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[RP] Taverne le Rat Crevé

pnj
Db n'écouta meme pas l'impoli parler. Elle l'entendait brailler mais faisait abstraction. Elle lut le mot. Aelann...
Elle referma le papier, le mis dans sa besace, prit l'oeuf entre ses mains et se leva.
Elle allait partir sans tenir compte du mioche lorsqu'elle s'arreta et rebroussa chemin. Elle se planta devant lui. Elle ne faisait plus la ribaude. Son visage était glacial, comme son ton.


Alors toi le gosse... Elle s'approcha doucement de lui, tout près de son visage... Elle sentait son souffle qui s'accelerait. Elle regarda la bouche du minot puis ses yeux. Doucement elle articula : Je-ne-suis-pas-une-ca-tin ... Retiens le. Tu ne me mettra encore moins dans ton lit chose. Tu ne sais pas encore ce qui fait de toi un homme.Elle se recula et de sa main libre, lissa les plis de sa robe. Elle regarda le minot qui ne disait rien. Et bien, tu as perdu ta voix ? Retourne avec ta taupe, elle t'apprendra des choses. Ils veulent faire de toi un nouvel Alessandor ? Ben tu as du boulot, travaille, on se reverra peut etre un jour. Elle tourna le dos pour partir mais se rendit compte qu'elle avait oublié la poule... Elle la prit sous son bras et regarda l'oeuf dans sa main. Elle le jetta a la tete du minot.

A bientot Chose ! D'un pas tranquille, elle sortit du bordel rejoindre sa gamine...
pnj
Une poule sur un mur, qui picote du pain dur ... Rah la saleté ! D'un coup de main, il la fit gicler la cocotte. Pas à prendre ses cheveux pour un nid non plus ! La bretonne en retira un papier d'une main rapide et habile, alors que le jeunot se dépetrait à balancer la poule. S'essayant à enlever les plumes, il regardait d'un oeil attentif, la catin en train de réprimender l'autre arrivant, un sale gosse, tout pour ne pas plaire. La corde au cou, il ne la méritait même pas. Rejeté, le sale gosse s'écarta de la tablée, pour se réfugier plus loin dans la taverne. Trop impoli le mioche. Non mais.

La catin de breizh qui lui balance des saletés à la figure, avant de quitter la taverne d'une démarche chalouppée. Sale temps pour un enterrement. Perturabo s'essaya à la héler avant qu'elle ne fut hors de portée pour ne plus l'entendre.

Dame, ne fuyez point comme cela !

Elle ne l'écouta même pas, à peine un bref arrêt, elle repartait vers la sortie. Moment idéal, il la suivrait pour la dépouiller. Sourire aux lèvres gercées, le bastard se leva précautioneusement. Le truand était toujours à sa table, patient, bah, il le retrouverait plus tard. Il avait de l'argent facile à se faire pour l'instant. Quoique, elle n'était pas moche la ribaude. Et assez intéressante.
---fromFRVidePoche
Haannnn

Il pousse le bac à roue. C’est qu’il y a du boulot à faire jusqu’à cet endroit précis. Un peu de montée, un peu de descente. Et toujours autant de fatigue. Une goutte de sueur perle à son front. Elle descend doucement le long de sa tempe et vient pendre lamentablement sur son menton. Comme lui, elle tient bon, longtemps. Elle (il) n’a pas envie de fléchir.

Un sacré poids qu'vous faites là les gars. Doivent peser foutrement lourds vos péchés.

M'est avis qu'la vinasse vous en a fait faire de fameuses. C'est qu'vous allez en avoir à en conter à c'bon vieux Aristote.


Et quel endroit plus approprié pour venir se faire enterrer ? Ici, ils seront en bonne compagnie. Ils pourront encore rêver de chopes, de godets, de litrons… Il ne reste plus qu’une chose à faire.

On est rendu mes lurons ! vot'dernière demeure il semblerait, c'est pas la moins bonne v'savez…
Elle vous tend ses bras d'bonne terre. J'vous mets aux coté d'bonne compagnie. Un vieil ami à moi. Passez lui donc l'bonjour !


Ouais, un autre qu’il avait déjà laissé là. Un vieil ami perdu depuis longtemps. Ils en avait partagé des verres jusqu’à ce qu’il y en ait un qui tombe ; pas toujours le même, c’était beau à voir. Les paroles de plus en plus fortes et avec de moins en moins de sens. Et puis un jour, l’Bébert est tombé et il ne sait jamais relevé. Et VidePoche a fait son métier. Ainsi va la vie.

