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[RP] Taverne le Rat Crevé

Zalina
Le tutoyer ? Elle l’avait donc vouvoyé ?
Ah ba oui. Elle ne s’en était même pas rendue compte. Une vieille habitude à perdre rapidement en ces lieux. Mais les vieilles habitudes ont parfois la peau dure.

Surtout que le petit jeu commence à devenir intéressant. Intéressant et fort plaisant.
Ce n’est pas tous les jours que l’on lui donne du « belle créature », « ma jolie » ou « chérie ». Comparé aux « Peste », « Gamine » et autres surnoms habituels, ceux là lui allaient très bien pour aujourd’hui. Alors donner son nom et ne plus les entendre… il faudra attendre un peu. Autant en profiter encore un peu.


Après un autre verre… peut être, qui sait. Si je suis encore en mesure de me souvenir de mon nom. Pour l’heure, les noms que tu as trouvé jusqu’alors me conviennent parfaitement. Et je n’ai rien contre les oiseaux non plus.

Un petit sourire malicieux apparut au coin des lèvres de la jeune femme. Finalement, elle n’était plus si pressée que cela de retrouver Morna. Elle avait même tout son temps. Sa vielle amie comprendra sûrement qu’elle est été retenue…
Restant face au comptoir, elle n’accorda qu’un nouveau regard à la dérobée à son interlocuteur. Lui ne se gênait pas pour la fixer avec ses yeux bleus. Et nom d’une pipe ! Quels yeux bleus !


Qu’est ce qu’un gentil Victor fait dans une taverne de la fausse du Royaume ? Pour reprendre tes termes.
---fromFRYaha
Encore une drôlesse celle là...
Alors comme ça on aime les noms d'oiseaux ? Parfait! pour peu qu'elle lui en laisse l'occasion il lui en trouvera quelques autres et lui murmurerai plus élégamment à l'oreille.
Pour l'heure il se contenta de l'écouter. Il lui fallait d'abord gagner la confiance de celle-ci avant de projeter de pousser le jeu un peu plus loin. Chose qui ne devrait pas être trop difficile lorsque l'on voit à la vitesse à laquelle elle buvait. Ça n'en serait que plus simple.


" Et bien ce gentil Victor est venu passer le temps dans cette fausse. Le gentil Victor s'ennuyait à mourir dans sa tour de cristal. Heureusement que la Sombre n'entendait pas ça, elle en rirait nuit et jour et jusqu'à sa mort si elle apprenait la manière dont il avait parlé de lui-même. Le pire était sans doute la voix avec laquelle il s'était exprimé à ce moment précis... Plus angélique et délicate tu meurs. Un jour il remettra lui même en doute son statut de mâle. D'un autre côté le gentil Victor il n'a pas tout perdu en venant dans le repère des gueux. L'gentil Victor il n'est pas mécontent d'avoir trouvé une femme ayant un peu de conversation et qui, visiblement, n'est pas là pour faire la catin. "

Pour l'instant il acceptait de répondre aux questions. Mais il ne fallait pas croire qu'il continuerai ainsi jusqu'au bout. Non et non! Il était plutôt du genre à jouer celui qui se dévoile sans rien demander en contrepartie. Mais au final la note était souvent bien salée pour celui qui devait la payer.
Néanmoins, et point positif, il acceptait facilement tout types de paiements, sauf la menace et autres petites choses dans le même style qui pourrait nuire à sa petite personne.


