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[RP] Taverne le Rat Crevé

---fromFRAzmaria
Az arriva dans la capitale quelques jours après la débâcle de la taverne comptale du Périgord. Elle était toute excitée... Elle avait hâte de récupérer sa part des biens accumulés lors de cette folle soirée !

Elle entra dans la première taverne qu'elle vit...


"Taverne du rat crevé"... C'est gai comme nom...

Elle poussa la porte. A l'abri derrière sa capuche baissée, elle scruta la pièce. Des gens aux mines bizarres étaient disséminés ça et là, buvant un verre, complotant... Elle l'aperçut assis à une table. Elle se dirigea vers lui en se retenant de se précipiter. Elle était heureuse de le revoir. Elle avait craint qu'il ne lui soit arrivé malheur sur les routes. Ils avaient du se séparer, mais elle n'en était pas rassurée.

Vous êtes là !

Elle s'assit à coté de lui, non pas en face, elle avait besoin de sa présence. Elle lui murmura à l'oreille : "Je suis heureuse de vous voir... J'ai eu peur pour vous !"

Elle reprit un air détaché. Un signe de la main au tavernier, elle voulait commander ! La soif la taraudait ! Elle se tourna à nouveau vers lui, plongeant son regard bleu-vert dans le sien :


Avez-vous reçu une missive en provenance du périgord également ? Un pigeon m'a rattrapée sur le chemin...

Le tavernier vint prendre les commandes quelques secondes plus tard.
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---fromFRAltaïr le Furtif
Il senti une chaise se retirer a coté de lui, il tourna la tête ... Azmaria ... un sourire se dessina sur son visage, il était content de la revoir, bien qu'il ne se soucia pas de son voyage, il savait bien quoi elle était capable.

Altaïr lui chuchota a l'oreille
: Je également content de vous revoir, il lui sourit.

Fouillant dans sa poche droite, Altaïr sorti un petit sac, il l'ouvrit et regarda autour de lui, les regards curieux étaient plutôt les mal venus.

- Voici votre part, dit -il, il y a parait-il, ici, une personne qui nous reprendrai les bijoux contre de la piécette sonnante et trébuchante ...Méfions-nous des roublards, ces lieux en sont infestés.

Altaïr fouilla dans sa poche intérieure et en sorti un morceau d’etoffe, il le déroula et le tendit a Azmaria, a l'intérieur se trouvait un collier avec quelques pierreries incrustées.

- C'est pour vous, je ne vous ai jamais fait de cadeau, profitez en ... ce collier est pour vous remercier de toujours me suivre dans les mauvais coup... Il faudra que vous le nettoyiez, je n'ai pas eu le temps de le faire, il reste encore un peu de sang de son ancienne propriétaire.

Altaïr revit le rictus de douleur de la femme, quand il avait planté son poignard dans ces entrailles, il lui avait dit :

- Quelle joli sourire vous me faites la ... désolé, mais je ne suis pas libre...

Il laissa sa pensée et demanda à Azmaria :

- Que dit la missive que vous avez reçue du Périgord ?? Croyez vous que nous ayons été repéré ?
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---fromFRAzmaria
Ce s'ra quoi pour ces m'sieur-dame ?? demanda le tavernier avec une voix rauque, à un point qu'Az ne se l'imaginait pas et sursauta en l'entendant.

Deux choppes, et qu'ça saute ! répondit-elle, imitant sa voix rauque pour se moquer.

Elle lui glissa elle-même les pièces dans la poche de ses braies. La dague contre la paume de la main épousait parfaitement son bras, un geste brusque et l'homme était saigné.

Elle le laissa repartir, il avait l'air juste contrarié, et elle amusée. Décidément cet endroit était très... inattendu.
Elle écouta l'histoire de piécettes d'Altaïr avec un regard d'enfant. Mais c'est un regard tout autre qu'elle lança à son compagnon de route lorsqu'il sortit le collier. Il était magnifique et... c'était (presque) un cadeau !


C'est pour vous, je ne vous ai jamais fait de cadeau, profitez en ... ce collier est pour vous remercier de toujours me suivre dans les mauvais coup...

Elle lui lança son plus beau sourire...

