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[RP] Taverne le Rat Crevé

---fromFRFèbre
Enfin. Enfin l'encapuchonné ouvrit la bouche. A croire qu'il venait de retrouver la parole. Mais ses dires ne s'adressaient pas directement à l'homme en noir. Non, il présentait des excuses, ses plus plates excuses à l'encontre de la femme blonde qui s'était dirigée vers la sortie.

Il aurait dû remarquer la femme qu'elle était...Alors comme ça, cette femme était... différente...
L'encapuchonné attendit qu'elle ne daigne lui répondre avant de se retourner vers le comptoir.
Passant commande auprès du tavernier, il offre un verre à l'homme en noir avant d'ajouter cette phrase:



J’invite toujours celui qui partage mes opinions... Celle que je blesse à la jambe aussi, il faut croire...

Ainsi, c'était lui l'auteur de cette blessure.
L'homme en noir fronça les sourcils, ses yeux allant de l'encapuchonné à la brune.
Finalement, il leva son verre. A la trêve et aux propos fort corrects du sombre...
Le Sombre...
Voilà un surnom qui lui plaisait... Le Sombre...
Chassant ses subtiles pensées par un geste de la main, il prit son verre, tout juste posé sur le comptoir et le leva à son tour.


A mes propos fort corrects, donc.

Il allait boire une gorgée de ce précieux liquide quant il sentit comme un crachat dans sa nuque. Se retournant, il regarda en direction de la seule personne susceptible d'avoir fait ça.
Le vieillard.
Il avait encore son verre à moitié vide dans la main, un mouchoir avec lequel il s'essuya la bouche dans l'autre.


Puis-je savoir ce que me vaut l'honneur de cette... expectoration ?

Le ton qu'il prit n'avait rien d'amical, ni de risible d'ailleurs. La voix dure fit se retourner le vieillard qui semblait se moquer des propos de l'homme en noir.
---fromFRShadahar
Une voix, de la dureté... mais du vocabulaire... s'il compte frappert... ce ne sera pas dans le dos... ou du moins, pas tout de suite... le vieillard se retourne... et toise l'interpellant... port élégant, à côté de la misérable plèbe hantant les lieux, il pourrait passer pour un prince... un sourire étire son visage, mais il se retient de rire.... comme à chaque fois qu'il essaie de regarder dans les yeux un borgne... un oeil dans le bandeau, ou les yeux louchant sur le survivant... il glousse cependant....

Veuillez pardonner le pauvre vieil homme que je suis... et qui a le malheure de ne plus tant contrôler ses réaction quand un breuvage l'insupporte... c'est là le privilège de l'âge que de fouler la bienséance et les convenances, vous en conviendrez j'en suis certain....

S'appuyant sur sa canne, le vieil homme porte une main sur sa poitrine


Shadahar, de Corinthe, je vous donne le bonsoir...

Ses yeux luisent... et jaugent l'interlocuteur, aux aguets...
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---fromFRpeny
L'homme au bord ne semble pas approuver sa façon de faire
Elle en a cure de ses pensées qui le transpercent comme un livre ouvert
Personne ne la connait
Juger les autres, si facile et encore plus lâche qu'un coup en traite à son avis
Tout de même un sourire accordé au sien
Son attention se reporte sur les deux principaux personnages de cette taverne, les deux hommes aux couleurs sombres, la mort et le sang...
L'homme a la capuche fait ses excuses tel qu'exiger par elle
Un sourire de contentement se glisse sur ses lèvres maintenant
Elle rayonne de satisfaction même si elle sait que cela sera bref puisqu'elle n'a toujours pas confiance en lui
Elle laisse maintenant partir la déesse en se disant qu'elle aurait bien la chance de la recroiser plus tard
Ils font maintenant une trêve
Elle porte son verre à ses lèvres en signe de bonne fois et ne l'ayant finalement pas troquer avec le deuxième homme fort intéressant
Par contre celui là semble avoir trouver un nouveau jouet pour se divertir qu'elle
Elle le regarde un moment et ensuite le vieux '' crouton '' qui se déplace difficilement et par dégout détourne vers un visage beaucoup plus séducteur
La peste de retour comme toujours elle va encore pousser les autres à bout...

Alors... Tu le bois ce verre et tu soignes cette jambe ou tu attends que je me vide de mon sang sur le carrelage ?

