---fromFRDame_Louïse
Lentement, elle desserrait l'étreinte auprès de sa dague. Pluie lui semblait sans danger, fourré dans la même galère qu'elle. De plus qu'elle le trouvait fort charmant.
Par contre, ce dernier était visiblement du même point de vu qu'elle face à l'injustice, à la misère, à tous ces bourgeois
Elle le regarde s'approcher d'elle. Très près. Son genoux frôle celui de la jeune femme. Il se penche vers elle, puis lui murmure tout doucement à l'oreille :
Je suis entièrement de ton avis, Louise. Je suis comme toi un pauvre et un vagabond, et toutes ces dynasties dindividus fortunés et vaniteux mindisposent. Mais nous sommes bien démunis contre eux, hélas. Et je te conseille de prendre garde, pour rester en vie aux miracles, il faut se montrer discrets et prudents.
Un petit frisson parcourt sa nuque. Elle savait cet endroit étrange, mais pas si dangereux... elle aurait voulu faire marche arrière, repartir dans un endroit plus paisible, avec du soleil, des rires, des tavernes agréables où on pouvait parler à haute voix de tout ce que nous voulons, pas besoin de détrousser pour manger, pas besoin de ...
Elle baisse les paupières. C'était trop tard pour regretter. C'était trop tard pour faire marche arrière. Elle aurait voulu lui dire quelque chose, mais ce moment était à lui.
Dis-moi, Louise, nous avons beaucoup de points communs. Nous sommes pauvres, nous sommes jeunes, nous voulons connaître autre chose que cette vie de misère.
Elle hoche lentement la tête. Une mèche de la chevelure du jeune homme chatouillait son front.
Puis-je te faire confiance ? Que dirais tu si je te proposais quon essaie de sen sortir ensemble ?
Louise le regarde, hésitante. Elle ne savait ce qu'il allait lui proposer. Elle ne savait que son nom, elle ne savait pas qui il était. Elle ne savait rien de lui. Elle ne savait s'il habitait ici, ni ce qu'il faisait ici. Elle ne savait s'ils étaient plusieurs comme lui.
Oui, tu peux me faire confiance.
C'était pour savoir.
Par contre, ce dernier était visiblement du même point de vu qu'elle face à l'injustice, à la misère, à tous ces bourgeois
Elle le regarde s'approcher d'elle. Très près. Son genoux frôle celui de la jeune femme. Il se penche vers elle, puis lui murmure tout doucement à l'oreille :
Je suis entièrement de ton avis, Louise. Je suis comme toi un pauvre et un vagabond, et toutes ces dynasties dindividus fortunés et vaniteux mindisposent. Mais nous sommes bien démunis contre eux, hélas. Et je te conseille de prendre garde, pour rester en vie aux miracles, il faut se montrer discrets et prudents.
Un petit frisson parcourt sa nuque. Elle savait cet endroit étrange, mais pas si dangereux... elle aurait voulu faire marche arrière, repartir dans un endroit plus paisible, avec du soleil, des rires, des tavernes agréables où on pouvait parler à haute voix de tout ce que nous voulons, pas besoin de détrousser pour manger, pas besoin de ...
Elle baisse les paupières. C'était trop tard pour regretter. C'était trop tard pour faire marche arrière. Elle aurait voulu lui dire quelque chose, mais ce moment était à lui.
Dis-moi, Louise, nous avons beaucoup de points communs. Nous sommes pauvres, nous sommes jeunes, nous voulons connaître autre chose que cette vie de misère.
Elle hoche lentement la tête. Une mèche de la chevelure du jeune homme chatouillait son front.
Puis-je te faire confiance ? Que dirais tu si je te proposais quon essaie de sen sortir ensemble ?
Louise le regarde, hésitante. Elle ne savait ce qu'il allait lui proposer. Elle ne savait que son nom, elle ne savait pas qui il était. Elle ne savait rien de lui. Elle ne savait s'il habitait ici, ni ce qu'il faisait ici. Elle ne savait s'ils étaient plusieurs comme lui.
Oui, tu peux me faire confiance.
C'était pour savoir.