Il faudra que vous le nettoyiez, je n'ai pas eu le temps de le faire, il reste encore un peu de sang de son ancienne propriétaire.

Elle pouffa légèrement en imaginant la scène.

M...Merci.

Elle le mit aussitôt à son cou, et l'admira. Elle aurait bien le temps de le nettoyer plus tard, il était magnifique tout de même. De peur de se faire attaquer juste pour cela, elle le glissa contre sa peau, en dessous de ses vêtements, c'était plus sûr. Elle était... elle ne savait même plus quoi dire. Sa part de butin lui suffisait, un cadeau de surcroît c'était inespéré... Venant de lui... Elle sortit de ses rêveries losque la conversation revint sur des choses plus sérieuses : Le missive du Périgord !

Ah ça pour être repérés... Le pigeon a bien su me retrouver ! Je vous la lis !

Elle sortit de son décolleté une enveloppe, sur laquelle était inscrite "Cours de Justice du Périgord-Angoumois", en pompeuses lettres dorées. Elle la parcourut des yeux, cherchant les détails importants de la lettre.


Bonjour, nianiania.... En tant que procureur etc, je me vois désolé qu'aucun agent de la prévôté ne vous ai poursuivi, recherché, ou même interpelé suite à votre rançonnage en règle à la taverne trucmuche niania...

Je suis heureux de vous savoir libre - nous aussi cher Monsieur ! - après une si belle coquinerie - il en a tout l'air d'un coquin lui en tout cas ! - attendu qu'un larcin fait sans violence mais avec grande classe est toujours le signe extérieur d'une grande âme... - il a dit que j'avais une grande âme !!! - quoiqu'en disent les victimes. - nous avons donc laissé des survivants ! -

Et voila, c'est fini. Juste la signature. Cet homme sait écrire décidément !


Elle se surprit à rougir et ne parla pas de l'éventuelle réponse qu'elle lui avait faite, y déclarant qu'elle était ravie qu'un si charmant et haut-placé Messire daigne trouver de l'intérêt à leur action... etc etc etc...

Elle se contenta de regarder Altaïr avec un air interrogateur :


Vous n'avez rien reçu vous ?? Bizarre...
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pnj
La cour... Ce lieu où il ne mettais plus beaucoup les pieds, ce lieu lui manquait, peut être était-ce les évènements actuelles qui le dépassait. Tout les souvenirs qu'il avait en ce lieu, tout cela lui manquait. Bien que sa vie était surement mieux maintenant tout cela lui manquait, le risque et l'action de la cour, bien qu'il y a peu ayant passé une journée en prison cela lui avait laissé le temps a repenser à tout son passé, c'est d'ailleurs pour cette raison qu'il était ici aujourd'hui, repenser au passé, et non au futur ou alors a la politique.

Une fois arrivé à la cour, il prit son temps à revisiter la cour, comme lors de sa première visite, il se surpris à que son esprit s'absente quelques instants et ère dans quelques souvenirs passés. Une fois qu'il eut finit sa visite, il se dirigea vers la taverne du "Rat crevé". Contrairement à ses précédentes visites, ses habits n'était pas du tout les mêmes ce si était plus luxueux. Une fois dans la taverne il commanda une bière puis alla s'asseoir.
---fromFRpaelor
Trainant sa misère nouvelles, les ses cheveux blond presque brun de crasses, ses vêtements léger légèrement troués et puant la rue et toutes sortes d’émanation d’alcoolique, sans chausses, les orteils recouverts de boue. Paelor avançait dans les sombres et poisseuses rues de la Cour des Miracles. Le visage recouvert de poudre blanche pour cacher ses cicatrices et sa peau brulé, les mains recouvertes de bandages dont la date de mise était facile à deviner en fonction de la couleur de chaque bande.
La cour avait changé depuis que Paelor en était partie, certains rue était presque bien tenue, les morts ne trainaient plus dans les rues et il pouvait même je permettre de ne pas maintenir ses sous dans sa mains pour éviter le cliquetis de l’argent, et puis pour ce qu’il possédait… La tête basse sous sa lourde capuche, sa cape de voyage marron également couverte de boue, heureusement qu’il l’avait elle, c’était son seul vêtement complet, la seul chose avec sa cabane qui lui tenait chaud. Se rappelant la première fois qu’il marchait dans ces rues, acclamé comme le guerrier qu’il était honoré pour avoir aidé à restituer le trône de la Cour… A l’époque il avait cheval vêtements armure et armes, maintenant il marchait, nu pied seul avec comme seul arme son couteau de pêche. Mais il avait de l’argent, et comptait bien le dépenser dans une taverne, la première qui se présentait à lui.
Lentement entres les ruelles, une affiche se découpa, La taverne du rat crevé, quel nom ravissant, il s’y dirigea sans hésitation, espérant y trouver bonne compagnie et évidemment bonne bière.
Poussant avec difficulté la lourde porte, il observa un monde raisonnable, au tavernier honorable et aux murs propres ! S’avançant il prit commande d’une peinte et chercha du regard une table accueillant, lentement son regard parcourra la pièce avant de tomber sur une personne connue de sa propre personne, un homme politique connue, futur candidat aux élections comtal, homme de prestige au lourd passé de Brigand, son frère !
Lentement il se pressa dans son dos, et posa sans prévenir et avec force sa main sur son épaule, un grand sourire amusé parcourant son visage.

