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[RP] Taverne le Rat Crevé

pnj
Db marchait dans les ruelles noires et craseuses de la Cour. Ce lieu la répugnait maintenant. Avant, ca avait été sa cour de récréation, maintenant ca lui semblait bien trop sale, bien trop rempli d'imbéciles et de femmes se pensant toutes puissantes.
Ah... Les ribaudes !

Elle se dirrigea vers le Rat crevée. Aelann ne pouvant plus mettre les pieds a l'Opalescente... Elle soupira d'inquiètude. Qu'était devenue la gamine ? S'était elle encore mis dans une situation délicate ? L'enfant était imprevisible, elle le savait.
Pourvu qu'elle ait pu accomplir sa mission.

La blonde poussa la porte du Rat Crevé et fut desuite prise par l'ambiance.
L'odeur de la chair humaine... Odeur de spiritueux... Odeur du vice... Odeur du sang... Atmosphère pesante.
Elle traversa la pièce vers une table dans un coin et s'affala sur une banquette.
Elle n'avait plus qu'a attendre.
---fromFRVandré Volte
Vandré soupira devant tant de question, il regarda le fond de son verre en se demandant ce qu'il avait bien pu faire pour mériter pareille compagnie.

Après quelques instants sans que nul mot n'a sorti de sa bouche, il reprit :


Les Louvelles, nobles? Il ricanaIl n'y a pas de mot pour décrire la noblesse de leurs projets et encore moins celle de leurs ames...

Il faut le voir pour le croire...


Puis regardant la ribaude d'un air pompeux :

Oh milles excuses madame... Je ne savais pas qu'il fallait un titre pour s'offrir vos services...
Et si c'est vraiment le cas, vous vous etes trompés d'endroit... Enfin de Cour... On est pas au Louvres ici... Sortez donc d'ici et aller la haut si les petites gens qui ne porte pas de particules vous font si pitié que vous ne les accueillez pas en vos cuisses...

Vous dites que vous n'etes pas venu pour aguicher un client alors pourquoi donc être venue ?


Puis il laissa les deux jeunots discuter ensemble et lorsque la nouvelle arrivante passa la porte, il se renfrogna en marmonnant :

Chienne de Bretonne... Elle a corrompu Laval... Elle en a corrompu d'autres... Puisse t elle retourner en Enfer d'ou elle vient...

Puis il se placa au fond de son fauteuil en souriant d'un air mesquin.
_________________
pnj
Db commencait a perdre patience... Ou était la petite ? Que faisait elle ? Elle lui avait dit qu'elle serait la. Un imprévu ? Elle espérait que se ne soit pas trop grave...
Elle commanda a une catin un verre de chouchen. S'ils en avaient pas, qu'ils en trouvent.

La blonde s'appuya contre le dossier de la banquette. Il y avait du monde dans cette cage a poules Elle parcourrait la salle du regard quand elle vit un petit vieux, frippé, tassé avec une tete de taupe la regarder, une lueur mesquine dans le regard. Tiens... Un des chiens de l'autre chose brune. Elle fronca le nez avec une expression de degout. Decidement, la cour des miracles était la seconde maison des louvettes... La dernière fois le feu puceau d'Alessandor, là Vandré et.. Qui était ce petit jeune ?
Les traits d'un jeune homme tout juste sorti de l'enfance. Un futur perverti ? Un futur larbin ? Elle examina le minot. Mignon mais tellement... jeune. Encore un qui essayait de faire le dur. Une idée lui traversa l'esprit et un sourire pervers se dessina sur son visage... Le remplacant d'Aless ? Elle se sentait justement dans le besoin de se defouler, de provoquer, de pousser quelqu'un a bout... Puis les fleurs offertes par le feu Louvelle avaient fanné depuis longtemps. Sa « poubelle a fleurs de fans » manquait de neuf.

Elle soupira et prit le verre de chouchen qu'ont lui avait amnené. Elle trempa ses lèvres a l'interieur but quelques gorgées... Elle passa sa langue sur sa lèvre supérieure, ne cessant de regarder avec intensité la taupe et le puceau...
---fromFRArbaratus
Arabatus marchait parmi les ruelles sombres. Il avait encore beaucoup voyagé aujourd'hui... ou plutôt vagabondé. Il commençait à ressentir les malaises dus à une longue journée, et partit résolument en quête d'un coin où se poser, tranquillement. Sa bourse, avec laquelle il avait commencé le voyage voici trois mois, était bien légère. Nulle taverne ne voudrait de lui... Enfin, il y en avait une où le tavernier avait gobé ses bobards, mais il s'était battu. Arabatus n'avait peur ni des bagarres, ni de la violence. Au final, il s'en fichait pas mal. Et en plus, il avait gagné la bourse du gars, en l'assommant avec soin sur un coin de table. Il allait profiter du pécule pour passer une nuit au chaud, avec une bonne pinte de bière et, pourquoi pas, un peu de viande. Avec de la chance, les femmes seront jolies...