" Tu sais, enfin... Non, tu ne sais pas encore... Mais je suis du genre curieux, et buté... Au bout de combien de verres penses-tu accepter de me dévoiler ne serait-ce qu'un peu de ta personne ? Il m'est difficile de concevoir tenir la conversation avec une charmante oiselle alors que j'ignore même jusqu'à son nom... Ce n'est pas convenable... " D'un autre côté, qu'y avait-il de convenable en ce quartier miteux de la capitale française ?
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▪●[†] La Perfection est pour moi, ce que le pain quotidien est pour vous. [†]●▪
---fromFRVipéron
Le damoiseau éfféminé qui avait pris sa place aux côtés de la damoiselle semblait bien s'y prendre, la dame paraissait sous le charme...
Mais, lui n'avait plus le temps de regarder un jeune couple se former, peut-être, en d'autres temps se serait-il plu à les épier un instant, se rappelant des bons moments que lui-même avait passé, mai là, il n'avait ni le temps, ni le goût d'observer ces deux... "touteraux"... Pourtant quelque chose en lui, semblait lui suggérer que ce n'était pas une simple "histoire de fesses"
Il se leva un moment, scrutant les personnes présentes, puis murmura, pour lui-même, mais de sorte à être entendu:
Personne ne semble assez brave ou fou pour oser rejoindre la Raïa ici, personne décidemment, mais sur qui pouvons-nous donc compter...
Il se rassit enfin, se disant que, peut-être piqué par un des adjectifs précédents, quelques "grands costauds" viendraient tenter leur chance, qui sait?
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Rejoignez notre Raïa
Zalina
Zalina dut se mordre la langue pour ne pas éclater de rire mais ne put rien faire contre le grand sourire qui illumina son visage. Venir à la Cour pour passer le temps, çà elle pouvait le concevoir sans difficulté. Mais l’image de l’inconnu à coté d’elle se morfondant dans une tour de cristal était plus qu’hilarante. Partir dans un fou rire ne serait peut être pas bien prit, si, étrangement, il était sérieux. Après tout, que savait-elle de lui ? Pourquoi ne pourrait-il pas être le seigneur d’une tour de cristal ?

La jeune femme regarda sa tenue. Non, elle n’avait pas l’air d’une catin. Bien trop couverte pour çà. Quoi qu’en détachant quelques boutons de sa chemise… Mais pas pour l’instant. On verra en fonction de l’ambiance de son séjour et de la visite organisée par Morna.
Sait on jamais, ce serait peut être un rôle intéressant à tester.
L’gentil Victor avait beau demander qu’elle dévoile un peu de sa personne, il ne devait pas parler d’une partie de son corsage, vu qu’il était content de rencontrer « une femme ayant de la conversation ». Et de la conversation, la Peste pouvait en avoir à vous saouler plus sûrement que dix tonneaux de Whiskey… tant qu’il ne s’agissait pas de parler d’elle.

Son second verre de Calva rendrait l’âme dans quelques gorgées. La question du Victor était donc d’importance capitale. Mais mal formulée. Combien de verres arriverait-elle à se faire payer avant qu’il renonce et la laisse en plan toute seule à son comptoir ? Ou combien de verres arriverait-elle encore à boire avant de faire n’importe quoi…
Le Calva dans le biberon permet une bonne descente à l’âge adulte, mais tout de même. D’un autre coté, « charmante oiselle » était bien plus doux à son oreille que son prénom et elle était venue justement pour ne pas avoir à se montrer convenable, sage ou responsable quelques jours.


Tu ne veux pas considérer que « belle créature » ou « charmante oiselle » soit mon nom ? Il est vrai que ce serait des noms que je ne porterais pas très bien.
La plus part des gens m’appelle La Peste, ou Petite Peste. Mais je garde ma préférence pour tes surnoms.


C’était juste pour continuer la conversation et ne pas le voir partir tout de suite. Pour le reste, il ne faut pas rêver. Même son Maistre n’arrivait pas à la faire parler d’elle alors qu’ils se connaissaient depuis plus de 12 ans. Alors un inconnu rencontré à l’instant, elle n’avait pas assez bu.
Elle avala les gorgées restantes au fond de son verre et le reposa sur le comptoir.


Encore un autre et je te dis mon prénom. Juste pour ne pas faire mentir le proverbe « jamais deux sans trois ».