Il s’arrête de creuser pour enlever cette goutte de sueur qui se meurt au bout de sa peau. Il en profite pour prendre une flasque virant sur le marron et en prendre une gorgée. Son visage fait un joli rictus. Voilà le courage.

La demeure n’attend plus que ses occupants désormais.


Mais avant m'faut vous alléger, z'aurez plus besoin d'tout ça. Montrez donc vos poches et donnez donc la gnole que vous avez planquée ! 'en rest'ra ben un fond pour trinquer à vot' repos.

Et tout en fouillant, il récupère quelques objets de ses joyeux lurons. Des choses inutiles, même pas une petite pièce, ils ont du tout utiliser en taverne et une petite fiole. VidePoche l’ouvre et boit un coup. Avec eux, ça ne peut être que du bon.

J'buvions à la santé
Des amis et du vin
Qu'vous allez r'trouver
Et qui me manque ben
Tant pis si les copains
M'laisse tout seul ici bas
J's'rai saoul jusqu'à d'main
Je 's'rai sans chagrin
---fromFRNumero II
*Promenons nous dans les bois, tant que Le Masque n'y est pas...*

Toujours cet air stupide et lancinant qu'y ne le quittait plus depuis...

*Si Le Masque y est...*

depuis que son frère était mort...

Il avançait, silhouette furtive dans les ruelles étroites, ombre parmi les ombres projetées par les taudis alentours. Il évitait prestemment les rigoles d'excréments et de pisse mêlés, enjambant sans ralentir les mendiants pouilleux qui tentait de s'accrocher désespéremment à sa cape.

La Cour était toujours la Cour. Endroit pourri où s'entassait la lie de l'humanité.

Il s'arrêta devant l'édifice branlant, but de son long périple. Le Rat Crevé... haut lieu de La Cour. Quoi de mieux pour reprendre contact après tant d'années ?

Il poussa la porte qui grinça sur ses gonds. L'odeur moite et chargée de fumée de l'endroit était telle que dans ses souvenirs. Il entra se frayant un passage au milieu des tables entassées. Il se dirigea vers le fond de l'établissement, et s'assit, dos au mur, comme à son habitude. Lorsque l'on est assassin, l'on apprend à être prudent...

Il commanda une pinte de l'affreux breuvage qu'ils osaient appeler bière, se satisfaisant du regard apeuré que lui jeta la serveuse en voyant l'expression à la fois comique et dérangeante figé sur son masque. Il y a des légendes qui ne meurent jamais...

Il rajusta sa cape pour dissimuler les deux lames qui pendaient à ses côtés, s'assurant dans le même temps qu'elles coulissaient parfaitement dans leur fourreau. Puis il reporta son attention sur la salle, voyant les yeux se détourner lorsqu'il posait le regard sur l'un des clients.

L'attente commença, excitante, car on ne sait jamais ce qui viendra la rompre...

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---fromFRL'enchanteur
Assis au comptoir, le vieux sirote lentement une chope de bière rance.
Slurp. Mauvaise, cette bière. Celle du germain était meilleure, sûr, oui, sûr. Glouglou… Comment s’appelait-il, d’ailleurs, celui-là ? Mmh, aucune idée, non, aucune idée. Oublié, ça oui, j’ai oublié. Slurp.
Troisième bière, le front dodeline, de gauche à droite, de haut en bas. Bière finie, il la pose sur le comptoir.
Tac ! Mouais, je vais m’arrêter là. Oui, bien, sinon, après… Jehjehrbëdanlhèschiott, dieu de la mal-ivresse, me punira, et je passerai une bien mauvaise soirée, oui, bien mauvaise. Hips.
Son regard flou balaye la pièce, lentement. Très lentement. Il avise un jeunot étrange, au fond du rade.
Par Schtrümfeupharsseur, dieu des mauvaises blagues, ce gaillard là n’a pas l’air clair ! Pas clair, non, pas clair du tout. Allons voir ça de plus près.
Toc.
Son bâton heurte le sol pourri de l’établissement alors qu’il se hisse, lentement, très lentement, vers une position plus verticale.
Ouf ! Mauvais, ce mal de dos, oui, mauvais, par les trois mille six cent.
Lentement, il marche, fixant de ses vieux yeux le masque du client, il s’approche, lentement, lentement. Toc. Il semble que rien ne pourrait le faire accélérer, ni ralentir, il est comme une planète qui ne déviera jamais de son axe, il est… vieux. Toc. Enfin, il est arrivé. Lentement, si lentement, il se rassied, en face de l’homme, l’observe silencieusement un moment.
Puis…

