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[RP] Taverne le Rat Crevé

---fromFRAmarante.
Ecouter la réplique et sourire d'amusement, endosser son rôle comme on enfile un costume, une paire de gant, fermer les yeux un instant, penser à ce qu'on est soudain, par la parole de l'autre.
Vieux ? Je suis... éternel.
Retirer un bras qui a fait frémir, passer la main dans les cheveux encore doux de la demoiselle, les frotter comme on le fait aux enfants, pour les rassurer, puis poser sa main droite sur son genoux, tandis que la gauche vagabonde sur le comptoir, en quête d'un fond de verre : l'acteur s'accommode de peu, doit rester sobre.
Quand le rire s’est… perdu, il ne lui faut qu’une… farce pour qu’il revienne.
Son regard s’ouvre à nouveau, plonge dans les yeux encore embués de la jeune femme se trouble quelque peu.
A moins… qu’au fond des bois, là où tout est sombre et où… le sentier du retour est aussi appétant que le loup qui… guette, il ne soit égaré. Dans ce cas… il faudrait une… étincelle, de la joie… de l’espoir.
Souffle léger à l’oreille, l’ombre se prend à son jeu, acteur éternel, toujours sera celui qu’on croit.
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Nalyss
Elle ne releva pas la tête quand le masque parla... Elle préférait être attentive aux phrases de cet étranger... Il était énigmatique et, il se plaisait vraisemblablement à l'être... Un acteur, un de plus... Eternel ? Vous vivrez une vie eternelle... Elle tortillait ses mains en maîtrisant sa respiration... J'espère que cette vie vous comble... Sinon, être éternel peut être bien difficile...

Peu après, elle releva le visage vers les yeux derrière le masque... Elle sentait sa main qui caressait machinalement ses cheveux... Elle n'y faisait vraiment pas attention... Un détail... Elle savait qu'elle était dans une taverne de la Cour et, qu'il y avait un bon nombre de personnes qui avaient des mauvaises habitudes, des habitudes familières... Puis, elle n'avait pas à perdre sauf, sa vie... Un détail... Impassible, le visage sans vie, elle détaillait les yeux de l'étranger espérant en apprendre un peu plus sur l'acteur... Une farce, c'est peut être ce qu'il me faut ? Nan, vraiment... L'instant suivant, elle détaillait peu à peu les vêtements de l'étranger... Un déguisement... Elle restait attentive à la conversation... Mais, elle ne relevait pas particulièrement sur la phrase finale... Là, il avait raison... Elle se murmura... Juste une étincelle... Puis, elle se perdit en un petit soupir discret... Etait-il si facile de lire en elle ? Elle eut de plus en plus peur d'être si lisible... Elle se devait de mettre en place une carapace... Dur épreuve...

