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[RP] Taverne le Rat Crevé

---fromFRcharlotte372
elle était tranquillement assise sur une chaise, elle buvait sa choppe de bière tranquillement, profitant de sa liberté quand elle entendit du bruit provenant de l'extérieur, une voix familière lui parvint aux oreilles, quand la porte de la taverne s'ouvrit a la voler, elle baissa instinctivement la tête pour ne pas qu'on la remarque et qu'on ne voit ses yeux

quand elle vie le jeune homme qui avait tuer le mendiant prendre sa défense sans sont consentement elle se leva et alla se placer entre lui et un des brigands, elle ne voulait pas qu'un homme meurt pour elle, elle enleva sa capuche, laissant apparaître ses grand yeux rouges a la lumière, des cheveux d'un noir corbeau entourait son visage, mais elle resta pétrifier a la vue d'un homme au cheveu blond, s'était le chef de la bande, avant d'arriver dans la taverne, il avait réussi a l'attraper, l'homme avait des projets pour elle mais charlotte s'était défendue et lui avait foutu plusieurs coup au endroit sensible, pendant que l'homme jurait elle en avait profiter pour s'échapper discrètement, après une course sans repue elle avait atterrie dans cette taverne

stooopppp

messire merci de m'être venue en aide mais je ne veux pas que vous mourriez


elle avança avec hostilité vers le blond, elle se retourna une dernière fois vers l'encapuchonner lui montra une dague cacher sous sa cape, elle espérait que l'homme savait se qu'elle voulait sinon sa vie serais fini pour elle et lui, il fallait juste que l'homme est confiance en sont talent de guerrière et s'était pas gagner
pnj
[i]Voyant la dague,Patoufior comprit..."Si cette femme les écrase toute seule,je mange un rat,ce soir!" dit-il en ricanant dans sa barbe.
Il fit semblant d'arreter le combat,baissant son arme devant les brigands.
"Dépèche-toi de les trucider..." pensa-t'-il.Il se demandait d'ailleurs si il était raisonnable de faire confiance à cette femme..."Bah,pas le choix,elle au moins aura l'effet de surprise...et si elle meurt,j'aurais le temps de m'enfuir!".
Ruminant ses sombres pensées,il regarda la femme aux yeux écarlates s'approcher du grand blond,le chef des brigands."Paix ai ton âme,pauvre fille..." murmura-t'-il pour lui même.S'attendant à la voir mourrir décapité,il serra les dents...
C'est alors qu'a sa grande surprise,la jeune femme,avec une aisance diabolique,se jeta sur le chef et lui enfonça férocemment sa dague dans le coeur.
Admirant la précision du coup,Patoufior sourit en voyant le sang gicler et le grand blond blemir,puis s'effondrer..."Une connaisseuse,à ce que je vois" pensa Patoufior lorsqu'un effrayant rictus apparut sur son visage.
Les brigands effarés mirent un certain temps à réagir.L'encapuchonné eu donc le temps de lever son poignard bien haut,et de l'envoyer se ficher entre les deux yeux d'un autre agresseur.
"Plus que trois" pensa Patoufior,regardant hurler l'homme blessé tentant de sortir le poignard de la plaie.
Pour achever l'agonisant,Patoufior donna un grand coup de pied dans l'arme.Cette dernère s'enfonça de plusieurs centimètres dans le visage de la victime qui ,dans un dernier spasme,s'effondra alors.
Les trois derniers ennemis blemirent devant ce retournement brusque de situation...
---fromFRSieur Rase Crotte
La canne vient taquiner le bout de la bottine. L'a comme une sale sensation de pas assez pencher du côté de la bourse. Le tour des popotes jambonneaux au vent a été fait, au complet, sans en oublier une, les relevés de compteurs sont terminés et quoi ... ça cliquète pas suffisamment d'la rondelle. Sûr que les soleils qui roupillent au fond d'ses fontes vont pas lui brûler la redingote. Alors, on lève plus la perdrix à Paname ! Le courien l'a molle, le parigot se rétracte, les pavés rehaussés à la cheville avenante lui font plus friser les poils. Y'a un culte de la virginité qui s'est monté sans qu'on ait daigné le prévenir peut être, les bigotes ont pris le pouvoir et il aurait rien vu venir.