Le temps de finir sa phrase, et le premier dragueur se mettait à marmonner. Visiblement, lui n’avait pas ce qu’il était venu chercher. Un nouveau sourire amusé apparut sur les lèvres de la jeune femme qui le suivit des yeux dans sa petite scène.
pnj
( pourriez-vous svp m'enlever tous mes messages dans la Taverne du Rat crevé, ca rje ne réussis pas a suppromer mes messages)
---fromFRYaha
Calmement l'émissaire écouta son interlocutrice.
En entendant les quelques surnoms qu'on lui donnait en général il ne pu retenir un léger sourire en coin. Elle ne donnait pourtant pas cette vision de sa personne... Peut-être n'était-elle pas ainsi en règle générale, peut-être cherchait-elle à cacher sa vraie nature... Ou peut-être n'était-il pas suffisamment malin pour voir où était la Peste là dedans.
Après tout les apparences premières sont bien souvent les plus trompeuses, et il n'avait pas l'intention de se faire avoir par cette jouvencelle possédant visiblement un de ces caractères bien trempés qu'il affectionnait tant.

Encore un verre et il pourrait enfin confirmer les faits. De toute manière c'était la bonne personne, il en était certain.
Jusqu'à présent personne n'avait entendu parler de lui, et une telle coïncidence était peu probable... Ça n'était pas impossible non plus, mais dans ce cas, comment avait-elle bien pu prendre connaissance de son existence ? Non, décidément il n'y avait pas le moindre doute.
Hé. En fait ça l'ennuierait de s'être trompé. Il n'était pas du genre à payer de l'alcool à n'importe qui... Sauf aux femmes de joie, cela va de soi.


" Je pourrai parfaitement garder ces quelques surnoms tu sais, ça n'est pas parce que je connais ton nom véritable que je changerai quelque chose... Légère pause... Peut-être devrait-il ajouter quelque chose pour paraître moins suspect ?... Je suis très curieux... Hé... Suite à ces quelques mots il fit signe au tavernier de ramener ses miches prestement pour qu'il puisse passer une nouvelle commande. La même chose, une fois de plus. Il se demandait jusqu'à combien de verre elle pourrait s'enfiler avant de tomber raide la d'moiselle.

Le grincement de la porte ne laissa personne indiffèrent, pas plus que le vent qui en avait profiter pour faire intrusion dans la pièce par la même occasion.
Le jeune homme ne se retint pas pour lorgner la personne venant de pénétrer la bâtisse. Entièrement recouverte par la bure épaisse. Encapuchonnée même. Malgré cela quelque chose lui dit qu'il s'agissait d'une femme. Sans doute était-ce la peau teintée d'un blanc pur qui lui faisait penser cela. M'enfin, il était déjà en bonne compagnie et n'avait nullement l'intention d'aller voir ailleurs.


" Que dirais-tu d'aller marcher un peu par la suite ? L'endroit est suffoquant, et même s'il fait un temps de chien nous pourrions rejoindre une bâtisse chaleureuse. Quelques quartiers sont calmes ces derniers temps, comme si on les avait vidé de toute vie... Mon bon Yaha, continu donc ton petit jeu, t'es bien parti là. L'quartier des Azzuro par exemple, il est quasiment vidé! Plus rien, plus personne! Enfin...il y a bien quelques âmes errantes, mais rien. Encore une famille qui a tout perdu, quel dommage...pour eux, héhé. "
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pnj
Obscure qui était encore dans son coin observer la salle. Elle vit bien sûr le jeune homme qui la regarda, mais ne s'en préoccupa plus. De toute façon lui il était occupé et elle attendait quelqu'un qui ne venait toujours pas.

Obscure jouait toujours avec une méche lorsqu'elle vit un autre homme qui était assi plus loin. Elle le détailla. Il se donnait des airs de grands méchants, mais Obscure savait que ce n,était qu'une ilusion.

Elle s'ennuyait à mourir alors elle alla voir cet homme. La jeune femme s'approcha à pas de chat vers l'homme. Elle avait toujours son sourire envoutant et ses yeux bleus le fixer et sa chevelure noire tombait toujours sur ses douces épaules.

elle avait oté sa cape qui avait fait découvrir une superbe robe qui avantagée ses formes.

Obscure vint s'asseoir devant l'homme. Elle savait que peut-être qu'il n'aimerait pas, mais la jeune femme avait toujours eu une forte détermination et un tempérament bouillant.

