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[RP] Taverne le Rat Crevé

---fromFRJilano
Jillano parlait toujours avec Freyja de la pluie et du beau temps ...
Mais là, il commençait à faire tard et quand il voulut mettre fin à la conversation, ses yeux furent attirer par une sublime jeune femme qui entra. Elle paraissait fort jeune quand même ... Mais son aura n'en était pas moins attirante.
Elle alla s'asseoir au comptoir et boire de l'alcool fort .
Le vieux s'intéressait beaucoup à elle ... Pour quelles raisons, Jillano ne tenait pas à le savoir ...
Freyja se rendit compte qu'il observait la nouvelle venue et elle lui dit que de toute façon il était tard et qu'elle avait à faire.
Ils se dirent au revoir et Jillano recommanda une autre bouteille d'hydromel.
Le désert dans ses yeux l'assoifaient ... Avec son assurance naturelle, il s'apprêtait à aller la courtiser lorsque qu'un bruit d'explosion de verre retentit à l'étage.
Jillano supposa que l'homme vétu de rouge en avait profité de la faiblesse de la brune pour prendre sa revenge.
Jillano bondit sur ses pieds silencieusement, caressa des doigts la poignée de sa dague et se dirigea vers l'escalier.
Son regard croisa celui de l'assassin qui était revenu s'attabler dans la taverne.
Jillano ne l'avait pas vu, ébloui par la jeune femme bronzée.
Un regard froid empli de haine passa de Jillano à l'assassin.
Signe executé, qui interprêté signifiait : " je t'ai à l'oeil ! " .
Il monte et avant d'atteindre la chambre il se rend compte que rien de dangereux ne s'est produit. L'homme se trouve à la porte observant les débris d'une bassine.
Jillano reprend une allure décontractée et se dirige vers une chambre à côté ne jettant qu'un regard dans la chambre avant d'entrer dans la sienne.
Une fois à l'intérieur, il ferme et se couche sur le lit.
Jillano pense à la jeune brune. Quand il l'a entre aperçu en allant vers sa chambre. Elle semblait ne pas trop souffrir. Sa blessure était bandée donc plus très dangereuse.
Il ne prend pas la peine de se déshabiller. Il ne compte pas dormir avant un petit temps ...
Jillano reste aux aguets écoutant ce qu'il se passe à côté, sa main toujours sur sa dague ...

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---fromFRVicious*
Alors qu’il la regardait avant de partir, par méfiance de la voir lui jeter une dague dans le dos sûrement ou pour autre chose qu’il ne serait expliquer…
Une bassine en porcelaine fut envoyée contre la porte, des éclats volèrent dans toute la pièce en faisant un vacarme assourdissant.
Son regard observait les morceaux de porcelaine au sol.
Une stratégie pour faire venir ses protecteurs sans doute.
La conscience pas tranquille sûrement, une certaine méfiance encore envers lui…
Comme elle avait raison.
Une remarque à son égard…
Il ne releva pas son petit jeu.
Elle n’avait toujours rien compris et n’avait plus l’intention de lui expliquer.
Stratège diabolique ou inconsciente désespérée. ?
Il continuait à la dévisager, regardait ses tentatives de séduction.
Mettant sa poitrine en avant à chacune de ses respirations, son corsage laissait entrevoir d’ailleurs la nature qui avait été généreuse avec elle.
Ses jambes qui appelaient par leur mouvement au désir.
Comment se méfier tant de quelqu’un et pourtant la désirer…
Savoir qu’avec ce genre de femme, surtout elle et la haine qu’elle devait lui vouer, il ne finirait pas avec une lame dans le dos.
Fourbe comme elle l’était, la fin était garantie.
Quelle belle mort…
Deux émeraudes tentaient de percer les mystères de cette femme.
Se rapprochant à nouveau, ses bottes écrasant les débris dans un bruit cristallin.
Elle le regardait d’un visage curieux, comme si elle ne le craignait pas, elle avait tord…
De nombreuses possibilités s’offraient à lui.
Allait il laisser libre cour à sa vengeance…
Ce n’est pas l’envie qu’il lui manquait pourtant.
Elle avait un certain charme, c’était indéniable.
Et une grande confiance en elle, se retrouver seule face à lui, pouvait être dangereux.
Il se tenait près d’elle, leurs yeux s’observaient, attendant le mouvement de l’autre, agressif ou sensuel…
Toujours sur leur garde.
Un silence emplit la pièce, on pouvait entendre le raffut à l’étage en dessous à ce moment.
Il ne résista pas longtemps auprès d’elle.
Avança son visage près de ses lèvres boudeuse et charnue, l’embrassant passionnément.
Profitant de ce moment pour lui retirer son arme principale qu’elle avait toujours sur elle, qui tomba dans un bruit métallique, plus loin dans la pièce.
Lui lança un regard amusé et l’embrassa fougueusement mêlant sa langue à la sienne, laissant ses mains parcourir son corps à la recherche de dague dissimulée sur elle…