Quelques instants, il tourne dans la rue voir s'il apercevrait pas quelques cornettes en vagabondage, des oies blanches, un goupillon, un truc qui explique le pourquoi du comment. On le vole à pas tâter du cul, on lui extorque ses investissements à plus flatter les michetons, on lui ruine la boutique à se la garder au chaud. Mais qu'ils montent la gueuse foutrecul ! Qu'on lui trousse de la pintade à tour de joyeuses ! La saison de la chasse pouvait pas être déjà clôturée.

Ou alors l’éconocroque avait une raison jouasse. Une saloperie à lui relancer les aigreurs, la rumeur s’débinait à tout les coins d’rue, la rouquine rameutait l’inauguration, la cuisse affriolantes, et l’geusard même planquait sa picaille pour le jour des couinements dans l’satin, concurrence déloyale, miroitage d’mirages, à reluire le baveux, le fourbis et tout le sein frusquin !

Qu'une chose à faire, aller s'en envoyer une derrière le gosier pour penser un peu correctement à tout ça. Comment il allait payer les traites pour sa tanière, comment il pourrait régler les dettes à son tailleur. Il pousse la porte du troquet au moment même où l'idée que lui, au pire, il pourrait toujours le faire disparaitre à quelques encablures d'un fond de Seyne. Plus d'bonhomme, plus d'créances.

Quand il s'offre un saut calculé pour poser ses fesses sur un tabouret de comptoir, il a poussé la réflexion jusqu'à, mais y'a pas meilleur que lui pour m'arranger les entournures et .... où j'vais trouver le pognon pour régler le dernier chargement. La mine se décompose, il avait failli oublier se détail infime. Une somme énorme, beaucoup, beaucoup, beaucoup à récupérer aussi. Sauf que là, les types avec qui il avait monté la chose voudraient jamais comprendre qu'il fallait laisser le temps au printemps de revenir. Qu'on n'était pas à la saison des amours.


Tavernier ! Envoie n'importe quoi pourvu qu'ça m'tue sur l'instant.

Il aime pas ça, mais alors pas du tout, du tout. Il était en train de vivre un de ces moments où la vie vous oblige à puiser au fond de vous même l'idée qui fera qu'une bouse peut devenir galette dorée. Sauf que là, la seule possibilité envisageable était pas pour le satisfaire. On s'défait pas si facilement d'un truc dont on sait qu'il peut rapporter une fortune et ouvrir un millier de portes.

Excepté si… Faire d’une portée deux noyades. Mais fallait trouver le chaland à négocier, le larron finaud, l’entourloupeur allongeant la fraîche et garantissant un contrat à la parole d’affranchis, un Narsés en plus rupin. Rase Crotte s’envoie une rasade, l’illumination est à creuser, le zigoto à dégoter, mérite un autre godet, d’la ravigote à trousser la grise, la cogitation lui inscrit cinq rigoles chenues sur la tronche.
---fromFRVvarnëleen
Bien sur, cela faisait longtemps.
Très longtemps, a vrai dire.
Il se souvint, avec un léger sourire, de la première fois qu'il avait passé cette porte. Ca devait être la panthère noire qui avait tenté de l'impressionner avec son fléau.
Manqué. Il ouvrit la porte, une capuche grise rabattue sur le visage. Encore poussiéreux du voyage, du long voyage qu'il avait effectué. Il n'était plus tout jeune, et se maudissait intérieurement de cette barbe affreuse qui lui mangeait le visage par endroit. Un barbe blanche, trop blanche.

Un sourire au tavernier. Il rabbatit sa capuche, révélant cette peau presque grise et blanche. Le leucétique demanda un verre de vin. Il l'obtint. Nonchalamment, il alla s'asseoir à une table.

Ce n'était pas un retour dans les affaires. Son cuir léger craqua, il s'assit. Et sirota son verre en rergardant la salle. Un oeil froid. Presque ... éteint.

_________________
Mort au 19 décembre 1453 Dans la Cour, qu'il à tant aimé qu'il lui donna sa vie.
---fromFRTam'
Bah c’est que ça la Cour des Miracles ! Mi-râcles oui, moitié raclures, moitié souillures, c’est comme ça qu’ils étaient les gens là. L’avait bien fallu qu’on la jette en prison pour qu’elle passe dans ces quartiers là. Fallait bien qu’elle se refasse une situation , et elle voyait que là.

