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[RP] Taverne le Rat Crevé

---fromFRdarkominoro
La femme lui répondit d'un air dédaigneux et pleins de suffisance et se replonga dans son papier.
Darkominoro eut un rictus.
Ainsi elle se moquait de lui.Ha elle voulait se débrouiller seule hein
!Ha elle croyait qu'il la reluquait.
Il sortit d'un geste brusque son épée, puis la renguaina.
Celà ne valait pas le coup pour elle.
Il sortit alors son poignard,un compagnon de longue date.
Ensembles ils avaient tués, égorgés, c'était sa compagne depuis longtemps.
D'un geste brusque, il la planta sur la table et dit à chrysalis d'un ton plein d'arrogance:


Maintenant tu vas te taire la donzelle.Que tu refuses mes services, soit, que tu penses que je te reluques, si tu veux.
Mais que tu te foute de moi non, alors ferme ta grande geule et arrête ça tout de suite.
Tu es nouvellle ici, alors ne commence pas à te faire des énnemis.
Je ne suis pas très connu ici, mais je te préviens, tu recommences et tu passes de vie à trépas en quelques instants.
Compris?


Puis il reprit sa dague et s'éloigna.
_________________
Cultivateur de blé.
Poète
Troubadour, joueur de viole,
Amoureux de la plus belle, kiriam qui enchante ses journées
---fromFRAnonymous
Après avoir demander où se trouvait une autre auberge, un homme entrat et hurlat paillasse, en demandant de l'eau pour lui. Ce que le tavernier lui apportat une fois laché par cet homme.

lastum a écrit:
Assieds-toi, je ne vais pas te manger


Il ce mit à chuchotter quelque chose que Teñval n'entendit pas. Il le regardat sans rien faire, il avait sentit que cet homme le connaissait, même lui en avait l'impréssion. Mais d'où ?

lastum a écrit:
Allez-viens!C'est moi qui offre!


si c'est vous qui offrez...

Il se rassit. Une dâme entrat dans l'auberge, elle parlat seule un instant, apparament elle cherchait guide et larbin. Guide, il ne connait pas assé la cours pour ça. Larbin est égale à esclave, là c'est son domaine. Elle rajoutat en les voyant la regarder :

Chrysalis a écrit:
Que ce passe ?! Z'avez jamais vu quelqu'un parler tout seul ou quoi ?! Ah! Tous les même, toujours en train d'mater l'autre du coin de l'oeil! Vicelards qu'vous êtes!


L'homme qui ce trouvait avec lui s'avança vers elle et lui proposa ses services en tant que guide.
Teñval décidat d'en faire autant, maintennant qu'ils ont fait connaissance.


Mademoizelle... vous devriez ne pas vous ennever de la sorte... Il buvat une gorgé de son eau, offerte généreusement par l'homme.

vous avez parlez de larbin... je suis plus que ça... une arme... un objet... ma vie ? j'en ais pas.... homme ? non,un homme à des sentiments... moi pas...

Il se levat et la regardat de derière son masque, même ses yeux étaient caché par un voile fin noir...
---fromFRAnonymous
Sursautant lorsque la dague vint se planter dans la table, elle ne réagit néanmoins pas plus que cela aux attaques de l'homme. Si cela l'amusait d'effrayer les braves gens, bien à lui de poursuivre son petit jeu!
Ainsi fut fait, s'il voulait jouer avec l'Absynthe, ils joueraient.
Lâchant un long soupire puis relevant la tête elle ne prit pas même la peine de regarder Darkominoro, elle se contenta pour l'heure de l'autre homme...si l'on peu appeler cela ainsi.

"Hum...Je te remercie, vraiment, mais je crois que tu es avec cet homme, aussi je me passerai également de tes services. Néanmoins je ne dis pas qu'au détour d'un chemin je la refuserai si le besoin s'en fait sentir, et inversement bien entendu."