Elle savait tout de même se contrôler quand il le fallait, mais elle pouvait être terrible lorsqu'elle se mettait en colère. Elle avait gardé cacher sa dague sous sa robe. Elle était attachée sur sa cuisse.

La femme d'une peau blanche regardait toujours l'homme et ne le lâchait pas des yeux. il avait l'air assez de mauvaise humeur, mais bon pas grave. elle pouvait bien discuter simplement. Alors, elle dit d'une voix mélodieuse:


Bonjour. Je vois que vous semblez bien seul. Moi aussi malheureusement. J'espère que ça ne vous déranges pas que je vous tienne compagnie. On pourrait tout simplement discuter. Je me présentes Obscure. Et à qui ai-je l'honneur de parler?

Obscure avait croisé ses jambes qui dévoilées une cuisse attrayante par la frange de sa sa robe. Elle espérait qu'il voudrait qu'elle reste.

Cet homme elle l'avait entendu crier dans la taverne au moment où elle entrait dans la taverne. Il était peut-être rustre, mais devait être sûrement de bonne compagnie.

obscure avait vu bien toute sorte d'homme. Elle avait l'habitude des hommes mystérieux. Ça lui plaisait bien.

En entendant, elle jouait avec son bijoux qui brillait dans les ténébres de la taverne. C'était un énorme diament, mais on avait l'impression qu'il brillait de l'intérieur. Un cadeau d'un ancien client. Qui était tombé fou amoureux. Obscure le garder depuis ce temps et ne l'enlever jamais. Elle fixait toujours l'homme.
---fromFRRodrielle
Des Basilisk à ici (endroit trop charmant pour ne pas attirer mon attention)


Elle avait réussi à attirer son attention. Un sourire se dessina sur son visage, visiblement charmant mais cachant tout autre chose…
Rodrielle n’avait pas répondu à la première remarque d’Aevil, jugeant cela inutile. Elle ne cessait de le regarder, avec insistance parfois même, ses pensées tournant dans sa tête à vive allure. Il avait accepté sa proposition pour se promener avec elle, quelle joie ! Peut être réussirait-elle à accomplir ce qu’elle avait à faire, qui sait ?


Je pense que quitter cet endroit serait le mieux, vous ne pensez pas ?

La donzelle lui fit un clin d’œil et commença à se diriger vers la sortie. Elle ne savait où l’amener, et en quelle honneur elle lui avait fait cette proposition mais elle trouverait bien le moment venu.
Se promener dans la Cour des Miracles en cette période était risqué et très difficile, mais rien n’empêcheraient les deux assassins de se mouvoir dans les ruelles sombres de ce quartier peu fréquenté et très connu à la fois.


Vous devez être un grand assassin, Sir, pour avoir autant de belles armes de grande manufactures sur vous… Vous devez avoir voyagé et tuer bon nombre de personnes…

Ton amer dans la voix de la belle qui regardait Aevil avec attention. Chaque détail du visage de l’homme passait sous le regard de Rodrielle. La nuit tombait et les quelques torches éclairaient les ruelles sombres et vides de la Cour. Pourquoi cette question ? Simplement pour avoir un sujet de conversation ! Ou presque…

…Lui ne devait plus se souvenir, mais Rodrielle avait gardé cela en mémoire depuis quelques années maintenant. Le sang, les cris, les pleurs… Jamais elle ne serait devenue qui elle était maintenant sans cette fameuse nuit. Et cet homme ne doit pas s’en douter le moins du monde. Il avait détruit la vie de Rodrielle, et celle-ci comptait bien lui rendre l’appareil. Le plus tôt serait d’ailleurs le mieux. La « vengeance » est un plat qui se mange froid, et 10 années suffisaient maintenant pour accomplir cela. Ce mot, Rodrielle l’avait toujours gardé en tête depuis cette nuit, la haine l’encouragent de jour en jour… Elle avait perdu sa trace à cet assassin, et par le fruit du hasard, ou plutôt par le destin, elle l’avait retrouvé, pour se venger.


A cette pensée, le sourire de Rodrielle se fit plus grand, plus machiavélique. Ils avaient tous deux marché pendant de nombreuses minutes jusqu’à arriver devant une taverne…

« Le rat crevé » Voilà notre destination très cher… Nos pas nous ont bien guidé !