Dis donc, gamin… c’est parce que t’as un gros nez, ou parce que t’as le teint vert, que tu portes un masque ?
Prend un air très sérieux, professionnel.
Si c’est pour le teint, hips, je peux peut-être faire quelque chose pour toi.
Il se penche vers l’autre, lui glisse à l’oreille, l’air confidentiel.
Car vois-tu, Rhockpröhmessteunu, dieu des élixirs pour la peau, m’a dans ses petits papiers…
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- There he is !
- Where ? Behind the rabbit ?
- No ! It IS the rabbit !

"Toc" est une onomatopée déposée de Vertugadin.corp.
---fromFRSpirit Robber
La porte de la taverne s'ouvrit lentement, laissant apparaitre une silhouette.
l'homme était vêtue d'une longue robe capuchonnée sombre, l'ombre de la capuche ne laissa paraitre que ses lèvres!!
Son ombre s'allongea au fur et a mesure qu'il s'engouffrait dans la taverne.......puis il s'assit à la tablée la moins éclairée!


Tavernier.........un godet je te prie!


Dit-il, d'une voix rauque et puissante.


Il ouvrit un parchemin et leva brièvement les yeux vers les âmes présentent, sourit puis continua à lire.
---fromFRLe Moine Paisible
La porte s'ouvrit dans un coup de vent, et ce fut ni plus ni moins un moine qui mit les pieds dans la taverne. Les regards se portèrent furtivement sur lui, mais rapidement les clients se replongèrent dans leurs abrutissantes discussions. L'endroit était sale, crasseux et dégageait une odeur pestilentielle à des lieux à la ronde, malgré que cette notion se perde rapidement en comparaison avec les tavernes voisines. Entretemps, le moine avait reconnu le poursuivant d'armes du clergé, croisé souvent dans les locaux de l'hérauderie romaine. Ceci dit, le moine vint prendre place au comptoir. Il s'assit sur un banc libre qui avait l'avantage de placer le moine à une distance d'un banc de ses deux voisins. Puis, le moine interpella la tavernière, vêtue d'une robe trop petite pour son poids, robe qui faisait prendre l'air à sa poitrine ( ).

Yva prend' quoi l'travestie?, faisant référence à la soutane du moine.

Le moine répondit alors à la tavernière, de sa voie douce et réfléchie.


J'aimerais avoir une choppe de votre alcool le plus raffiné, s'il-vous-plaît.

Gne?

Le moine, qui s'impatientait.

À boire!

Le vif cri que venait de lancer le moine en fit sursauter plus d'un, la tavernière la première. Cette intervention attira les regards sur le moine et jeta un froid sur la taverne, qui soudainement s'était tue. Puis, soudain, le silence fut rompu par le bruit d'une choppe déposée avec vigueur sur le comptoir à la place du moine.
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---fromFRBestheya
Bestheya qui était entrée sans le moindre bruit une heure plus tôt se déplaçait au milieu de la racaille à la recherche d'une activité quelconque. Elle sentit nettement l'air frais s'engouffrer entre les lannières de tissus qui l'habillait (bien peu il est vrai) et se retourna pour regarder le nouvel arrivant.

Pardi, m'a l'air plus farouche c'lui là, faut voir à ça!

Elle le vit aller s'accouder au bar et fraya son chemin pour l'atteindre. Elle ne l'avait pas tout à fait rejoind qu'il réclama bien fortement un remontant. Un sourire amusé apparut sur le visage de la vagabonde alors que tous se turent pendant un infime moment. On ne voyait pas souvent de religieux en tenue dans le coin, encore moins qui sache se faire remarquer de la sorte.

Balançant légèrement ses hanches, frôlant au passage quelques saoulards avachis, elle arriva près de lui et prit place sur le banc à ses côtés.


Eh be! l'espère pas trop viv' vieux l'sire, y fait du bruit... Si j'peux donner un conseil, faut sonner l'écu avant d'commander, ça donne mieux aux oreilles de la dame.

Elle fit un signe en direction de la tavernière, sortant une bourse de sous un jupon et laissant tomber trois piécettes sur le comptoir.