La femme sur ces quelques mots rangea la feuille mais garda le fusain en main un petit instant, elle porta le morceau jusqu'à ses lèvres, passa à plusieurs reprises celui-ci sur le rose pâle pour qu'il ne reste de cette couleur qu'un reflet grisâtre, quasiment noir. Cela étant fait, la femme se leva, évita de s'approcher de trop près de son premier interlocuteur et se posta face à l'homme masqué.

S'approchant de celui-ci lentement, elle passa sa main entre la bure et le masque, prenant soin de le laisser cacher des tous les regard et déposa un baiser sur ce qu'elle cru reconnaître comme étant la joue gauche de la personne et se retira aussi sec. De retour à sa place initiale, Chrysalis rangea le fusain, et fixa de nouveau la personne qui semblait tenir le titre du plus grossier et susceptible personne de toute cette taverne miteuse.

"Bien, messieurs, croyez pas qu'z'avez aut'chose à foutre de vot'journée plutôt que de glandouiller ici ? Ah et au fait, mon chou, faut pas s'énerver hein, tu devrais écouter les conseils que ton ami vient de m'faire à ce sujet."

Soulevant le regard pour le déposer sur le premier des deux homme, elle ne réussit pas à se contenir et lâcha un petit rire narquois. Aussitôt ses mains vinrent se déposer sur ses lèvres, après quoi, elle se croisèrent et la femme attendit patiemment.
La réaction serait sans doute rapide, et ceci chez les deux personnages se tenant à la tablé.
---fromFRAnonymous
Chrysalis a écrit:
Hum...Je te remercie, vraiment, mais je crois que tu es avec cet homme, aussi je me passerai également de tes services. Néanmoins je ne dis pas qu'au détour d'un chemin je la refuserai si le besoin s'en fait sentir, et inversement bien entendu.


Elle avait pencer qu'il était ensemble. Alors qu'il était venu seul ici. Cet homme lui avait juste payé un verre. Rien de plus.

Puis elle ce leva et s'approchat de lui. Lui déposant un baiser, elle c'était permit de repousser son masque.

Chrysalis a écrit:
Bien, messieurs, croyez pas qu'z'avez aut'chose à foutre de vot'journée plutôt que de glandouiller ici ? Ah et au fait, mon chou, faut pas s'énerver hein, tu devrais écouter les conseils que ton ami vient de m'faire à ce sujet.


Teñval était rester calme, a quoi bon s'ennerver si ce n'est pour mourir plus vite ?
Il regardat Darkominoro et lui mit une main sur l'épaule en lui disant :


laisse... tu es bien trop énnervé pour discuter à une dâme...

Puis d'un ton plus froid il rajoutat :

et surtout tu ne sais pas parler aux femmes... quelque chose me dit que je te connais... mais je ne sais d'où... je sais que tu me connais... je l'ai vu dans tes yeux... je m'occupe de toi après elle

Il enlevat sa main et s'approchat de la femme.

vous ne devriez pas provoquer de la sorte... à moin que vous ne tenez pas à vivre bien longtemps... et je ne sais pourquoi ce baiser... si vous avez fait ça pour me séduire ou je ne sais quoi... c'est raté... je vous ai dit que je faisait deux avec les sentiments...

Il la regardat dans les yeux, se méfiant tout de même de l'autre. On ne sais jamais ce genre de personne. Et puis généralement ils s'empele tout seul dans ses dagues.
---fromFRL'inexorable
Lily Rose a écrit:
Quel détachement dans ses paroles... Elle ne voulait plus l'entendre parler. Que c'était-il passé durant ces mois entier durant lesquels elle attendait de le revoir? Il ne l'avait pas prévenu de son départ. Elle n'avait absolument rien eu. Ce qui lui restait était juste son souvenir. Et maintenant il lui proposait d'aller en Bretagne. Et de faire seule ce long chemin. Elle ne s'en sentait pas capable. Elle ne le pourrait pas.

Je ne connais pas ce pays dans lequel vous voulez que j'aille. Je ne connais personne et je ne sais pas ce que j'y ferai...

