Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 61, 62, 63, ..., 114, 115, 116   >   >>

[RP] Taverne le Rat Crevé

---fromFRAnonymous
Petit à petit la douleur se calme, devenant lancinante tout au plus, mais largement supportable. Brise avait abandonné sa course furieuse derrière le borgne pour venir se porter à la hauteur de Malanguise dès qu'il l'avait vu vaciller.

Leur regards se croisèrent un instant et elle le rassura en opinant du chef pour répondre à son anxieuse question.
Puis il se plaça tout contre elle , la protégeant de son imposante carcasse car il craignait un nouveau tir du sbire embusqué sur les toits.

Le borgne lança encore une belle bordée de jurons avant de rameuter le peu qui lui restait de sa bande.
Brise avait sorti un couteau de sa botte et se préparait sans doute à s'en servir contre le tireur , sans savoir si le gars avait décidé d'obtempérer aux ordres du borgne.
Quant à lui , il s'éloigna finalement , non sans de copieuses menaces .

Malanguise toujours plaquée contre le mur , respirait plus tranquillement maintenant, mais Brise lui , était encore aux aguets prêt à en découdre s'il le fallait .

Doucement , il lui murmura :
Ne bouge pas

De toute façon , elle n'a pas le choix .
Suivant le rythme de sa respiration , c'est son coeur qui se calme aussi lentement .
Juste là contre elle , Brise ne bronche plus , il attend , il guette ,
elle le sent contre elle prêt à bondir , tous les muscles tendus .
Malanguise n'entends plus que le souffle court de Brise qui semble se calmer aussi.

La ruelle se tait , le silence se fait .

De longues minutes s'écoulent ....sans autre bruit que celui de leurs souffles ...

Tout va aller maintenant...
tout va bien,
regarde...
il n'a rien ,
il est là,
juste là...
avec toi......
toujours...

Soudain...
Un bruit casse le silence avec fracas , Brise sursaute , se serre davantage contre elle , raffermit sa prise sur le poignard dont la lame brille sous un rayon de lune. Elle est toujours là à veiller sur eux . Son halo ne les a pas quitté...

On entend un bruit de tuilles cassées et de cavalcade sur le toit , quelques morceaux de terre cuite brisés tombent à leur pieds,
c'est le dernier malfrat qui s'enfuit .

Doucement Malanguise pose la main sur le dos de Brise


Ca y est..c'est fini....
---fromFRbrisenuque
Le Borgne fuit , la menace à la bouche, dernier moment de bravache ou réelle intention de revenir tirer sa vengeance, impossible à dire.
Il ne veut pas écouter la petite voie qui lui rappelle que l'on ne doit jamais laisser fuir un ennemi qui peut à nouveau nuire.
Ce serait la laisser à la merci du tireur ou d'une autre menace ,inconcevable.

La rue est déserte et silencieuse. L'ordre de repli a été donné, mais n'est pas tout simplement une ruse pour qu'il relâche sa garde.

Les minutes s'écoulent, il lutte contre l'irrépressible envie de se tourner, de la prendre dans ses bras ,de vérifier la gravité de sa blessure.
Il sent son souffle chaud dans son dos, qui se fait plus régulier au fur et à mesure que le temps passe. Réconfort de sa présence, elle est blessée mais elle est vivante.

Le regard rivé vers les toits, il finit par entendre les bruits qui confirment la retraite.
Elle pose doucement sa main sur son dos et dans un souffle de soulagement
Ca y est..c'est fini...

Il respire profondément ferme les yeux quelques secondes oubliant la ruelle , le cadavre au crane ouvert, les tensions ,les appréhensions, ne gardant que le doux contact de sa main sur lui, chaude apaisante.

Lentement il se tourne vers elle, croisant son regard ,il y découvre le même soulagement que le sien doit lui renvoyer, la satisfaction que l'autre soit toujours là .
Il pose sa main sur sa joue, remet en place une mèche de cheveux collée de sueur qui lui barre le front et tout simplement lui sourit.

Oui c'est finis....

