement intéressante. Echaffauder un plan et vite...

Que dirais tu de te faire passer pour disparue à la Cour ? Ton preux chevalier et son Maître finiront bien par ce montrer...Je fais courir une rumeur, ils viennent à ton secour...tu joue avec le Maître du larbin et pendant ce temps je me charge de l'occuper pour qu'il n'intervienne pl...pas...Mais tu peux refuser mon offre bien sûr...

Celan...tu nous aideras bien entendu...si tu vois ce que je veux dire mon chou...


Sombre lui lança un regard complice et passa le dos de sa main sur la joue de celui-ci avant de le giffler. Petite giffle... Elle lui murmura que c'était pour ses moqueries sans fin, et pour son plaisir personnelle...La toile se tisse, bientôt le piège sera en place, et les proies ne tarderont plus...bientôt, très bientôt...eheheh
Ayumi
Ayumi croisa les bras et regarda Morna, un sourire mérpisant sur le visage

Ok pour jouer les disparues mais que ce soit clair vous amenez les deux...tu prends l'argent du "larbin" après amuses-toi un peu si tu veux mais rends-le moi par la suite! Le maitre je m'en occupe...

Elle se tourna vers celan qui venait de prendre une petite gifle

Et toi tu es bon en combat au moins?
---fromFRCelan
Soudain voila que l'inconnue lui sortait une dague et le traité de Rat. Il s'était apreté a sauter sur elle, dague a la main et a lui faire couler le sang du cou, mais Morna était plus rapide avec sa langue, d'un geste imposant il le fit se re-assoire tranquilement et reprendre un visage neutre. Avec, cepedant un sourire au coin. Son ami? Mais voyons, ils étaient déjà allé plus loin... et a deux ou trois reprises...
Avec le coup donné sur sa cuise, Celan n'avait pu qu'enlever sa propre main de l'hanche de Morna, sursautant par la suprise mais sans bouger un doigt sur la table. Un petit jeu joué a l'insu de l'étrangère.

Finalement Ayumi avoua ce qui la tracassait tant... on comprenait mieux d'ou elle s'était fachée contre lui... Elle était la fiançée d'un labrin qui comme un chien suivait un chevaleriet, et elle voulait venir demander de l'aide au Couriens même pour lui rendre son fiançé... quelle belle histoire a l'eau de rose...

Un rire silencieux, un gloussement se fit a peine audible du coté de Celan, vite caché par les mots de son amie qui déjà avait le début d'un plan dans la tête. Ecoutant le discours de celle-ci, Celan compris plus que l'avait sans doute fait Ayumi. Bien sur, Celan connaissait bien Morna.
L'idée lui plu. L'idée était magnifique et déjà dans son esprit elle prenait des dimensions importantes. Vivement le temps ou lui et Morna se trouveraient seuls pour en discuter...

Pour l'instant, il fallait se la boucler et continuer a jouer l'idiot comme l'avait présenté Morna. A présent il comprenait pourquoi tant de mépris ce soir, autour de cette tablée. Dès le début, sans doute, Morna s'était faite des idées concernant l'étrangère, dès le début elle avait compris que pour que Celan reste a ses côtés, il lui faudrait passer pour un bouffon imbecil. Car elle savait bien qu'il lui serait nessesaire... et contrairement a quelques habitants dela Cour, elle n'avait pas honte d'avoir besoin d'un ami.

Elle lui caressa la joue... Caresse qui se converti en une baffe. A l'instant même qu'il recevait la giffle, sa main avait atrapé le poignet de Morna et le retournait déjà pour l'inviter a se tenir tranquile, tout en lui souriant et lui chuchotant un vague pardon pour l'avoir embetée.

Giffle reçue, la main de Morna a sa place, sur les parties sexuelles de son compagnon, là ou il tenait la main par force, cachant toujours son jeu a Ayumi par un sourir preceque idiot, cette dernière s'empressa d'encore venir le faire chier.
Il regarda autour de lui et n'apercevant aucun patron de la taverne, il cracha par terre a ses côtés