Comme elle avait envie de lui dire qu'elle était déçue. Elle lui avait tout donné et il l'avait oublié. Il fallait qu'elle sorte de son rêve. Il le fallait maintenant. Si elle avait su, elle aurait préféré ne pas le revoir et garder en elle ses pensées, ses souvenirs de la taverne. Rien qu'eux. Il fallait qu'elle se sauve, qu'elle s'en aille avant d'avoir trop mal.

Il... Il faut que j'y aille... Je... Dois trouver où dormir cette nuit...

Elle ne savait pas où elle irait mais il fallait qu'elle s'éloigne. Elle ne pouvait rester là, à le regarder et à voir qu'il ne se préoccupait plus d'elle, qu'il ne l'aimait plus. Elle n'aurait pas eu peur de voyager avec lui. Elle avait confiance en lui. Mais il ne la voulait pas. Il ne la voulait plus. Pourquoi l'inviter à Brest? Par pitié? Oui sans doutes. Pourquoi était-elle ainsi?


[Dans une chambre à l'étage]

L'Inexorable ne quittait pas Rose des yeux tout en essayant de garder un visage neutre. Il ne savait pas s'il réussissait mais la jeune femme semblait trop plonger dans ses pensées pour faire attention à l'expression qu'affichait le visage du Sarazin.

Au bout d'un moment Lily Rose ouvrit la bouche pour lui dire qu'elle ne connaissait pas la Bretagne... Shaïtan était un peu surprit mais il n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit Rose marchait déjà en direction de la porte mais celle-ci était close...

Le Sarazin fouilla lentement ses poches et en sortit la clef de la porte il fouilla ensuite une de ses poches intérieures et en sortit une bourse il avança lentement vers une commode et posa la bourse puis s'approcha de Lily Rose.


Pas la peine de quitter la chambre c'est moi qui vous la laisse.

Il passa une main sur la joue droite de Lily puis alla jusqu'à la porte qu'il ouvrit.

Pas la peine d'essayer de me contredire je ne peux pas rester longtemps... La Bretagne n'est pas la porte à coté...
Et surtout sachez que mon offre était sincère...


Sur ces mots il quitta la chambre en oubliant son précieux masque... Il descendit dans la taverne et alla s'accouder au comptoir où il commanda un verre de chouchen. Le Sarazin but son verre en souriant tout en regardant s'il n'y avait pas une de ses connaissances dans les environs...
pnj
Animation soudaine dans la taverne. Ca va et ça vient. Les mots qui s'échangent devant elles sont provoquants et insultants. Ca sent l'esclandre proche et la route vers la sortie semble bloquée.
Prudente, elle longe le mur, maintenant l'innocente derrière elle.
Sa main est sur sa dague et elle ne quitte pas la salle du regard.
Un homme descend l'escalier et va s'accouder au bar, inconscient de l'ambiance tendue qui règne soudain sur les lieux.

Elles ne sont plus qu'à quelques mètres de la sortie et heureusement personne ne semble avoir fait attention à elles.
Elle murmure doucement à la gamine.


- Bon, on va sortir. Si jamais on est séparées, je vais au Palazzo. Si tu as besoin d'aide, je serai là bas.


Elle reprend sa progression vers la porte... Un pas, 2 pas... main sur la poignée...
---fromFRlastum
...tin cette garce l'avait proprement envoyé bouler.
Il se retint de lui trouer la gorge en se rapellant que la salle était rempli de monde n'appréciant pas forcément que ll'on égorge quelqu'un
.Et puis au fond de lui-même, il n'en voyait pas l'interêt.
Il décida alors de se calmer.
Ce n'était pas la faute à ces gens s'il avait attéri ici.
Enfin...faisant contre mauvaise fortune bon coeur, il remarqua que le tavernier lui avaint enfin amener sa bière.

Bah, pensa t'il, cette journée n'est peut-être pas perdu
.