Perdu, il erra au petit bonheur la chance et passa de ruelle en ruelle.. Une pente, il laissa ses pieds le conduire en bas. Il parvint à une cour... Etrange lieu, étrange lieu! Il sentait une atmosphère étrange, ce qui l'excitait beaucoup. Cela ressemblait à cet enthousiasme qu'il avait eut à voyager avec ces truands, l'autre jour... Il finit par trouver la taverne. Le Rat Crevé... Le nom l'amusa beaucoup. Un de ses amis truands se surnommait comme ça... Avant de finir empalé par une épée de nobliau. Arbaratus serra les mâchoires à ce souvenir. Le grand gaillard carra les épaules, et d'un geste décidé, il entra.

La même atmosphère que dans la rue régnait. Il jeta un large coup d'oeil rapide à la salle. Il s'approcha du tavernier, commanda une pinte et de la soupe chaude ("avec des morceaux de viande, s'il vous plait!") et s'installa au hasard. Il regardait les gens avec un mélange de défiance et d'envie. Il craignait le autres parce qu'ils ne les connaissaient pas mais en même temps il souhaitait ardemment faire leur connaissance.
I
l empoigna sa pinte d'une main ferme et laissa couler une large rasade du précieux liquide dans sa gorge. Et puis il s'attaqua au pain et à la soupe. De la viande!! Il était content. Depuis qu'il était arrivé en ville, à Paris, il n'avait plus réussi à trouver un morceau de viande à portée de sa bourse. Et puis cette ville l'impressionnait, les gens aussi. Finalement, quand on trouve de quoi manger et des gens à voler, tout allait bien...
pnj
Se repaissant, le jeune Perturabo porta sa choppe à ses lèvres, une gorgée de bière, délicatement. Buvable, masi pas excellente. Il espérait que ce n'était pas le cas dans toutes les tavernes de la cour. La porte claqua pour une énième fois, grands dieux ils ne savaient pas entrer correctement sacré non ! Tiens, une blondasse ... Apparemment cela fit réagir le vieux truand, puisque les mots "chienne" et "bretonne" furent perceptibles.
Une bretonne ? Probablement une catin. Une catin bretonne ! Berk ! Perturabo n'était pas royaliste, mais n'appréciait pas les bretons pour autant. Des barbares. Et leurs femmes, n'en parlont pas. Toujours était il, qu'être breton, et de sexe féminin, était une immondice contre nature, mais en plus être catin, cela dépassait l'entendement ...


* Pas moche pour deux sous, la ribaude. * Se retenant de cracher par terre, le jeune Perturabo entama une nouvelle gorgée, avant de se lever pour se diriger vers la bretonne.

Courtoisement, son regard clair, légèrement ahuri mais très lucide, agrémenté d'une touffe de cheveux ébouriffés, Perturabo salua la catin, avant de lui adresser gentiment parole.

Le bonjour, dame.
Pas de doute possible, elle était bretonne, sa choppe de chouchen pouvait en attester. Quel déguelasse liquide...
Vous semblez seule ... Puis je vous aider ?

Il se surprenait lui même, il réagissait comme un mal élevé, un garçon opportuniste ! Tant mieux, c'est ce qu'il cherchait à faire. Attirer son attention, la piéger au dehors, plus tard. Lui voler sa bourse était l'objectif principal, il espérait seulement qu'elle en possédait, de l'argent. Sale bretonne. Peut être son nouveau comparse, le truand, l'aiderait il, ou bien il gagnerait sa confiance de telle manière. Lui qui en savait beaucoup sur les Louvelle, pourrait être utile au Perturabo. "On fait le mal mais on le fait bien", se remémora t'il.
---fromFRAnonymous
Brise avait l'air pressé de s'en aller , de quitter cette ruelle . Il faut dire que la présence du cadavre n'encourageait pas à s'attarder en ces lieux . Peut être craignait il aussi que le borgne ne revienne sur sa décision de fuir , c'est ce qu'il laissa entendre en tout cas à Malanguise avant de lui tendre son arme tombée à terre lorsque le carreau l'avait touché .
Malanguise sourit quand il fit mine de lui passer un bras autour de la taille en lui proposant de s'appuyer sur lui


hey ...mes jambes vont bien .pas de soucis de ce côté là , Brise ...


Il lui tend la main

Elle hésite
lui prendre la main ?
Situation incongrue ..............pour quoi faire ?
Un peu plus tôt c'était le bras dont elle ne savait pas par quel bout le prendre
là une main tendue ...ce gaillard là , la laissait à chaque fois déconcertée , indécise , mal à l'aise
mélange de trop et de pas assez, la déstabilisant beaucoup trop souvent pour qu'elle sorte indemne de ce jeu , qui sans être pervers ressemblait fort à un piège subtil.
Finalement elle le suivit , repliant son bras sur sa poitrine tout en le tenant de l'autre main , ils filèrent au hasard des ruelles cherchant un endroit propice pour reprendre des forces .