Toujours aussi chiante
Tout à fait elle
Le samaritain ne semble plus bouger
Perdu dans la contenplation de quelque chose
Ses yeux bleus plongés dans ceux de l'inconnu à qui elle doit sa blessure
Elle se mord la lèvre attendant de voir si ce jeune homme a encore un peu de réparti dans le ventre et s'il va se défiler ou pas...

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---fromFRPulo le blanc
Le calme semblait être revennu, l'encapuchonné ayant proposé une trève, invitant la jeune blessée à boire un verre. De nouvelles têtes étaient entrées, un homme bizarre tout habillé de noir et couvert d'un chapeau de plume noir également, un autre plus vieux tandis que la blonde semble vouloir quitter les lieux.

Pulo rengaina son épée tout en restant prudent, il y avait encore plus de monde dans cette taverne que la dernière fois. Il observa tous les recoins, ne souhaitant pas être surpris par quelquonque voleur ou assassin.

Il se rapprocha du comptoir et écouta les diverses conversations tout en lancant quelques pièces sur le comptoir pour appeller le tavernier désireux de se rincer le gosier. Celui-ci ne tarda pas à le servir, pulo affona son verre cul sec et invita le tavernier à le reservir.

Son regard se posa sur la jeunette. C'était étrange de voir une si jeune fillette en ces lieux de perdition mais elle semblait farouche, un caractère bien trempé, défiant les autres meme des hommes qui semblaient expérimentés. Et cette blessure à la cuisse, la plaie semblait profonde et le sang coulait pourtant cela ne la fit pas blanchir, elle était toujours debout et relancait l'homme à la capuche rouge. Elle l'intriguait, se demandant ce qui avait du lui arriver pour s'être forgé un caractère pareil... Il avait toujours apprécier les femmes au caractère bien trempé.
---fromFRFèbre
Tel un prestidigitateur, le vieillard semblait exceller dans l'art de se tirer des flûtes... Son tour de passe-passe consistait à jouer de la verbe... Un grand locuteur que voici...
L'homme en noir les reconnaissait à un mile à la ronde.


Je te conseille de garder ta salive, si tu veux sortir d'ici entier ! lui aurait-il répondu en d'autres circonstances.

Non, il fallait rentrer dans son jeu...

Je mettrai donc ceci sur le compte de la sénilité... Seulement, il serait fort regrettable que cela vienne à recommencer... Il se pourrait bien que je ne réagisse pas de la même façon.

Febro d’Aragón, se présenta-t-il ensuite dans un parfait accent. Ou Fèbre d’Aragon, si vous préférez.

Ceci dit, il se retourna, après avoir sorti, lui aussi, un mouchoir et s’être essuyé la nuque.
Ainsi, l’homme en noir était d’origine espagnole. Si il ne s’était présenté au vieillard, nul n’aurait pu discerner les traits hispaniques, pas même dans son François des plus irréprochables.
La brune demandait à l’encapuchonné de lui soigner sa blessure.


Allons, la plaie n’est pas profonde. Messire aura tout le temps de finir son verre que vous n’aurez pas perdu un décilitre de sang. Madame est-elle pressée ?

Sourire dérisoire de l’Espagnol qui déshabilla la brune du regard.
Puis, portant le verre à ses lèvres, il but une gorgée qui lui rafraîchit aussitôt le gosier.
---fromFRShadahar
Danger, menaces glissées mais apparentes... caméléon, l'homme devient vert comme lui...Serpent...devient serpent...pour mieux le mordre.... SENILE !!! Les lèvres qui se crispent... sourire encore... car contre un sabre ses chances de survie serainet limitées....rester dans un monde de verbe et l'entrainer dans sa tanière.... avec juste un rai de lumière pour lui présenter l'odieuse réalité de son âme biffide.... le vieillard jouit intérieurment en son monde, ses yeux n'en brillent que plus.... mais l'homme se détourne rapidement après s'être présenté.... d'Espagne.... du moins le prétend-il...

C'est ainsi qu'à un dos tourné que le vieillard murmre.... comme pour lui même, quand chacun sait pour qui sont les épines...


D'obscurité vont ils baignés ces Grands d'Espagne, gardant Chef et plumes même quand le sceptre les courbe...

Un gloussement...