Tavernier, une tournée générale, et santé.

Puis il se tourna vers tenval:

[b]Soyons honnêtes.Je cherche un, disons associé à part égale pour divers...entreprises peu...gratifiantes d'un point de vue morale..
Je ne vous connais pas, je ne sais pas qui vous êtes, mais je sais trois chose:
Vous m'avez l'air rompu aux armes.
Vous avez l'air à peu près honnête
Et je ne sais pourqoui, celà peut paraître étrange, mais je vous fait entièrement confiance.
Je sais que dans ce ...quartier ou je ne connais pas les lois, on se méfie de tout le monde et que c'est bizarre, mais bon...
[/b]

Puis il but sa première bière cul-sec
---fromFRAnonymous
"Vous séduire ?!!! Que nenni! que nenni très cher! j'en avais juste l'envie. D'ailleurs, fais attention, tu dois avoir une légère trace noire sur la joue."

Balayant la pièce du coin de l'oeil elle remarqua que certaines personnes semblaient prendre la poudre d'escampettes: c'était le moment rêvé pour filer à l'anglaise!
Ne voyant plus vraiment l'intérêt de prendre racine dans cette bicoque pourrie, elle se contenta de faire une révérence aux deux hommes puis de tourner des talons, direction la sortie. Elle n'était pas seule sur cette route parsemée d'embûches, une autre femme avait déjà en main la poignée de la porte et s'apprêtait à sortir de ce trou à rat.
Sans plus se poser de questions, Chrysalis posa sa main sur celle de la jeune femme, exerça une légère pression de manière à ce que la poignée ce tourne...

"Tu permets très chère?"

N'attendant aucune réponse, elle déposa sa main libre dans le dos de la femme et la poussa sans trop de brusquerie dans la rue, ne faisant nullement attention à ce qui se se faisait entendre à l'intérieur, et encore moins à l'extérieur.

Au dehors, la température semblait toujours être la même. Néanmoins, elle remarqua que le ciel s'était très légèrement dégagé, laissant un peu plus de rayons de soleil passer à travers les nuages grisâtres.

Chrysalis se rendit compte qu'elle s'était montrée bien grossière et s'empressa de regarder l'autre femme, inclina la tête et fit une brève révérence narquoise.

"Pardonne mon comportement, mais ça devenait suffoquant là-dedans, et comme j'avais cru comprendre que toi même tu désirais sortir de cet endroit miteux."

Haussant les épaules, lâchant un bref soupire, Chrysalis scruta la rue, détaillant de long en large l'endroit puis reposa son regard sur la damoiselle.

"Par l'plus grand des hasards, t'connaitrais pas un endroit où j'pourrais passer la nuit sans trop de risque ? voir même trouver un groupe de gens chez qui m'incruster...Et si jamais, encore une fois par le plus grand des hasards t'as entendu parlé d'un lieu de repos pour les morts, je ne dirais pas non contre quelques infos, de plus, si c'est de l'argent que tu veux, je peux toujours gratter mes fonds de poches en espoir de dénicher une piécette."
pnj
Et ça bouge et ça gigote! Le ton monte dans la salle. Le papillon n'aime pas trop ça mais ça tombe bien elle est debout et petite tête prend la direction de la porte. D'ailleurs cette dernière n'a pas l'air bien rassurée; elle rase le mur. Ce qui vu l'ambiance est une bonne idée, le papillon ne se fait pas prier pour l'imiter.
Un leger arrêt, consigne passée :
"Le palazzo, ne pas oublier le palazzo"

Le papillon se le murmure doucement pour être sure de ne pas l'oublier.
Plus que deux pas et la sortie, securité relative au loin du grabuge de la taverne, mais plus proche de celui présent dans les ombres et les coins de rues.
Une femme s'interpose entre Elderlyne et elle, comme si elle n'existais pas et pousse sa compagne dehors laissant la porte se refermer sur son nez.
Panique a bord! Branle bas de combat! Le papillon ne voit plus petite tête, il est seul...
Elle prend une grosse inspiration et se jette dehors cherchant dans la rue le visage connu de celle qu'elle suit depuis quelques heures deja, au fond des yeux l'inquietude de se retrouver seule.
---fromFRAnonymous
Une femme partait en douce, mais Teñval ne s'en occupat pas, il n'était pas là pour provoquer des troubles.