Il voudrait lui dire autre chose ,mais les derniers vestiges de son armure retiennent encore les mots.
Pour voiler son trouble ,il revient à leur situation, elle est blessée sérieusement , la manche de son corsage est rouge de son sang, elle grimace un peu malgré qu'elle tente de lui sourire.

Salle blessure ma belle, on ne peut pas laisser celà ainsi, il faut trouver un endroit ou te soigner.

Puis sans plus de retenue, il la prend dans ses bras, prenant garde à sa blessure, il la serre contre lui ,pose sa bouche sur ses cheveux décoiffés, doucement lui murmure.
Bien jouée ,mais ne me refait jamais plus une peur pareille.

Les derniers morceaux de l'armure viennent de disparaître, mais quelques part il sait que c'est ce qu'il veut.

_________________
Si un grain de sable égale un baiser viens que je t'offre la plage entière
On n'aime pas assez si l'on n'aime pas trop.
---fromFRAnonymous
Enfin il se retourne , lui passe une main tendre sur la joue ,dans les cheveux ...il n'est plus le même
ni le combattant féroce qu'elle vient de voir à l'oeuvre ni même celui qu'elle côtoyait juste avant cette embuscade sordide .
Elle croit voir quelque chose de différent dans ses yeux , dans sa façon de la regarder
Elle sourit , tord un peu la bouche sans le vouloir , son front se plisse car son bras la lance


Salle blessure ma belle, on ne peut pas laisser cela ainsi, il faut trouver un endroit ou te soigner.

Quand il la prend dans ses bras , elle ne peut retenir un mouvement naturel qui n'est pas d'elle mais qu'elle ne peut réprimer, elle pose son front sur son épaule ,apaisée, tranquille ...tout va bien décidément

Bien joué ,mais ne me refait jamais plus une peur pareille ajoute t il doucement
Moi te faire peur ......? elle s'étonne en riant :
Je n' ai jamais eu ni l'impression ni l'intention ....de te faire peur ....ha si peut être ...une fois l'intention ....mais ce fut de courte durée ...souviens toi..

Puis elle passe à son tour sa main sur la joue de Brise marquée par le trait d 'arbalète.

La maudite faucheuse est passé plus près de chez toi que de chez moi on dirait . Mais elle n'a voulu ni de toi ni de moi ...cela me convient assez bien pour aujourd'hui . Un jour de plus , c'est toujours ça de pris .

Elle réalise soudain que tout au long de ce combat de rue , elle n'a pensé qu'à lui , n'a agit qu'en fonction de lui. Elle l'admet même si elle a du mal à apprécier le sens de ce qu'elle ressent. Que va t elle bien pouvoir faire de toute ces choses qui se mélangent dans sa tête ?

Souffler enfin , respirer librement .. soulagement c'est le mot qui convient mais elle ne le dira pas car elle ne sait pas sur quel sentiment ou sensation l'épingler ce mot là...
Ne pas tout mélanger surtout ......
et pourtant...
tout c'est mélangé en ces instants si intenses, si rapides, si terribles où tout pouvait se jouer.


Son regard se pose sur son bras , engourdi à force d'être serré .
Il lui faut au moins nettoyer la plaie d'autant que Brise à l'air inquiet


ce n'est pas si grave que ça , je m'en remettrai ..c'est la couenne qui a pris rien de plus

C'est alors qu'elle se souvient des sales pattes du borgne sur elle , et soudain l'envie irrépressible de se laver de cet affront, de sa puanteur et sa trace ...

tu as raison allons trouver un endroit pour nettoyer tout ça
---fromFRbrisenuque
Elle à beau jouer la brave il voit bien aux grimaces qui lui échappent qu'elle souffre plus qu'elle ne voudrait le laisser paraitre.

Je n' ai jamais eu ni l'impression ni l'intention ....de te faire peur

Elle ne peut le savoir mais la peur n'a cesser d'être présente, insidieuse, sournoise, celle la plus difficile à combattre, car la peur pour l'autre pas pour soi.

Sa main vient effleurer l'égratignure sur sa joue , plus tendre qu'il ne s'y attendais, douce et apaisante.

Ce n'était pas notre heure ma belle, pas encore, la mort à dut décider que nous avions encore des choses à voir et à faire.

