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[RP] Taverne le Rat Crevé

---fromFRMagda
Je vous suis, mon cher !

Elle mettait ainsi son sort entre les mains d'un illustre inconnu…
Où étaient la méfiance et la prudence ?

Dans ton poignard ma belle ! Et tu t'es tirée de bien mauvais pas avant cela…
Il n'y a pas de Dieu mais il y a une chance à saisir !


Je vous suis… je vous suis…
---fromFRAnonymous
Demence était restée silencieuse , souriant vaguement a quelques réponses , elle enleva son Masque de porcelaine pour reveler son minois de jeune fille , deux mèches blondes tomberent instantanément sur ses yeux , elle les écarta d'un geste patient , habituée ...
"Maître Lame ,
je pense que je vais disposer ,
égorger deux ou trois templiers ne serait guere malheur ,
et il doit traîner force bourgeois dans ce rues ...
Je vais aller Remplir ma bourse ,
et je boirais a votre santé ."

Elle s'inclina brièvement devant Lame avec un sourire mutin , et se retourna , rabaissant sa capuche rouge sur son visage , les plis de la cape et de la Robe s'harmonisant alors qu'elle marchait a la sortie , qu'elle dépassa , avant de disparaitre dans une ruelle .
---fromFRLa Lame Écarlate
Le maître-assassin regarda Demence et dit

Bien Demence, bonne chasse!

Il ricana en la regardant sortir puis se leva et en deux enjambés se posta devant Magda. La Lame Écarlate il lui offrit son bras et dit en souriant

Si vous voulez bien me suivre demoiselle!
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La Lame Écarlate, cadavre décomposé
La Mort de Lame Écarlate
Visitez sa tombe
---fromFRLa Mort Rouge
Voyant La lame offrir son bras à la jeune femme, il comprit qu'il faudrait encore attendre avant de pouvoir passer à l'action.. Demence ne l'avait point salué, il en était vexé.. Il resterait ici à attendre, cette taverne était beaucoup plus calme et bien mieux fréquentée que les autres tripots. Les pauvres fous préférant vivre en groupe il ne serait pas dérangé..

Son rat sautant sur le comptoire dégoûté le tavernnier qui disait de vaines paroles pour le faire descendre. Approchant un doigt, le rat le lui mordit par instinct défensif, la tavernier lui flanqua un coup de torchon. La Mort attrappa l'homme corpulant à la nuque de sa main gantée. L'homme se roidit instantanément, il tremblait à présent.. La Mort lui dit:


"j'adore les bêtes.. pas toi ? moi j'aime beaucoup les rats.. des animaux beaucoup plus fiable que les humains..même beaucoup plus respectable."

Il ramène violemment la tête du tavernier, il la plaque sur le comptoir. Il sort sa dague et commencce à couper une mèche des cheveux graisseux du manant..
" Les rats valent mieux que toi alors contente toi de servir et laisse les tranquilles.."

En fait, il se moquait complétement de ce geste mais il devait jeter son dévolu et le tavernier se l'était pris en plein front.. Il voulait voir Echidna qu'il appréciait, des discussions toujours simples et amusantes. Mais il ne voulait pas aller au Bal.. des indészirables s'y trouvaient ou rôdaient autour et cela ne lui plaisait guère..
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On reconnut alors la présence de la Mort rouge. Et tous les convives tombèrent un à un dans les salles de l'orgie inondées d'une rose sanglante, et chacun mourut dans la posture désespérée de sa chute.
pnj
Marlowe's ressera sa mince chemise sur son torse, en un futile geste de protection contre les premiers flocons de neige. La Cour était bien silencieuce, ouatée de blanc, faisant ressortir les ombres furtives se glissant dans les ruelles étroites.

Il ne connaissait guère que deux endroits en ce lieu. L'un lui était interdit en l'état, et bien que le Bal l'attirait telle la limaille par l'aimant, il ne se voyait point y débarquer ainsi, la bouche en coeur et les habits dépenaillés. Non, la prochaine fois qu'il entrerait dans cette salle aux rêves teintés de pourpre, se serait en invité et pas en rodeur chassé des rues par le froid et la faim. Il corrigea à mi-voix, avec un sourire accordé.


Enfin, plutôt la soif. La faim ça se contient, dame oui, mais la soif...

Il passa sa langue sur ses lèvres qu'il imaginait déja crevassées. D'un geste rapide il compta à taton sa maigre fortune. Pas assez pour un banquet, mais un godet de pisse de vigne pouvait s'envisager. Battant la semelle dans la boue grisatre, il regarda un peu mieux où il se trouvait. Non loin de lui, juste avant un croisement avec une artère plus large, une enseigne sculptée grossièrement attira son regard.