Sénilité... donne l'innocence... donne la mort... le temps est mortel... mais la jeunesse... restera toujours ... un poison...

Le vieillard alors se déplace et passe près du Caballeros...et en glissant ostensiblement sa main droite dans l'un des rabats de sa vaste houpelande de brocard, il murmure comme dévisant avec la fumée...

Livre second du Mysthe... Contre Poyson rien ne mieux prévient que pur Venin.

Et quand il a dépassé l'homme et que lui présente son dos courbé, sa main ressort, et elle pend là, doucement balançante, garnie de longs doigts parcheminés, aux même comme enchâssés de griffes... ongles pointus, longs et noirs... mais suintant... suintant d'une liqueur verte et nauséabonde en présence duquel tout sang crierait terreur....

Il s'approche lentement d'une chaise libre à une table.... d'où il peut observer à nouveau ces jeunes gens....frais.... intéressants....et impétueux...

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---fromFRVicious*
La cour des miracles, toujours en ébullition avec sa faune si particulière…
Le sombre trinqua avec lui et la brune à leur trêve.
Et bizarrement, quelque chose semblait attirer l’attention du borgne vers le vieillard qui venait, pour on ne sait qu’elle raison obscure...
Un brigand aura tôt fait de le déposséder de ses richesses apparentes qu’il portait aux mains.
Cela lui était bien égal d’ailleurs, il écoutait d’une oreille distraite les échanges entre le vieux sorcier et l’homme au chapeau remonté d’une plume.
Il regarda la blessée qui semblait satisfaite que ses exigences aient été obtenues un sourire aux lèvres.
Elle avait tout intérêt à profiter de cet instant qui ne durerait pas.
Il n’était pas homme à s’excuser, à pars si une stratégie malveillante ne se cachait au travers.
Elle semblait moins méfiante, la vengeance ne serait trop tarder maintenant.
L’inconscience du jeune age et des esprits corrosifs cherchant perpétuellement la mort, voila comment il la voyait.
Sa blessure ne devait sûrement pas lui suffire, ou elle n’avait décidément pas compris le premier message.
Elle recommençait à s’engager dans une voix fort dangereuse pour elle.
Les femmes décidément ne comprenaient vraiment rien à rien.
Buvant au fur et à mesure sa bière et regardant l’activité débordante de cette taverne, il répondit d’un ton glacial et sans humour à cette jeune personne.
Que lui importait son état. Mais sa lame sera plus vengeresse, que si elle se vidait de son sang.


Te vider de ton sang ? Et bien je crois cher enfant que dans un tel cas, la taverne ne sera que plus calme, sans ton venin que tu tentes de cracher ici et là si maladroitement.
Prends garde à ce que je ne te transperce pas l’autre jambe…
Je me demande d’ailleurs, comment tu réussis à survivre avec un tel comportement.
Mais je crois comprendre, ta naïveté et ton innocence font que tous veulent te protéger et ainsi tu n’as rien à faire.
Priant ton dieu que quelqu’un veille bien être ton chevalier servant afin de te défendre à cause de ton arrogance…
Si tu veux que je te soigne ça, tu ferais mieux de le demander d’une toute autre façon…


Les émeraudes affrontaient l’azur de ses yeux si arrogant.
Cette petite irrespectueuse incapable de tenir sa langue, courrait de grave danger et malgré cela elle semblait ne pas en tenir compte.
Décidément la cour n’est plus ce qu’elle était.
Certaine connaissance lui aurait déjà coupée la langue pour de tels propos dans un si jeune visage.
La pauvre devra encore apprendre pendant quelque années, ou bien mourir dans d’atroce souffrance dans un avenir proche...

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Qu'est ce que la vie, dans l'oeil d'un rat maudit?
---fromFRpeny
L'encapuchonné tarde à répondre
Un regard ailleurs
Le samaritain la détaille
Un clin d'oeil en sa direction
Plutôt mignon....
Le vieux se rassoit en maugréant quelques mots inaudibles d'où elle se trouve
Pas d'importance
Son regard suis pour finir sur les paroles de l'emplumé
Elle plisse les yeux, ce mec la cherche et trop qui plus est !!!


T'as un problème avec mon empressement trésor ? Naturellement si je me jetais sur toi pour te retirer tes vêtements t'aurais plus aucun problème non ?