Puis l'homme se radressat à lui plus calmement.


lastum a écrit:
Soyons honnêtes.Je cherche un, disons associé à part égale pour divers...entreprises peu...gratifiantes d'un point de vue morale..
Je ne vous connais pas, je ne sais pas qui vous êtes, mais je sais trois chose:
Vous m'avez l'air rompu aux armes.
Vous avez l'air à peu près honnête
Et je ne sais pourqoui, celà peut paraître étrange, mais je vous fait entièrement confiance.
Je sais que dans ce ...quartier ou je ne connais pas les lois, on se méfie de tout le monde et que c'est bizarre, mais bon...


Teñval levat sa main pour lui faire faire signe de patienté le temps de finir avec la dâme.

Chrysalis a écrit:
Vous séduire ?!!! Que nenni! que nenni très cher! j'en avais juste l'envie. D'ailleurs, fais attention, tu dois avoir une légère trace noire sur la joue.


temps mieu alors... et pour le noir je me fait pas de souci... personne ne peu voir...

Elle partit avec l'autre femme. Teñval les regardat sortir toutes deux.
Il se retournat et vit l'homme au comptoir. Un chouchen ? Il doit être breton, la Bretagne la terre où il à vu le jour.
Puis il revint à Darko.


tu ne me connais pas ? j'ai du te voir lorsque j'étais prèt de mon maître... j'ai vu telement...

Il se rinstallat à la table et finissat son verre d'eau d'un coup...

explique moi quel son tes affaires... dit m'en plus...
---fromFRLily Rose
Alors qu’elle ressentait le besoin urgent de partir, de s’éloigner de ce détachement, Shaïtan lui dit qu’il allait partir. Elle ne put s’empêcher de le regarder et ferma les yeux quand elle sentit la caresse de sa main. Comme elle aimait ce geste. Mais pas encore, elle ne pouvait pas encore le laisser lui offrir sa chambre.
Elle ouvrit la bouche mais il la coupa avant qu’elle ait pu dire quoi que ce soit. Non, non il ne pouvait pas partir comme cela ! Mais bien qu’elle ait envie de le retenir elle n’y arriva pas et elle se contenta de le regarder partir sans broncher.
Quand la porte fut fermée, elle resta un moment à se demander pourquoi… Et alla s’asseoir sur le bord du grand lit et fixa la porte, avant que son regard soit attiré par la bourse qu’il avait laissé sur la commode.
Elle était chagrinée qu’il lui ait laisse de l’argent. Ce n’est pas les écus qu’elle aurait aimé voir. Regardant ailleurs elle aperçut quelque chose au sol. Lily Rose se leva et alla voir de quoi il s’agissait. Elle vit que c’était le masque que Shaïtan portait en arrivant.
Le serrant contre elle, elle repensa à la raison qu’il lui avait donnée, a pourquoi il le portait. Il fallait qu’il le récupère… Regardant la porte elle se demanda si elle devait descendre… Puis après une brève hésitation le prit avec elle alors qu’elle retournait s’asseoir. Elle espérait qu’il remonterait. Elle l’espérait de tout cœur.
---fromFRAnonymous
La garce avait filé sans même prendre le temps de lui répondre, étrange comportement, mais sans doute était-ce habituel en ces lieux.
Il lui semblait tout de même ne pas avoir tout perdu dans cette petite partie: une gamine s'était précipitée peu après elles au dehors et semblait chercher du regard quelque chose ou quelqu'un...
N'écoutant que son bon coeur, Chrysalis fit face à la jeune damoiselle, fit un brève description de la personne, le tout en affichant un sourire carnassier.