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Qu'est ce que la vie, dans l'oeil d'un rat maudit?
---fromFRpeny
La jambe droite remontant contre la gauche sensuellement
Le regard des plus aguichant
Sa langue qui frôle ses lèvres tout aussi provocatrice
Elle ne sort pas tout l'attirail mais s'abandonne à ce jeu dangereux avec plaisir
Elle s'amuse, joue avec le destin
Il pourrait lui sauter dessus et faire d'elle une nouvelle âme errante
Elle n'a pourtant pas peur même si elle le devrait
Trop d'audace, d'impulsivité, de naïveté
Le beau adonis du premier s'avère à passer, regardant longuement dans sa direction
Elle lui fait une moue splendide et un clin d'oeil accrocheur
La première idée est souvent la meilleur....
Elle aurait du prendre celui là
Mais il part rapidement
L'autre semble se décider enfin !
Il délaisse la porte
Elle sourit plus franchement, satisfaite de l'avoir détrôné de son but primaire
Ses yeux rieurs regarde sa démarche pour venir faire ombrage au dessus d'elle
Elle découpe longuement sa tenue de ses orbites
Le silence est pesant, trop lourd
Quelqu'un doit bougé...
Ses tentatives sembles désespérées pour l'attirer à elle
Elle n'a pas l'habitude qu'ont la fasse ainsi languir ....
Elle hésite entre le brusquer un peu d'avantage ou le laisser venir à elle
Doit elle le faire souffrir dans sa chair ou laisser cette dernière fusionner avec elle
Il se penche enfin, ses lèvres douces et chaudes à portées des siennes
Elles se retrouvent et s'enveloppent mutuellement
Il est plus chaleureux de cette façon
L'olfaction qu'il dégage l'envoute
Sa langue se mêle à la sienne, une danse sensuelle mais avec une pointe d'agressivité s'excerce
Personne ne veut donner un pouce de terrain à l'autre
Mais pourtant l'appel de leurs corps commencent à prendre d'avantage de place...
Sa lame favorite va rejoindre le sol
Il ne la dénude pas et pourtant elle se sent à découvert
Son épée n'est pas sa seule chance mais sa plus grande fragilité
Son regard sourit.... Elle plisse les yeux, le sondant, elle n'a pas confiance mais tellement désirante....
Elle se laisse faire pendant que ses mains partent à la rencontre de ses plus intimes secrets
Elle ne le laissera surement pas armé également
La tension est trop forte, l'appel de la mort flotte mélangé à l'odeur du désir
Elle le dépèce de sa cape, la dénouant à son cou, effleurant sa peau de ses doigts
La chair à cet endroit est fragile, elle pourrait appuyer... le moment n'est pas encore adéquat...
La vengeance est un plat qui se mange froid... attendre... cela vaut mieux ...
Elle aura sa chance
Elle continue son effeuillage trouvant l'arme du crime, celle qui a laissée à jamais une marque en son être
Elle est projetée et va s'enfoncer dans le mur opposé à eux
Le voisin n'aimera certainement pas...
Mais il risque d'entendre pire dans quelques instant si ce morceau de choix en vaut la peine
Un clin d'oeil satisfait elle retourne à ses besognes ne voulant pas lui laisser la chance de la surprendre.
Un homme tel que lui ne se promène surement pas qu'avec une seule dague...
D'autres trésors cachés font surface et trouve refuge plus loin dans la pièce, hors de portée...
Ses mains ayant fini leurs tâches salvatrices se font plus pressantes
Ses doigts se délectent des zones érogènes, le voulant en émois, soumis à ses caresses pour ensuite ....
Elle verrait bien ensuite ....



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---fromFRAvadar Kedavrâa
Avadar arriva au galop accompagné de deux amis.
Ils faisaient impression sur leur destrier noir à l'allure sombre.
Ne s'attardant pas à observer tout les méfaits et actions de la cour, ils s'arrêterent directement devant la première taverne sur leur chemin.
Avadar, Nillem et Senna attachèrent leur chevaux.
Puis, Avadar le premier, ils entrèrent dans la taverne en claquant la porte.
Mouillé par la pluie et caché par leur masque ou cagoule, ils étaient impénétrables et mystérieux.
Mais l'on devinait directement leur intentions malveillantes.
Avadar projeta une femme à terre qui était sur son chemin.
Nillem l'égorgea.
Senna, elle, indifférente, traina sa dépouille dans un quoi de la salle laissant de grandes trainées de sang sur son passage.
Leur puissance, agilité et pouvoir était flagrant. Restait à voir ceux qui voudraient s'en assurer ...
Avadar jeta directement un regard dans la salle et ne vit pas la personne qu'il recherchait mais restait l'étage ...
Mais il repéra un homme vétu de rouge. Un assassin. Un collègue en quelque sorte.
Avadar se dirigea directement vers lui.
Senna bloquant l'étage et Nillem la porte d'entrée.
Observant l'assassin d'un regard curieux et froid, il dit


- Toi. J'ai un contrat peut-être à te confier.
Il te rapportera plus que tu n'auras jamais eu !
Je te propose de m'aider à remplir ma mission.
Tu as l'air d'être un homme intelligent, puissant et sans pitié.
Tu conviens parfaitement à la Guilde Des Mercenaires Du Chaos.
Si tu l'acceptes, notre mission consistera à éliminer une suite d'hommes et de femmes.
Tu n'as pas besoin de savoir qui ils sont. Tu as juste à me suivre et à intervenir le moment venu.
Je te laisse réfléchir ... Un accompte ...

Tavernier ! Un verre de ce vin qui m'à l'air d'être un excellent cru !
S'il s'avérait ne pas l'être, tu le payeras ...
Je te laisse imaginer ... Ton corps enlaçant celui de la femme là-bas ...


Avadar rit bruyamment et désigna le jeune femme qu'il avait bousculé.
Il jetta une bourse remplie d'écus à l'assassin qui l'attrapa sans difficultée.
Le tavernier, terrifié, acquiessa et alla lui chercher un verre de vin.
Enfin, il le lui donna et Avadar le goûta sous l'oeil appeuré de l'homme.


- Hum ... Difficile à dire ... Ce n'est pas formidable mais cela passe tout de même suffisament. Amène un verre pour cet homme devant moi.
Retourne à tes besognes et oublie moi !

Avadar n'aimait pas tuer pour le plaisir. Il allait falloir qu'il apprenne apidement...
Il était assi à la table de l'assassin et l'observait attendant sa réponse.
Lui offrant un verre, le temps qu'il réfléchisse ...