Le regard qu'il porte sur elle en buvant sa bière laisse présager beaucoup de chose
Elle ressemble à du bétail pour lui
Sale porc... va rester sur sa faim celui là ... enfin peut-être...
Elle aime bien ceux qui savant la posséder mais il a pas assez de culot pour le moment
Enfin l'autre rompt le silence, la trêve s'évanouit
La colère la regagne facilement, toujours trop impulsive

Encore des menaces ? Tu sais pas ce que tu veux toi ... Bon l'indécis, si tu veux pas m'aider je demande à celui là... va surement pas dire non lui... a moins que tu préfères un s'il vous plait ?

Un peu provocateur sa phrase
Elle n'allait surement pas supplier personne pour qu'ont s'occupe d'elle maintenant
Contrairement a ce que tout le monde semblaient croire dans cette foutu taverne, elle n'était plus une gamine
Si mais aimait bien se prouver le contraire
Elle se tourna vers le tavernier et lui balança quelques pièces


Toi donne-moi une chambre..


Le pauvre homme s'exécuta, n'importe quoi pour ne pas avoir une nouvelle bataille sous les bras
Elle prit la clé tendue, salua son assaillant au passage et commença à monter à l'étage difficilement
Pas trop de poids sur sa jambe, la monter serait ardue

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---fromFRVicious*
Elle ne semblait toujours pas apprécier les remarques du sombre qu’elle remit à sa place avec son tact légendaire maintenant dans la taverne.
Du moins pour ceux qui avaient tentés de l’approcher.
Décidément, elle allait sûrement se mettre à dos toute la taverne.
Il fallait reconnaître qu’elle avait du courage et du répondant, malgré son jeune age.
Au risque de se faire écorcher vif, elle ne semblait pas effrayée pour le moins du monde.
Elle prit très mal ses remarques encore une fois.
A croire que jamais une trêve ne serait possible entre eux.
A chaque mot de travers, elle bondissait toutes griffes dehors, prête à vous découper en morceau.
Il la regardait impassible cracher son venin sur lui.
Ses yeux reflétaient la colère et la haine envers lui.
Il n’allait pas relever cette fois ce ton impertinent et cette arrogance coutumière.
Son regard ne la quittait pas quand elle commença à s’énerver et à ne plus supporter le comportement de ceux qui l’entouraient.
Elle prit une chambre dans la taverne.
Le tavernier n’osa pas prononcer un mot, de peur de se faire découper par le dragon.
Elle semblait dans une rage folle.
Il la suivait du regard tentant de monter les escaliers.
Avec une telle blessure, cela allait s’avérer une dure épreuve pour la furie.
Il décida de ravaler sa fierté et jeta un regard au sombre.
Se décollant doucement du comptoir et se mit en marche en direction de la blessée.
Il en était responsable et avait promis de la soigner.
Il arriva en bas de l’escalier, un visage froid regardant la scène.
Heureusement qu’il n’était pas de nature joviale, il était sur que le moindre sourire lui aurait valut un combat assurément ou un torrent d’injure comme à son habitude.
Il monta les quelques marches pour arriver à son niveau.


Je ne peux pas te laisser comme ça. Oublies ta colère et laisses moi au moins te ramener en haut de l’étage. Tu risques de tomber comme ça. Les blessures, je connais…

Il lui tendit la main en attendant de voir s’il allait encore se faire insulter ou pouvoir lui prêter main forte.
Il posa son regard sur elle espérant qu’elle accepterait.
Elle était si farouche que rien n’était moins sur avec elle.
Elle semblait vraiment mal en point et monter des marches avec une telle blessure à la cuisse s’avérait délicat.

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Qu'est ce que la vie, dans l'oeil d'un rat maudit?
---fromFRpeny

Le sang s'écoule de sa cuisse plus abondamment maintenant du à l'effort
Elle n'aurait pas du s'emporter comme cela
Elle le réalise
Mais pas femme à se laisser prendre tête, elle en paye le prix
Une marche, une douleur irradiant son corps
Sa tête tourne
Une deuxième...
Le souffle manque
Une troisième...
Elle n'y arrivera pas toute seule
Du bruit derrière elle
Elle se retourne pour le voir
Il cache sa satisfaction de la voir dans cet état
Elle se retient de lui envoyer son poing au visage ou encore sa salive
Elle soupire...
Chacun a besoin d'un autre un jour
Ce jour est arrivé pour elle
Pourtant, elle s'était bien débrouillée après la mort de ses parents et ce vil ermite qui la tourmentait jadis
Elle ne peux plus reculer
Il s'approche plus d'elle
Elle peut sentir son odeur jusqu'ici...
Elle ferme les yeux
Ces paroles lui font l'effet d'un coup de poignard sachant ce qu'elle allait dire
Réfléchit et posée, plus de non retour...