Elle rit et poussa la porte. Elle n’allait pas attendre une attitude de gentleman de la part d’un assassin, ou d’un homme tout court. Rodrielle entra alors, la taverne n’était pas trop encombrée et l’ambiance qui régnait à l’intérieur lui plût rapidement. Ce ne fut pas difficile de trouver une table libre où elle amena Aevil. Le temps de commander une bouteille de vin qu’elle regarda alors son interlocuteur avec des yeux de félins. Il n’était pas encore l’heure…

Comment êtes-vous arrivé chez les Basilisk vous ?

Une question que la donzelle posa sur un ton très poli et plein de charme. Elle allait jouer, se doutant bien que son « ami » allait faire de même.
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pour les orphelins recherchant demeure et protection: http://plantagenet-d-azayes.forumzen.com/index.htm
Zalina
Ah ba s’il garde les surnoms, çà change tout. Le sourire de Zalina s’agrandit et elle se tourna vers son interlocuteur pour me fixer enfin.
Son nom n’avait finalement rien de si secret et sûrement peu connu à la Cour des Miracles, comme dans le reste du Royaume. C’est juste qu’elle n’avait pas très envie d’être elle, pour quelques jours au moins.
La jeune femme ouvrit la bouche, prête à révéler son identité quand la porte s’ouvrit de nouveau. Mais toujours pas de Yaha… à moins que Yaha soit une femme. A bien y réfléchir, est ce que Morna avait précisé qu’il s’agissait d’un homme ? La Peste l’avait supposé, ou espéré, mais elle n’en savait rien.

Le temps de reporter son regard sur le géant à coté d’elle, elle se rendit compte que son regard à lui était bien ailleurs. Comment cela pourrait il en être autrement ? A choisir entre une gamine qui ne veut pas dire son nom et une femme qui laisse voir sa cuisse et a les épaules dénudées, il n’y a pas à réfléchir pour les hommes.
Persuadée que le bel âtre cherchait déjà une excuse pour s’éclipser, Zalina pivota vers le comptoir et s’y accouda pour entamer son troisième verre. Trois verres, déjà un beau record, faut pas trop rêver non plus…

Sauf que le Gentil Victor ne lui présenta pas une excuse, mais une balade.
La jeune femme le fixa de nouveau, surprise. Elle devait être en train de rêver là… Oui, c’est çà. Elle va se réveiller dans une seconde sur un champ de bataille… Ou alors elle s’y est déjà fait tuer et elle est au paradis.
Après quelques clignements de paupières, elle reprit en parti ses esprits. Visiblement, trois verres commençaient à jouer sur sa rapidité de réflexion. Aller marcher… Battisse chaleureuse… Minute papillon ! Il manque le, ou la, Yaha. Elle avait rendez vous dans cette taverne avec un, ou une, Yaha. Alors pas bouger avant l’arrivé de Yaha.


Cela aurait été avec plaisir. Malheureusement je ne peux pas bouger d’ici avant que….

Eh ! Re minute papillon !!! Il a parlé du quartier des Azzuro là non ?
Un sourcil se lève le temps que l’information arrive au cerveau qui commence à sérieusement s’embrumer. Troisième verre… peut être pas une si bonne idée que çà…
Ce doit être un hasard… Juste un hasard. Hasard bien curieux quand même.


Vous connais… Non, ce n’est pas çà, on recommence. Fichu troisième verre. Tu connais les Azzuro ?

Tien, du coup elle en a oublié de donner son prénom. Mais ce n’était pas fait exprès. Avec tous ces claquages de porte, elle a tout oublié. Un vrai moulin cette taverne.
---fromFRAevil Snowdeaths
La belle les avait amené dans une des tavernes miteuses qui pullulées à la cour. Ils avaient trouvé une table vers le fond de la bâtisse ou ils ne seraient pas trop dérangés par les autres individus attablés.