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Membre élite de la guilde des Mercenaires du Chaos
pnj
Valentine vit un homme entré mauvaises intentions certainement .
Tien déjà une morte sur le plancher la femme qui était entré à la suite de l'homme était partie la posé dans le coin de la pièce .
Et voilà que ce n'était pas tout en plus de tuer une femme il fallait qu'il vienne lui parler .
Bien alors en toute courtoisie il l'écouta attentivement restant avec une image neutre dans son visage tout le long de son petit discours .
Comment c'était arrivé déjà ah oui il était entré et c'était assis ...
Ses deux chiens de chasses gardaient les entrées la distance entre les deux interlocuteur , si tout ça tournait au vinaigre , était assez afin qu'il puisse tiré sa lame au bon moment et lui donner un coup mortel .
Bien ses intentions n'étaient pas mauvaises vis-à-vis lui .
Lui proposait t-il de joindre un groupe d'individu ?
Ne savait-il pas que Valentine agissait seul et pour son propre compte ?
Enfin il saurait tout se qu'il aurait besoin de savoir .


Par où commencer ?
Bon premièrement , merci pour la coupe de vin c'est bien apprécier .
Si tu es là devant moi c'est que tu vois en moi un homme compétent dans l'assasinat alors réjouis toi je suis compétent !
Ton butin que tu me propose si c'est bien ça , m'intéresse je joue dans la cour des grands je vis de mes propres moyens et je tue seul .
Mais j'accepte ton offre !
Tu dois aussi savoir que comme tout assassin j'ai besoin d'information afin de pouvoir intervenir à toutes évantualitées !
Et la guilde des mercenaires du chaos !
Sa sonne mal à mon oreille sa fait petit troupe d'homme qui n'a pas encore grande renommé dans se monde détrompe moi si j'ai tord !




Valentine serra la bourses de ses doigts en examinant le contenu assez lourd pas trop mal .
Sa dernière paye était une bourse mais pas aussi remplie que cela .
Il allait accepter , il avait accepter !
Luinwë posa la bourse dans le fond d'une de ses poches près de ses poignards bien dissimulés et fit un sourire à l'homme.
Il avait une allure étrange mais normal dans le métier .
Enfin il prit la coupe le détaillant et détaillant aussi ses deux amis .
Il la déposa à ses lèvres laissant glissé le liquide rouge bourgogne dans sa bouche le dégustant lentement .
---fromFRVicious*
Dans une chambre


Il n’a pas su résister à cette femme…
Bien que méfiant et n’ayant aucune confiance en elle, il est tout près du danger.
Le risque est grand, il ne la quitte pas des yeux.
Par méfiance ou par désir, peut être les deux à la fois.
Savoir qu’avec un coup en traître, elle pourrait en finir avec lui…
Ce qu’elle ne sait pas, c’est qu’il peut à tout moment, d’un geste bestiale, mettre fin à la vie de ce corps fragile.
Si désirant, si gracieux et pourtant si faible.
D’un geste brusque, pouvoir lui briser le cou ou un membre, sans grande difficulté.
Il ne faudrait pas beaucoup pour cela et sa vengeance, son orgueil piqué au vif par cette tigresse, serait vengé.
Elle le mérite d’ailleurs, toujours la gueule grande ouverte, elle n’en finit jamais.
Inconsciente, arrogante, fier et susceptible.
Un caractère de feu, impossible à vivre, seul la violence peut avoir raison d’elle.
Et pourtant il doute de son action, se laissant peu à peu aller au fur et à mesure de ses caresses sur son corps.
La voilà qui lui enlève sa bure rougeoyante couleur sang.
Ses armes, ses épées, ses nombreux secret, tout vient encombrer le sol de la pièce.
Allant jusqu'à planter rageusement l’arme de la discorde dans le mur.
Le voisin s’il y est, pourrait prendre peur de cette lame plantée dans le mur.
Elle subit le même sort et ses vêtements viennent tapisser le sol de la chambre.
Elle est mise à nu facilement, prenant du plaisir dans le danger.
Se délectant de cela, elle en joue avec une certaine légèreté.
Plus tard elle risquerait de le regretter…
Quand on joue avec le feu, on se brûle et aucune plainte ne sera tolérée par la suite.
Elle est seule plus aucune escorte pour la protéger.
Elle a choisi son destin.
La mort la guette au dessus de cette femme maintenant, l’épée de Damoclès finira par tomber.
Un sursis…
Un dernier ébat…
Son regard n’a toujours pas changé.
Glacé comme la mort, on pourrait en ressentir la froideur dans la pièce.
Pas un mot n’est échangé, chacun prendra ce qu’il veut, la vie ou la passion.
Caressant doucement sa peau délicate, regardant un instant ce pansement sur cette cuisse.
Le pourquoi de cela, il n’en avait rien à faire…
Ses baisers n’avaient rien d’amoureux, plus passionnel et charnel que autre.
Continuant son exploration par mont et vallée qui lui étaient offert l’espace d’une nuit.
Caressant ses seins, mordillant ses mamelons, la ramenant contre lui d’un geste brusque.
La dominer, ne lui laissant aucune chance…
Il la rejette sur le lit dont les ressorts semble ne pas apprécier cet accueille brusque.
Contemplant de haut ce corps de femme.
Il pourrait l’éventrer, là, tout de suite…
Elle était sans défense, comme un rituel de sacrifice, relever une dague haut dans l’air et l’abattre avec rage, s’acharner sur cette peau blanche immaculée et fragile…
Remplir la pièce de cri étouffer, le lit de sang et repartir avec un sentiment de joie…
Il n’en fera rien… Pas encore…
La pièce et petite, les armes sont à portées à quelque mètre seulement…
Oubliant ses pensées de vengeance, de meurtre, il se jette à nouveau sur la proie.
L’embrasant avec une certaine passion mêler de bestialité et de désir.
Pas de place pour de l’amour ou de l’affection.
Que de la rage, le sentiment de possession l’espace d’une nuit.
Continuant ses caresses sur tout le long de son corps, descendant doucement ses mains presque impatient pour atteindre son but.
Qu’elle soit en émoi, ne résiste plus, l’appelle pour mettre fin à son tourment de désir.
A son corps bouillonnant qui l’appel ardemment, ne souhaitant qu’une seule et unique chose…