D'accord l'indécis... Décidément se surnom te va à ravir toi.

Ses yeux s'entrouvent pour le voir
Sa main glisse dans la sien
Le contact est chaud pourtant pour un être si froid
Avec son aide, elle atteignit le haut des escaliers sans trop de mal
Elle s'appuya sur lui a quelques reprises
heureusement personnes d'autres que lui ne puis le voir
Orgueilleuse, cela était primordiale
Arrivée à sa chambre, elle entr'ouve la porte et se jette sur la couche
Sa jambe est rougeoyante au niveau supérieur
Elle relève sa jupe pour voir la plaie
Défait le bandage de fortune qui ne tient plus de toute façon
La plaie est profonde et laissera une cicatrice mais elle sera vite remise sur pied
Elle regarde tout de même son indécis avec une lueur de fureur dans les yeux
Il a réussi à la marquer...
Elle saura un jour se venger d'une quelconque façon...

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---fromFRJilano
Jillano en pleine concentration, malgré le bruit, commençait à trouver l'attente longue ...
Il n'était pourtant pas si loin. Il avait besoin d'un rapport imminent.
D'être informé tout de suite .
Enfin la porte de la taverne s'ouvrit révélant une femme petite mais souple, agile et musclée. Une Marchombre évidemment.
Elle s'appelait Freyja et était une très bonne espionne.
Jillano lui sourit et l'invita à s'asseoir.


- Bonsoir Freyja. Ca fait plaisir de te voir. Surtout de te voir en vie ...
Une ombre passa sur leur visage.
Que désires-tu boire ?

- Un verre de cet hydromel que tu as toi même apporté.

Jillano fit signe au tavernier d'apporter un deuxième verre d'hydromel. Puis il fixa Freyja .
Son visage était redevenu sérieux et inquiet.


- Que peux-tu me dire Il baissa la voix sur Les Mercenaires du Chaos ? Sur leurs plans ? Sur la situation de notre guilde et de ses membres ?
Dis moi déjà tout sur ça et je serai satisfait.

Freyja réfléchit un peu et lui dit à voix basse


Et bien ... Une chance s'offre à nous. Nous avons repéré Cerberuss et quelques autres Mercenaires. Ils étaient à Montluçon. D'ailleurs, comme toujours, ils y ont semé la mort et des dégats ...
En ce moment nous ignorons où ils se trouvent mais ca ne fait que cinq jours approximativement qu'ils sont partis.
Il faut que nous les frappions maintenant ! Cerberuss est affaibli et ses hommes blessés.
J'aimerais d'ailleurs, que tu commandites cet attaque.
Leurs plans ... Nous ne savons pas grand chose .. A vrai dire, rien mis à part de continuer les assassinats.


Elle estima qu'elle pouvait reprendre à voix normale .

Nous avons subi encore deux pertes ..
Deux apprentis ... Ils s'attaquent maintenant à nos élèves ...
D'ailleurs, si tu en as encore, je te conseille d'aller directement les récupérer ! S'il n'est pas trop tard ...

Jillano écouta le rapport de Freyja. Bonne chose que Cerberuss soit blessé ... Mais cette chance, elle allait leur filer entre les mains.
Il n'avait pas le temps d'aller l'éliminer, tenter de l'éliminer avec des compagnons.
il fut attristé à la nouvelle des deux récentes pertes ..
Il pensa immédiatement à Cofe !
Un de ses plus fidèls amis ...
Jillano l'avait entraîné sous son ancienne identitée, mais Cofe en savait quand meme un peu sur les Marchombres ...
DE plus, il était doué ... Et cela ferait plaisir à Jillano de le revoir.