Je ne sais pas trop ou nous allons pouvoir aller soigner celà, mais de toute façon on ne va pas rester ici à attendre que l'autre tordu décide de nous retomber dessus.

Il va ramasser la dague qu'elle à laissé tomber,la lui tend.

Ca pourra encore servir.
Appui toi sur moi on bouge.


Il va pour passer un bras autour de sa taille pour la soutenir, croise son regard , sourit, non le petit chat sauvage n'appréciera pas.
Il lui tend simplement la main.

Laissant derrière eux le cadavre que déjà les rats commencent à approcher, ils avancent dans la ruelle , laissant le hasard guider leurs pas à la recherche d'un endroit pour faire une pose.

_________________
Si un grain de sable égale un baiser viens que je t'offre la plage entière
On n'aime pas assez si l'on n'aime pas trop.
pnj
Paris. Il avait fait route, à dos de cheval, en faisant le moins d'arrêts possible. Il avait rendez vous à Paris, à la cour, pour quelques raisons obscures. Profitant de son voyage à l'extérieur du Lyonnais-Dauphiné, de par ses fonctions de marchand, il posa pied à la cour des miracles, ne sachant pas assez ce qui l'avait poussé ici. Une lettre humide et jaunie, c'est vrai. "Rendez vous à Paris, cour des miracles. " Rien d'autre, hormis un cachet rouge avec un poulpe sur la face. Et maintenant, que devait il faire ?

Bah, il patienterait tranquillement, il essairait de rester en vie, peut être se fairait il des contacts ? Aucune idée. Le bastard qu'était Perturabo ouvrit la porte d'une taverne, le Rat crevé. Il souhaitait raffraichissement, et avait laissé sa monture en lieu sûr. Ses cheveux blonds ébouriffés contrastaient avec son regard clair et lucide, vêtu tel un vagabond, c'est à dire des haillons, il portait néanmoins des braies rouges. Frêle, il n'était point homme taillé pour le combat en apparence, après tout, il ne devait pas avoir plus de dix sept printemps. Un bouseux, un pécore, aimaient à dire les nobles en le voyant, il n'était sensiblement pas différent de la majeure partie de la population des royaumes. Néanmoins il n'en souffrait pas, il faisait avec, opprimé qu'il était, il avait mis à profit quelques uns de ses talents, en gardant discrétion toutefois.

Commandant une choppe, le jeune Perturabo prit place à une table, l'ambiance noire et puante des lieux ne lui inspirait guère confiance. Il y avait eu combat dehors, il s'était fait très petit en passant tout près, préférant rester dans l'anonymat et l'inconnu pour éviter les ennuis.
Attablé et seul, il patientait, sombrant dans ses pensées, en attente de son contact.
---fromFRVandré Volte
Passage à la cour avant de reprendre la route? Ou bien installation ?
Nul ne le savait pas même lui ou son maitre.

Ce qui était sur c'est qu'il était la bien présent, dans la cour des miracles, au beau milieu du quartier andomiste, cherchant une quelconque actions à réaliser.

Un bruit de bagarre...


* Surement quelques voleurs qui s'entretuent pour quelques écus ou pour profiter d'une belle... *

Préferant éviter de se mêler de ce qui ne le regarde pas, l'homme de main du Comte de Louvelle ignore la bagarre, son objectif actuel n'est guère loin :

La taverne du Rat Crevé, ancien vestige de la puissance d'Andom de Louvelle sur la Cour, ancien vestige de celui qui avait failli finir Roy de celle ci lors d'affrontement qui secouèrent cette cour...

Repensant à cela, Vandré marmonna :


Décidement, il faut que j'arrete de radoter ... L'age ne m'aide pas mais cette époque est révolue alors n'en parlons plus et tentons de reconstruire ce quartier et son image

Tout en grommelant, Vandré passa la porte. Il n'adressa qu'un signe de tête rapide à ce qui servait de tavernier puis lanca un regard rapide dans la salle pour voir s'il n'y avait pas quelques bougres qui pourraient servir la cause.

