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[RP] Taverne le Rat Crevé

pnj
Le Macaque allait pousser la porte de l'échoppe quand un grand gaillard des campagnes l'ouvrit et s'élança à grands pas dans la ruelle. Tamorin garda la porte ouverte en la poussa avec le talon de sa botte, et entra en défroquant un peu son gilet. Mieux valait ne pas paraître trop propret, on pourrait chercher à lui voler sa bourse...
Quatre-Cinq pas et il vient s'accouder au comptoir.


Calva, vous avez ? Marmonne t'il au tavernier. Ou n'importe quoi qui me rappelle la Normandie, nom d'nonne...
---fromFRAnonymous
Vin avait fais long voyage pour atteindre ce lieu...lieu qui pouvait faire peur à certains, qui en fascinait d'autre..
Vin ne s'été jamais posé cette question à savoir si ce lieu été effrayant ou fascinant, peut être que pour lui les deux ce rejoignez.

Quoi qu'il en soit, il y été venu, en ces temps difficiles pour lui...un peu perdu dans ses pensées, dans son coeur..Des problèmes que les prêtres ne devrait pas avoir, mais là, Vin été vraiment perturbé par tout cela et se posé beaucoup de question sur lui..et sur la conduite à tenir. De toute façon, de chaque côtés il perdrait quelque chose..

Il arriva à la cour des miracles, et croisa de drôle de personnages, et d'autre moins drôle et plus inquiétant..

Une taverne était là, en face de lui..il décida de s'y rendre pour profiter de la chaleur de ce lieu et de boire un petit quelque chose, il faut dire qu'il n'avait rien à boire ni à manger. Il mit la capuche de sa robe de bure et entra dans la taverne, il resta discret.

Il s'approcha du bar, et se posta dans à un coin de celui-ci, et d'un geste discret de la main fit signe au tavernier de lui apporter une boisson, dont le nom été inscrit sur une pancarte.

Puis une fois servi, il prit son verre et alla s'installer dans un coin sombre de la taverne, sur une table ne possédant qu'une chaise. Il s'installa, et discrètement, caché sous sa capuche Vin observa son entourage..
---fromFRAnonymous
Grasso rentra dans la taverne à cette heure tardive, à l'heure où les pochtrons dorme à moité sur la table avec leurs bourses à porter de main! Un bon moyen pour chapardé.

Il examina, aux alentours, et d'un geste discret, passant à côtés d'un ivrogne qui ne tenez plus sur sa chaise, dérobat sa bourse, avec quelques pièces à l'intérieur..
c'est toujours ça de gagner..

Puis Grasso vit au fond de la taverne, sous sa capuche un homme..il s'approcha de lui..le sourire aux lévres..Hé Bonsoir toi! l'homme, apparement un moine vut son accoutrement releva les yeux en direction du gaminBen alors, tu t'es perdu? j'traine souvent dans la rue pret de ce taudi, et faut dire qu'c'est la premiere fois que j'te voit!

Puis le gamin prit une chaise qui trainer pret de là et s'assit à la table du moineBen alors tu fout quoi ici? c'est quoi t'nom?

Grasso regardait fixement le moine dans les yeux et attendait une réponse..
---fromFRAnonymous
Vin qui été dans ses pensées, ne sachant trop quoi pensé d'ailleur..tout un mélange..elle..son avenir..ses résponsabilités..tout un tas de chose qui lui posés en ce moment pas mal de soucis. Cela le poussé notament dans un humeur exécrable..

Ce moment d'inatention, où Vin été dans ses pensées, fut troubler par l'arriver d'un jeune garçon tout sourire, mais qui avait l'air plutôt spécial..Ce jeune garçon prit une chaise, et s'installa à la même table que Vin qui garda sa capuche et releva la tête en direction du garçon.


Euh..bonsoir mon ptit..

Vin écouta le garçon puis après un instant de silence et de réflexion répondit tout de même..

Je m'appelle Vin..et toi? je suis en "visite" ici, où alors je cherche un endroit pour faire un peu le point sur moi en faite..mais bon tu doit être trop jeune pour comprendre...

Vin se demandait ce qu'un jeune garçon fesait à cette heure là dans les tavernes..pourquoi n'été t'il pas chez lui avec ses parents..
---fromFRAnonymous
Grasso se leva brusquement lorsque vin dit "mon ptit" et tapa brusquement sur la table..Mon ptit? d'abords j'suis pas ptit OK?! alors ne m'appelle plus comme ça!!