E l'meilleurs vin d'messe pour le m'sieur ma belle! Faut pas l'déshabituer! Ça s'ra moins poison que c'qu'y a dans sa chopine^^

Elle laissa échapper un rire doucereux, clignant de l'oeil en direction du moine.

Alors la capuche, qu'est-ce qu'ammène une robe par ici? C'est ti la compagnie? Elle est pas cherrante savez, mais elle est pas sure sure non plus...

Elle pivota dans sa direction, laissant volontairement glisser le tissus sur ses jambes afin d'en dévoiler une cuisse affermie par les longues routes marchées.
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SOS RP=> Une équipe pour vous soutenir!
---fromFRCharlaine
La porte s'ouvrit une nouvelle fois à la volé laissant apparaître cette fois une jeune fille qui détonnait un peu avec la racaille qui fréquentaient habituellement le coin. À peine plus grande qu'une adolescente, son regard trahissait son expérience de vie. La peau des mains rude d'avoir dû trop souvent affronter les rigueurs des hivers humides. Ses yeux perçants, verts émeraude laissaient transparaître dans ses meilleurs jours, une innocence, une naïveté pas encore gâchée... ou peut-être c'était ce qu'elle espérait vous faire croire...

Enfin... ce sourire en coins bientôt connu dans tout l'est du Royaume entra dans ce lieu sombre, l'illuminant d'un coup. C'est que la rouquine avait remarqué une jaquette noire entrer en un lieu encore plus noir. Cela avait piqué sa curiosité et l'avait mené dans cet endroit.

Bien qu'il fasse encore un peu clair à l'extérieur, la taverne semblait être constamment dans la pénombre. Une odeur portée par la fumée vint taquiner ses narines. Une odeur, des bruits et des images familières. Charlaine se sentait chez-elle dans ces endroits lugubres. Elle se dirigea vers un endroit laissé libre au comptoir. Elle s'y accouda, le dos légèrement courbé espionnant la chasseuse qui avait déjà repéré l'objet de son entré.

D'un signe de la main, Charlie fit signe à la tenancière de lui apporter un verre, sous-entendant la même chose que tout le monde boit en ce lieu. Tout en sirotant son verre, elle observa la scène qui se déroulait à quelques pas d'elle, affichant toujours son sourire en coins légendaire...

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~ R.I.P. ~
---fromFRNumero II
Il avait repéré le vieux lorsque sa carcasse branlante s'était mise en mouvement dans sa direction. Il n'attendit alors qu'une chose, qu'il s'étale de tout son long, face contre terre, et il n'était pas le seul au vu des nombreux regards qui se portait sur la silhouette raide, dont la chute, à n'en pas douter, provoquerait l'hilarité générale. Mais la chute ne vint pas au grand dam des spectateurs soupirant de déception, et l'ivrogne s'assit en face de lui, ce qui lui arracha une grimace... non visible sous son masque.

Car vois-tu, Rhockpröhmessteunu, dieu des élixirs pour la peau, m’a dans ses petits papiers…

Il repoussa la figure fripée sans ménagements d'une main gantée de blanc.

"Garde pour toi tes remèdes de charlatan vieux débris. Et éloigne toi veux tu, ton haleine empeste la charogne !"

Il n'était pas d'humeur à perdre son temps avec ce genre d'individu, le genre de boit-sans-soif accoudé au comptoir des tavernes à divaguer à longueur de journée et à... une pointe de curiosité naquit dans son regard... et à saisir parfois des informations chuchottées à son côté...

Il poussa la pinte de bière rance qu'il n'avait pas daigné toucher en direction de l'homme.


"Bois plutôt ça. Et racontes moi un peu ce qu'est la Cour des Miracles aujourd'hui. Cela fait longtemps que je n'y ait pas mis les pieds."

Légère trace de mélancolie dans sa voix. Si longtemps...

Il reporta son attention sur la salle tout en écoutant à demi le vieux. Le tableau offrait son lot de figures improbables, moine bien peu vertueux pour venir en ce genre de lieu suivi par une catin qui semblait s'être donné pour mission de dépuceler un homme de Dieu, si ce n'était déjà fait. Jeune femme à l'allure d'adolescente, bien imprudente et qui ferait bien de prendre garde à elle si elle ne voulait pas se retrouver violée dans un caniveau... Et lui, masque de clown sur la figure en discussion avec un vieil ivrogne sûrement à moitié fou, lui que l'on pourrait prendre pour un saltimbanque... Il sourit, un sourire carnassier invisible pour les autres... saltimbanque... de la Mort...