Mmh, le rat crevé... Voilà qui convient parfaitement à ma condition. J'ai presque envie d'y voir un titre prémonitoire. Allons, au vu de la décoration extérieure, je gage que l'endroit convient à ma bourse.

Les mains sous les aisselles, il poussa la porte de l'estaminet. La referma bien vite, réduisant d'au moins un tiers les courants d'airs sifflants arrivant de la ruelle. Malgré le froid engourdissant ses membres, il essaya de prendre une attitude désinvolte et détendue. Il jeta un bref regard à la salle, quelques clients avachis sur des tables bancales, une décoration tellement inexistante qu'elle en était presque séduisante, pour peu qu'on soit moine ou lépreux, le tout éclairé par de crachotantes chandelles de suif. Puis, un étrange personnage au comptoir, jouant avec une dague, semblant murmurer de douces paroles à une tache noiratre, gigotante et couinante. Marlowe's haussa imperceptiblement les épaules, pour l'heur son gosier réclamait sa ration.

Il se dirigea vers le coin du comptoir où se tenait le tavernier, lequel, fort occupé à glisser de furtifs regards effrayés au personnage, sursautant aux paroles de Marlowe's.


'Soir mon gars. Sers-moi donc un godet de ta gnole la plus quelconque, et pas dans un de ces verres ébréchés d'aristos qu't'es en train d'salir avec ton chiffon.

L'homme le fixa un instant, sortis un cruchon de sous une planche, posa une chopine de terre cuite sur celle-ci.

'en ai qu'une de gnole, fait trois d'niers.

Marlowe's sortit le compte juste de sa poche et plaqua les piécettes sous sa paume à coté de la chopine, et regarda l'homme l'emplir, respirant l'odeur acre de l'alcool. Il leva la main et la porta à sa bouche, avalant une première gorgée gloutonne.

Baste, hrrrmm, si c'est la seule, c'est la meilleure.
---fromFRAnonymous

Jacquou avance doucement dans les ruelles.
Il s’était présenté à la cour comme le veut la coutume avant de pouvoir déambuler en son sein .
Il sait maintenant qu’aucune aide à un nouveau venu ne lui sera octroyé.

Le froid, la faim et surtout la soif l’accompagne dans son cheminement .
Une porte , une pancarte bancale au dessus : Le rat crevé .
Il entre, une douce chaleur caresse son visage .

S’arrête sur le bas de la porte, regardant alentour.
La taverne est crasseuse mais il espère que les prix vont en conséquence.
Se dirige vers le comptoir attendant poliment que l’homme à coté de lui termine avec ce qui semble être le tavernier.



Tavernier , une assiette chaude , une bière et un coin ou dormir ce soir .


Sort quelques piécettes de sa bourse et les pose sur le comptoir .
Puis doucement sirote sa bière , ses yeux se promenant sur les divers personnages présent dans ce taudis .
---fromFRMagda
Jusqu'alors absorbée par ses propres pensées et trop occupée par les propos de La Lame et de Demence, elle ne s'était pas vraiment aperçue de l'arrivée de nouveaux malandrins.
Il lui tardait d'être en un lieu moins grouillant…
La petite Demence partie, elle se sentit plus à l'aise,
l'entendre grincer ses sentences avait achevé de la mettre mal à l'aise.
Elle salua d'un signe de tête La Mort Rouge,
pauvre diable qui n'était pas le moins fou des lieux.

Au bras de La Lame écarlate, Magda se laissa guider hors de la taverne.
Toujours ces hommes qui devaient diriger son destin … ça la mettait en rage.
Mais ça ne durerait pas, elle s'en fit la promesse !
---fromFRAnonymous


Doucement il mange regardant autour de lui .
Il note mentalement :

La mort rouge : cet homme semble aimé la violence et la mort et se cherche des excuses pour la donner .

Marlowe's : Lui semble perdu en ce lieu ?

Magda : cette dame à l'air fort dangereuse derriere ce regard angelique .

La lame ecarlate : Seducteur et manipulateur , un homme dont il faut se mefier .

Oui c'est vraiment l'endroit révé pour moi .
Mais il a appris en prison qu'il faut mieux connaitre les gens avant de les cotoyer ,cela peut faire la difference entre la vie et la mort .


Prend une autre biere et continue de surveiller les allers et venus des differents personnages .


pnj
Marlowe's se fait resservir une gnole, la première lui a réchauffé le corps, il compte sur la deuxième pour lui chauffer l'esprit. Son verre en main, il part s'installer sur une chaise presque stable.