La Suite : L'Auberge du Chat Rouge
---fromFRArbaratus
Un jeune homme qui parlait à une Bretonne... Arbaratus n'était pas sans savoir que la situation était difficile avec les Bretons. Pourquoi le jeune homme, surtout avec l'expression scandalisée qui lui était apparue, va parler à cette demoiselle, blonde de surcroit? Il eut un sourire en coin. Tous le monde n'assome pas les gens sur un coin de table... Il entreprit d'observer la suite des évènements, cela promettait de devenir intéressant... Prêt à intervenir pour récupérer une bourse perdue, quand même. Ou sans quitter de son attention vigilante les gens de la taverne. Il regarda la scène du coin de l'oeil.
pnj
Db sursauta. Elle avait baissé la tete pour se lancer dans les contemplations des gribouillis sur la table quand on lui parla. Elle était legerement froissée. Que lui voulait on bon sang ?
Elle leva la tete et vit le minot qui était avec la taupe. Il avait laissé le vieux tout seul.
Elle le regarda dans les yeux. Il ne se debinait pas le puceau...
Elle lui fit un petit sourire.


Assied toi... Le jeune garçon se mit a coté d'elle. Tiens, il ne perdait pas son temps lui. Le regard de la blonde allait de haut en bas. Elle le jaugeait. Le détaillait. Elle se mordit la lèvre puis planta ses yeux dans les siens, avec un grand sourire...J'attends quelqu'un en effet. Si vous pouvez m'aider ? Oh non, c'est impossible. Un homme peux toujours aider une femme. Mais un jeune et frele garçon comme vous... Non. D'ailleurs... un peu jeune pour rester ici non ?
pnj
Invité à s'asseoir, Perturabo prit place, un léger coup d'oeil en arrière auparavant, léger coup de tête pour signaler au truand Louvelle, qu'il savait ce qu'il faisait. Hochement de tête de celui-ci, il comprenait.

Je vous remercie dame.

Observé de part en part, cela ne lui déplaisait pas, son regard de catin effarouché se balandant partout pour le détailer. Il attirait son attention, un geste, un signe, il en profiterait pour la dépouiller sans qu'elle n'y prenne garde. Pas le bon moment.

Jeune dites vous ? Oh, je ne dois pas avoir plus de dix sept printemps, peut être dix huit. A dire vrai, j'attend quelqu'un moi aussi ... Il m'avait donné rendez vous à la cour. Pas là non plus d'ailleurs.

Il s'emballait encore un peu, avant de sourire à la ribaude.

Dame, je dois vous impressioner, pour que vous ne sachiez plus si vous devez me vouvoyer ou me tustoyer.

Il la fixait droit dans les yeux, bientôt l'heure. Soit il la déplumerait après l'avoir mise au lit, soit il l'assomerait dans une ruelle. Qui savait ?
pnj
La blonde était ravie. Elle sentait cette boule au ventre qu'elle avait lorsqu'elle s'amusait. Cette boule au ventre qui lui donnait toujours envie de dominer.
Le fait de l'avoir vu avec la taupe l'avait stimulée. Elle deglutit et essaya d'oublier, au moins momentanément celui a qui elle pensait un peu trop ces temps ci...Beaucoup trop. Aucune culpabilité a avoir.
Le petit la dévorait des yeux. Il avait une lueur sournoise dans les yeux. Il la prenait pour une catin. Qui plus est une sorte de catin éffarouchée. Une débutante.


Oh, je commence a perdre mes mots... Je suis désolée. Je vais t'appeller Chose, ca ira plus vite. Elle lui fit un sourire tout innocent et, sa main droite se leva pour dessiner des arabesques invisibles sur le bras du minot. Dix sept printemps... Chose est un grand garcon dis donc! Tu connais ce vieux hum.. Truc avec qui tu étais assis? Chose avait rendez vous avec lui? Elle parlait la tete baissée, les yeux toujours rivés sur sa main dessinant sur le bras du minot. Puis, elle leva la tete et lui sourit Tu as trouvé bien meilleure compagnie
---fromFRAelann
Un choc contre le bois d'une porte, une chose ? Puis, le silence. Ensuite, un bruit de bec contre une fenêtre. Rohh. Une poule, elle cherche une entrée. Une fenêtre cassée et, c'est la crête haute qu'elle entre dans la taverne l'Rat Crevé. C'est qu'elle semble fière cette poule, une emmerdeuse. Elle est grosse et, elle bouge qu'un peu le derrière, cette gourde veut s'envoler sur le rebord, c'est peut être un suicide ? Bref, elle s'envole et, elle se cogne contre un homme. Du coup, le mot entre ses griffes tombe sur une blonde. Elle reste sur les cheveux ébouriffés du jeune, un bon endroit pour pondre. C'est qu'elle observe une blonde, le mot est entre ses doigts. Elle est fière même si les gens ne peuvent s'en rendre compte pour le moment. Une mission de plus réussie.