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Qu'est ce que la vie, dans l'oeil d'un rat maudit?
---fromFRPulo le blanc
Après être resté un moment dans le couloir à tendre l'oreille, pulo avait fini par regagner sa chambrée. A nouveau seul, il se mit à repenser au passé, il avait du quitter sa famille dès ses 16ans et ne les avait pas revu depuis. Il s'en voulait, se sentant responsable de la mort de ses parents, il n'aurait jamais du rester si loin de chez lui si longtemps. Il n'avait pas vu grandir sa petite soeur, il n'avait pas pu profiter de sa famille tant qu'il en avait une et maintenant il n'était pas capable de retrouver sa soeur, se laissant distraire par-ci, par-là.

Il s'assit sur le bord du lit et se prit la tête entre les mains, etait il si bon à rien ? Pourtant en espagne tout semblait lui réussir et à présent tout tourner au cauchemar. Il fallait qu'il se reprenne, s'il n'avait pu sauver ses parents, il se devait au moins de retrouver sa soeur, elle etait tout ce qui lui restait à présent, sa seule famille. La tache était difficile presque impossible pourtant il ne voulait se résigner. Des larmes semblaient vouloir germer dans ses yeux, tandis qu'il pensait au passé.

Soudain des bruits se firent entendre, des bruits sourds, d'autres plus léger, des bruits de pas... quand une lame s'enfonca dans le mur pas très épais qui séparait les pièces de l'étage. La lame s'était enfoncée dans le mur dans un lourd fracas. Que se passait il à coté ? une bagarre semblait avoir commencé.

Pulo se leva et rejoigna à nouveau le couloir. Apres la peine, la rage se reveillait en lui, la rage de n'avoir rien pu faire pour sauver les siens, celle de ne pas réussir à retrouver une soeur qu'il n'avait presque pas connu. La petite gamine provocante devait sans doute avoir nargué l'encapuchonné, mais seuls dans cette chambre, elle n'aurait sans doute plus le dessus sur lui.

Il avait envie de jouer de son épée, et pourquoi pas faire couler le sang, peut etre meme qu'il pourrait prendre la place de l'encapuchonné et s'amuser avec cette gamine provocante qu'il trouvait à son gout. Il se placa devant la porte de la chambre voisine et donna un coup de pied sec au niveau de la poignée, la porte ceda au premier coup et il entra dans la pièce. La gamine est nue couchée sur le lit, l'encapuchonné lui aussi dévétuse jette sur sa proie et l'embrasse, ayant préféré céder à ses envies et désirs plus charnels pour l'instant.

Pulo aurait sans doute fait demi-tour dans pareille situation d'habitude mais cette fois sans trop savoir pourquoi il ne pouvait supporter cette vue. Désirait il prendre sa place, brulait il de désir pour cette gamine ? Lui-même n'en savait rien et ne comprenait pas son attrait pour cette fille mais une chose était sur, il ne supportait pas de voir cet assassin jouer avec sa nouvelle proie.


Alors tu t'amuses ? Ote toi de là et retourne d'où tu viens, c'est ma proie !
---fromFRpeny
Un effeuillage en règle
Tout le deux se retrouvaient nus et affolés du désir qui était palpable
Pourtant il n'avait pas que cette envie qui se ressentaient entre les deux
Le plaisir se mêlait à d'autres...
Le meurtre, la vengeance et le sexe... Quel merveilleux trio !
Une déchéance complète
Il l'embrassait, pas amoureusement, encore fut elle heureuse de cela justement
Elle n'aimait et n'avait jamais eu la chance d'aimer quelqu'un
Elle voulait, prenait et jetait, fidèle à elle même
Pour lui, il en serait d'avantage ...
Elle le tuerait ensuite, tel une mante religieuse après l'accouplement
Le martyr sur son corps qu'il exerçait la chavirait
Ses seins pointés vers lui, avide d'encore plus de ses caresses
Il la jeta sur le lit, les ressors défoncés de ce dernier s'enfonçant dans son dos
Elle sourit, ravie de voir la bête sommeil en cet homme froid et dur tout autant qu'elle se réveiller
Aucune tromperie, que du plaisir pur et simple
Après examen de ce qu'elle pouvait lui offrir ou qu'il pourrait conquérir
Satisfait, il se jeta sur elle, la cajolant plus lourdement, sans détour,sans préléminaires
Des baisers s'échangeaient, des langues s'unissant, une irrésistible envie de s'offrir
Elle rêvait déjà des coups de butoirs appropriés
Un grand bruit sourd, la porte éclate
Sa tête se tourne vers l'intrus
Le samaritain....
Son visage exprime la fureur, contraste troublant
Il l'a crois en danger ? Le voisin de l'autre pièce surement
Il a pas du aimer être déranger par le bruit.... le pauvre...
Une parole trop provocante pour rester sans réponse....
Il la dérange, elle avait presque ce qu'elle voulait
Elle va le tuer ! L'interrompre comme cela la croyant sa possession
Non mais pour qui il se croyait... Si au moins cela avait été le beau brun... qui sait !
Elle écarte l'homme sur elle, prend un poignard au sol, nullement gênée de sa nudité et lui fait face

Un soucis ? Un conseil... Pars d'où tu viens... Je suis la proie de personne!