Il a bien sentit le regard de dégoût lancé par cette belle femme en sortant. Pour le peu qu'il connait de la Cour, elle n'a pas l'air à sa place. Pourtant, tous, peu ou prou, le sont. Etrange.

Le nouvel arrivant boit sa bière, semblant attendre une occasion quelconque, observant la salle. Celui-là songe-t-il peux être dangereux, mais incommensurablement moins que le personnage au rat.

En dégustant l'alcool, il se plonge dans ses réflexions. Pour l'instant isolé, ne voulant pas se faire connaitre de ses quelques contacts, il va falloir se faire une ou deux relations. Et resoudre les souçis d'argent. Proposer ses services, certes, mais à qui ? Ou bien...

Marlowe's joue avec la cire chaude de la chandelle, dessinant de courbes arabesques sur le bois.
---fromFRLa Mort Rouge
La Mort regarda Magda et La Lame sortirent.. Portant son regard par delà la fenêtre crasseuse, il comprit que l'heure était venue.. La Mort est impartiale et une vie devait être prendre..

Il jeta un dernier regard à la salle.. Un gueux et un serf s'étaient immiscés, il ne serait de toute façon pas retser bien longtemps avec de tel "compagnons de comptoir"... Le serf, le front plissé, semblait réfléchir complétement absorbé par ses pensées. Ce n'est pas bon de réfléchir autant dans la cour des miracles..surtout quand notre rang est bas.. tenter de percer les secrets de la cour revener à se taillader les veines et attendre..

Il émit un son quasiment imperceptible, claquant sa langue sur son palais tout en émettant un trés faible sifflement.. Le gros rat arrêta de grignoter un morceau de pain aussi dur que de la pierre, il sauta sur l'épaule de La Mort . L'homme tout de rouge sortit promptement de la taverne, marchant d'un pas assuré dans les ruelles tortueuses de la cour..

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On reconnut alors la présence de la Mort rouge. Et tous les convives tombèrent un à un dans les salles de l'orgie inondées d'une rose sanglante, et chacun mourut dans la posture désespérée de sa chute.
---fromFRAnonymous


La taverne se vide doucement .
Jacquou regarde Marlowe's assit à sa table dessinant des formes à la cire chaude .

Celui la vaut aussi bien qu'un autre pense t il .

Il commande un verre de gnole et una autre biere .
S'approche de la table de Marlowe's , pousse le verre de gnole vers lui et s'assoit en face , buvant une gorgée de sa biere et le regardant dans les yeux .



Bonjour ,je me nomme jacquou , nouvel arrivé en ce lieu .
Je cherche à connaitre mieux ce quartier car je compte y vivre quelque temps .
Il ya t il des endroits à frequenter et d'autres à eviter .
Mes finances sont basse , et j'aurais bien besoin d'un travail .




Bien que cela lui coute , il ne peux déambuler ainsi dans les tenebres de la cour sans rien savoir et sans argent .
Il attend donc la reponse de l'homme assit en face de lui , se donnant un air detendu mais sa main droite posé sur son couteau sous la table .

---fromFRVan Fanel
Van entra dans la Taverne, il était enveloppé dans une longue cape de voyage noire et avait un corbeau sur l'épaule droite. Le corbeau avait remarqué le rat de La Mort Rouge mais s'en désintéressa très vite. Van portait un grand sac de voyage. Il alla au comptoir.

Tavernier ! Une bière !

Van recu sa boisson et commeca à boire.
---fromFRVan Fanel
Van avait croisé la Mort Rouge en entrant.
---fromFRAnonymous


Au bout d'un certain temps de silence .
Marlowe's ne semblant pas enclin à discuter , jacquou decide de quitter ce lieu pour l'instant .

Il se leve , laissant le verre de gnole devant Marlowe's et quitte la taverne .

pnj
Marlowe's sortit de ses pensées. Devant lui un deuxième verre plein, un homme s'éloignant de sa table, en haussant les épaules. Il secoua la tête pour chasser la torpeur dans laquelle il avait glissé.

Sieur ?! Est-ce à vous que je dois ce don ?

Il leva le verre en un salut.

Grand merci. Accepteriez-vous de trinquer avant votre départ ?

Bon dieu, voilà que ces foutues absences lui reprennaient. La dernière fois, ça avait faillis lui couter sa bourse, et une belle cicatrice. Cette fois un verre, qu'il s'empressa de goûter. La vie a des détours étranges parfois.
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