Entre temps, elle repassa par le regard se cachant derrière le masque... Elle ne s'attarda pas et, elle regarda la main dans le gant qui s'aventurait sur la table...
Vous amusez-vous sous ce déguisement ? Elle réajusta sa cape, un peu tremblante... Malheureusement... Je pense être un pauvre amusement... Elle le regarda en travers passant sa main en appui sur le visage et la table... Vous vous délectez peut être de cette peine...
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---fromFRAmarante.
Regarder ces yeux fuyant, cette silhouette qui se réfugie dans une cape. La peur, assurément. Inspirer la peur, pour un temps… était-ce ce que l’ombre désirait ? Elle se sent proie, jouet. S’écarter légèrement, pour signifier qu’on ne veut aucun mal, tirer un vieil écu, passé par le temps, de sous un gant, le faire tinter sur le comptoir.
A… manger, pour la demoiselle. Tavernier… un verre de vin pour moi… rouge.
Sourire sous le masque pâle, se retourner vers la jeune femme. Elle a senti l’acteur sous le masque, le jeu sous la cape… Jusqu’où ira-t-elle ?
La peine… n’est pas un jeu. La peine se joue… tout se joue. Ce déguisement, comme tu dis… est une peau, j’en change… quand il faut, mais en dessous… que trouverais-tu ?
Siffler doucement, vérifier que les deux drôles, derrière, se tiennent bien.
Que trouve-t-on… derrière le masque ? C’est une question… que l’acteur ne doit jamais… se poser. Sinon…
Rire doucement, d’une joie légère, rassurante.
Sinon, il devient… fou. Soi qu’il ne trouve pas la vérité, soit… qu’il s’y heurte.
La sentir toujours craintive. Lui sourire, si elle ne voit les lèvres, elle voit les yeux.
Tu es inquiète… parce que je te perce à jour ? Celui… qui ne joue pas un rôle… joue sa vie à ciel… ouvert. Pour te protéger… joue.
Regarder avec agacement le tavernier qui se fait attendre, siffler de désappointement.
Tu y perdras… ton passé, ta personne. Mais tu seras… verrouillée. Nul ne pourra plus jamais… dévoiler ce que tu cacheras au fond de toi… comme l’acteur peut parfois cacher dans son gant… le texte qu’il ne sait pas encore.
Happer l’assiette qu’on lui tend, la glisser sous le nez de son interlocutrice, puis plonger son regard dans la contemplation de l’écarlate liquide, sans y toucher.
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Nalyss
Vraiment, je n'ai pas faim... Gardez le... Elle désignait l'écus mais, il ne semblait pas y faire attention... Ainsi, elle passa sa main sur la main de l'étranger pendant qu'il la tendait au tavernier... Juste un réflexe ? Nan, une mauvaise habitude, tactile... Elle enleva à la hâte sa main, la cachant dans sa cape... Elle baissa le visage mais, elle restait attentive... Une habitude de l'être, une manière d'en apprendre plus sur les gens, d'en apprendre à travers le texte et, le jeu de l'acteur...

En effet, la peine n'est pas un jeu... Elle ne s'amusait pas à l'être et, elle ne s'amusait pas à le rester... Elle ne s'y plaisait pas mais, elle était dans une impasse... Elle réfléchissait quand, il lui dit des mots en "pseudo" confidence... En dessous... Elle releva la tête et, elle le regarda dans les yeux essayant d'en apprendre plus à travers ceux là... Elle se mit à penser... En dessous ? Peut être des secrets, des envies, des peurs, des illusions ou des désillusions...

Quelqu'un... Elle vit ses yeux rieurs... Pourquoi ce besoin d'être derrière ? Bonne question... Je suis une piètre comédienne... Inutile d'être ce que je ne suis plus... Les phrases de l'étranger vibraient dans l'air et, elles ne l'apaisaient certainement pas, ravivant les flammes... Si facile à dire, plus difficile à faire... Se perdre et, perdre le passé... Elle, qui vivait dans le passé... Son histoire sur du brouillon et, une vie chiffonnée... Impossible ? Oui, des mois qu'elle lutte contre les souvenirs... Oui, des mois qu'elle s'enferme en un silence perpétuel... Je ne peux renier ce que je suis... Je ne peux être ce que je veux... Ce n'est rien... Je reste ce que je suis... Moi, un tout... Quelqu'un qui ne se vérouille plus... Quelqu'un qui se perd vers l'inconnu...