Elle lui en veut
Vengeance non assouvi autant que ses envies
Il l'a détaille de toute ses courbes
Ses jambes élancée, ses hanches aguichantes prête à se faire maintenir fermement
Ses seins rebondis et envoutant
Il la fixe, directement entre sa poitrine
Elle baisse aucunement la tête sachant très bien ce qu'il peut regarder présentement
Il n'y a que sa poitrine et le pendentif de sa défunte mère qu'elle ne quitte jamais l'ayant retirée de son pauvre corps ensanglanté

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---fromFRVicious*
Dans une chambre

Alors qu’il n’avait même pas encore consommé la belle, les préliminaires à peine engagés…
La porte s’ouvrit avec fracas.
Un homme se tenait dans l’embrasure de la porte et semblait vouloir participer à leur petite sauterie.
Son regard se tourna immédiatement vers la personne qui osait ainsi les perturber.
Il semble vouloir prendre sa place…
Dommage, s’il était venu quelques heures plus tard, il aurait put profiter de son cadavre…
Décidément, certain croit vraiment qu’il suffit de rentrer en fanfare et de crier ces désirs pour qu’il soit exaucés.
Pauvre fou…
Le dragon réagit immédiatement à cette intrusion, le repoussant et sortant du lit en s’armant immédiatement d’une dague planté dans le mur.
Décidément quelle femme, quelle rage habite son être et quelle fougue.
Malgré son inconscience et sa rage, elle lui fit face et rétorquait à cet homme sa façon de voir les choses.
Il ne tarde pas à suivre son mouvement et comme elle, ramasse son épée au sol et se rapproche et de l’homme.
Sa démarche est rapide et sans aucune hésitation, une telle entrée va recevoir une réponse directe et sans appel.
C’est sans aucun ménagement qu’il se précipite sur lui, son désir ardent encore visible de tous.
Que lui importe, il devait régler le problème et prêter main forte à la furie.
Il s’approcha de l’homme sans mot dire et lui assena un violent coup de pied dans l’estomac sans en savoir plus de ces revendications.
Personne ne pouvait ainsi le déranger.
Il recula prudemment, son épée dirigée vers la menace qui gisait au sol maintenant.
Le fixant de ses yeux couleurs d'émeraude, cherchant à savoir ce qui lui prenait tout à coup.
A son arrivé, il avait prit la défense de la femme et maintenant il la voulait pour lui.
Encore un frustré qui ferait mieux d’aller au quartier des catins pouvoir se vider de cette haine qui déborde en lui.
Malgré cela, aucune émotion ne paraissait et c’est toujours avec son ton monocorde et calme qu’il s’adressa à lui, son regard le transperçant, son épée prête à le pourfendre en deux.
Etonnent, mais ils semblaient avoir réagit tout deux sans aucune discorde.
Pour une fois ils étaient en accords, au lieu de se battre comme ils avaient fait, il y a quelques heures.
Il lui jeta un regard complice et reposa ses yeux sur le vers de terre qui se trouvait maintenant au sol devant eux.


Décidément il n’y a que des gêneurs dans cet endroit. D’abords tu m’interromps quand je veux la tuer et maintenant quand je la baise… Va te faire soigner…
Mais peut être que tu t’es trompé de pièce ? Dans ce cas les orgies ont lieu dans la taverne d’à coté va donc voir si tu peux participer, au lieu de nous interrompre…
Lèves toi doucement et repart d’où tu viens, sinon je te garantie que tu ne pourras plus jamais enfoncer une porte de la sorte.


Il scruta les couloirs afin de vérifier si aucun autre chevalier ne viendrait à son secours.
Tous étaient des lâches et il avait déjà eut le loisir de constater cela.
Pas foutu de se battre seul, toujours besoin d’un ange gardien qui frappe en traître pour les sauver de leur mort.
Il restait sur ses gardes, regardant le couloir et cet homme, ses sens aux aguets prêt à se battre si l’importun se montrait belliqueux.
Il avait hâte qu’il le fasse en vérité et ce n’était pas ça tenu qui allait le déranger.
L’avantage serait une grande mobilité dans son plus simple appareil.

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Qu'est ce que la vie, dans l'oeil d'un rat maudit?
---fromFRAvadar Kedavrâa
Avadar écoute l'homme. Il l'écoute attentivement et commence déjà à l'apprécier.
Cet un assassin habile semble-t-il mais aussi courtois et élégant.
Tous les Mercenaires du Chaos ont du style. Tous d'une manière différente.
Nillem lui est jeune et charmant. Dès qu'il n'est pas en mission, il passe son temps à chasser les beautés ... Puis il les tue ...
Car sous son apparence de jeune homme cultivé, il est cruel et sans pitié ...
Senna, elle n'est pas très belle mais ses yeux sont exceptionnels et sa démarche bestiale et envoutante.
Ayant subi beaucoup de pertes cruelles et n'ayant jamais eu de chance, elle a fini sur cette voie qui mnt lui convient parfaitement ...

Avadar tique à certains propos de l'homme.


Citation:
Et la guilde des mercenaires du chaos !
Sa sonne mal à mon oreille sa fait petit troupe d'homme qui n'a pas encore grande renommé dans se monde détrompe moi si j'ai tord !