Puis Grasso se rassit et regarda autour de lui, quelques personnes le regardaient étonnées, mais rien de spécial à l'horizon..Grasso devait faire attention au cas où l'ivrogne remarquerais que sa bourse a disparu..Puis il regarda le moine dans les yeux..J'suis Grasso, mais appelle moi Grass! J'suis pt'être un gamin pour toi, mais fais gaffe à ta bourse c'est un conseil! j'dois nourrir ma saletée de famille! Mais j'fais tout sa pour ma soeur surtout..Puis Grass prit une gorgée dans le verre du moine qui ne buvait point.. j'suis pas là pour te raconter ma vie ! et j'comprend plein de chose! mais bon j'veut pas savoir tes problèmes, j'ai les miens aussi et j'me plein pas l'moine!

Puis Grasso regarda sont butin du jour qu'il déposa sur la table, quelques écus..un peu de pain et une bague.. Pff elle va 'cor gueuler la vieille que je ramene qu'ça! m'enfin j'vais pouvoir nourrir un peu Melio! Puis regardant à nouveau le moine.. dit moi t'as pas quelque chose pour moi?!
---fromFRAnonymous
Vin fut surpris de voir la réaction du garçon qui se leva brusquement, et eu un léger sursaut..

Euh..d'accord pas de soucis, mais pas la peine de t'enerver ainsi!

Vin éxaminez le garçon qui ne semblait pas tranquil et qui regardait souvent autour de lui pour voir quelques mouvements, personnes, événements que ce soit..

Puis le garçon sortit quelques écus, du pain et une bague qu'il déposa sur la table, puis le garçon émetta une plainte et parla d'une fille, Melo, surement la soeur dont il fesait part juste avant..

Melo, qui est donc cette fille? je suppose que c'est ta soeur non? Mais où est t'elle?

Puis Vin à la question du garçon, qui demandait s'il avait quelque chose pour lui, regarda dans sa robe de moine si il possedait quelque chose, mais il ne trouva rien a part une autre miche de pain, les derniers écus lui restant devait en effet lui servir pour se trouver une chambre..

Non désolé Grass..j'ai juste une miche de pain que je peut te donnait..[i]puis Vin lui tendit la miche de pain[/i]
---fromFRAnonymous
Melio..Grass semblait être dans ses pensées..c'est ma ptite soeur! elle a 4 ans et mes maudits de parents ne s'en occupe presqu'pas! Alors moi j'la nourrie..c'est tout pour moi..puis brusquement J'suis pas là pour t'raconter ma vie toi!

Grasso éxamina attentivement le moine qui cherchait si il avait quelque chose pour lui..et quand le moine répondit qu'il ne possédait rien sauf du pain, le garçon émétta un soupir de déception..Ben donne l'pain! Grasso attrappa le pain et rangea tout ce qu'il possédé dans une petite besace salie de terre..comme le reste de son corps..sa chemise trouée et noircie..et une short qui ne cachait pas ses jambes sale..

Grasso se leva..Bon l'moine, j'ai à faire, faut qu'je gagne ma vie moi! alors j'te conseille de trouver une chambre ou de rester éveiller! parce que tout est dangereux ici..même les chambres tu me dira..Puis se dirigeant vers la portet'ciao les ivrognes!

Grasso laissa le moine seul dans cette taverne, il ouvrit la porte et s'en alla dans les rues sombres et étroites de la cour..à la recherche de potentiel "ami" et chercher à manger pour sa soeur..
---fromFRAnonymous
Aurevoir...

Vin se retrouva maintenant seul dans la taverne..ne sachant ou trop allez, et ne connaissant pas les lieux..il décida de rester dans son coin, là il se sentait un peu en sécurité, même si apparement on n'est jamais en sécurité ici..

Vin observer autour de lui..la taverne n'été pas très remplie, juste quelques personnes qui dormaient sur les tables...

Vin se sentait un peu seul, mais bon si ici il ne connaissait personne, et il été au courant de ça avant de venir!