Elle s'arrêta de le regarder et, elle se pencha sur l'assiette...
Merci Messire... M'enfin... Je peux vous rembourser, quelques écus sur moi... Elle regardait les mains dans les gants et, elle semblait être hésitante... En voulez-vous ? Honte... Elle se rendit compte de ses mots une fois qu'elle les dit... Un masque, une barrière... Elle attrapa un peu de pain, qu'elle passa à ses lèvres...
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---fromFRAmarante.
Sourire en la voyant rougir, lui offrir pitance, écu, tapoter sur le bois usé du comptoir, remercier le tavernier d’un signe de tête.
Taratata, point de… politesses inutiles. Ici… on te fera rarement don de quoi que ce soit… Tu as faim… mange. Mange et laisse moi te raconter… Tu viens d’arriver, de province, probablement, d’un… autre quartier de Paris, peut-être, mais tu… n’est pas d’ici, n’est-ce pas ?
La fixer du regard, ignorer la réponse d’un vague geste d’une main encore chaude de celle qui l’a serrée, il n’y a qu’un instant. Prendre la voix du conteur, et repartir.
Tu n’es pas la première à… échouer ici, brisée par les récifs d’une… bien noire époque. Ici, c’est… la fin de tous les sentier, la… Rome des miséreux. Tous les malheurs… y mènent. Coupes-jarrets, diseuses de… bonne aventure, mendiants, filles de nuit… la lie du Royaume. Mais ne t’y trompe pas… Si la misère… tue l’espoir à… petit feu, elle avive les passions : honneur, haine, vengeance… amour, parfois. Une fièvre brûlante comme le bouillon qu’on te sert. Y as-tu… ta place ?
Sourire des yeux, sous le masque, prendre l’air du bon samaritain, se faire Arlequin, chasser le Scaramouche pendu à l’épée glissée à la ceinture. Se souvenir des propos de la demoiselle.
Tu ne peux… ce que tu veux ?
Siffler de frustration, fait rare et navrant.
Tu n’es pas… libre encore. La Cour, le voyage, la nouveauté… te montreront qu’il faut… se détacher. Se détacher pour ne pas souffrir, pour ne pas… blêmir. Qui veut… peut.
Regarder dehors, voir le soleil qui a grimpé un peu plus, compter les écus dans le gant, assez pour tenir jusqu’au lendemain, voir au-delà.
Si tu le désires… je peux t’y aider. Mais je comprendrais… que je t’intimide. Qu’est tu… venue chercher à la Cour ? Si c’est… l’aventure, saisis ta chance.
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Nalyss
Elle baissa le visage, regardant dans l'assiette en entendant les paroles... Elle n'avait vraiment pas faim et, la pitance semblait bizarre... Mais, elle se laissait distraire par le pain... Tandis que les mots résonnaient, elle se disait qu'elle faisait plus que tâche dans cette taverne, elle n'était peut être pas à sa place nan plus... Oui, de province... Je découvre les lieux depuis peu... Silencieuse & Curieuse... Elle fit un geste et, elle enleva ses cheveux dans les yeux...

Puis, elle fit une rotation et, elle se mit en appui sur un bras... Elle regarda l'acteur étranger pendant qu'il lui contait la vie d'ici... Elle retenait les paroles les plus importantes et, elle les murmura avec un peu de décalage...
Rome des miséreux... Elle tue l'espoir peu à peu... Elle fit un long soupir, plus d'espoir en elle de toute manière... Elle avive les passions... Une place... Elle s'arrêta, les yeux dans le vague... Quelle était sa place ? En avait-elle une quelque part ? Elle ne le savait pas... En revanche, ce lieu et cette misère seraient peut être son nouvel environnement, son quotidien... Et, se mentir soi même...

Elle s'y fera et, elle apprendra malgré les fautes, elle apprendra... Elle murmura...
Se détacher... Le peut-elle ? Oui ou Non ? Semi-liberté derrière des pensées qui lui torturent l'esprit... Je peux... Peut être... Une fois de plus indécise et, peu sûre d'elle... Elle se redressa et, elle eut le regard à présent, fuyant... L'aventure nan... Mal à l'aise, elle tortillait ses mains... Peut être, juste un lieu pour mourrir comme une vermine... Juste un lieu pour ne plus exister... Juste un lieu pour ne plus être elle, pour ne plus être quelqu'un...