Encapuchonnée, tête rentrée dans les épaules, elle finit par rentrer. Sombre, froid, lugubre, dégoutant, puant, désolant …et ça avait le culot de s’appeler « taverne ». ça chahute comme partout, et ça gueule comme nulle part ailleurs. Tout juste bon à passer en taudis, mais quand on n’a pas le choix, on pose ses fesses où qu’on peut.

Elle regarde pas les gens, elle les aime pas, elle se demande juste c’qu’ils foutent là. Elle serait pas étonnée Tam qu’y en a qui aime ça, d’être là. Pauvres rats ! Va falloir qu’elle fasse tout et n’importe quoi pour être sûre de pas moisir là. Le tavernier l’observe, elle sent son regard glauque sur elle. Il ne peut rien voir, ni ses formes ni son visage de là où il est ; il attend qu’elle passe commande. C’est qui s’rait capable de la foutre dehors si elle le fait pas. Muette et discrète, c’est toujours c’qui l’a sauvé. Elle jette un coup d’œil autour d’elle et montre le verre de l’homme qui l’a précédé ; voudra t il comprendre qu’elle demande la même chose ? Y s’retourne et empoigne bouteille ; on dirait ben qu’oui !

Elle se fouille, sort le papier qu’elle a arraché. Une annonce au sujet du Rey de la Cour des Miracles, qui a écrit. Elle le relit, elle aime bien lire. Marlowe et Sélène … ben faut dire qu’dans ces moments là, elle est ben contente d’être orpheline ! Affublée de noms pareils … vaut mieux pas en avoir ! Elle cherche son caillou, celui qui fait des salissures sur les papiers ; déjà qu’elle griffonnait du fond de sa gêole, c’est qu’ils aimaient pas ça les gars. Retournant la feuille, elle commence à gribouiller :


Citation:
Muette … CHERCHE TRAVAIL, p’tits boulots toute sorte en échange de logement et paiement. Sait lire, écrire, compter, voler, chasser. Discrétion assurée, prête à tout.


Le tavernier arrive, et dépose brutalement le verre. Elle sursaute pas et lui choppe la manche ; elle tire dessus pour le retenir et gribouille rapidement en bas de sa feuille volée :

Citation:
Tu cherches SERVEUSE ?

_________________
Parce que le silence est d'Or ...
---fromFRAnonymous
Kobal avait tourné en rond toute la nuit, passant par les endroits les plus glauques qu'il avait trouvé maintenant ce qu'il voulait c'est se rinçer un peu le gossier, pas faute d'avoir parler oh ça non, il préférait pas trop causer sauf s'il y était obligé. Détour d'une rue, les pieds humides et les chausses qui grinçent..il entre dans la taverne, pas beaucoup de lumière et ça vaut mieux vu la tronche qu'il a ses temps ci. Kobal se dirige vers le comptoir, s'asseoit près de quelqu'un. Le tavernier lui sert le breuvage habituel, sans un sourire, sans un mot...les mots sont futiles parfois...

Le regard en biais il regarde ce que le zigoto griffonne...

Il essuit son nez crasseux et coulant comme à l'accoutumé, se tortille un peu sur son tabouret histoire de voir de quoi il s'agit...

Le tavernier fait une grimace, semble décripter le message...c'est pas lire peut etre...

Kobal regarde le personnage, sombre, encagoulé, il ne peut distingué plus..

"Si vous cherchez quelque chose ici ça va etre difficile..."

Kobal regarde de nouveau le tavernier puis lui arrache le papier ..Il le lit rapidemment:

"Vous etez qui au juste...muette de surcroit!!"

Il ricanne betement pour effacé son mal aise..puis il redonne son message.

Kobal termine son verre puis réfléchit, l 'index sur la tempe.

"Bougre, je vois pas, mais faut trop chercher en taverne, y'a tellement de choses à faire dehors.."