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pnj
Voila un petit moment qu'il étais dans la taverne, il vit beaucoup de monde défiler, entrer, sortir... Il en connaissait quelques un et d'autres lui étaient totalement inconnu. Puis un homme entra, il ne pu voir s'il connaissait la personne, l'homme étant encapuchonné et avec le sombre de la taverne. Puis l'homme se dirigea au comptoir, il ne le suivit pas plus longtemps du regard et but sa énième bière. Il sentit ensuite une main se posé avec force sur son épaule, il ne perdit pas de temps à se retourner pour voir qui était cet homme venant ainsi derrière lui. Il ne vit pas de suite qui c'était puis après quelques secondes, il reconnu le visage de son frère Paelor, qui avait vraiment changer avec le temps.

"Eh ! T'as pas fini de salir mes vêtements ?!
Et c'est quand que tu comptes te vêtir correctement?"


Il prononça ses mots avec un sourire ironique, sachant que cela enragera son frère.
---fromFRpaelor
Paélor observa un moment son frère sans rien dire, cette espèce de politicien trouvait encore moyen de faire des remarques déplaisantes, il n’était pas crasseux, juste un peu voyons ! Il ne sentait que le purin, se n’était pas si terrible ! Et puis quoi ses vêtements ? Sa cape était très belle, de quoi parlait-il !
Revenant un instant à la réalité, Paélor se rendit compte que la remarque de son frère n’avais pas déplut cas lui, quelques brigand ou truands cachés dans divers coins de la salle avait prit mauvaise note de ces paroles… Il se rapprocha un peu plus du visage de Scipio, en profita pour lui faire partager son odeur de dessous de bras comparable à un siècle de fiente d’humain laissé au soleil du midi sudiste, ainsi que sa douce haleine de bas côté de paris après une bonne fête des vidanges. Rabaissant d’avantage sa capuche pour éviter de s’attirer des ennuis la prochaines fois qu’ils viendront, si prochaine fois il y a.


"Je crains qu’il ne faille trouver lieux plus calme, bien que la bière est ici abondante et de bonne qualité contrairement à avant, il me semble qu’elle serait bien meilleur ailleurs, ne fusse que sur la qualité du temps pour la savourer… "
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pnj
Scipio se rapprochat aussi de son frère ayant compris que ses mots n'avait pas plus à tout le monde, il avait oublié qu'il n'étais pas ici dans une salle d'un chateau et que le comportement à prendre était différent, il lui arrivait exactement l'inverse à ses débuts en politique.

"Pfffffffff! J'ai toujours le chic pour m'attirer les ennuis moi. Bon, si ca te dérange pas, on peut aller en Alencon, je pourrais t'heberger là bas quelques jours, je comptais y retourner d'ici quelques heures de toute facon, et je connais là bas un ami qui possède une taverne, on pourra s'y aretter."