Je sais combattre très bien si on paie mes efforts...[/i]
Vilissë_morna
Lui rendre son larbin par la suite ? Mais bien sûr qu'elle lui rendra, quelle idée...Elle ne va pas lui voler son petit chevalier servant...Elle a d'autre chat à fouetter...Le petit gloussement de Celan ne lui avait pas échappé...S'il commence à s'amuser elle n'a pas finit de se battre contre ses imbécillités. Sombre venait de gifler Celan, lorsque celui-ci lui attrapa le poignet pour qu'elle ce calme. Elle fit mine de rien et continua à sourire légèrement, quoique on pouvait lire sur son visage un légère grimace, tendit qu'elle essaye de lui faire lâcher prise. En vint. Déjà il posa la main de celle-ci sur son entre-jambe. La main de Morna ne bougea pas l'espace d'un instant, pendant ce temps au dessus de la table Sombre regarda étrangement le jeune homme puis lui fit un grand sourire avant de poser l'autre bras sur la table...Sous la table la main de la demoiselle se referma fermement sur l'endroit où les parties génitales de Celan semblaient se trouver...ce qui n'est pas certain d'un autre côté. La jeune fille s'approcha de l'oreille de Celan et lui murmura quelques mots:

Lâches moi tout de suite...sauf si tu souhaite te reconvertir dans le chant..Je te transforme en castra si tu veux..sinon lâche mon poignet de suite...

La jeune fille referma un peu plus son emprise. Une poigne de fer dans un gant de velour...eheheh. Il fallait stopper ces débilités quelques temps, histoire de ne pas perde leur amie sans le vouloir. Il serait fâcheux qu'elle annule tout à cause de leur petit jeu...Quoi qu'il en soit elle ne lâcha pas prise, et toussa un bon coup pour se décrasser les bronches. Sombre passa sa main dans ses cheveux tout en regardant Ayumi avec un petit sourire en coin de lèvres...Ce petit sourire disparue lorsqu'elle reprit la parole...

Bon Ayumi...on va t'aider moi et Celan...je pense qu'il est d'accord et ne verra aucune objection à mo...notre petit plan...ehehe

De toute manière tu n'as pas vraiment le choix très cher donc...Sur ce, que dirais tu de quitter cet endroit ? Histoire qu'on ne tombe pas sur nos amis avant d'avoir cachés la demoiselle...
Ayumi
Ayumi regarda Morna et Celan elle avait l'impression que la tention montait...elle les regarda avec un doux sourire sur le visage-feint ou vrai?- et rangea sa dague en carressant de l'autre main l'entaille qu'elle avait faite...

En fait la jeune fille était simplement en train de penser à tout ce qui arrivait, elle se sentait renaitre dans ce monde où la traitrise avait lieu partout. Au bout d'un moment elle releva le visage et remit sa capuche


Bien...Où allons-nous?
---fromFRCelan
Un sursaut, cette fois visible, mais vite dominé. Un cri sourd et aigu, un murmure qui se veut un cri. Une agitation sous la table.
Celan regarda surpris Morna, sourit en grimaçant, écouta ses mots, sous la table écrasa le poignet dans sa main.


Puisque tu a teeeeellement envie de les touuuuuucher, au point meme d'esseyer de me les enleeeeever, je te donneeeeerait ta chaaaaance un de ces soiiiiirs... aiee.

Avec un clin d'œil forcé il lâcha la main.

Laaaaache mainteeeeeenant

Morna le lâcha enfin, il respira tout en bougeant ses jambes pour être sur d'avoir encore ses parties personnelles bien en place.

Il défit Morna du regard tout en lui souriant et en posant sa propre main sur son entre-jambes endolorit.


Mais oui que j'ai le choix Morna... Mais je choisis de te suivre... si toutefois on me paye.
Tu m'a appris a ne rien faire gratuitement ma chère... tant pis pour toi.


Il se leva, de toutes façons, lui payer pouvait être de plusieurs façons, et une des monnaies qu'il proposerait devraient surement être acceptés, par Ayumi ou bien par Morna.
D'ailleurs, Ayumi, que fessait-elle? que pensait-elle de ces deux fous? Qu'importait celle-là, ils s'aimaient entre eux et savaient vivre dans l'endroit qu'ils aimaient, alors les autres petits étrangers comme celle qui allait bientôt se faire prendre, il s'en foutait.

En tout cas, elle avait l'air de se croire déjà chez elle la jeune Ayumi... hehe, c'était extrêmement marrant de lire dans son visage, écrit en géant "je connais Morna et son ami, je connait la Cour et je m'y plait...". Et bah non, elle avait tort.