- Bien ... Non je n'aurai hélas pas le temps de l'attaquer. JE partirai dès que possible chercher mon apprenti.
Et surtout, tu es la seule dans la guilde à savoir que je ne suis pas mort .
Je te demande s'il te plaît, de ne pas leur révéler.
Il y a une taupe dans la guilde. Je l'ai identifée et m'occuperai d'elle en temps venu.
Pour le moment, j'ai des choses à faire dans le plus grand secret.
Je te remercie de m'avoir informer.


Jillano prit maintenant un ton détendu et but une grande gorgée de son hydromel

Maintenant, parle moi un peu de toi.

A ce moment, Jillano aperçut la brune monté à l'étage avec l'homme vétu de rouge. Cela ne présageait rien de bon.
Cet homme allait sûrement profité de l'était de faiblesse de la femme pour la violer ou la tuer. Peut-être même les deux . Et aussi courageuse était-elle, dans son état, elle ne pourrait pas se défendre.
Jillano décida de garder une oreille dans leur direction. Il parla ensuite avec Freyja et la conversation devint sympathique et chaleureuse.
Il pensait tout de même toujours à Cofe ..

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---fromFRVicious*
Incroyable, elle avait acceptée son aide.
Comme quoi tout est possible et la cour portait bien son nom de miracle.
La blessure était profonde, il avait bien planté sa dague en tout cas.
Elle se souviendra maintenant de lui à vie.
A moins qu’il abrége ses souffrances de suite et ainsi plus de problème de souvenir…
En tout cas il devait se méfier, connaissant le dragon, elle risquait sûrement de vouloir se venger.
L’envie de la tuer et tentant, il peux faire ça en silence et personne ne remarquera rien.
Mais d’abords, il devait gagner sa confiance et pouvoir se rapprocher d'elle...


Et bien, on dirait que je t’ai pas raté. Si tu soignes pas ça rapidement, ça va s’infecter et on va t'appeler l'unijambiste. Laisse moi faire…


Il poussa la porte et se permis d’entrer pour la soigner, refermant la porte derrière lui.
Il y avait un broc remplis d’eau sur une table près de l’entrée, il le posa sur le lit et sortie un morceau d’étoffe de sous sa bure.
Se rapprochant d’elle, il examina la blessure.
La plaie était bien ouverte, il n’avait pas pour habitude d’égratigner ses victimes.
Il mouilla le morceau d’étoffe et commença à nettoyer la plaie délicatement.
Son regard fit le tour de la pièce à la recherche de tissu pour le pansement.
La chambre n’était évidemment pas fournit de pièce pour ce genre de soins.
Il sortie sa dague encore ensanglanter de son sang et déchira le draps qui couvrait le lit.
Posant ses émeraudes sur elle afin de ne pas subir une attaque de sa part.
Rangeant son arme doucement et commença à panser sa plaie avec le morceau de tissu.
Faisant plusieurs tours avec l’étoffe, le nouant entre les deux extrémités d’un coups sec, pour que le pansement tienne lorsqu’elle se mettra à marcher.


Il vaudrait mieux que tu ne bouges pas et que tu restes allongée, sinon la plaie va s’ouvrir encore plus et ne pas cicatriser. Tu crois que tu vas réussir à rester calme ?
En tout cas te voila soignée.


Il posa ses yeux verts sur les siens, se demandant s’il devait en profiter et en finir avec elle.
Ses protecteurs sont loin maintenant et il est capable de tuer d’un coup en silence et en toute discrétion.
Il n’était pourtant pas là pour ça...
Cherchant autre chose et se n’est pas sa vengeance qui allait l’aider, son orgueil était parfois déplacé.
A quoi bon se venger si l’honneur était la dernière chose que l'on désire?
Dommage qu’elle ne puisse pas lui apporter ce qu’il souhaite.
Il devrait se mettre en route bientôt.
Il avait maintenant une chambre dans cette taverne et devait trouver son salut dans les rues de la cour…




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Qu'est ce que la vie, dans l'oeil d'un rat maudit?
---fromFRFèbre
Un souffle dans sa nuque qui s'infiltre sous ses vêtements puis le transperce de part en part, telles des lames acérées.
Les mots sont le pire des poisons.
Un frisson parcourut le corps de l'Espagnol. On eut juré voir la plume sur son feutre se dresser.

Le vieillard passa devant lui, continuant à débiter ses immondes paroles.
Le Sombre, ainsi que l'avait appelé l'encapuchonné, le regarda aller s'installer à une table. Il ne lui répondit rien. Il détourna même son regard du sien.