Ce qui m’a amené au quartier ? Nous allons dire que j’étais dans les parages et que je me suis fait remarquer par Dame Sayä au court d’une petite rixe contre deux trois bandits qui avaient eu les yeux plus gros que le ventre, répondit poliment Aevil. Et vous comment vos pas vous y ont mené ?

Aevil n’aimait pas trop le regard que Rodrielle posait sur lui il était froid et en rien amical, il connaissait ce regard, il l’avait vu et eu à de nombreuses reprises. Son surnom venait de là en plus : « le tigre du grand nord » en raison de son regard froid, calculateur et dangereux. Tout comme le grand félin il prenait son temps pour attaquer ses proies et toujours après réflexion.

Parce que voyez-vous, je ne pense pas que vous soyez une assassine ma chère, continua-y-il, ou alors vous n’avez pas ou très mal était entrainée. Et je pourrais par la même occasion savoir ce que vous attendez de moi ?

Aevil se radossa plus confortablement sur la chaise. De la ou il était il avait une bonne vu sur l’ensemble de la salle. Et surtout sur la jeune femme un brin hostile soit envers lui soit envers un autre, mais son instinct lui soufflait qu’il avait quelque chose à voir avec tout cela.
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La mort prend bien des visages mais le miens revient souvent.
---fromFRRodrielle
Question pertinente venant de la part de l’assassin qui avait été péché par la grande femme froide du quartier général. Aevil aussi avait un ton et un regarde assez froid, cela n’étonnait pas la belle qui remercia le tavernier pour la bouteille et les deux verres de vin. Elle servit les deux verres puis but lentement le sien, considérant Snowdeaths comme une femme se devait de le faire. Lorsqu’elle reposa le verre ballon, Rodrielle sourit à l’homme en face d’elle.

Vous avez vu juste, je ne suis pas une assassin. Je suis jute une bonne guerrière, ou combattante comme vous le souhaitez. Je suis arrivée chez les Basilisk car le nom de Valentine ne m’était pas inconnu, et je recherche un allié…

La fin de sa phrase laissa planer une ambiance mystérieuse. Devait-elle dire contre qui avait-elle besoin de quelqu’un ? Non, pas pour l’instant… A l’heure qu’il était, elle voulait surtout en savoir un peu plus sur ce tueur qui l’intéressait tant

N’ayez crainte très cher, je n’attend rien de vous si ce n’est une agréable soirée. Toutes ces histoires autour de cet enfant m’ont donné un mal de crâne, et je ne souhaitait pas rester à cet endroit un instant de plus… Cela est bien dommage qu’ils n’agissent pas comme ils devraient le faire en tant que guilde d’assassin. Peut être est-ce dût à un manque de temps ? Que sais-je ?

Sa voix ronronnait dans cette taverne étrange. Rodrielle ne perdait rien de son charme, au contraire ; assise de travers sur sa chaise, elle avait croisé ses jambes et se tenait bien droite, gardant une élégance hors pair. Son regard envoûteur ne quittait pas celui d’Aevil, il ne le fallait pas.

Peut être même que vous êtes celui dont j’aurais besoin… D’après vos dire vous m’avez l’air d’un bon assassin… Et j’ai besoin d’une personne compétente, connaissant son art du bout des doigts et étant presque sûr de la réussite de sa mission… Etes-vous cette personne Sir Snowdeaths ?

Elle avait dit son nom ? Oups… Mais lui aussi était connu dans le monde des assassins, ce n’était pas une erreur que d’avoir prononcé son nom de famille. La donzelle était redevenue sérieuse, buvant sa deuxième gorgée de vin. Pouvait-elle se permettre de lui demander ce service ? Ce serait un bon moyen pour elle d’accomplir son vœux en tout cas… Aucun indice ne montrait son cinéma –très léger pour le moment- Aevil ne pouvait que vouloir en savoir plus sur les demandes de la belle…
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---fromFRAevil Snowdeaths
Aevil écouta la jeune femme avec attention. Il avait visé juste la Dame n’était pas la en tant que assassin mais plutôt en tant que quémandeuse de protection.