Il sombra quelques instants dans ses pensées..toujours les mêmes..
---fromFRYnköjì
La puanteur des rues c’était plutôt intensifié. Ynköjì s’était à présent engouffré dans l’une des rues les plus noires de la Cour. Les chemins étaient maculés de matières indescriptibles qui collaient étrangement à la semelle de ses sandales. Les gens réagissaient ici bizarrement. Tous avaient l’air de chercher désespérément quelque chose. Ils se regardaient tous les uns les autres d’une manière excentrique.
Ynköjì reconnu une enseigne. Il avait appris à reconnaître les établissements. Ce qui ce trouvait devant lui était une taverne. Il n’arriva pas à déchiffrer les inscriptions. Cependant il savait qu’ici il trouverait un lit et de quoi manger.
Le jeune islandais poussa la porte et entra dans l’établissement. Les gens présent étaient tous occupés. Ynköjì ne se sentait pas à sa place. La faim lui fit penser autrement. Il se rendit vers le tavernier et essaya de se faire comprendre.


Manjé… fin…sou…

L’islandais montra les personnes présentes entrain de manger. Le tavernier fini par voir de quoi parla l’étranger. Il lui apporta de quoi étancher sa faim. L’islandais lui confia le peu d’argent qu’il avait réussi à gagner.
Ynköjì se rendit à une table et écouta une conversation. Il comprit les mots « moines » et « fille ». Le reste était trop flou pour lui. L’islandais se jura de rester ici jusqu'à comprendre parfaitement le langage français. Il apprendrait à manier le verbe ou il finira par mourir comme un pauvre mendiant.


[Mode Halleck modo on]

Oh le beau gros NoeilNoeil ! J'en salive rien qu'a l'idée de le croquer pour me délecter de son jus !
Bref, le tout est un peu trop grand. La taille autorisée pour les bannières est de 600 pixels de large pour 200 de haut. Outre la phrase, vous atteignez 228 de haut. Merci de raccourcir un peu le tout avant que j'en bouffe un morceau !

[Mode Halleck modo off]

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Margur Madur fòr ad finna og spyrja hann tidinda.
pnj
Le Macaque leve le cul de sa choppe pour vider tout à fait son godet. Son autre main vient frotter un tissu humide sous son gilet, une blessure à la lance d'un garde près des oubliettes du Louvre. Non contente de saigner tout son saoul, sa plaie le démangeait à présent sans vergogne, mettant ses nerfs à rude épreuve.
Tamorin ne lâche pas des yeux le jeune étranger qui avait pénétré dans l'échoppe...
Son godet frappe le comptoir, il s'avance vers l'inconnu.
Se postant derrière l'islandais et lui fiche une petite taloche à l'arrière du crâne.


'Tention, y'a du vent ! Mouahah !

Il regarde la bourse d'écus accrochée au ceinturon de l'étranger et vient la soupeser tout en s'appuyant négligement contre le dossier du siège du pauvre hère.

Hé ! C'est que t'es pas sans le sou, gars...
Faudrait partager un peu !
Hep, tu comprends ce que je te cause ?
---fromFRYnköjì
Jük sortit de sa cachette. Son hermine avait dormi pendant tout son trajet dans la Cour. Son odeur était pestilentielle mais Ynköjì aimait sa compagnie. Il prit un morceau de nourriture qui flottait dans son assiette et la tendit à Jük. La petite hermine blanche déchiqueta l’aliment.
L’islandais saisit sa bourse et la serra fort dans sa main. Il connaissait bien ce genre d’homme. Près à tout. Son argent en était la cible et Ynköjì avait travaillé dur pour l’avoir.


Ynköjì ne joue pas.

Il avait appris la phrase par cœur. L’islandais sortit son canif. Il n’avait pas regardé son agresseur depuis le début. Il n’en avait pas besoin. Dès qu’il le trouverait nécessaire il serait près à trancher la fine gorge de l’homme. Il continuait à parler. Ynköjì comprit qu’il paraît de son argent. Le jeune homme marmonna plusieurs jurons en islandais. Il se doutait bien que l’homme ne comprendrait rien. L’islandais fronça les sourcils et serra son canif.