Elle regarda le masque... C'est peut être une perte de temps que de m'aider... Nan ? Un cas désespéré, une estime de soi qui n'est plus rien, en miette... Se reconstruire ici, mentir et devenir différente... Cacher ce qu'elle est, à présent, avancer... Vous ne m'intimidez, seulement... Je me méfie... M'enfin, je peux ! Elle le peut ? Elle le regarda affichant une certaine détermination sur le visage et, des yeux brûlants...
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---fromFRAmarante.
Siffler de satisfaction, retenir ce qu’elle a dit, peu à peu, elle commence à comprendre. A l’entendre parler de la mort, faire une grimace, claquer la langue pour signifier la contradiction.
On ne… meurt pas sur scène, petite. Même ici. Le temps… je l’ai. Je te l’offre… en échange, promets moi de ne plus… t’abaisser. Tu n’es plus… celle que tu étais. Je ne veux pas connaître ton nom, car il sera désormais… celui de ton personnage. A toi… de le choisir.
Rire légèrement, avec gaieté, caresser le liquide rouge, intact dans le verre, se tourner à nouveau vers ces yeux neufs qui vont devoir apprendre.
Amusant… n’est-ce pas ? Actrice, comédienne… Nouveau départ, tu n’es que le reflet de… ton ambition, de tes passions. Ce qui t’a fait souffrir… oublie le. Oublie la mort, elle n’a pas sa place sur les planches… que tu foules désormais. Celles de l’échafaud… sont pour les faibles.
Lui serrer légèrement l’épaule pour lui témoigner son soutient, se faire toujours plus aimable.
Tu n’en es plus une, désormais… déterminée à vouloir… à être… comédienne. Si vraiment c’est… ce que tu veux, suis moi.
Brusquement, se lever, se tourner vers la porte, saluer le tavernier et s’engager vers la trouble lumière du printemps. Sans un regard vers l’arrière, sourire, jouer avec le feu. Suivra-t-elle ? Le canevas est si flou à ce sujet…
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Nalyss
Maintenant, il l'aidait... Elle n'en savait pas vraiment la raison mais, il l'aidait... Une scène de plus en plus étrange, un acteur et des phrases masqués... Mascarade ? Nan... Ellle le savait, il ne fallait pas s'abaisser, se rabaisser et, être faible... Le peut-elle ? Peut être, nan... Confiance, il le fallait, il le fallait vraiment... Ne plus être enchaîner et, permettre ainsi aux magnifiques ailes de se défaire des chaînes du passé... Elle prit une grande inspiration... Mon personnage... Que désirait-elle être ? Elle ne le savait pas... Elle le saurait peu à peu en se révélant autre... Il l'aiderait peut être dans cette quête... Amusant... Elle le regarda...

Un reflet... Oublier et, devenir comédienne... Les paroles de l'étranger la frappaient de plus en plus... Un devoir de l'être, pour se défendre, se protéger et, en même temps, se verrouiller l'esprit et le coeur... Forte, envole toi... Liberté retrouvée ? Non, triste comédie qui se joue des vies... Le suivre ? Non ? Oui, le suivre... Symbolique, une belle offre... Il lui tendait la main, une aide importante... Un geste significatif, elle se devait de la prendre en pensant que qu'il désirait l'aider... Elle, la paysanne nature et, paumée en face d'un acteur... Il semblait satisfait mais, était-elle satisfaite ? Elle le saurait dans l'avenir... A la recherche d'une autre...

En déroute et, des pensées curieuses et frileuses en elle, Nalyss sursauta... Le moment est venu... Ne plus réfléchir et, le suivre en vitesse... Elle resserra sa cape sur ses épaules, attrapa sa besace et, se leva à la hâte restant sur les pas de l'étranger... Attendez... Je ne veux vous perdre de vue... Elle s'avança marchant du mieux qu'elle peut, en même temps que l'étranger...
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---fromFRAnonymous
Etrange toujours , de marcher à côté de lui, comme si de rien n'était , elle avance à travers des rues qui jusqu'à lors lui paraissaient hostiles , dangereuses, repères de mille et un pièges , et qui soudain ne sont plus qu'un banal lieu de ...promenade ?