Je ne me souviens pas vous avoir dit que j’étais un assassin ni même un bon bretteur. Qu’es ce qui vous fait penser que je suis un tueur ? , demanda l’homme en souriant.

Il s’approcha un peu plus de la jeune femme en se penchant de façon à glisser à l’oreille discrètement.

De même comment connaissez-vous mon nom ? Je ne vous l’ai jamais donné, murmura le ton devenu glacial et menaçant.

L’attitude d’Aevil déjà peu engageante empira, une aura de méfiance et glaciale l’entoura, devenant palpable.

Je ne connais même pas votre nom ma Dame, continua-t-il sa voix charriant des glaçons, et peu de personne on entendu le miens ici, même au quartier basilisk.

Quand il eu terminé il se radossa à la chaise. Sa main droite se posa sur le tanto situé sur sa hanche gauche et sorti de quelque pouce la lame. La menace était à peine volée, l’heure n’était pas à la discrétion mais aux réponses.

J’aimerais que vous répondiez à ces questions ma Dame, dit-il un sourire froid accroché aux lèvres les yeux devenus d’une fixité inquiétante tel ceux d’un fauve allant passer à l’attaque.
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---fromFRRodrielle
La tension augmenta alors à cette table au fond de la salle. Aevil sortit son arme légèrement sous les yeux de la donzelle qui avait un sourire machiavélique.

Ne vous cabrez pas très cher ! Oui je sais beaucoup de choses sur vous… Mais de là où vous venez, et de où je viens, vous êtes connu comme le loup blanc, ou plutôt comme le « tigre du nord » n’est-ce pas ? –elle avait un sourire satisfait au visage et se rapprocha à son tour de l’oreille d’Aevil, ses lèvres frôlant délicatement la joue de l’homme sans la moindre idée derrière la tête- Votre réputation n’est plus à faire très cher ! Je connais assez d’assassins pour savoir votre nom et vos qualités dans ce métier… Alors n’ayez crainte de moi, je ne cherche qu’aide venant de votre part puisque Valentine ne me semble pas assez adéquat pour cela.

Elle lui fit un clin d’œil lorsqu’elle se recula de quelques centimètres. Son attitude était à présent amical plutôt que séducteur. Elle aurait du fil à retordre avec cet homme ! Tant mieux, elle aimait les défis, et celui-ci était de taille.
Aevil lui avait demandé son nom. Se souviendrait-il alors de la famille qu’il a tué il y a une dizaine d’années de cela ? La belle ne le savait guère…

Hop, une nouvelle gorgée de vin, et voilà qu’il n’y avait plus rien dans son verre. Elle qui était plutôt habituée au rhum et à la bière faisait dans le raffinement ce soir là. Elle se resservit un verre. Snowdeaths n’avait pas encore touché au sien ; était-ce un homme qui ne buvait pas ? Impossible, cela n’existe pas.

Il n’y avait pas grand monde dans cet endroit. Si ce n’est que deux autres personnes sur qui elle avait une vue, derrière Aevil. Une jeune femme qui ne lui était pas étrangère, mais aussi un homme fort charmant lui aussi. Tout le monde devait être sur la place, à admirer le jeune Louis1er se faire torturé par le Maître Basilisk. Que de cupidité dans ce bas monde !

La donzelle, qui avait été perdue dans ses pensées, secoua légèrement la tête afin de reprendre ses esprits. Elle retourna alors son attention vers Aevil.

Excusez moi pour ne pas m’être présentée. Je m’appelle Rodrielle. Enchantée.

La belle avait incliné la tête en signe de politesse. A présent, seul un simple sourire se dessinait sur son visage. Il fallait qu’elle fasse attention à tout ici et dès maintenant, la moindre erreur pouvait être fatale avec ce genre d’homme. Mais Rodrielle le trouvait déjà intéressant.

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---fromFRAevil Snowdeaths
Aevil n’était pas crédule, elle avait utilisé son nom associé à son pseudonyme d’assassin. Or il avait toujours pris soin de ne jamais faire correspondre les deux. Il utilisait toujours des faux noms lors des rencontres avec ses clients ou simplement à partir du moment ou il était en contrat. De même que Aevil n’était pas son véritable nom, il était certains que la jeune femme lui cachait quelque chose. Avait-il eu déjà des rapports avec cette Dame ? Il n’avait aucuns souvenirs d’elle dans sa mémoire. Et pourtant le fait qu’elle est pue faire cette association révélait le contraire.