Son frère acquiessa à ses paroles, et ils sortirent tout deux de la taverne, direction Argentan.
---fromFRAltaïr le Furtif
Altaïr écouta attentivement Azmaria lorsqu'elle lui lu la lettre ...


- Vous n'avez rien reçu vous ?? Bizarre...

- Bah, non ...je n'ai rien reçu, il faut dire que je n'ai pas votre charme, ni votre poitrine, si il y a eu un témoin, se doit être le premier élément qu'il a du donner pour vous décrire.

Altaïr bu sa bière d'un trait.

- Fait plutôt soif, ici ...Il était énervé a l'idée que ce procureur de pacotille lui fasse du charme ... Il regarda Azmaria ...

- Un larcin sans violence ?? Nous avons tout de même saigné deux personne ... dont cette jolie serveuse ... quant aux autres, il a du en avoir un certain nombre de grillées .Je vais lui en donner du "sans violence "quant je vais repasser par la bas.

Deux personnes entrèrent, la deuxième attira le regard d’Altaïr, ou plutôt son odorat, il sentait ... il n'y avait pas de nom a ce qu'il sentait, un mélange de plusieurs odeurs nauséabondes, on aurai dit que ce bonhomme pourrissait sur place, il baissa la tête et coupa sa respiration le temps de son passage.

Les deux hommes ne s'éternisèrent pas ...tant mieux ...il n'avaient pas l'air de "clients ".

Altaïr regarda Azmaria et lui dit :


- Je commande une deuxième tournée en laissant quelques bijoux apparents, si personne ne nous fait d’offre, nous partirons, je vous emmènerai dans un autre endroit.

Il leva la main en direction du tavernier en lui faisant signe de remettre la tournée, il prit son poignard en main ... des fois que lorsque l'homme les servira, sa main ne devienne baladeuse et se dirige vers les bijoux.
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---fromFRAzmaria
Après avoir lu la lettre de ce cher procureur - ou juge ou avocat, elle avait déjà oublié, en tout cas de cet homme probablement très riche et sympathique - Az se rua sur sa bière.
Mine de rien elle n'en avait pas bu de bonnes depuis une éternité... Les tavernes poitevines servent des horreurs en guise d'alcool, sans parler des tavernes périgourdines, ou en plus des bières, c'est le service qui est mauvais ! Elle eut une pensée furtive pour cette petite sotte de serveuse qu'elle avait saignée avec tant de plaisir sous les yeux de son compagnon de route.


Bah, non ...je n'ai rien reçu, il faut dire que je n'ai pas votre charme, ni votre poitrine, si il y a eu un témoin, se doit être le premier élément qu'il a du donner pour vous décrire.

Elle faillit avaler de travers et toussa à grand peine, retrouvant petit à petit un souffle normal. Elle le regarda avec de grands yeux étonnés. Il avait du déjà commencer à boire sans elle avant qu'elle n'arrive. Jamais il ne se serait permis de dire une chose pareille devant elle. Elle devint rouge en un quart de seconde, n'osant plus regarder que sa choppe, se mordant la lèvre inférieure et priant qu'il change de sujet avant qu'elle n'éclate tellement elle était rouge ! Heureusement il ne remarqua apparemment rien de son malaise momentané. Elle poussa un ouf de soulagement intérieur et plongea à nouveau son regard dans le sien lorsqu'il commença à s'énerver à présent sur le "sans violence".

Un larcin sans violence ?? Nous avons tout de même saigné deux personne ... dont cette jolie serveuse ... quant aux autres, il a du en avoir un certain nombre de grillées .Je vais lui en donner du "sans violence "quant je vais repasser par la bas.

Hum cette serveuse... Son visage s'empourpra de nouveau, elle l'aurait bien saignée une seconde fois si elle en avait eu la possibilité. Moi le Périgord me plaît en tout cas ! Peut-être que dans certains villages il y a d'aussi belles tavernes, nous devrions y retouner.

Avec un peu de chance ils rencontreraient au passage ce fameux haut-placé, qui d'après sa signature, ne serait plus haut-placé bien longtemps... Etait-ce une invitation ? Le visage d'Azmaria prenait une teinte de profonde réflexion lorsqu'Altaïr commanda la deuxième tournée.

