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[RP] Taverne le Rat Crevé

---fromFRRodrielle
Rodrielle n’était pas dupe, ce changement d’attitude soudain cachait quelque chose et sûrement une méfiance envers la belle. Qu’avait-elle fait comme erreur ? Son nom ou son surnom ? Cela était possible, mais beaucoup de personnes pouvaient être au courant… Ou presque.

Aevil posa alors ses coudes sur la table, le rapprochant donc de la donzelle qui ne le quittait pas du regard. Il n’avait pas l’air de la reconnaître. Il n’avait pas fait attention à elle depuis tout ce temps. Pourtant elle avait été présente, presque tout le temps. Aevil ne se souvenait pas de cette jeune fille, sur les terres étrangères, qui se baladait souvent avec un garçon qui possédait de nombreuses ressemblances avec lui. Aevil ne se souvenait pas de ce regard de peur et de ces cris assourdissants lors de ce combat si brutal, mais Rodrielle s’en rappelait et jamais elle ne l’oublierait.

Aevil lui posa alors cette fameuse question. A cet instant, le regard charmeur de la belle se transforma en un regard empli de colère. Elle posa alors ses avants-bras sur la table et s’appuya dessus. Elle n’avait pas envie que tout le monde entende ce qu’elle avait à dire. Son visage était très proche de celui de son interlocuteur…


Des commerçants, ou plutôt des fraudeurs devrais-je dire, ont occupé la demeure en face de la mienne. Ils vaquent au trafic d’enfants, des orphelins, ils les vendent à je ne sais trop qui pour en faire des pauvres esclaves… Et tout cela à coté de leurs ventes illicites bien entendu !

Elle stoppa son récit lorsque les souvenirs lui revinrent. Ces pauvres enfants… Elle bût alors une gorgée de vin –pas si mauvais que ça d’ailleurs- puis se lécha les lèvres avant de reprendre…

Bien entendu, j’ai essayé de les arrêter mais ils sont bien trop nombreux et seule je ne peux les vaincre. Les résidents du quartiers, en plus de cela, ont trop peur pour dire quoique ce soit. Ils sont forts. Et à cause de ma rebellions, ils mettent des hommes à mes trousses. Je suis poursuivie et attaquée plusieurs fois par semaine… J’ai de la chance de n’avoir personne à mes trousses maintenant !

Votre contrat donc, aurait pour but de tuer le meneur de ce groupe. Vilbrok est son nom, si cela vous est utile. S’il est mort, les autres prendront peur… J’en suis certaine !


La haine brillait dans ses yeux éclairés par la faible lueur de la bougie. Rodrielle aimait les enfants, et leur faire du mal la mettait hors d’elle. Son poing était crispé sur la table, elle ne pensait plus à la personne en face d’elle…
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pour les orphelins recherchant demeure et protection: http://plantagenet-d-azayes.forumzen.com/index.htm
Zalina
[au comptoir, près du beau géant aux yeux bleus]

Buvant tranquillement son troisième verre de Calva, Zalina n’avait d’yeux et d’ouie que pour Victor. Ignorant ce qui se passait à la table du fond, elle n’avait pas prêter plus attention que cela aux derniers arrivants. Seul comptait l’allusion au quartier des Azurs par son bel inconnu. Pourquoi avait il prononcer ce nom alors qu’il y avait tant de quartiers à la Cour ? Enfin, à sa dernière visite rapide du moins. Mais cela remontait déjà à plusieurs années.
Peut être avait il des nouvelles de son amie ? Leur correspondance avait été très très rare, et c’est encore en dessous de la vérité, depuis cette petite visite.

Sauf que là, les nouvelles qu’on lui donnait n’étaient pas rassurantes. Et Morna était désormais la Chef de Famille ? Oula. Ca promet. Zalina ne put retenir un petit rire en imaginant son amie d’enfance mener toute sa troupe à la baguette. Sacrée Morna…
Elle lui manquait plus qu’elle ne l’avait pensé en venant dans le coin.
Mais il était maintenant clair que le Gentil Victor ne connaissait pas la Rose. Pas parce qu’il le disait. Mais parce que toute personne connaissant les épines de la Rose en question savaient qu’elle ne laisserait jamais personne toucher à son quartier, fous ou pas.