Ainsi Dame Rodrielle vous me connaissez de réputation, dit-il en souriant.

L’assassin rengaina son arme, prenant une posture décontracté, du moins en apparence, de cela il n’y avait aucun moyen ,d’un point de vue extérieur, de le penser sur le qui-vive. L’illusion avait une place importante dans son travail, et ses maîtres l’avaient entrainé à ressembler à ce qu’il souhaitait. Ainsi pour le moment face à la jeune femme, il paraissait détendu et calme. Sa voix s’était radoucie, ses yeux l’instant d’avant froids et cruels étaient désormais pétillants et séducteurs.

Désoler d’avoir était un temps soit peu soupçonneux, déclara-t-il d’une voix douce, mais si je ne l’étais pas un minimum cela ferrait longtemps que les vers danseraient sur ma dépouille, rigola-t-il.

L’homme posa ses coudes sur le table et croisa ses mains dans une attitude d’un moine priant. Il posa sur la Rodrielle un regard interrogateur.

Alors ma Dame, commença Aevil, quels sont les soucis qui vous accablent pour avoir besoin de trouver des alliés ainsi que l’aide d’un assassin ?

L’assassin attendit la réponse de la jeune femme délaissant son verre de vin, ou plutôt le jus de pied se faisant passer pour du vin.
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La mort prend bien des visages mais le miens revient souvent.
---fromFRYaha
Léger pincement lorsqu'elle déclina l'invitation de balade... Normal me direz-vous, elle attendait ce Yaha. Si elle savait...

Connaît-il les Azzuro ? La belle question...
Il les connaissait, ou pas ? C'était fort probable en effet, ou du moins suffisamment pour pouvoir déclarer que leur quartier était le repère d'infortunés sans que jamais personne ne soit venu les déloger. Ça, c'était ce qu'il devait dire, après, bien sûr qu'il connaissait les Azur, comment ne pas connaître ceux pour qui on travaille ? A moins d'être complètement abrutis, et encore...


" Je connais cette famille, ou ce clan, je ne sais trop. Mais très peu... Enfin... suffisamment pour pouvoir dire qu'ils ne sont plus rien à l'heure actuelle. Dommage, mais bon, il y aura bien un fou ou deux pour reprendre leur quartier! J'connais vaguement la donzelle qui est actuellement en tête des troupes.Légère pause et il fit mine de chercher à se souvenir de l'identité de la femme en question. Comment elle s'appelle déjà... Elle s'fait surnommer Rose, ou quelque chose du genre... Ah! Mona... euh, Morna, pardon. "

Sur ces quelques mots à peine ajoutés le jeune homme avala une nouvelle gorgée de sa boisson puis fixa un bref instant l'Oiselle à qui il faisait le roue. Un paon, voilà à quoi il jouait le bougre.
Sa maistresse avait quelques goûts côté connaissances, il fallait l'admettre. Néanmoins elle n'avait pas l'air décider à lui accorder une danse et le plaisir de l'accompagner au dehors. Mais il ne s'annonçait pas vaincu pour autant, loin de là même.


" Tu attends donc quelqu'un... J'espère ne pas être de trop... Peut-être puis-je te donner t'aider ? Une charmante demoiselle dans ton genre ne devrait pas errer seule icilieu... ce n'est guère prudent avec les fols qui grouillent... "

Il devait trouver un moyen de la faire sortir de cette taverne. Pourquoi cela ? Il préférerai être dans le calme paisible d'une ruelle isolée pour bavarder avec la Belle. De plus il y avait bien trop de monde pour pouvoir faire plus ample connaissance. Certaines têtes ne lui revenaient pas, aussi il n'était pas prudent de révéler quelques petits détails au sujet des Azurs. Il serait fâcheux que certains se mettent en tête d'aller donner une racler aux membres restant.
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