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---fromFRPulo le blanc
Apres avoir échoué au bordel, Pulo dévala quelques ruelles et arriva devant une taverne. Il pouvait lire sur une vieille pancarte "Taverne du rat crevé" Le nom en disait long... il ne faudrait pas s'attendre à du grand luxe.

Il poussa la porte, l'endroit était sombre et ne paraissait pas tres accueillant au premier abord mais elle semblait bien remplie... Un homme masqué assis collé au mur au fond, un drole d'homme pas loin, un autre encapuchonné, un vieux moine.. tiens étonnant et deux femmes.

Les hommes n'avaient pas l'air d'être des tendres, les femmes non plus il fallait dire.. et ce moine ? que faisait il ici ? Venu cuver son vin sans doute.

Pulo s'approcha du comptoir et commanda une bière à la tavernière en faisant clinquer quelques pièces sur le comptoir pour l'attirer.

La femme accoudée au comptoir un peu plus loin était encapuchonnée et sirotait son verre tranquillement, tandis que l'autre plus aguicheuse semblait vouloir éveiller l'interet du moine. Pulo se dit qu'il serait plus facile d'entamer une conversation avec l'une d'elles mais patienta un moment.

Il prit le soin de sonder la pièce du regard, regardant ce qu'il se passait autour de lui, son regard fut attirer par de longues jambes et une cuisse dévoilée, ce qui lui fit esquisser un léger sourire en coin.
---fromFRCharlaine
À deux doigts du fond de la chope, Charlie leva le verre d'un coup sec du coude et fit descendre l'alcool restant au fond de sa gorge. Lâcher des yeux un tas d'homme comme ici était imprudent et elle garda donc un oeil sur un mâle venu s'installer au comptoir. C'est ainsi qu'elle remarqua l'air satisfait de l'homme à la découverte d'une cuisse errante près du moine...

Pas mal la cuisse de grenouille hein?

L'oeil rieur de Charlie reluquait l'air questionneur de l'homme;

Oui oui, c'ta toi que j'cause, dit Charlaine en balançant discrètement son verre entre ses doigts comme pour indiquer discrètement que son verre était vide.

Les yeux verts de la jeune fille se dirigea aux pieds de celui-ci et remonta doucement, notant chaque détail qui pourrait lui être utile. Avant qu'elle ne puisse espérer une réponse, elle se retourna révélant, attachée à l'autre hanche, une longue épée qui lui fut offert il y a longtemps...


J'm'appèle Charlaine!

Le sourire de la rouquine semblait demander; et toi?
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~ R.I.P. ~
---fromFRAnonymous
Repos dans une maison abandonnée, adossée au mur, sa main sur un couteau à la lame tranchante dans son fourreau le long de sa cuisse, Sylpaïde était prête à toute éventualité.
Soupesant sa bourse, la rebelle ébaucha un sourire. *Quelle générosité ces nobles !*
Dormant par intermittence un œil ouvert, toujours aux aguets, la nuit fut courte mais réparatrice.
A la première heure matinale, l’inconnue se releva, étira son corps svelte et se mit parcourir les rues de la cour des miracles.
Visitant chaque impasse, se repérant dans les dédales des ruelles et des places, la journée avait bien avancé.

Un besoin d’étancher sa soif, son choix se fit sur la taverne du rat crevé.
*Au moins celui-là, ne traînera pas dans mes pattes !*
Poussant la porte grinçante avec fermeté et assurance, Sylpaïde fit son entrée dans ce lieu de dépravation et de perversité avec délectation.
Grande, les cheveux lâchés, ses yeux émeraude étaient malicieux. Elle portait des vêtements de cuir
Avançant vers le comptoir, elle jaugeait les personnes présentes et son regard donnant l’impression de transpercer celui qu’elle regardait, s’arrêta sur le moine. Elle l’interpella en riant de sa voix cristalline.


Hé le cureton ! On s’est perdu ? Je peux t'aider si tu veux !


Lançant quelques écus, sortis de son escarcelle, sur le comptoir, elle commanda une bière à la tavernière qui conversait avec un homme.

On peut être servit par ici ?