Ne trouvant pas au premier coup d'oeil, il s'installa non loin d'un nouvel arrivant et commanda une pinte

_________________
pnj
Plongé dans des pensées éphémères, le jeune Perturabo dégustait sa choppe, buvant par coup et doucement, avant d'être tiré brusquement de ses rêveries. La porte claqua, le nouveau venu marchait d'un pas lourd, une tête de truand, la moustache soignée pouvait en attester. Il aurait cru le voir un jour, peut être. Non, il ne pouvait jamais l'avoir vu, il ne l’avait jamais vu même.
La bière coulant dans son oesophage, le Perturabo attendait patiemment et se remit à penser à ses diverses préoccupations. Il avait de la nourriture pour encore quelques jours, après, nada. Il fallait qu'il trouve des petits boulots pour se nourrir, il ne tenait pas à finir en mendiant. Espérait il que la personne lui ayant envoyé "l'invitation" puisse lui fournir du travail. Sinon il devrait repartir sur les routes ...

D'azur au dauphin d'argent accosté de deux macles d'or, au chef d'argent chargé de trois merlettes d'azur, miséricorde ! Le truand à la moustache portait le blason Louvelle ! Grands dieux, Perturabo en fut surpris, et totalement sorti de ses pensées ! Il était dit qu'il était un bastard, et que dans ses veines coulait du sang Louvelle. Il ne savait rien de ses origines, ou si peu, hormis ces deux détails. Il fallait qu'il en sache plus ! Se levant de table, tout en finissant sa choppe d'un trait, le jeune Perturabo s'approcha de l'inconnu à la moustache, l'alcool dissipant les quelques appréhensions qu'il avait de parler à un inconnu. Après tout, il avait l'habitude.

Excusez moi ...
Je vous ai vu entré, puis ... Vous portez le blason de la famille Louvelle.
- ton sérieux, le regard limpide, il poursuivit - Peut être pourriez vous m'aider ? Il se dit que j'appartiendrais à cette famille. J’attends quelqu'un, mais il n'a pas l'air de venir ...

Souriant à son interlocuteur, le Perturabo releva l'index de la main gauche, une sale habitude qu'il avait prise, il le pensait, comme pour signaler un détail omis.

Je ne me suis pas présenté ... L'on m'appelle Perturabo.
---fromFRVandré Volte
Ayant vu l'inconnu sortir de ses pensées et venir le voir, Vandré commença à grommeller :

Encore un qui va me proposer mont et merveille : En avoir une plus grosse épée, un philtre d'amour, des pilules bleus pour apporter du bonheur...

Puis il se tut un moment pour écouter l'inconnu puis souriant il montra la chaise en face de lui et d'une voix legère il dit:

Vous voila bien culotté messire Pertubamachin...
Venir déranger un vieil homme à cause des armes qu'il porte voila qui est peu courant...
Surtout quand l'homme n'aspire qu'à la paix...


Sourire malicieux aux lèvres, le tavernier avait apporté sa pinte. L'homme de main trempa délicatement ses lèvres dans la choppe puis s'essuya sa moustache pleine de mousse :

Vous dites être un de ces batards Louvelle ? Et vous pensez que je peux vous aider ?
Pardonnez moi mais je ne suis pas les Louvelles dans leurs moindres faits et gestes, et il serait bien dangereux de noter le nom de celles qui furent compagne d'un Louvelle que ce soit pour un soir forcée ou non...
Enfin un sang tel que celui ci ne peut être renié il influence les actes...


Puis restant évasif sur la teneur des actes que le sang Louvelle engendrait, Vandré continua :

Quand à votre rendez vous, apprenez qu'à la cour il y a bon nombre de retard suivant les personnes que vous croisez...
Comptez 5 minutes de retards pour un maraud et une infinité pour un groupe si votre rendez vous est seul...

Enfin il se trouve que moi aussi j'attends une personne en espèrant qu'elle se montre...
Alors attendons ensemble ... Et puis si ces personnes ne se montrent point nous pourrions aller ensemble dans un endroit plus tranquille, il y a moulte endroit interessant ici bas ...