Non reprends toi vite ...;
ne risque pas ta vie pour ......ça

Etonnée toute seule de cette réflexion intérieure , elle rage de se laisser aller à ces questionnements incongrus et inopportuns

pfff , après tout..... ta vie ...tu n'en avais cure jusqu'a ce jour et maintenant tu craindrai pour elle ?

Malanguise ne dit mot marchant à côté de Brise , son front se plisse , soucieux
Des questions par milliers viennent se bousculer dans sa tête , elle qui ne s'en posait pas.

Heureusement la taverne est là devant eux mettant un terme provisoire à la ballade et aux réflexions dérangeantes


un rat crevé , il faudra t'en contenter l'ami

Elle passe devant lui , et pousse la porte tout en s'écartant pour le laisser passer , ébauche une révérence goguenarde
si Messire veut bien se donner la peine ...
---fromFRAnonymous
Mortuis entra dans la taverne dans l'"espoire d recontré de mauvaise âmes à contrôler pour provoqué une ptite bagare dans laquelle il disparaitrais sans payé comme à son habitde... Il s'avançat devant le comptoir et cria :

A BOIRE !!!!!!!!! ET CE QU' IL Y A DE PLUS FORT !!!!!!

Puis il se tournat pour voir les personne se trouvant dans la taverne, pour savoir qui lui servirais de pantin pour une bonne disparition...
---fromFRbrisenuque
Les ruelles sombres et salles semblent étre devenue différente depuis qu'ils les traversent à deux.
Ils arrivent à la taverne, les cris ,les rires gras, les chansons paillardes leurs sautent au visage quand elle ouvre la porte.

Narquoise elle lui rend la monnaie de sa pièce de sa précédente boutade.

si Messire veut bien se donner la peine ...

S inclinant en riant il pénètre dans le lieu, ou l'air épais et la fumée lui saute à la gorge, elle se glisse derrière lui,ils avancent dans la pièce vers une table libre.

Quelques regards concupiscent viennent s'attarder sur elle, provoquant chez lui à la fois plaisir de voir qu'elle attire l'oeil et agacement de voir la convoitise de ses gredins sur celle qui encore quelques instants auparavant s'est donnée à lui sans réserves.

Posant doucement la main dans son dos il l'engage à s'asseoir, s'installant auprès d"elle. Regard circulaire sur la salle qui finit sur son visage . La sans réfléchir il a un geste qui dans cet endroit parait totalement déplacé, il tend la main et caresse sa joue . Furtif moment de tendresse qui s'est imposé à lui comme naturellement ,mais qui dans ce bouge infâme parait totalement anachronique.

Sortant une pièce d'or d'une poche de sa ceinture il la fait briller devant les yeux d'une servante qui passe près d'eux.


Ma belle apporte nous ce que tu a de meilleur ,si tant est que celà existe dans ce lieu et rapidement nous avons faim et soif.

La souillon qui s'est emparée prestement de la pièce la mordant pour s'assurer de son authenticité, repart rapidement vers ce que l'on pourrait appeler la cuisine dans un autre lieux.

Il revient vers elle ,l'observe quelques temps sans parler, c'est la première fois qu'il la voit avec autant de lumière. Son regard la détaille impudiquement.
Elle appartient à ce monde ,petite voleuse des rues, usant de sa dague ou de sa dextérité pour gagner une maigre pitance. Il en a vu souvent dans d'autres circonstances, presque dans une autre vie.

Il ne sait pas pourquoi mais il la voit différemment de celles ci ,peut étre ce coté petit chat sauvage, cette volonté d'indépendance qui la pousse à ne rien céder,ou simplement ce qu'il a lut dans ses yeux dans la pénombre de la ruelle uniquement éclairée par leur amie la lune. Une lueur furtive qui semble encore flotter par moment dans son regard autrement gouailleur.