Il fini tout de même par sourire.
Voici la preuve que cet homme travaille en solo et ne s'intéresse qu'à lui.
Oui dans ce royaume la Guilde du Chaos n'a pas encore grande renommée.
Elle agit dans l'ombre pour le moment et les quelques villages incendiés et nombreux citoyens assassinés semblent être l'acte des brigands.
Ainsi les troupes du Roy se concentrent sur eux délaissant la Guilde ...
La récente destruction de l'Italie ... On la croit dûe à une guerre ou à une révolte.
Mais non, tous les politiciens et détenteurs du pouvoir on été petit à petit corrompu et assassiné ainsi qu'inflitré et utilisé ...
Maintenant ce royaume est toujours plongé dans le Chaos, tous appeuré par ce qu'ils ont vu ... Et subis !
La plus grande partie de la guilde y est encore mais maintenant la nouvelle proie est CE royaume ! Et le principale ennemi est la noble guilde Des Marchombres ...
Des hommes extrèmement agiles et discret. Qui sont entièrement libres et indépendant. Ne régissant à aucune lois ...
Ils n'aiment pas tuer pour le plaisir et prennent souvent la défense des démunis mais n'hésitent pas à faire payer leur affronts aux autres.
Cette Guilde, enfin elle est presque anéantie ...
Le conseil est constitué de vieillards qui n'ont plus que la sagesse ...
Et les Maîtres Marchombres presque tous assassinés avec leur apprentri ...
Un homme très influent et puissant dans la guilde a été récemment éliminé par le chef en personne d'Avadar.
Un dénommé Jillano ...
Maintenant lui éliminé, il reste la Chef actuelle des Marchombres ...
La plus douée et redoutable ...
A telle point qu'elle est introuvable.

Enfin ils sont ici pour éliminer quelques membres et pour se renseigner ...
Avadar regarde l'homme et sourit .


- Comment te nommes-tu " compagnon " ?
Pour le vin c'est avec plaisir ! Tu n'es pas un assassin vulgaire !
Tu en restes cultivé et poli.
Des informations, hum ...
Ne devons éliminer quelques ennemis de ma Guilde.
Ils ne sont pas des plus redoutables mais on ne sait jamais qu'ils ne soient plus que prévu ...
Et puis, après cette mission passée avec nous, peut-être voudras-tu rencontrer notre chef et ainsi entrer dans la guilde et bénificier de beaucoup de pouvoir et ... d'argent évidemment. Mais ne t'inquiète pas, nous sommes tous solitaires mais nous devons nous entraidez tout de meme. Mais cela ne signifie pas risquer sa peau pour les autres ! Tsss

Avadar éclate de rire et reprend bien vite

Notre chef donc,
Le plus puissant assassin de nos jours !
Intelligent, stratège, rusé, rapide, agile, sans pitié et cruelle.
Personne ne l'a jamais battu ... Et les possiblités que cela arrive sombrent au fur et à mesure que nous éliminons les Maîtres Marchombres ..
Tu n'en as peut-être pas entendu parler ...
Guilde peu nombreuses et encore moins aujourd'hui ! Secrète et mystérieuse. Tous ses membres sont des adorateurs de la liberté et de la justice si on peut dire ... Ils sont indépendants et ne s'agenouillent devant personne.
Ils sont tous sages et sur entraîné.
Habile aux maniements des fines dagues et de la discrétion.
Mais bon je ne peux t'en révéler plus pour le moment.
Tu détiens sur assez d'informations .
J'espère que tu ne nous décevra pas.
Assez parlé ! Fini ton verre tranquillement et nous examinerons les tavernes alentours.
Senna, monte à l'étage et vérifie les chambres !


Avadar fini son verre de vin et ses yeux se tournent vers le corps de la femme égorgée...
Il n'aime pas tuer pour rien ... Mais bon ils doivent faire impression !
Repensant à ce que font les autres en ce moment, il regarde dans le vague mais toujours sur ses gardes ...

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Membre élite de la guilde des Mercenaires du Chaos
pnj
Valentine sourit à l'assassin posé devant lui le regardant dans les yeux même lorsque celui-ci ne le fesait pas .
Il l'intriguait , non pas par son allure mais ses dires ...
Si seulement il savait , il ne pouvait pas savoir il devrait lui dire .
Une promesse de richesse était peu pour Valentine mais de gloire c'était tout autre .
Les deux réunient c'était l'extase !
Lui même assassin de renommé dans la discretion du métier ne pouvait que sourire au charisme de l'homme .
Il avait un franc parlé avec une pointe de discretion normale les assassins gardent toujours une carte cachée dans leur jeu .
Prêt à la dévoiler à tout moment afin d'en finir avec leur ennemis mais il semblait honnête .
Enfin , honnête pour une homme malsaint !
Valentine reprit la coupe entre ses doigts agile la portant à ses lèvres laissant coulé la boisson alcoolisé bourgogne dans sa gorge sans bruit particulier.



Vous semblez me prendre pour un assassin de bas étage ne connaissant pas les marchombres .
Sachez que je les connais messire .
J'ai même travailler avec eux sur une mission délicate contre les franchimonts .
Se son de très bon hommes sachant se camouffler avec une proffesionalitée telle que personne ou pratiquement personne ne pourraient les voir .
Je les connais !
Bien ?
Non !
Mais je connais certaine de leur techniques en les ayant observés .
Et je peux vous assurez que ce n'est pas avec cette cape rouge que j'arriverai à me camouffler .

hahaha !