Kobal demande un autre verre puis va à une autre table, pensif, il a jamais eu de pitié pour quelqu'un et là il commençait, ça fleure pas bon, il devient trop sentimental c'est temps ci..
---fromFRTam'
Le tavernier fronce les sourcils et récupère la manche. L'espace d'un instant, Tam se demande s'il ne va pas lever la main sur elle ; elle en a vu d'autres. Face de rats, elle le hait déjà. Et puis, il y l'autre, il s'installe, il lit, il lui pique SON papier ... il l'a tout froissé ! Mais lui au moins, il répond.

Vous etez qui au juste...muette de surcroit!! Bougre, je vois pas, mais faut trop chercher en taverne, y'a tellement de choses à faire dehors..

Et puis, il part rejoindre une autre table. Elle tend la main vers lui, lance un faible "Tam" ... peut être lui sait il, peut être lui dira t il ... Les hommes parlent toujours trop quand ils boivent. Elle croise le regard du tavernier, lui fait signe de donner une bouteille du liquide visqueux qui ne sert qu'à brûler la gorge et faire parler à tort et à travers. Elle se lève, ramasse son papier, son caillou, vient s'asseoir en face de l'homme dont le visage pourrait faire peur. Mais Tam' ne se fie plus aux apparences depuis longtemps, le beau capitaine blond ... hô bah oui qu'il était beau ... ça l'a pas empêché de la j'ter dans les cachots les plus moches ! Elle lui fait face à présent, remplit son verre, puis griffonne sur le papier salit :
Citation:
des choses à faire dehors ? où ? pour combien ? toi qui a l'air de connaître, où dormir ? pour qui travailler ? Moi te rendre service pour les informations là ...demande ...

Elle lui tend son papier, et le regarde. Elle a l'oeil vif et déterminé. Il voit son jeune minois, qu'il ne confonde pas jeunesse et détresse. Elle reste imperturbable au regard qu'il pose sur elle. Il n'est pas beau, il pourrait faire peur, mais au moins lui, il parle.
_________________
Parce que le silence est d'Or ...
---fromFRAnonymous
Kobal est lasse ce soir, il boit sa vinasse comme on boit n'importe quoi, ici faut pas faire le difficile et puis après tout ça fait quand meme du bien. La muette s'avançe vers lui et Kobal il aime pas trop qu'on le suive en plus, elle s'asseoit...Alors lui il crache à terre, tout ce qu'il a, renifle éffrontémment puis la dévisage..

Il approche son visage, la renifle : "Tu sens la femelle..." Rire moqueur puis vla' qui se renfrogne, maugré: "Qu'est ce que tu me veux?? "

Nouveau silence ..comme tant d'entre, elle griffonne à la va vite et puis lui, l lit...Son visage touche presque celui de l'inconnue, elle peut sentir sa sueur, son haleine nauséabonde, il suppure la haine à ce moment là. Kobal quand il boit trop, sa cruauté suinte de tous ses pores..Il prend une petit respiration puis siffle à l'intruse:

"Je suis pas un indic ma jolie mais pour toi, et pour toi seulement je vais t'indiquer un endroit...faut pas etre trop regardante ici.."

Son doigt crasseux lui touche son visage:

"Demande la Succube, quartier pourpre..."

Puis vla' t'y pas qu'il recommence à boire grommelant des mots imaginaires......
---fromFRTam'
*C'est heureux que j'ai vécu au milieu des bêtes* pense t-elle. Il crache, il renifle, il essaie de l'intimider ... Elle bouge pas d'un cil, mais finit par froncer les sourcils. Il la renifle, pas grave les animaux font ça aussi ; les chevaux se frottent les naseaux pour se reconnaître. C'est son rire moqueur qui la gêne, les animaux ça rit pas. Ça fait pas de bruit, ça pue aussi ... mais ça donne pas d'renseignement. Alors elle dit rien.

Mais voilà qu'il la touche, elle est pas beaucoup plus propre que lui mais elle a horreur qu'on la touche. Elle recule son visage instinctivement. Elle a envie de mordre. Elle aime pas non plus qu'on dise qu'elle est jolie. Mais voilà qu'il cause .... la Succube, quartier pourpre ...