Ne souhaitant pas dire ni son nom ni autres informations, il continua à dévisager tenter de découvrir de qui cet homme pouvait il être le batard. Certains de ses traits ressemblaient à Andom lui même mais cela n'etait pas possible, celui ci n'était guère un coureur de jupon comme l'avait été la Veuve Noire sa femme...

Il se mit à penser qu'il ne pouvait être qu'un des batards d'un comte de Louvelle... Ensuite lequels, voila qui restait à découvrir

_________________
pnj
Le truand parlait d'une voix grognante, compréhensible, le ton de celle-ci laissait transparaître un certain cynisme, une certaine moquerie. Il était fort probable que Perturabo eusse dérangé ledit homme, qui "n'aspire qu'à vivre en paix", cela l'aurait fait sourire s'il savait, mais ça n'était pas le cas. Invité à patienter, le bastard prit place en face du moustachu, qui dégustait gentiment sa pinte.

Je ne puis me défiler de votre invitation, aussi je patienterais avec vous.

Le Perturabo s'efforçait de parler d'une manière courtoise, comme il le faisait avec les nobles. Toujours. Il aimait à la flatterie, les gentes n'en étaient après que plus déliés. Le truand le prenait certainement pour un jeune bouseux imbu de lui même, ça n'était peut être pas faux, Perturabo était bien trop jeune pour avoir connu certaines choses, trop inexpérimenté. Il le savait, son inexpérience faisait que ses adversaires le sous-estimaient la plupart du temps. C'était un atout dont il n'hésitait pas à user. Et cela ne l'avait pourtant pas empêché de dépouiller des manants sur les routes. Ni d'avoir pratiqué, peu de temps néanmoins, le métier d'apprenti faussaire.
Les bras croisés sur la table, le regard mielleux, le jeune homme démontra, involontairement, son audace démesurée, en assaillant de questions indiscrètes son interlocuteur. Il était forcé de l'admettre, il ne savait rien des Louvelle.

Excusez moi, je vais peut être paraître ... désobligeant, mais vous avez parlé des Louvelle ... A dire vrai, je ne sais, rien sur cette famille.
Je dois en savoir autant que sur ce lieu, cette place, la cour.
C'est la première fois que je m'aventure à Paris.
Je voyage, vagabondant, passant par les villes, en profitant pour pratiquer mon métier de marchand ...


Il parlait un peu trop, en disait un peu trop surtout. Au risque de barber son compère de la taverne, il préféra changer de discussion, doutant que la vie misérable de Perturabo puisse lui plaire.

Vous m'avez parlé d'autres endroits ... Avez vous une idée d'où discuter tranquillement ? Il me semble que je ne rencontrerais pas celui que j'attendais aujourd'hui ...

Le moustachu possédait moult tatouages, ses bras musclés, bien que la couenne entrait également en compte, laissait à revoir quand à le dépouiller éventuellement.


* Dommage, - pensa le bastard - je lui aurais bien chippé sa monnaie, il a l'air de ne pas être en manque de piécettes le bougre *
---fromFRYnköjì
Ynköjì s’était rassasié. Son hermine avait tellement mangé que son énervement s’était calmé. Les gens l’énervaient ici. Ils se conduisaient comme des animaux. A peine Ynköjì était entré qu’il se faisait courir après. L’islandais commençait à haïr la France. Les français puaient et faisaient comme ci ils ne le savaient pas.

Ynköjì, par politesse, rapporta sa gamelle au comptoir. Il sourit de force au tavernier. Il repartait à présent. Cette taverne lui avait donné à manger, les gens l’avaient insulté, le tavernier l’avait remercié d’être venu, s’en était fini. Il ne resterait pas plus longtemps ici. L’islandais resserra son manteau de cuir et réajusta sa capuche. Son hermine poussa un léger cri. Quelques personnes osaient encore le fixer ou même rire de lui. Ynköjì lança quelques jurons en islandais. Les personnes qui le fixaient le lâchèrent du regard.

Il donna des coups de bottes dans le comptoir, ce qui les décrotta. Ynköjì fit un signe de la main et s’enfuit par la lourde porte en bois.