Se relevant avec un peu de mal a cause de ses testicules écrasés entre les mains de Morna, il regarda sa compagne interrogateur et cru lire dans son regard.
Il sourit. Mais quelle bonne idée...

Il regarda Ayumi. Haute comme était sa tète, son visage était a moitié dans l'ombre du mauvais éclairage de la mauvaise taverne. Sur ses lèvres un rictus menaçants, dans sa voix un son mystérieux.


Nous allons là ou les morts se donnent rendez-vous.
Mais si tu n’es pas croyante dans les fantômes, dit toi seulement que nous allons là ou les assassins les plus redoutés cachent les corps de leurs victimes.
Nous allons au Catacombes.


Ainsi il tendit son bras vers Morna l'invitant a mettre son bras sur le sien, théâtrale et comiquement.
Puis, comme s'il se souvenait d'un détail de moindre importance, il dit d'une voix presque lasse.


Ah bien sur, et nous y allons par les toits.

Il posa un deuxième écus sur la table et se pencha vers Morna

Celle-ci je te l'invite ma belle Ombre.
Vilissë_morna
En bonne fille qu'elle était elle finit par le lâcher, déjà parce qu'il lui écrasé le poignet et ensuite parce qu'il lui demandé avec tant de...galanterie...Quoi qu'il en soit une fois qu'il relâcha son emprise elle frotta son poignet dans son autre main avec un rictus aux lèvres. Elle regarda Ayumi, celle-ci semblait pressé de voir la suite des évênements...Soit! Allons y, les Catacombes les attendent avec impatience. Sombre prit le bras de Celan et se dirigea vers la sortie avec celui-ci tout en attrapa la main de Ayumi au passage.

Allons y bella, direction les Catacombes...Comme l'a dit Celan c'est là bas que les morts se donnent rendez vous...ou bien ceux qui se jouent de la Mort...eheheh...Personne n'ira te chercher là bas, surtout pas des chevaliers...enfin, un chevalier et son larbin...

La demoiselle lança un petit sourire à son complice et posa la main sur la poignée. Il faisait froid encore une fois au dehors, les lanières du vent frappent un peu plus à chaque pas dans les rues de la Cour..Impossible de rester sans bouger bien longtemps, sauf pour ceux que la Faucheuse à emporté pendant la nuit. Morna et Celan sortirent donc de la taverne du Rat Crevé, suivit par Ayumi. Ils passèrent devant la jument de celle-ci mais continuèrent à marcher lentement, leurs pas raisonnant sur les pavés, les flaques d'eau crasseuses en proie au gêle commencé à dévoiler quelques cristaux de glace, mais rien d'important pour le moment...La jeune femme finit par regarder Celan avec amusement.

Dis moi, conduit nous aux Catacombes, le chemin le plus rapide, pas envie de traîner par les températures actuelles...sauf si tu te propose pour m'offrir un peu de chaleur...eheheh...Au fait tu voulais passer par les toits, non ? Comment on fait pour la jument de cette dame ?...On va pas laisser une bête pareil ici...

La jeune fille se tourna vers Ayumi et haussa les épaules, s'il fallait passer par les toits alors soit, il faudra juste que la demoiselle laisse sa monture ici...Quel dommage, une bête pareille doit tenir chaud...et puis si jamais elle devait mourir par simple accident autant qu'elle meurt avec eux, ainsi ils pourront manger à leur faim. Mais passons cela, pour le moment elle se stoppa au milieu de la rue et attendit tranquillement...

Bon...on passera par les toits au retour Celan, pas le temps de traîner, je pense pas que tu souhaite tomber sur les chevaliers...Allez on passe par les rues, en route!

La jeune fille prit la main de Celan partit en courant en faisant signe à Ayumi de les suivre. Ils ne l'attendent pas ? Non...Pourquoi feraient ils ça ? C'est elle qui à besoin d'eux, pas l'inverse...Elle peut au moins les suivre et sans broncher en prime, ce serait bien...Ainsi les deux complices se dirigèrent vers les Catacombes, normalement suivit par la demoiselle et sa monture...Pas très discrèt tout ça, mais bon, ils ne peuvent faire autrement...
pnj
Un rire franc teinté de nervosité, le rire d'un homme dangereux, par deux fois surpris des réactions de l'écossais, Marlowe's esquisse une moue bien trop jouée pour être réellement perplexe. Sa langue retrouve une ancienne saveur, un vin pétillant, aux bulles piquantes, fraîches et fruitées. Effaçant presque le goût infect de la gnole du Rat.