Elle leur ressert un verre, faut bien ça pour passer le calvaire. Mais faut pas trop qu'elle boive, elle aura pas les idées assez claires. Là elle se souvient qu'faut dire merci, mais dans le fond du verre il est déjà parti. Elle parle pas, elle fait comme les soeurs lui ont dit de faire, on incline brièvement la tête. Les Grands ils appelaient ça « coup de boule », les soeurs elles appelaient ça « merci ». Dans le vide, elle hoche la tête. Elle sait même pas s'il regarde. Elle fouille sous la cape et laisse les piécettes pour payer la bouteille qu'elle lui offre. Faudra bien ça pour oublier son existence misérable.

Elle se lève, elle n'en peut plus de ce lieu. Elle referme sur elle ce qui lui sert de cape, ne calcule pas le tavernier, ouvre la porte, regarde l'homme qui l'a renseigné, puis enfin sort en direction de la grand place. Là bas, elle cherchera le quartier pourpre.

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Parce que le silence est d'Or ...
---fromFRLily Rose
Lily Rose dissimula un petit sourire lorsqu’il se tourna vers elle pour la serrer contre lui. Elle n’avait pas oublié ses étreintes et son petit sourire s’agrandit en entendant ce qu’il lui dit. Et Lily ouvrit des yeux surpris en le regardant suite à sa question.
Shaïtan lui avait pourtant dit que pour aller jusqu'à chez lui loin a l’Ouest elle devrait voyager seule, et maintenant il lui demandait d’en faire un ensemble ? Elle ne le comprenait pas… Pourquoi se contredisait-il ? Mais… Juste pour rester avec lui plus longtemps, juste pour pouvoir le voir le maximum de temps avant qu’il ne parte, elle irait.
Faisant un signe de tête positif, elle se serra un peu plus contre lui. Une cousine ? Elle ne savait rien de lui.


Parlez moi de votre cousine Shaïtan… Où se trouve-t-elle ? Parlez moi de vous…

Rose se sentait si bien qu’elle s’endormirait sans doute avant la fin de son récit mais elle voulait tant mieux le connaître…
---fromFRAnonymous
Kobal , nez dans son verre, voit la fille lui faire un signe de tête, il semblerait qu'elle le remerçie, dépose quelques écus et s'avance vers la sortie. Lui , il s'en fout il a fait du mieux qu'il a put pour lui venir en aide. C'est étrange tout de même mais c'est comme ça, son faible ça toujours été les femmes...Dans ses yeux noyaient d'alcool, bleu vaseux, il repart faire un tour dans son passé..Avant, il était pas comme ça ..aussi puant, aussi méchant,..ses doigts ne lui suffisent plus à compter tous les cadavres qui a transporté...Il aime bien le sang, c'est une seconde nature chez lui. Voir la mort des autres, le rend encore plus vivant mais Elle, ça l'a anéantit...Ah, les femmes un vrai fléau ...

Il boit encore et toujours, le regard de plus en plus lontain..La nuit est avancé pour toutes les âmes damnées comme lui...Alors, il se lève puis sort de cette taverne, il ricanne, il sait pas pourquoi..c'est comme ça!!

Oh la fille, la revoilà là bas, il souhaite qu'elle trouve un boulot ..puis il prend la direction opposée à la sienne, s'avançant dans les ruelles...inlassablement seul..
---fromFRL'inexorable
[Une chambre à l'étage]

L'Inexorable regarda Rose en attendant impatiemment sa réponse qui pourrait l'aider à remplir son contrat... Oui parce que convaincre une femme s'était toujours plus simple quand on était en couple que quand on était un homme seul... Un homme casé était toujours plus facilement plausible qu'un homme célibataire qui ne devait pas avoir connu de femme depuis un moment...

Il regarda le temps de Rose et eut comme l'impression de savoir à quoi elle pensait... Lorsqu'elle lui répondit à l'affirmatif Shaïtan lui dédia un magnifique sourire et lui déposa un petit baiser sur le front. Puis elle lui demanda quelque chose de difficile... Mais avec un sourire il se lança dans une histoire plus ou moins loin de la vérité...


A vrai dire je ne sais rien de ma cousine mis à part qu'elle doit venir en France bientôt... J'attend qu'elle m'envoie une lettre pour me dire où elle se trouve et quand je dois la rejoindre...

Il s'arrêta un moment en se demandant ce qu'il devait dire sur lui...