Tu connais vaguement Morna ? Où l’a tu rencontré ? Elle va bien ?

Oui la Zaza aime poser des questions. Les poser restant le meilleur moyen pour ne pas laisser le temps à son interlocuteur d’en poser à son tour. Et donc ne pas avoir à y répondre sans se montrer malpolie.

M’aider… j’en sais trop rien. Si tu connais vaguement Morna, peut être.
Tu sais à quoi ressemble Yaha ?


Donner ainsi le nom de la personne qu’elle attendait n’était pas très prudent. Mais n’ayant que son nom, elle espérait qu’en l’entendant cela ferait tilter quelqu’un. Pourvu que ce ne soit pas l’homme assit à la table du fond avec la dame. Elle préférait largement discuter avec Victor qu’avec cet individu.
D’ailleurs, à y regarder de plus près, la dame ne lui semblait pas inconnue… Mais ce n’était pas possible, Morna lui avait dit que leur ancienne infirmière de choc avait disparue. La ressemblance était pourtant frappante… Instinctivement, les doigts de Zalina vinrent jouer avec le pendentif de jade qui ne quittait jamais son cou. Puis elle reporta son regard sur son charmant interlocuteur.
Le pauvre ne savait toujours pas son nom. Pas plus qu’il ne se doutait qu’elle était justement dans le coin dans l’espoir qu’un de ces fols lui plante une dague en plein cœur.


Pardon, j’en ai oublié de te donner mon nom. Lina.
Et tu n’es pas de trop, du tout.


Allez savoir pourquoi, la fin de sa phrase fut ponctuée par une poussé de rouge aux joues qu’elle tenta de dissimuler en finissant son verre cul sec.
---fromFRRodrielle
La discussion fut longue et intéressante malgré la réticence d’Aevil à croire la demoiselle. Et il avait raison de garder ses distances. Il ne se rappelait pas, il ne le pouvait pas de toute façon. Mais Rodrielle avait tout gardé en mémoire… Le regard qu’elle lançait à cet homme était si insistant… Alors qu’il n’avait rien eu à voir avec ce qu’il s’était passé il y a de nombreuses années maintenant.

Quelques heures durent passées avant que les deux personnes ne se lèvent et quittent la taverne. Ils marchaient le long des ruelles de la Cour, sans prononcer un mot. Que devaient-ils dire finalement ? Même Rodrielle n’en avait aucune idée.
Le temps était frais et la nuit était maintenant bien avancée, les étoiles éclairaient cette ruelle faiblement.

Arrivés à un croisement de rues, les deux personnes s’arrêtèrent. Il était temps pour eux de se séparer. La donzelle se mit face à Aevil et lui fit un charmant sourire.

Prévenez-moi si vous acceptez ce contrat. J’aimerai bien avoir votre aide et, qui sait, faire plus ample connaissance avec vous… Au plaisir de vous revoir très cher !

[i]Clin d’œil complice, la belle s’inclina face au jeune homme puis s’approcha de lui lentement, les yeux dans ceux les siens. Elle posa sa main délicatement sur la joue d’Aevil et lui offrit un simple baiser de ses douces lèvres avant de se reculer et de partir avant que l’homme ne réagisse.
Il fallait maintenant qu’elle retourne au quartier des Basilisk, quelque chose lui disait qu’on avait besoin d’elle là bas…

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Edhel
Un courant d'air balaya soudain la salle, laissant entrer la puanteur de la rue que la chaleur accentuait de plus belle. Personne n'avait eut l'air d'entrer, une serveuse goguenarde balançât un coup de pied dans la porte qui claqua dans un raffut infernal, faisant trembler la bâtisse.

Et pourtant un taré de plus avait mis les pieds dans cet infâme bistrot, une entrée ambiguë comme on en fait plus, lui invisible et pourtant l'histoire de la porte que même le Roy avait du entendre, oui vraiment un taré de plus...