Enfin bref j'apprend au cours des missions que je mène ou participe .
J'apprend à chaque fois !
Preuve que mon apprentissage n'est pas terminé depuis ses 23 années 16 si l'on compte que j'ai commencé à tué pour ma survie à l'âge de 7 ans !
Très jeune pour commencé cela mes parents ne m'ont pas abandonnés .
J'étais simplement trop gâté il faut croire surprotêgé !
Finalement je me suis séparé d'eux à coups de poignard dans le champ personne ne peux résister à un enfant faisant des yeux d'épagneul triste .
Mais moi se que je voulais était tout autre que se qu'un autre enfant aurait voulu je l'ai remarqué étant encore plus petit lorsque je cassais mes jouets en bois .
J'ai toujours été différent et j'en suis heureux regarder où j'en suis rendu maintenant ...
Je parle avec un homme charmant et courtois qui me propose une place au sein de sa guilde .
J'ai apprit les ficelles du métier !
J'ai même mon propre style !
Mon propre nom !
Je vis largement bien et j'aime que dis-je j'adore les femmes bien proportionnées ne parlont pas de grosses je les détestes mais bien de splendides femmes généreuses dans leurs courbes !
Elles me le rendent bien je vous l'assure !
Heureux de vous connaître !
Je me nomme Luinwë Valentine laissé tombé le prénom il est très difficile à prononcer certains l'ont massacrés maintes et maintes fois alors simplement Valentine sera apprécié !



Valentine finit son verre d'un trait et le reposa sur la table ...

Absolument Délicieux ! Je suis prêt monsieur ?
---fromFRPulo le blanc
Dans une chambre

La gamine écarte l'homme couché sur elle et se releve attrapant un poignard au passage nullement genée par sa nudité, elle s'approche et lui fait face. Elle ne semble guère avoir aprécié de s'être faite dérangée dans pareil moment, l'homme grogne à son tour. Il était évident maintenant qu'ils avaient tout deux décidé de prendre du bon temps, une courte trève surement avant de reprendre leur petit combat verbal ou physique plus tard.

Un soucis ? Un conseil... Pars d'où tu viens... Je suis la proie de personne!

Tandis qu'elle s'approche de lui, pulo ne peut s'empêcher de comtempler son corps nu, elle est si jeune et pourtant sa silhouette est voluptueuse, il la détaille de bas en haut, commencant par ses jambes élancées, ses hanches aguichantes, son ventre, puis son regard arrive sur sa poitrine, des seins fermes parfait puis il apercoit son pendentif et ne peut s'empêcher de le fixer.

Ses jambes se figent, comme si le temps cessait de s'écouler pendant un instant. A ce moment, l'homme se releve et s'approche de lui, pulo perdu dans ses pensées ne le voit pas venir il ne voit plus que ce pendentif. Il recoit un violent coup de pied dans l'estomac qui l'envoit directement au sol, ce qui le sorti de ses pensées. Ils étaient maintenant là tout deux devant lui à le tenir en joue.

Décidément il n’y a que des gêneurs dans cet endroit. D’abords tu m’interromps quand je veux la tuer et maintenant quand je la baise… Va te faire soigner…
Mais peut être que tu t’es trompé de pièce ? Dans ce cas les orgies ont lieu dans la taverne d’à coté va donc voir si tu peux participer, au lieu de nous interrompre…
Lèves toi doucement et repart d’où tu viens, sinon je te garantie que tu ne pourras plus jamais enfoncer une porte de la sorte.


L'homme l'avait contourné et scrutait le couloir, pulo se releva, une envie de menacer cette gamine, la voir porter ce pendentif le rendait fou de rage mais l'autre homme était derriere lui et se tenait sur ses gardes, il n'hésiterait surement pas à le transpercer de sa lame s'il s'en prenait à la fille maintenant. Pulo décida de s'attaquer à elle verbalement plutot que par les armes, seul contre deux s'en était plus prudent.

Sale catin dis moi tout de suite ou tu as volé ce pendentif ou je te saigne comme une truie et tant pis si ton amant me rend la pareille ensuite ! Je ne partirai pas d'ici sans savoir où tu l'as volé et à qui ! Parles et vite !

Pulo était devenu enragé, il se retenait comme il pouvait pour ne pas lui sauter dessus et arracher le pendentif. C'était celui de feu sa mère, les brigands avaient du le lui arracher apres l'avoir tuée. Il serait sans doute son seul indice pour retrouver ces brigands et peut etre sa soeur. Il resta face à elle, sa lame brandie attendant impatiement qu'elle lui réponde.
---fromFRpeny
Un long regard en sa direction
Il avait pas l'air bien
Son amant d'un soir se leve
Lui aussi ne semble pas content
Il profite de l'inattention du samaritain pour le frapper
Un coup express dans l'estomac
Peny a presque mal pour lui
Son nouveau défenseur, qui pourtant avait envie de la tuer se place derrière l'homme au sol
Pour une fois et surement la dernière, ils sont du même coté...
L'autre se relève et l'insulte durement
Il lui parle de son pendentif
Instinctivement elle porte sa main libre sur lui et le tiens fermement dans sa main
Son seul souvenir restant... il devra la tuer pour l'avoir !

Catin ?Volé ? Hey le taré ça va pas toi ! T'as quelque chose qui tourne pas rond. Tu défonces ma porte et ensuite me traite de voleuse ?



Elle le toise du regard
Ses yeux bleus devient aussi dur que l'acier
Elle va lui faire mal pour avoir su la mettre dans cette état
En plus il venait d'interrompre un moment pas trop mal pour une fois qu'elle ramassait pas un bouseux de paysan
Elle allait s'amuser et lui lui retirait ce plaisir....


J'te fais une fleur, je réponds à ta question avant de te tuer... Ce bijou appartenait à ma défunte mère. Je l'ai retirée moi même de son cou lorsqu'elle a rendu l'âme. Maintenant que t'as ta réponse, crève sale chien....