A sa gauche un homme à la peau mâte était accoudé au comptoir. Sylpaïde le dévisagea de la tête aux pieds.
Son allure timide en faisait une proie facile.
*Hmm, bel homme ! J’en ferais bien mon quatre heures, avant de le délester de ses écus… Un peu petit mais pour une nuit…*
Expression qui fera sans doute son chemin.
Une rouquine semblait intéressée par l'homme et Sylpaïde détourna son regard vers le moine.
Elle le fixa un long moment se gaussant de son mal être.
---fromFRBestheya
Une rouquine pour commencer;
Puis un homme, indécis; son regard promenait sur la salle.

Et tiens, la rouquine qui n'avait pas laché son moine des yeux, (ou peut-être eux deux?) s'adressa à l'indécis. Besth se pencha un peu vers le côté, curieuse de voir le visage des deux personnages.

Et l'autre femme. Elle aussi observa les clients du trou, et porta son attention sur le moine. Puis elle s'en désintéressa au moin le moment de demander à boire et d'observer l'autre objet d'attention féminine, mais revint au moine.

Était-ce de la compétition? Si l'une ou l'autre avait besoin d'argent et comptait en faire ce soir, Besth n'avait pas l'intention de leur faucher la chance. Compétitionner avec une fille de joie, animation inutile après tout! Et si l'homme était ici justement pour ce genre d'affaire, il perdait bien son intérêt. Mais le moine, non, il ne semblait pas venir profiter des ''attraits'' touristiques de la Cour. Et que venait-il y faire alors? Sa curiosité, vilain défaut diront certains, lui ordonnait de ne pas simplement se retourner vers une autre activité.

Toutes les chasses sont amusantes!

À cette pensée, elle sourit, rabattant un des pans de sa jupe sur sa cuisse dévoilée. Sauf contre-indication, voilà une arme qui ne lui serait pas tellement utile finalement...

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SOS RP=> Une équipe pour vous soutenir!
---fromFRPulo le blanc
Pulo appréciait la vue qui s'offrait à lui, lui faisant oublier l'espace d'un instant la raison de sa venue en ses lieux. Il faut dire que depuis la mort de ses parents et son retour en France, tout avait bousculé pour lui et il y a des plaisirs qu'ils avaient du mettre de coté. Puis une voix le sortit de ses pensées.

Pas mal la cuisse de grenouille hein?

Pulo détourna son regard de l'aguicheuse et regarda autour de lui cherchant à savoir si ces paroles étaient pour lui. Son regard s'attarda sur la femme non loin de lui au comptoir quand elle l'interpella à nouveau

Oui oui, c'ta toi que j'cause

La belle encapuchonnée jouait avec son verre vide en le regardant, cherchant sans doute à s'en faire payer un nouveau. Elle le dévisagea ensuite des pieds à la tête, il pu voir ses yeux et découvrit 2 perles vertes. Mais lorsqu'elle se retourna, il pu voir une épée attachée à sa ceinture, pour se défendre ou pour attaquer... là était la question.

En ces lieux, mieux vallait se méfier de tous, sans se fier aux apparences trop souvent trompeuses.


J'm'appèle Charlaine!

Voilà qu'elle lui souriait l'invitant à lui répondre à son tour.

Je m'appelle Pulo Vivas de Corbera dit le blanc mais appellez moi Pulo

Pulo sorti quelques petites pièces de sa besace et les fit sonner à nouveau sur le comptoir, attirant ainsi l'attention de la tavernière à qui il commanda une nouvelle bière et l'invita à remplir le verre vide de l'inconnue pres de lui.

Il se tourna ensuite pour faire face à l'inconnue, il prit soin de refermer sa besace et garda une main pres de celle-ci et de son épée toujours sur ses gardes, l'endroit était en effet fort peuplé et tout pouvait arriver.

La porte s'ouvrit à nouveau, et pulo détourna sa tête un instant pour voir qui était entré et découvrit une femme élancée habillée de cuir qui marchait d'un pas sur avec assurance.

Mieux valait ne pas s'en approcher, elle n'avait pas l'air commode et interpellait déja le cureton. Il détourna à nouveau la tête vers Charlaine pres de lui au comptoir. La tavernière venait de remplir leurs verres et il leva le sien pour trinquer.


A la votre !!Apres avoir bu une gorgée, il se décida à entamer la conversation.

Puis je vous demander ce que vous êtes venue chercher dans un endroit pareil ?
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