Il était là, assis dans son coin comme s'il faisait partit des murs, vêtu d'une sorte de bure grise tellement sale qu'elle avait dut essuyer a elle seule toute la Cour des Miracles, son barda encore sur l'épaule. On aurait plus dit qu'il s'apprêtait a sortir plutôt qu'il vienne d'entrer, les yeux aux aguets, ne manquant pas une miette de ce qui se faisait et de ce qui se disait...

pnj
La rousse pénétra dans la taverne à la suite d'un homme aux allures louches, quoi que pas plus louches que les siennes...
Elle avait du se faufiler pour ne pas recevoir un coup de pied de la serveuse à l'origine, sans doute, destiné à la porte grinçante.
Mellusine avait ses longs cheveux roux en bataille, tout emmêlés et sales...
Elle avait aussi un peu déchiré ses jupons orangés en descendant des toits. Mais enfin, à la cour, ça n'est pas pour ça qu'on la jugerait...
Elle s'approcha du comptoir, les mains tremblantes et les dents claquantes malgré ses mâchoires acérées.
Elle pris sa commande, d'une voix éteinte et sèche.

Deux verres d'eau de vie, et des grands...

Une fois servie, elle balança sur le comptoir quelques pièces, et alla siroter ses verres plus loin, dans un coin de la pièce, le dos contre le mur.
Elle regardait avec amour le liquide contenu dans ces deux cylindres de verre... Ah! Que cela lui faisait du bien, que cela était bon d'être soule, inconsciente! Que l'alcool était chaud dans sa bouche...
Au bout d'une moitié de verre, ses mains redevinrent stables, ainsi que ses mâchoires, et la folle eue tout le loisir d'observer les jeunes gens du bar.
C'est un homme en particulier qui l'intrigua. Il était grand, sveltes, blond, et aux yeux bleu azur... En bref, le physique type exact des ciel azur! A un détail près qu'elle ne l'avait jamais vu...

Mellusine se décolla violemment du mur, très féline, comme à son habitude, elle s'approcha de l'homme, tout en finissant cul sec son premier verre. Arrivée à destination, elle fracassa celui ci sur le comptoir, en signe de "bonjour, je ne vous connais pas, mais je ne vous porte déjà pas dans mon coeur!".

Oups! Désolée de vous importuner ainsi! Elle attrapa un tabouret qui traînait là et s'assise dessus, puis entama son second verre
Si vous dérange, dîtes le moi surtout!
pnj
La porte s'ouvrit sur un homme étrange,ou plutôt deux homme emprisonner dans le corps d'un.cette homme c'était le plus grand phénomène de foire de la france,c'était quintus et mutus l'homme a deux tête .mutus parraisait "normal" jusqu'au début du cou où se dressait un autre cou orienté dans la direction opposé,s'était quintus.l'homme , ou les hommes, marchèrent
en direction du comptoir.ils s'assirent sur un banc et regardèrent les clients. une coupe d'assassin et de vieux saoulons agrémenter de rousse hystérique briseuse de verre...et après on disait qu'il était un monstre!!!mutus rit légèrement.

un bière s'il vous plait.
dis t'il
pnj
Mais voilà t'il pas qu'un être bien plus intriguant pénétra dans la taverne. Il semblait avoir deux têtes, mais peut être était simplement une illusion due à l'alcool? Qu'importe, elle en bu une autre gorgée!
Ce tournant vers l'homme aux yeux azur et la belle femme qui l'accompagnait - Oui, une très belle femme même! Peut être accepterait elle quelques avances d'une vieille catin comme elle? - elle déclara, la voix teintée d'euphorie:


Je vous laisse une minute, mais ne m'oubliez pas surtout!

De son pas le plus élegant et le plus desirable, faisant rouler ses hanches et cambrer son dos, poitrine en avant, elle s'approcha de l'homme, étonnant!
Elle s'assise à son côté, sur le banc miteux, et posa son verre devant elle.
Les messieurs venaient de commander UNE bière, étrange, vu qu'ils avaient deux têtes!
Enfin, eux au moins ça se voyait qu'ils étaient deux dans un seul corps!
Se donnant des allures de seductrice, la rousse, déjà bien ivre, pris la parole:


Charmant, vraiment, vous, ou tu, êtes charmants! Elle toussota et fini son verre, puis s'accouda sur la table, les yeux vitreux
J'm'appelle Mell, je t'offre un second verre, ça pourrait vous être utile, non?
pnj
quintus,la tête arrière, se tourna vers la femme qui arrivait.
hé, mutus ya une rouquine qui arrive!!
tu peut pas passez 5 seconde sans me faire chier?
répliqua mutus.
t'est pas sympa mutus!!j'essaye juste de t'avertir qu'il ya une...
...rouquine qui arrive!!! je sais,je suis pas sourd!!!
n'empêche mutus se demandez bien se quelle pouvait bien lui vouloir...
le voler?pas de chance pour elle il n'avait pas un denier dans ses poche.
couper la tête de quintus?trop beau pour être vrai.
le tuer?c'était même pas un problème.
le...

mutus tu m'offre une bière?
alors la quelle boulet!!l'interrompre pendant ses réflexions!!! il allait lui lancé une réplique cinglante lorsque que la femme s'assit en se présentant et lui offrant un autre verre.pourquoi pas, ça allait peut être calmer quintus.il allait accepter lorsque que quintus lança:
BOU!!!!
la rousse ne fit rien.
BBBBBOOOOOOUUUU!!!!!
la femme ne broncha pas.
hé la rouquine j'ai dit BOU tu dois avoir peur!!!sinon je vais te...
la s'en était trop!!!!mutus donna un coup de tête au moins que rien qui lui servait de frère.il se retourna vers la femme
ne faite pas attention a lui c'est qu'un raté hyperactif.
pnj
La rousse les regarda faire. Ils étaient attendrissants ces deux là, à sans arrêt se chamailler! Et l'un d'eux essayait même de lui faire peur!
S'il savait, elle en a vu d'autres bien plus effrayants, et pas besoin d'avoir deux têtes pour ça!
Elle sourit comme elle n'avait pas sourit depuis longtemps! Son visage s'illumina, et elle paru plus fraiche et plus jeune.
Deux parenthéses apparurent de part et d'autre de sa bouche.
Elle était rayonnante, ces deux là lui faisait penser à son fils, en plus aimable!

La rouquine, cela faisait un bail qu'on ne l'avait pas appellé ainsi!
Et il se pris un monstrueux coup de tête qui fit grimacer Mellusine.
L'autre pris alors la parole, il avait l'air plus sage, et plus averti que son frère. Pourtant, il semblait étrange qu'ils soient différents l'un de l'autre, alors qu'ils ont du être forcé de vivre exactement la même vie!

La "rouquine" donc, s'affala un peu plus sur la table, et commanda une bière en gueulant. Celle ci arriva donc bien vite.


Voilà la bière, maintenant, dîtes moi, quels sont vos noms?
Oh, et puis, pour information, ce n'est pas un adolescent à deux têtes qui me fera peur avec des BOUH!

Elle sourit de nouveau, affectueusement, puis elle porta une main au visage du donneur de coup de tête. De son pouce, elle lui caressa la joue.
Comme ils étaient tendres, jeunes.... Ahhhh.... Ca aurait été pour elle, il y a quelques années de cela...
pnj
mutus prit la bière que la rousse lui tendait et en but un gorgé.
hé, mutus je crois quelle est a moi cette bière.
hasarda quintus.
attend pour de vrai?je n'en savais rien.
mutus reprit une gorgé de la bière sans faire mine de la tendre a quintus.il se retourna vers la rouquine.
moi ses mutus l'autre pas beau c'est quintus.et,si je puis me permette vous n'avez pas vraiment l'aire d'un habitant de la cour des miracles.ou je me trompe?vous étent assassin?voleuse?ou un autre métier de se genre?
mutus l'examina de la tête au pied.elle n'était vraiment pas le type de femme qu'on voyait a la cour.s'était a se demandé si elle venait vraiment de la cour.il allait lui posé une autre question quand quintus lui dit d'un ton plus sérieux:

mutus ses l'heure.
a déjà?je croyais avoir le temps de boire un verre.
dit mutus.
pas grave mutus,ta vu les gibiers de se soir!des vrai déchet.
mutus hocha la tête et se tourna vers mellusine
on va faire nostre chasse nocturne,vous voulez venir ?ses trés plaisant vous savez .
Zalina
La révélation de son nom avait dut être un choc pour son compagnon de beuverie. Il en restait sans voie depuis plusieurs minutes.

