---fromFRVicious*
La cour des miracles et ses tavernes avaient bien changés.
Depuis quand se mêle t’on des affaires des autres…
A l’époque, on égorgeait pour moins que ça, quiconque aurait perturbé le châtiment d’une femme qui ne sait tenir ses pulsions encore moins sa langue.
Un homme fit son entrée et prit conscience de la situation.
Ce devait être le jour de la stupidité étant donné qu’ils se liguaient tous un par un contre lui.
Il n’allait sûrement pas plaider son cas à l’inconnu, il avait bien mieux à faire.
Son regard froid et impassible fit le tour de ses nombreux assaillants qui bientôt allaient emplir la taverne.
Le nouvel arrivant était encore un preux chevalier au service de la veuve et de l’orphelin.
La blonde courtisée, qui fulminait dans son coin et qui ne pouvait contenir sa haine envers lui et qui crachait au sol sa colère.
Sûrement une technique de déstabilisation de sorcière pour le vaincre.
Et bien sûr, l’homme qui semblait ne rien en avoir à faire.
Celui qu’il failli percuter à son retour de province en entrant ici.
On se croirait dans une taverne du royaume, ou personne ne pouvait donner une leçon à une autre, sans provoquer des protestations.
Et surtout, la garce sanguinolente, qui semblait ne pas avoir appréciée son cadeau qu’il venait de lui faire, le fait de lui montrer de l’attention, était déjà trop pour une gueuse comme elle.
Se parader avec des armes étaient bien beau, encore fallait il savoir s’en servir, ce qui ne semblait pas le cas.
Ses yeux d’émeraude fixèrent le bon samaritain, ne supportant pas ce genre de discours, il lui répondit très calmement, préparant déjà son prochain mouvement.
Ne te mêle pas de ça... Tu ne sais rien et tu oses m’interrompre pendant que j’apprends à cette petite garce, le respect de ses aînées, ce qui crois moi, lui est totalement inconnu.
Alors qu’il parlait avec le bon samaritain inconscient, un verre vint lui frapper avec violence le haut de sa bure.
Sans cela, il aurait put subir un grave traumatisme.
Il en avait assez de tout cela, il allait falloir ruser pour l’avoir la petite inconsciente.
Il posa un regard sur le nouveau et rangea son épée longue, sous les yeux ébahit de l’assistance qui semblait s’attendre à autre chose de sa part.
Tu as raison l’étranger. Je vais suivre ton… conseil… Et je vais de ce pas, m’excuser vers la furie. Elle mérite des excuses.
Son regard se tourna vers elle s’en prêter attention aucune à tous les autres qui semblaient méfiant au premier abords.
Il se dirigea vers la brune, un visage impassible et d’une voix monocorde s’adressa à elle tout en restant à quelque distance de ses genoux.
Tu as gagné…Je n’ai pas l’intention de me battre contre toute la taverne… Même si j’en meurs d’envie… Je te pris d’accepter mes…excuses… Et je t’offre un verre pour que nous oubliions tout cela… Et pour ta blessure je me propose même de la soignée. Je ne sais comment son les chambres dans ce taudis, mais j’en ai loué une pour la nuit, donc si tu veux te reposer, elle est à toi. A toi de voir. En tout cas…
Son regard de glace regardait le tavernier qui semblait se calmer voyant son arme rangée. Il commanda deux bières, qui finirent sur le comptoir. D’un geste de la main, il invita la brune à trinquer à la paix…temporaire du moins…
C’était la seule solution de calmer les esprits et se rapprocher d’elle sans méfiance.
Il aurait tout le loisir, plus tard de s’occuper d’elle et de lui montrer ce qu’il pensait des incrédules impulsives dans les tavernes.
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Qu'est ce que la vie, dans l'oeil d'un rat maudit?