"Et bien, et bien, ma mignonne, tu as perdu quelque chose ?

Elle s'approcha un peu plus, déposant une main sur l'épaule de la jeune fille et s'abaissa, se mettant ainsi à la hauteur de sa jeune proie.
Dans les yeux de la femme brûlait comme une étrange lueur, le pâle soleil sans doute leur donnait d'étranges reflets et images pour ceux qui parvenaient à les voir.
Une fois qu'elle eut fini de juger la situation, elle estima que, peut être, pourrait elle se montrer aimable avec cette jeune fille, après tout, il serait fâcheux qu'elle lui file entre les pattes maintenant.

"Je peux peut être t'aider, que dis tu de cela ?"
pnj
Ses yeux qui papillonent pour s'habituer au changement de luminosité, la tête qui tourne cherchant Elderlyne du regard et l'incompréhension de ne pas la trouver.
Au milieu de tout ça, la femme; elle pose une question . Mais le papillon tout chamboulé de sa perte ne comprend pas ce qu'on lui dit. Et sur ses lèvres une phrase revient avec constance
.

Le Palazzo, elle a dit le Palazzo.

Petit a petit, le papillon se pose et revient à la realité. les oreilles d'abord : on lui propose de l'aide. Les yeux ensuitent qui se posent sur la femme de la taverne. Le papillon sort son sourire candide, celui qu'elle fait toujours au cuisinier pour avoir un gateau.

Bonjour Madame! Savez vous ou se trouve le Palazzo?

En son esprit aucun doute, aucune inquietude, la politesse paie toujours.
---fromFRAnonymous
"Palozzo ? Ah, nan, j'connais pas d'pas de Palazzo moi, j'suis pas du coin moi, et il semblerait que tu n'y sois pas trop habituée non plus...comme c'est fâcheux...

Sa tête bascula sur le côté, ses yeux firent quelques allers et retours puis, la tête reprit son inclinaison dite normale.
Observant une nouvelle fois la rue, jugeant de la situation et marquant tout ce qui pourrait être utile dans son esprit, Chrysalis se préparait à repartir en recherche d'un lieu où elle pourrait de nouveau s'étendre sans trop craindre pour sa misérable vie.
Ses yeux s'étaient à nouveau posés sur la gamine. Simple enfant à l'esprit sans doute tordu, et au passé tout autant.
L'aider ? C'était une possibilité, en effet, dommage qu'elle ne soit pas dans ses bons jours.
Elle avait quasiment tourné des talons lorsqu'elle trouva une première raison d'aider la demoiselle...
Elle était de nouveau face à la gosse, ses mains sur les épaules de celle-ci et de sa plus douce voix, s'adressa à elle:

"Et toi, dis moi, saurais-tu où je pourrais trouver un endroit où me reposer ? Je n'ai aucun endroit où me rendre et ne connais personne ici...
Peut être pourrions nous chercher ce Palazzo ensembles, qu'en dis-tu ?"
---fromFRAnonymous
Apparament l'homme ne répondait plus. Teñval regardat autour de lui, quelque clients était encor là.
Il décidat d'aller faire un petit tour dans les rue, de cette belle nuit, faire un tour ne pourra que faire du bien. Ce dirigeant vers la sortie il s'arrètat et restat fixe, pourquoi s'arrètait-il ? Même lui ne sais.
Il continua donc et ouvrit la porte et sortat.

A l'exterrieur il revit Chrysalis, cette femme avec lequel il avait parlé. Elle était avec une jeune fille. Il les regardat un ainstant, puis regardat la lune.

la faible lueur de la lne éclairais son masque, la seul partin de son corps qui n'était pas de noir. Il fermat les yeux derière son masque, imaginat le vent carrèsser son visage, rebaissat sa tête indigné de ne devoir qu'imaginer.

Teñval disparut dans la ruelle. Ne sachant pas où il allait...



[Suite à l'ancien quartier pourpre]
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