Elle sursauta finalement.


Ah oui oui ! Les bijoux ! Au pire nous les utiliserons comme monnaie quelques temps, j'ai peu de piécettes sur moi, des diamants feront l'affaire chez certains commerçants je pense !
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---fromFRAltaïr le Furtif
Le tavernier arriva avec deux choppes bien remplies, il les posa sur la table, Altaïr suivait ces yeux du regard, il remarqua que l'homme reluqua un moment les bijoux ressortant légèrement du sac, il serra dans sa main son poignard prêt a le planter dans la main qui s'approcherai trop près de leur butin.

Mais l'homme resta sage, Altaïr paya la tournée et leva sa choppe.


- A la fortune !!!,dit-il a Azmaria, il remarqua qu'elle fut gênée lorsqu'il parla de son charme et de sa poitrine,elle n'était pas du genre a s'étouffer avec une bière,il se dit qu'il fallait ,a l'avenir ,qu'il soit plus prudent en faisant ce genre de réflexions .

- Ah oui oui ! Les bijoux ! Au pire nous les utiliserons comme monnaie quelques temps, j'ai peu de piécettes sur moi, des diamants feront l'affaire chez certains commerçants je pense !

Il plongea son regard dans celui d'Azmaria...

- Les commerçants ...mhoui ...vous avez raison, finissons nos bières et partons,Altaïr fini sa choppe d'un trait .
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---fromFRAzmaria
Il avait l'air contrarié... Soit il n'était pas emballé par l'histoire des commerçants, soit c'était autre chose... Elle essaya de comprendre ce changement si soudain, deux secondes auparavant il était... différent, si agréable, comme à son habitude. La minute suivante la distance naturelle qui se trouvait entre eux était réapparue, une soldate et son supérieur hiérarchique...

Elle baissa la tête sur sa choppe et but la gorgée restante. Partir... Déjà... Rentrer ? Elle voulait visiter la cours des miracles depuis si longtemps, elle qui n'était jamais montée à la capitale avant ce jour... Elle en avait rêvé des balades au clair de lune, des soirées à finir ivre en taverne, des passants innocents à détrousser en sa compagnie...

Elle lui prit la main au moment où il allait s'en aller. Les lèvres entrouvertes, prête à dire quelque chose, mais aucun son ne sortit finalement. Elle lâcha sa main et se leva à son tour, se dirigeant vers la sortie d'un pas résigné.

Dehors la nuit était déjà noire. Peu d'étoiles dans le ciel... Elle leva les yeux quelques instants et l'entendit arriver derrière elle, prêt donc à partir...

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---fromFRAnastazia
Elle poussa la porte, difficilement mais elle y reussit.
Devant, les infâmes gents qui remplissaient les tavernes, les comptoirs.
L'odeur, n'en parlons pas. Nauséabonde. Mais elle n'y tint pas attention.

Tout ce qui l'interessa était de boire ... rien qu'un peu. Elle avait besoin de souffler, de vivre, de sentir couler en elle une mousse peut-être de qualité négligé mais s'en contre-fiche, trouvant le moment opportun.
Elle s'avança, pensant qu'elle serait discrète si elle baisait la tête.
Une bure aurait fait l'affaire.

Elle etouffait d'où elle provenait. Une vie villageoise. Les païens, dans leur charabia incessant, finissaient par lui faire exploser la tête, c'en était penible. Le comptoir, elle s'y jeta, et dénuda ses épaules.
Avec un frisson d'excitation, elle commanda, tout comme les autres personnages.
Puis, elle patienta. Elle le savait.

Il viendrait. Ils peut-être ... Z....

Son amant.

Et ce furent des plans machiaveliques qui s'enchêvetrèrent dans sa tête. Car elle voulait parler affaire avec lui.
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---fromFRTam'
Entrer à nouveau dans cet endroit ... Elle a bien regardé tout ce qui se passe. Elle n'y comprend pas grand chose. Elle a veillé sur les arrières de la femme, elle s'est faite des plus discrète. Elle n'aime pas la lumière, elle n'aime pas les regards ... ça ne lui a pas empêché de voir toutes les magouilles qui ont lieu au milieu de toutes ces fripouilles, ni l'homme au masque d'argile qui regarde la femme qui est venue lui proposer du travail.