La brune n'avait rien remarqué du manège du vieillard. D'ailleurs, elle s'en moquait ouvertement.
Ce qui l'intéressait, elle, c'était son encapuchonné... et Le Sombre...
Elle répliqua à ce dernier des propos quant à ce que l'Espagnol la trouve à son goût.
A ça, elle n'avait pas tout tort. Mais lui n'allait pas la brosser dans le sens du poil.


Je ne mange pas de ce pain-là, rétorqua-t-il.

Elle le considéra un instant avant de se départir de lui. Elle commanda une chambre au tavernier et s'aventura finalement dans l'escalier menant à l'étage.
Sa blessure semblait s'ouvrir un peu plus à chaque marche montée.
Enfin, l'encapuchonné décida de lui porter secours et tous deux sortirent du champ de vision de l'Espagnol.

A son tour, ce dernier se leva.
Non pas pour les rejoindre - d'ailleurs à quoi cela lui aurait-il servi ? - mais pour quitter la taverne.
Il allait franchir le pas de la porte quand il entendu le tavernier.


Hum...

Ah, oui. Mettez cela sur le compte de la brune, lança-t-il avant de disparaître dans les ténèbres de la nuit tombée.
---fromFRPulo le blanc
Tandis qu'il dévisageait la jeunette, celle-ci lui fait un clin d'oeil avant de reprendre sa discussion avec l'encapuchonné. Elle demanda une chambre au tavernier et se dirigea comme elle pouvait vers les escaliers, l'encapuchonné la regarde faire avant de lui apporter son aide pour monter et ils disparurent tous deux de son champ de vision.

La blonde sortie bientot rejointe par l'espagnol à la plume ayant fini son verre. L'homme qui observait la scene tout à l'heure avait été rejoint par une femme qui venait d'entrer et s'étaient assis tout deux à une table. Le vieillard avait fait de même et son regard en disait long, analysant tout ce qu'il se passait comme s'il cherchait sa nouvelle proie.

Que faire ? se lever et partir ? pour aller ou ? il lui faudrait trouver ou dormir, n'ayant pas réussi à s'incruster chez une femme cette fois. Il aurait tenter d'en savoir plus sur la jeunette mais elle avait à nouveau défier l'encapuchonné qui s'était montré fort docile... un peu trop même s'en était trop facile. Une baguarre en plein milieu de taverne avec tout ce monde n'était pas en sa faveur mais là, en haut tout seul avec elle, il était en position de force cette fois.

Pulo n'était pas du genre à se tracasser pour les autres surtout en ces lieux, mais cette fille... l'intriguait, il y avait quelque chose en elle qui l'attirait, il voulait en savoir plus sans trop savoir pourquoi. Apres tout pourquoi ne pas prendre une chambrée ? Ici ou ailleurs c'était pareil.

Il appella le tavernier et lui demanda une chambrée à son tour pour ensuite monter les marches par ou étaient passé les deux autres il y a peu. Il tendit l'oreille et entendit parler à travers une porte, sa chambre était à coté mais il resta dans le couloir un moment à écouter ce qu'il se passait.

Que cherchait elle en invitant ainsi l'encapuchonné ? le trouvait elle à son gout ou ses envies étaient elles toute autre ? Il avait du mal à penser que cette gamine puisse vouloir s'attaquer à si gros gibier surtout seule face à face avec lui.
---fromFRPaïkea
l'Orientale s'en fichait de la nuit...Elle se baladait dans les rues de la cour comme si elle faisait une promenade de santé...sa santé à elle c'était le calva. Elle s'arreta devant la porte d'une auberge...Le rat crevé...décidément tout était charmant ici.
Elle poussa la porte, entra...ses pas la conduisirent directement au comptoir, où elle s'accouda et commanda un calva. tous ses gestes étaient empreints d'une armonie naturelle, sa démarches, la façon avec laquelle elle avait poussé la porte, donnait l'impression que la pièce entière lui appartenait. Pourtant pas bien grande, la peau colorée, les yeux sombres et une bouche de vermeil, elle aurait pu paraitre commune, si elle n'avait pas été belle. mais belle elle l'était, et pas qu'un peu...
Elle reposa le verre de calva sur la table et demanda la bouteille cette foi.
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Paï,l'Orientale...~°¤oO'
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