Citation:
bojoure blonde lé loberge dé rose. toi vnir dsuite, dur écrire truc. a captal, gratt cu. aelann.
---fromFRArbaratus
Arbaratus eut un sourire en coin. La demoiselle semblait plus maligne que les apparences ne le laissaient croire. Elle paraissait jouer avec le jeune homme et de ses apprioris, le laissant croire et se fourvoyer à son sujet. Voilà quelqu'un d'intéressant, encore.

Une poule... Il observa le volatil qui paraissait content d'être là au chaud et... qui se lança stupidement en avant ("les oiseaux, une espèce à part...") Mais là, l'homme d'une trentaine d'année fut surpris. Avait-il bien vu? Un petit bout de papier? Avait-il rêvé? Comment allait réagir la femme blonde? Il fronça ses sourcils épais, mais la grande scène épique qui s'ensuivait alors retint son attention. L'animal pataugeait dans la chevelure ébouriffée du jeune homme alors que celui-ci faisait de grands gestes pour l'en chasser. Il se leva et sans mal récupéra la poule, ouvrit grand la porte et l'éjecta. Puis il retourna voir

"Bonjour jeune homme...

Son regard s'attarda sur la demoiselle.

- Mes respects à madame. Puis-je m'assoir?"

Sans attendre la réponse, Arbaretus s'assit avec eux. Il scrutait les réactions de la femme du coin de l'oeil, attendant de la voir agir suite au mot. Il héla le tavernier.

"C'est ma tournée! Qui prend quoi?"

Il leur fit son plus grand et plus beau sourire...
pnj
Db ne prit meme pas le temps de regarder la papier qui était tombé de la poule. Elle regarda l'homme qui venait de s'immiscer. Pour qui se prenait il ? Elle n'était absolument pas d'humeur a faire du social.
Elle lui lanca un rgard noir.


Hum... Ca vous derrangerait de partir ? Vous genez. Ne vous a t on jamais appris les bonnes manières ? Ne vous a t on jamais appris qu'il fallait attendre la réponse aux qustions avant dagir ?!
Alors la prochaine fois, tachez de faire atention.
Elle regarda l'homme... Il ne partait pas. Et bien ? Vous attendez quoi ? Que je vous tienne la main ?
---fromFRAelann
Un fou ? Oui, il ose s'en prendre à la bête. Elle, si innocente, si chétive. Le bougre ose, encore un nombriliste, un bipède stupide et inutile. Lui, une mémoire de poisson rouge pour sûr. C'est qu'elle est en colère cette poule. Dehors, elle gonfle ses plumes, fonce sur l'homme moche, croche ses griffes sur l'dos du monstre et enfonce le bec dans la nuque. Cot Cot Cot. L'heure d'une tendre torture et d'un cri de guerre d'une furie. Elle s'envole et refonce sur les cheveux ébouriffés, c'est qu'elle est douée tout de même. Elle pointe le cul vers le monstre et elle éjecte un oeuf comme une torpille. Elle pousse comme une folle, plouf, un oeuf sur les genoux de cette blonde.
---fromFRArbaratus
Arbaratus, après s'être battu contre une poule furieuse qui pondait à qui mieux mieux ("quelle étrange bestiole...") et l'avoir un temps enserré calmement, sans méchanceté dans ses bras pour la calmer et rassurer l'animal, se tourna vers la jeune femme. Il était piqué au vif, mais amusé. Il leva un sourcil ironique en appuyant son menton sur sa paume.

"Ma foi, oui ça me dérangerait de partir. Vous me parlez de bonnes manières et vous m'éjecter comme un mal propre. Voilà ce que moi je trouve extrêmement impoli."

Il reposa le bras à côté de l'autre sur la table, s'accouda un peu plus et se pencha sur la demoiselle avec un sourire de chat en chasse, enjôleur.

"Ma chère dame, je viens jouer moi aussi. Mais peut-être devriez vous lire le petit mot... Ah ces poules, on ne sait jamais ce qu'elles nous veulent, n'est-ce pas?"

Il se redressa, s'appuya lourdement sur sa chaise, ce qui la fit pencher en arrière sur ses deux pieds. Il s'adressa au jeune homme, un éclair de malice dans les prunelles.

"Je vous vois en fraiche compagnie monsieur, cette ribaude aigrie et impolie... et Bretonne en plus... Qui sait ce qu'elle peut bien préparer? C'est comme les poules, ça cache des petits mots..."
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