Un deuxième verre, servit avec autant de naturel. Une puce sautille sur le pilier, pas si loin de son oreille. Sans ciller, le visage nu d'expressions, Marlowe's prends le temps d'observer Morag Black Douglas s'avancer, laisse le temps à leurs regards de se croiser, puis reporte lentement attention sur son cousin, jouant avec le gobelet plein entre ses doigts.


Tu veux jouer à l'oubli ? Je mise l'ivresse. Le choix de l'enjeu est tien.

Une foire à la pigeonne se conclut avec adresse dans un coin de la taverne, les organisateurs, jeunes, paraissant mener le blousage avec habitude. Quelques mots parviennent à lui, un laisse trace, "Azur". Sa senestre se porte à une poche de ceinture, où il serre un parchemin, promesse d'encre d'une possible rencontre. Il sourit sans y penser, tout les rendez-vous seront honorés.

Il vide la gnole d'une rasade, siroter pareille mixture dénote une perversion des plus avancées, le regard des deux Douglas posé sur lui.
---fromFRMorag Black Douglas
Leur voisin boit encore une franche goulée, sans avoir l'air d'y toucher. En soi, c'est déjà une provocation. A qui croit il avoir à faire? Le monastère à l'orée du domaine distillait son uisge beata, et les caves du château recelaient quelques précieux tonnelets. Tous les enfants du clan avaient grandi en jouant à s'y introduire en douce, et ressortir à grands fracas, ivres jusqu'aux oreilles, glissant dans l'escalier sombre et humide! Ahh, les raclées qui avaient suivi...
Elle attrape son gobelet, et l'avale sans prendre le temps de le humer, d'ailleurs, surtout pas! Ici, il ne faut rien regarder, rien sentir, et rien entendre. Elle ne hume pas son breuvage, ne regarde pas Marlowe's, n'entend pas les bruits de la rue...Il reste le goût, déjà mis à mal.
C' est infect.
Quelle importance...?
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---fromFRSualtam_Black_Douglas
Sualtam sourit. Son compagnon n'a pas l'air gai.. mais lui non plus, d'un autre côté. Sa façon de regarder Morag.. un fantome aurait plus d'expression. Tiquant, il lui reverse un verre, l'air matois. :

" L'ivresse ? Tenue ! Je mise l'emploi de mon bras. Pour une journée. Et pour l'enjeux... Un soigneur. Un vrai, un bon."

Sualtam le voit engloutir le liquide sans broncher. Pas mal, pour son gabarit. Lui boit le sien comme un verre d'eau. Rien a voir avoir le jus d'Ecosse... Même les pires bouilleurs de cru des lowlands font mieux. Et pourtant, il les a tous testés, ou peu s'en faut... Il remplit les gobelets de nouveaux, le sien ne touchera même plus le comptoir avant longtemps.
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pnj
Un sourire enfantin éclaire le visage de Marlowe's, les deux écossais boivent sec, pas sûr que son foie soit à la hauteur. Passant soudainement de l'immobilité au mouvement, il se retrouve d'une pirouette de l'autre coté du comptoir. Fait taire les marmonnement de la souillon d'une poignée de pièces, et s'empare sans plus de manières des cruches rapportés de l'arrière salle de l'estaminet. Remet une tournée.

Fort bien. Si je suis suffisamment ivre, vous arriverez sans doute à m'arracher quelques renseignements, et un bras de ton envergure peut servir. Quand au soigneur, j'ai quelques notions, un jardin de simples et un teutonique doué revenu des croisades à disposition.

Le goût est effectivement infect, heureusement largement pourvu en alcool, il soupire en pensant aux bouteilles d'or rouge conservées soigneusement par Mara dans les caves du Palazzo. Ses deux compagnons portent le même manteau d'amertume et de souvenirs pesants, la boisson risque d'en alourdir l'étoffe.

Pour l'heur, la taverne semble nôtre, et peu importe mon nom, je ne suis qu'un des innombrables gueux de la Cour, un marlou parmi d'autres. Buvons convenablement, ce soir les rats dansent, et la grotte du Masque est à nouveau ouverte pour eux.

D'un geste nonchalant, il remet en place le baudrier de ton épée, il faudra bien qu'il apprenne à s'en servir un jour.
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