M’sieur Victor ? Tout va bien ?

Pas de réponse… Avait elle dit une bêtise ? Quelque chose qui ne fallait pas ?
Elle n’eut pas le temps d’approfondir la question. Ce fut encore la valse des entrées dans cette taverne. Dont une rousse déjà aperçue il y avait des années. Celle là, c’était une Azur et elle saurait sûrement où trouver Morna.

La Dame s’approcha du bel endormi. Mais la Peste n’eut pas le temps d’ouvrir la bouche pour la saluer. Le fracassement du verre l’arrêta. La Dame n’avait pas envie de faire cosette gentiment. Peut être pas le moment de rentrer dans la conversation entamée avec l’endormi. On va attendre un peu.

Puis l’arrivé d’une drôle de bête… à deux têtes ?
Non décidément ce troisième verre de Calva… ce n’était pas une bonne idée du tout.
Quatre, çà irait mieux. Sûrement.
Elle commanda un autre verre et écouta discrètement la conversation des deux-trois voisins de comptoir.
pnj
mutus senti que quelqun les regardais lui et quintus.quoi?elle n'a jamais vu un ados deux tête, elle??mutus ricana,elle était tombé sur la mauvaise personne a dévisagé.se qui était plaisant quand on était siamois ses qu'on possédait le même réseaux de nerf et par conséquent mutus pouvait observait la femme a travers les yeux quintus sans même que celui ci ne la regard.elle n'est pas belle la vie?!
sa t'amuse de me/nous dévisagé comme ça??tu pourrait au moins me regardais en face,ses quand même pas si dure, j'en est deux!!
dit mutus sans même la regardé
en passant ta une tache de Calva sur le menton tu devrais pensé a l'essuyé!!
dit-il toujours sans la regardé.
je lis en toit comme je lis dans un livre!!
dit mutus avec cette air suffisant qu'il amait affiché.ces pensé vagabondère un instant sur une autre réplique intelligente et parfaite comme lui mais juste quand il avait trouvé, quintus ,sur un ton de voix stupide et teinté d'inculture, dit:
heu...mutus tu ses pas lire....
mais...mais...juste quand j'allais dire ma réplique a tout cassé!!!foutu parasite dorsale!!tu est comme une bouse qui aurait poussé sur une fleur!!!
premièrement les bouse sa pousse pas comme ça!et deuxièmement s'Il ya une fleur ces moi!!
quoi?!toi une fleure?!ta même pas pu tuer L'assassin hier!!
ses pas vrai!!!
si ses vrai!!
non!!!
si!!!
non!!!
...
Jadeeleonore
Une ombre s'approche, silencieuse, fantomatique, lente... Doucement elle pousse la porte de la taverne, entre... ce n'est pas une ombre, simplement une jeune fille dont le visage et le corps sont cachés dans une longue cape accrochée d'une capuche noire. Elle semble ne faire attention à rien, plongée au plus profond de ses pensées... Qu'est-ce qui l'avait conduit là? Sans doute, la puanteur, la crasse, l'ombre et la mélancolie qui s'accrochait sans cesses à ces lieux. Au moins elle n'aurait pas affaire à la beauté du monde qui lui lacérait sans cesse les yeux et le corps... ici, elle se sentirait chez elle, comme autrefois... Rien ne la trouble, elle ne regarde personne et semble passer ineperçue. Elle s'avance enfin après s'être imprégnée de l'ambiance des lieux, va s'asseoir dans le coin le plus sombre de la taverne, passant devant les différentes personnes atablées sans les voir. Elle s'installe et quand le tavernier daigne enfin s'approcher de son air vascillant, une voix sombre mais douce s'élève de sous la capuche...

donne moi ce qui te sert d'alcool fort... la bouteille directement et un verre... et puis laisse moi...