Depuis quand se mêle t’on des affaires des autres…
A l’époque, on égorgeait pour moins que ça, quiconque aurait perturbé le châtiment d’une femme qui ne sait tenir ses pulsions encore moins sa langue.
Un homme fit son entrée et prit conscience de la situation.
Ce devait être le jour de la stupidité étant donné qu’ils se liguaient tous un par un contre lui.
Il n’allait sûrement pas plaider son cas à l’inconnu, il avait bien mieux à faire.
Son regard froid et impassible fit le tour de ses nombreux assaillants qui bientôt allaient emplir la taverne.
Le nouvel arrivant était encore un preux chevalier au service de la veuve et de l’orphelin.
La blonde courtisée, qui fulminait dans son coin et qui ne pouvait contenir sa haine envers lui et qui crachait au sol sa colère.
Sûrement une technique de déstabilisation de sorcière pour le vaincre.
Et bien sûr, l’homme qui semblait ne rien en avoir à faire.
Celui qu’il failli percuter à son retour de province en entrant ici.
On se croirait dans une taverne du royaume, ou personne ne pouvait donner une leçon à une autre, sans provoquer des protestations.
Et surtout, la garce sanguinolente, qui semblait ne pas avoir appréciée son cadeau qu’il venait de lui faire, le fait de lui montrer de l’attention, était déjà trop pour une gueuse comme elle.
Se parader avec des armes étaient bien beau, encore fallait il savoir s’en servir, ce qui ne semblait pas le cas.
Ses yeux d’émeraude fixèrent le bon samaritain, ne supportant pas ce genre de discours, il lui répondit très calmement, préparant déjà son prochain mouvement.
Ne te mêle pas de ça... Tu ne sais rien et tu oses m’interrompre pendant que j’apprends à cette petite garce, le respect de ses aînées, ce qui crois moi, lui est totalement inconnu.
Alors qu’il parlait avec le bon samaritain inconscient, un verre vint lui frapper avec violence le haut de sa bure.
Sans cela, il aurait put subir un grave traumatisme.
Il en avait assez de tout cela, il allait falloir ruser pour l’avoir la petite inconsciente.
Il posa un regard sur le nouveau et rangea son épée longue, sous les yeux ébahit de l’assistance qui semblait s’attendre à autre chose de sa part.
Tu as raison l’étranger. Je vais suivre ton… conseil… Et je vais de ce pas, m’excuser vers la furie. Elle mérite des excuses.
Son regard se tourna vers elle s’en prêter attention aucune à tous les autres qui semblaient méfiant au premier abords.
Il se dirigea vers la brune, un visage impassible et d’une voix monocorde s’adressa à elle tout en restant à quelque distance de ses genoux.
Tu as gagné…Je n’ai pas l’intention de me battre contre toute la taverne… Même si j’en meurs d’envie… Je te pris d’accepter mes…excuses… Et je t’offre un verre pour que nous oubliions tout cela… Et pour ta blessure je me propose même de la soignée. Je ne sais comment son les chambres dans ce taudis, mais j’en ai loué une pour la nuit, donc si tu veux te reposer, elle est à toi. A toi de voir. En tout cas…
Son regard de glace regardait le tavernier qui semblait se calmer voyant son arme rangée. Il commanda deux bières, qui finirent sur le comptoir. D’un geste de la main, il invita la brune à trinquer à la paix…temporaire du moins…
C’était la seule solution de calmer les esprits et se rapprocher d’elle sans méfiance.
Il aurait tout le loisir, plus tard de s’occuper d’elle et de lui montrer ce qu’il pensait des incrédules impulsives dans les tavernes.
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Qu'est ce que la vie, dans l'oeil d'un rat maudit?
).
)
) 
) elle ne vit pas le jeune homme s'approcher pour rejoindre l'autre jolie plante au comptoir. C'est en entendant sa voix qu'elle fut soudain réveillée mais pas distraite... 
¤ 
Nestor, puisses-tu reposer en paix mon ami.