_________________

Margur Madur fòr ad finna og spyrja hann tidinda.
---fromFRHolwenn
Holwenn entra a son tour dans la taverne. On lui avait tres souvent parle de la cour des miracles. Eh bien lavoici ici maintenant ! Elle etait arrive la par hasard elle avait marche la tete ailleur pensant a sa famille loin dans l'actuelle scandinavie, a sa vie ici sans reel but.
Peut etre etait ce ca qu'elle recherchait ici un but a sa vie.
Peut etre ne le trouverait elle pas ici mais... peut etre que si. On verra bien se dit elle.
Elle ne conaissait personne. Elle pensa que peut etre ici elle trouverais des contacts.
Dans un coin de la taverne elle vit 2 hommes discuter le GROS moustachu, elle avait l'impression de le connaitre peut etre pas il faisait si sombre dans cette taverne.
Elle ne voulais pas etre seule elle s'approcha du comptoir et commanda une pinte de biere.
Elle se retourna etse dirigea vers la table des deux bonhommes.

Bonjour, puis je m'assoire en votre compagnie messieurs?

n'attendant au cune reponse, elle s'assite et le tavernier lui apporta s a pinte
---fromFRVandré Volte
Vandré qui écoutait attentivement ce que le jeunot lui racontait :

Ainsi tu te dis Louvelle sans meme savoir ce que cela signifie...
Tu es donc bien idiot car bon nombre de personnes tuerait un Louvelle s'ils en voyaient un...

Quand à votre vie de bohème à vrai dire je m'en moque...
Un Louvelle est souvent sur les chemins, je ne souhaite pas vraiment savoir ce qu'ils y font...
Quand au métier de marchand bon nombre de personnes se disent dans les "affaires" et en profite pour prendre les bourses qui trainent...


Alors qu'il allait parler des autres endroits de la cour Vandré fut interrompu par la Dame qui venait d'arriver. Devant l'impolitesse de celle ci il reprit :

Je n'ai meme pas besoin de parler de l'Opalescente qu'une de ses hotesses vient prendre place à notre table...

Il se tourna vers la nouvelle venue :

Damoiselle...
La moindre des politesses aurait été d'attendre que nous acceptions vos services de ribaudes avant de vous assoir...
Néanmoins, je pense que ce petit aurait besoin de vos services, il m'a l'air en age de connaitre ces plaisirs...
Et comment doit on vous appelez?


A ces mots, Vandré sortit une pièce de sa bourse et tenta de la placer dans le décolleté de la donzelle
_________________
---fromFRHolwenn
Bien j'aie netendu le nom de Louvelle qui sont ces gens? Sont ils nobles? ce jeune homme fait ilp artit de cette famille?

Se retourne vers le vieux

Je ne donne mes services qu'aux nobles et non par pieces messire mais par bourse.

bien sur je suis en visite ici il faut bien que je me nourisse

Aller un petit geste messire et peut etre aue j'accepterais de faire un effort pour ce jeunes puceau.

Bien que je ne soit pas venu ici pour ca
---fromFRHolwenn
Excusez messire il me semble ne pas avoir repondu a toutes vos questions
Je suis damoiselle Holwenn de champagne.

Attendez vous quelqu'un?
pnj
Tiens une nouvelle entrante ... Sacré dieu, elle s'installe à la tablée, sans autorisation ! Petit détail laissant un sourire sur la bouche du jeune Perturabo, le truand n'avait pas l'air bien commode.

Madame, enchanté. - légère inclinaison de la tête, pour la saluer - A qui ai-je l'honneur ?

Se faisant, le bastard ne se souvenait pas non plus que le moustachu se soit présenté. Lui qui essayait de le caser avec la jeune femme ... A la cour ! Il s'y plaisait déjà. Espérant qu'il puisse se faire un peu d'argent facile, cela l'arrangerait.

Dame, je ne suis point puçeau, et ne recherche point les services d'une ribaude pour le moment, bien que cela ne soit pas pour me déplaire.

Les bras croisés, il leva la main droite, comme pour se signaler au tavernier.

Permettez que je commande boisson ?

Pas besoin de leurs avis, il avait déjà passé commande. Soif qu'il avait.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 61, 62, 63, ..., 114, 115, 116   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)