Elle s'aperçoit qu'il l'observe avec attention ,soutient son regard , sourire de défi .Il sourit a son tour revenant pour un instant à la raison qui le pousse à étre dans cet endroit, mais en est il totalement sur maintenant.......
Il baisse un peu la voix pour éviter d'être entendu.


Alors ma belle que sait tu des Libertad ?
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Si un grain de sable égale un baiser viens que je t'offre la plage entière
On n'aime pas assez si l'on n'aime pas trop.
---fromFRAnonymous

Toujours aussi lourde l'ambiance de cette taverne lugubre où quelques consommateurs imbibés reluquent sans aucune gêne les nouveaux arrivant.
Sous les regards curieux ils s'installent, côte à côte sur une table qui poisse sous les coudes.
Lui ne perd jamais une occasion de la toucher , de la frôler, allant même jusqu'à oser effleurer sa joue d'un geste tendre qui dénote en ces lieux de perdition et devant un public peu amène , enclin à la gausserie.

Elle ne semble pas réagir à cet élan qui le pousse inlassablement au contact de sa peau mais en son fort intérieur , elle est gênée , mal à l'aise de ces démonstrations et un frisson incontrôlable ruisselle le long de son dos à chaque fois qu'il la touche , noyant toutes les petites voix intérieures qui lui crient de ne rien dévoiler. Elle ne veut pas réagir pour ne pas perdre le sens et le moteur de ce qui la guide, la protège depuis toujours, son instinct.
Et elle rit pour se donner une contenance en voyant la drôlesse tester la pièce qu'il lui a lancé.

Les yeux de Brise ne quittent pas les siens mais a t il vu son regard briller soudain ? était ce pour l'éclat de la pièce qu'elle a remarqué immédiatement ou le reflet de ses yeux ?

Elle se penche pour répondre à sa question quand soudain son visage se détourne de lui , son regard quitte celui de Brise pour se river sur un homme qui vient d'entrer agité , vociférant.
Sa main passe sous la table discrètement , se porte à la ceinture et se cale sur sa dague. Ils font face à la porte , une vieille habitude ça aussi , Brise n'aurait il rien vu ?
Il l'a questionné à voix basse.

Attends lui intime t elle le visage tourné vers l'homme qui appelle à grand cri une boisson digne de ce nom ,
Attends un instant , ce n'est pas le moment.
---fromFRAnonymous
La boisson de Mortuis arrivat... Il attrapat le poignet de la personne qui le servait et lui dt :

apporte m'en encror trois autres... mais en plus grandes dose...

Il lui lachat le poignet pour pour être servit au plus vite... Et prit d'une main sa choppe qu'il but d'un trais....

ARFFF !!!!!!!! ça c'est ce que j'appelle... de.... de...

Mortuis senti un frison lui monté jusque dans la tête...

de la bonne boisson....

Il regardat autour de lui et vit qu'il étais surveillé...

humm...

Il se retournat vers le comptoir et attendit avec impatience sa boisson....

DEPECHE !!!!! J'AI PAS QUE SA A FAIRE !!!!!!!! Y EN A QUI BOSS !!!!!

Il tapat un grand coup sur le comptoir.....
---fromFRbrisenuque
Attend lui dit elle l'air un peu inquiet.
Il suit son regard qui observe un jeune homme braillard au verbe haut.
Il l'a remarqué quelques secondes auparavant , mais rapidement jugé , bien trop de la gueule pour être dangereux celui là, fanfaronnade inutile dans ce lieux ou il doit en falloir bien plus pour impressionner.

D'ailleurs quelques regards peu amènes se sont déjà détournés pour fixer le matamore, quelques sourires narquois, ont déjà fleuris sur les lèvres des plus teigneux qui se verraient bien de corriger ce trublion.

Un sourire amusé aux lèvres il pose sa main sur la sienne.