Elle est une ombre, mais elle voit tout. Elle ne parle pas mais elle les entend tous. Encore un papier volé. Elle s'asseoit à une table loin de l'entrée et commence à rédiger le message pour La femme. Le tavernier approche alors qu'elle rédige les derniers mots.


Citation:
il vous suit ... rejoignez moi là où vous aviez dit ...

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Parce que le silence est d'Or ...
pnj
Une multitude d'espions au service du Chaos étaient disséminés à la Cour des Miracles. Six Mercenaires du Chaos buvaient un verre dans la Taverne du Rat Crevé prenant un repos bien mérité. Ils venaient de tuer un messager au service du Roy. Celui-ci détenait des informations très intéressantes mais il était bien entouré. Six Mercenaires du Chaos contre dix Soldats ...
Ce ne fut pas de tout repos. Après tout ils ne faisaient pas partie de l'élite.
L'élite de la Guilde du Chaos se trouvait au Puy où ils avaient organisé un massacre. La Chef de la Guilde des Marchombres, Ellana Caldin, était tombée dans une embuscade et affrontait en ce moment même Cerberuss le Mentaï.
Cela faisait longtemps que les Mercenaires du Chaos menaient une lutte sans pitié afin d'éradiquer les Marchombres jusqu'au dernier !
Ceux-ci indépendants, fiers, arrogants et surtout libres !
Tel était la chose la plus importante à leur yeux. La liberté absolue.
Un ennemi de taille qui au fil du temps n'avait pas résisté à la puissance dévastatrice du Chaos.

Un homme portant un masque rouge à piques prend la parole.


- Hep t'crois qu'se sera bientôt la fin ?

- Aucun doute la dessus ! Avec Cerberuss comme Chef rien ne peut plus nous arrêter ! C'est l'homme le plus fort du Royaume !
Répond un autre Mercenaire qui aiguise son poignard ...

- Le Mentaï a passé sa vie à s'entrainer et à acquérir des connaissances. L'on raconte que ce n'est plus un homme ! Qu'il n'a jamais connu aucun sentiment. Il est dénué de pitié, l'amitié et l'amour le dégoutent et il ne craint rien ...
D'ailleurs on a jamais vu son vrai visage et personne ne connait son âge !

Ces révélations sont faites par le leadeur de la troupe des six Mercenaires du Chaos. Celui-ci évite de boire et reste à tout moment sur ses gardes ...

- Je n'ai jamais vu quelqu'un égalé sa ruse et sa rapidité. Vous vous souvenez de la fois où il s'était attaqué seul à une escouade de quinze soldats expérimentés et à leur Capitaine ? Et bien il les a vaincu sans problèmes !
Et il a même encore eu le temps de répandre leur tripe un peu partout et de les pendre.
Cet homme s'appelle Argus. Il n'est pas très intelligent mais c'est un géant qui ne passe pas inaperçu même pourvu de son long manteau à capuche ...

- Oui il a mis tous les éléments de son côté ! Il a fait des Ténèbres et de la nuit ses amis et en a égorgé quelques uns sans que les autres ne s'en rendent compte. Affirme le deuxième qui passe son poignard sur sa main se remémorant avec délice les hommes qu'il a tué un peu plutôt.

- Ouep t'as raison. Aucun doute sur l'issue de la bataille.
J'vais faire recruter m'frère !
Affirme celui avec le masque

- Entrer dans cette guilde est la meilleure chose qui me soit arrivée!
Du pouvoir, des richesses à volonté et on doit simplement éliminer des gens ou exécuter des patrouilles ! La belle vie pour tous les assassins !


Les Mercenaires du Chaos rient bruyament parlant de massacres et de tuerie auxquels ils ont participé. Tous sont fiers de ce qu'ils font et se sentent sûr d'eux.
Changement opéré depuis que le Chaos s'est insinué au plus profond de leur âme ...

Dans quelques heures ils auront de nouveau besoin de sang et de violes ...
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