En ce qui me concerne je peux dire beaucoup plus de chose que cela... Je suis né il y a plus ou moins 25 hivers je ne connais pas la date exact parce que pendant mon enfance je vivais loin de la France et chez moi nos dates sont comptées par rapport à la lune...
Bon je me lance... Quand j'étais petit je vivais dans un tout petit village loin d'ici et ma famille n'étais pas particulièrement riche... Mes parents travaillaient nuits et jours pour avoir de quoi me nourrir moi et mes sept frères et soeurs et sans vouloir me vanter j'étais de loin leur préféré !


Un sourire d'enfant se dessina sur les lèvres de Shaïtan comme s'il revivait l'époque avant sa rencontre avec les Illuminatis...

Puis vers mes dix ans mes parents sont morts et mon frère aîné à prit les rennes de la famille... Au début il n'y avait aucun problème bien que nous ayons été gravement affectés par la mort de mes parents nous nous sommes pliés au commandement de notre frère et avons obéit sans rien dire... Puis un an jour pour jour après la mort de mes parents un homme étrange m'approcha...

Le Sarazin se tut un moment afin de reprendre son souffle et remarqua que Rose s'était endormie... Il sourit et préféra finirent son histoire là... Shaïtan pivota légèrement sur lui-même et souffla la bougie qui éclairait la pièce...
---fromFRcharlotte372
sa main était toujours sur sa dague qui elle était enfoncer dans le coeur de l'homme, le sang coulait, charlotte en avait plein les mains, mais elle ne bougea pas, elle était paralyser par le geste qu'elle avait fait, la promesse qu'elle avait fête venait d'être rompu à jamais...

les trois derniers brigands regardaient l'encapuchonner puis la femme, après un temps d'hésitation, qui semblait une éternité à charlotte, les hommes fuirent demi-tour et disparurent, préférant prendre la fuite pour rester en vie

elle regarda le corps de l'homme qui gisait maintenant sur le sol, son propre sang l'entourait, elle retira sa dague ensanglantée, l'essuya contre ses habilles puis la remit a sa taille, elle se dirigea ensuite vers la table ou elle était assise auparavant, sans jeter un regard à l'encapuchonner qui lui avait sans doute sauver la vie, elle oublia même de le remercier se qui n'était pas dans ses habitude

elle se laissa tomber sur sa chaise, son regard perdu dans le vide, une larme coula sur sa joue pale, une seul et unique
se jour restera à jamais dans sa mémoire, le jour ou un homme étrange lui avait sauver la vie et avait failli perdre la sienne pour elle, cela aucun homme auparavant ne l'avait fait
---fromFRAnonymous
Teñval réaparut au bout de quelques temps de disparition. Il avait eu des proposition et avait un rendez-vous. Mais qui seras sont interlocuteur ? Sa il ne le savait pas encor.

Il entrat dans la Taverne et allat attendre dans un coin, à une place où il verrait arriver toute personne. Ne s'occupant pas des autres personnes présente il allat s'assoir et attendit son rendez-vous. Droit et le masque tourné vers la porte. Sa froideur toujours avec lui.

Il se posat moulte question sur son interlocuteur. A quoi ressenblait-il ? Ou elle ? qui sais ?
---fromFRArtémis45
Artémis entra en taverne... Elle était vêtu d'une tenu de cuir noire elle regarda autour d'elle et son regard se posa sur un homme au fond de la taverne qui la regardait lui aussi...

Elle s'approcha de lui et lui soufla a l'oreille:
"Demat deoc'h Breizhad,
je pense que tu attends quelqu'un n'est-ce pas ? Et il se peut que se soit moi..."

Il la dévisagea, la regarda de haut en bas se qui fit sourire la jeune femme l'homme avait l'aire très surprix.

Il se décida a se présentez Artémis s'assit en face de lui et l'écouta...

Au bou d'un moment la jeune femme le coupa et lui dit :


Même si toi tu en sais très peu sur moi, moi je te connais déjà plus que tu ne le croix brefe passe moi le discourt s'il te plait...

Elle ne voulait pas véxés Teñval mais tout ce qui lui raconter elle le savait déjà et elle n'avait pas envie de perdre son temps... Elle laissa l'homme reprendre ses esprit.
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