Pas d'inquiétude Malanguise celui là n'est pas dangereux, il parle trop et trop haut ,ce ne sont pas les plus à craindre.

Sa main est resté sur la sienne, il vient de se rendre compte que pour la première fois il vient d'employer son nom,son surnom, enfin celui qu'elle a bien voulut lui donner.
Sa main assez fine disparait complètement sous sa large main puissante, mais pourtant c'est avec beaucoup de douceur qu'il la serre quelques secondes qui paraissent presque une éternité.

Elle a sursauté quand il a saisit sa main, comme s'il l'avait brûlé , dans un premier réflexe elle a voulut tout d'abord la retirer, instinct primaire de celle qui ne veut pas s'abandonner à une quelconque douceur, mais elle ne l'a pas fait .

Ils se regardent avec chacun le même mélange de pudeur et d'envie, la servante qui arrive avec les plats interrompt les questions que leurs yeux se posent .

Deux assiettes fumantes de ragoût et deux pintes de biere mousseuse sont posées sans aucune attention devant eux.
D'une moue dubitative il se penche pour tenter de voir ce que contiennent les assiettes.

Un sourire moqueur elle a déjà saisie sa cuillère pour attaquer le repas .En riant il lui lance.


Tu a raison ne nous posons pas trop de questions ,il se fait faim.
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Si un grain de sable égale un baiser viens que je t'offre la plage entière
On n'aime pas assez si l'on n'aime pas trop.
---fromFRAnonymous
Finalement le lascar n'a que peu d' intérêt et ne présente pas de réel danger . La main de Brise qui vient prendre la sienne lui confirme qu'il n'y a rien à craindre malgré le silence que le manège de l'homme a engendré dans la salle.
Mais il la laisse , et elle n'ose plus la bouger la sienne , il la serre avec une étonnante douceur pour de telles paluches plus habituées à tenir les armes sans doute que des mains féminines .

Un instant elle se rappelle pourtant ....
qu'elle se trompe et que ses mains là ne sont pas n'importe lesquelles ,
serrement au creux de l'estomac ......
et ce n'est pas la faim ....
C'est l'arrivée de la servante qui la décide à enlever doucement sa main de celle de Brise


Sans prendre garde à ce qu'il y a dedans elle se jette sur son assiette, lançant un oeil amusé par dessus sa cuillère à Brise qui semble sceptique devant le plat fort peu alléchant qu'il a devant lui.
En quelques bouchées elle a fini, avale une rasade de bière qui lui pique le gosier .
Puis le menton dans la main , coude sur la table elle le regarde manger , le dévisage , reconnaît certains endroits qu'elle a embrassé , se dit que cela ne pouvait être elle et pourtant , il lui semble le connaître si bien ce visage là maintenant ....

Petit à petit la taverne reprends sa sonorité habituelle , les verres s'entrechoquent à nouveau, le ton des voix augmentent et les rires redoublent .
Le lascar toujours au comptoir a avalé d'une traite son verre et vacille . Elle détourne son regard un instant de celui de Brise pour s'assurer que l'homme n'est pas menaçant.
Elle sourit en le regardant encore maugréer .

Sans même sans rendre compte sa main est venue se poser sur la cuisse de Brise , juste à la racine au pli de l'aine , elle se penche et lui murmure :


regarde il ne va pas tenir .... elle rit

et soudain s'aperçoit de son geste , sa main là sur sa cuisse

il s'est arrêté de manger , la bouche entrouverte sur la cuillère qui ne sait plus que faire, hésitant

Elle enlève alors sa main d'un geste rapide dans un réflexe mal contrôlé , comme si elle avait senti des braises sur sa paume.
Elle reprends son verre de cette main qui l'a trahie et le vide comme pour trouver un autre contact et calmer la brulure .


Bon où en étions nous ? Les Libertad t'intéressent semble t il ?
J'en ai entendu parler vaguement , je sais que certains d'entre eux rôdent par ici
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