Ynköjì ne joue pas. Ynköjì ne joue pas.
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Margur Madur fòr ad finna og spyrja hann tidinda.
---fromFRAnonymous
Vin, fut sortit de ses pensées par un homme qui parlait fort...Vin ne compris pas bien le début de la phrase, mais compris ne joue pas..
Voyant l'homme tenir en ses mains un canif et le pointait en direction d'un autre homme tout pret de lui, qui apparement en voulais a son argent..Vin se dit qu'il serait préférable de ranger sa bourse sous sa robe de bure, pour ne pas attirer la convoitise de l'homme..Vin n'avez ni armes ni moyen de défense..
Nalyss
Une envie ? Peut être... Non, une folie ? Oui, juste un fois de plus depuis ces derniers temps.. Elle était vraisemblablement une erreur humaine à elle seule... C'est pourquoi, elle prit l'ultime décision, celle de se rendre à la Cour pour y vivre une vie de misère ou pour y finir peut être ses jours... Elle n'en avait que faire à dire vrai... En effet, un évènement désastreux dans une taverne, une place et, même une ruelle est envisageable, vu le niveau de vie misérable des habitants... Elle n'avait pas de raison de vivre... La flamme de la vie s'éteignait peu à peu et, elle n'était plus qu'une âme errante... Ainsi, elle se rendait dans une des tavernes plus qu'effrayantes...

D'un pas peu rassuré, elle entra dans la taverne du Rat Crevé... Elle enleva la capuche qui lui cachait le visage et, elle dégagea ses cheveux d'un geste net... Elle releva la tête et, ses yeux légèrement embués regardèrent les habitués... Elle avait du vague à l'âme en vue de la mine défaite qu'elle affichait mais, elle n'en avait que faire... Etre en un tel lieu était la suite idéale de la décadence qu'elle vivait déjà il y a de ça, des semaines... Tremblante, elle s'avança vers une table et, elle s'asseya dans le calme... Elle se passait les mains sur le visage afin de se reprendre... Une faible, elle ne savait qu'être une faible et, elle en avait marre... Insatisfaite, elle se méprisait d'être ainsi, si fragile... Elle baissa le visage et, elle ressera sa cape sur ses épaules pour se réconforter un peu plus... Elle ne remarqua même pas l'ambiance tendue de la taverne... Mais, elle allait peut être vite le ressentir car, elle était parfaitement attentive aux réactions...

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---fromFRAmarante.
Pousser la porte qui grogne plus qu'elle ne grince, du bout du gant, sur l'huis, frapper trois coups.
Toc. Sourire sous masque, admirer l'assemblée.
Toc. Là sur sa gauche, deux hommes qui se font face, au fond, un péquin qui se fond dans l'ombre.
Toc. Et là, à droite, une jolie demoiselle, tristounette, mais pas trop dévergondée d'apparence : pas d'ici, à moins qu'elle ne soit elle aussi de la partie.
S'avancer d'un pas renardé, s'asseoir avec un sourire finaud sous le masque blanc à côté de la jeune femme, lui passer un bras vêtu de carmin sur les épaules, relever ses lèvres en un étrange sourire de marionnette de la main gauche, faire son devoir.
Alors… petite. Le lever du rideau t’a… laissée sans rire ?
A l’affût d’une larme à essuyer, d’une lame à parer si, derrière, les rigolos montent sur scène, fixer ces yeux tristes, cette moue perdue.
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Nalyss
Perdue dans des pensées agaçantes et, essayant de cacher les larmes caressant sa peau blanche, Nalyss ne remarqua pas la présence à sa table... Cependant, elle se redressa en sentant l'effleurement sur ses épaules... Un danger ? Peut être que oui... Peut être que non...
Elle ne le savait pas et elle n'en avait que faire... Aussi, il y avait là, l'occasion d'avoir de la compagnie à sa table... En secret, elle espérait qu'elle ne serait pas si mauvaise ainsi qu'indésirable cette soudaine compagnie...

Chassant à la hâte les larmes salés, elle releva les yeux vers cette présence étrange... Elle regarda le masque en se perdant dans ses yeux, son seul moyen d'expression... Voilà qu'elle faisait face à un masque... Intriguée & Curieuse... Elle n'avait pas l'habitude de ce genre de situation... Aussi, elle restait impassible face à la phrase qu'il lui dit... Rivés sur les yeux de l'homme encore et encore, ce n'est que lentement qu'elle s'arrêta et, qu'elle regarda de nouveau la table...
Messire, je ne suis guère petite... Peut être, êtes-vous vieux ? Et, ce rire s'est perdu, rien de plus... Elle prit une grande inspiration en détaillant la table... Un minimum sereine ? Non, du tout... Forte ? Oui, en ce lieu et, en cet environnement inconnu, elle se devait de ne pas être faible... Obligation d'être une marionnette... Abstraction de l'être l'humain...
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