Elle s'avança vers lui
Sa lame tournoyant dans sa main pour trouver l'angle adéquat pour lui trancher la gorge
Elle n'avait aucune pitié pour son espèce depuis qu'elle avait tout perdu par des hommes tel que lui

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---fromFRPulo le blanc
Instinctivement tandis qu'il lui parle de son pendentif, la gamine porte une main sur lui et la ressere, le tenant fermement comme pour le protéger. Pulo s'interroge, elle semble tenir particulièrement à ce pendentif pourtant dans sa mémoire il n'a pas grande valeur.

Catin ?Volé ? Hey le taré ça va pas toi ! T'as quelque chose qui tourne pas rond. Tu défonces ma porte et ensuite me traite de voleuse ?


Il peut voir la rage qui s'empare d'elle à nouveau mais pulo n'en avait que faire... peu importe qu'elle n'aprécie pas de se faire déranger aux portes du plaisir, peu importe qu'elle ne supporte pas les insultes d'ailleurs elle ne semblait pas supporter grand chose...

J'te fais une fleur, je réponds à ta question avant de te tuer... Ce bijou appartenait à ma défunte mère. Je l'ai retirée moi même de son cou lorsqu'elle a rendu l'âme. Maintenant que t'as ta réponse, crève sale chien....

Sans attendre une réponse de sa part, la gamine s'avance vers lui et fait tournoyer sa lame tout en l'approchant de sa gorge, obligeant pulo à réagir vite s'il ne veut pas mourir. Les mots de la jeunette résonne dans sa tête *... à ma défunte mère... * Il ne comprenait pas, il ne pouvait se tromper, il avait reconnu ce pendentif et c'était celui de sa mère ! Tout était confu dans sa tête. Pulo réagit de justesse en attrapant le poignet de la gamine qui tenait sa lame et l'empechant de lui trancher la gorge mais la petite avait de l'énergie et elle forcait tant qu'elle pouvait pour essayer de lui trancher la gorge. La lame effleurait sa gorge, pulo serrait de plus en plus sa main l'empechant de le couper mais il continuait de réfléchir, se contentant de la repousser.

Ta mère ? tu dois te tromper, je reconnaitrai ce pendentif entre milles et il s'agit de celui de MA mère !

Au moment ou il prononcait ses mots, une idée lui traversa l'esprit. Et si cette gamine était sa soeur... apres tout elle semblait fort jeune et elle était trop petite lors de son départ pour qu'il puisse la reconnaitre. Son regard changea, plus de rage, juste un regard qui découvre qui cherche, il scrute son visage, à la recherche d'un souvenir, d'un trait qui lui rappelle la petite soeur qu'il a connu. Sans s'en rendre compte, il relache la pression sur la main, la lame l'erraflant quelque peu. Il ne réagit pas, son regard se perd dans le sien.

Pé... Pénélope ?

En prononcant son prénom, pulo perdit toutes ses forces, ses mains tombèrent, lachant la main qui le menacait et son épée de l'autre. Il était partagé, il n'avait presque plus d'espoir il y a quelques heures et là pourtant il voulait y croire, son coeur battait la chamade, il était heureux et triste. çà ne pouvait être qu'elle... mais par où avait elle du passer pour devenir ce qu'elle était à présent. Elle maniait les armes, défiait les autres memes les hommes les plus expérimentés,.. et elle... elle ne semblait pas être novice en plaisir de la chair... Pulo se perdit dans son regard, heureusement pour lui, elle aussi avait relaché la pression au moment ou il avait prononcé ce prénom, sans quoi il sera déja mort.
---fromFRpeny

Une ouverture, elle n'en avait besoin que d'une seule
Elle la saisit lorsque le moment se fit opportun
Une main stoppa son poignet dans sa progression
Rageuse, colérique et amère
Elle le rata de très peu, ne laissant qu'une fine entaille
Enfant gâtée qu'elle était elle devient haineuse en voyant son désir s'éteindre
Le tuer... personne ne la provoquait de cette façon et en ressortait sans rien
Elle avait tellement maturée et pourtant elle n'était encore qu'une jeune femme
Une femme dure et meurtrie dans le corps d'une adolescente
Il la repoussait mais ne l'attaquait pas bizarrement
Des paroles inattendues
Les mots se répercute dans sa tête

* Il est cinglé ou en manque d'attention ce con...*

Ta mère ? Impossible crétin... il appartenait à MA mère. T'es sourd ou quoi ?

Le visage du samaritain qui n'en était plus un changea
Elle essayait toujours de trouver la faille dans sa défense sans grand résultat
Au moment où elle pense à changer de tactique il relâche lentement la pression
Par son geste, la lame l'entaille superficiellement
Étonnée par l'envie de mourir ou la folie qui traverse l'homme
Elle fait quelques pas en arrière
Se préparant à une riposte


Pé... Pénélope ?

Son coeur s'arrête
Cela se transgresse dans son visage
Personne ne l'appelait ainsi sauf ses parents
Même pas ses amis
Que sa mère, son père et.. et... NON...
Elle le regarde, troublée
Cela fait plus de dix printemps qu'il est parti
Ce ne peut pas être lui, et surtout ici...
Et pourtant en le détaillant largement elle pu voir les yeux de sa mère
Les traits durs de son père bien qu'un homme des plus charmant
Il leurs ressemblait


Poutou ? Je ...C'est toi ?


Son incompréhension se lisait dans ses yeux
L'autre,l'encapuchonné dénudé ne bougeait pas ne comprenant rien non plus
Elle l'avait toujours surnommé ainsi
Il passait son temps à la caliner enfant d'où le surmon
Est ce bien son frère ?
Oui possible après tout
Elle se retrouvait nue devant celui qui pouvait l'être et qui la reluquait un instant avant
Qui plus est il allait se jeter sur elle pour la prendre
Heureusement que cela n'était pas arrivé....

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