L'homme la regarde d'un air bizarre... c'est tout de même bien une femme... et qui va se saouler... Tant pis tant qu'elle paye c'était pareil. Et justement elle lui tandis deux pièces d'or. C'était parfait, du coup la bouteille et le verre arrivèrent plus rapidement. Silencieuse, elle avait attendu que le tavernier ne s'éloigne. Elle libére ses mains de sous ses longues manches, des mains fines, pâles, toutes griffées à sang, les ongles maculés de sang... étrange spectacle... Elle se sert un verre d'alcool et le boit cul sec. Projetant sa tête en arrière pour boire l'entièreté du verre, son visage et ses long cheveux noirs se libèrent enfin de sa capuche. Derrière ses mèches noires, un visage pâle, aminci, des joues griffues sur lesquelles règne du sang sèché, une longue entaille peu profonde passe du travers de son front vers le milieu de son oeil droit pour finir sur sa joue; ses lèvres sont craquelées, mordues à sang elles aussi... Son cou reste caché sous la cape et le drapage de la capuche. Ouvrant les yeux après avoir bu son verre, elle observe enfin la pièce d'un regard vide, empli d'une mélancolie profonde et sans fin, de grands yeux noirs, envoutant dans lesquels se perdrait n'importe quel passant pour finir dans le néant...

Jade faisait son retour à la cour des miracles... complètement changée...
[/i]
Edhel
Edhel n'avait pas perdu une miette de tout ce qui s'était passé depuis son entrée fracassante. Un bonhomme, petit et rondouillard, qui avait succombé aux attaques de l'alcool, sa tête s'aplatissant sur la table, il ronflait bruyamment depuis. Aussi ce couple étrange, qui avait quitté la taverne, en cherchant à être discret, par la porte de derrière, laissant un gras pourboire doré au tavernier qui avait sourit malicieusement. D'autres détails, mornes et pourtant si banales en ces lieux.

Bien sûr Edhel n'avait pas manqué l'entrée à sa suite d'une jeune femme rousse, suivit après ça par un gugusse à deux têtes, à deux esprits, dans le même corps... Ces deux (ou trois) là discutaient, ils semblaient se connaître puisque cela avait été si naturel, mais à en juger par leurs dires ce n'était pas le cas.

'' Mmh, une chasse nocturne, allez savoir que sont ses proies, des bourses peut être ? ''
'' Heu... des bourses sanglantes plutôt, il a moins l'air d'un voleur que d'un joueur de coutel... ''
'' Sans doute prive t-il ses victime de ce que lui a en double. ''
'' Cela se pourrait, en effet... ''


Il s'enfonçait plus encore dans ses multiples pensées, avant que son œil, encore en action, ne soit attiré par une silhouette chancelante se découpant près du comptoir, le bras posé prés de quatre verres, du calva. Le siamois là héla, dérangé par son regard intrigué, avant de s'en prendre a son frère, se qui donna lieu à une dispute de proximité.

Se glissa alors dans la taverne une ombre légère et spectrale, comme le souffle d' une brise en hiver. Edhel sentit son calme avant de voire son image, quasi invisible, mais il perçu la mélancolie à travers tous les pores de sa peau. Elle avançait, lové au plus profond d'elle même, le corps aux aguets, rempart d'un esprit au loin. Il la regarda s'asseoir et lui aussi décida de prendre une chaise sur laquelle il s'accroupit, recroquevillé. Les bras autours des genoux il se rongeait l'ongle du pouce. Son regard d'eau et d'acier s'abreuvait des moindres détails de la frêle silhouette, notant tout dans son esprit. Il sourit lorsqu'elle rejeta sa capuche, au couleurs de sa peau il se rappela que lui aussi avait plu la teint te de la pierre que celle du soleil. En voyant les marques de sang qui couraient le long des bras de la jeune fille, Edhel sentit un frisson lui remonter la colonne, comme une multitude de doigts glacés.

Au moment où elle leva son regard vide, Il détourna la tête et fixa ses propres mains, jouant de ses doigts arachnéens, du coin du regard, il la regarda scruter la salle.

'' Un tel regard. Un tel calme. Et pourtant je sens... ''
'' Une profonde tristesse. ''
conclut son âme...
pnj
une fille avec un regard a faire frire un bœuf rentra dans la taverne.mutus et quintus frissonérent a un tel point qu'ils arrêtèrent leur dispute.puis mutus s'aperçut qu'un petit bonhomme le regardait,du moins jusqu'à temps que la fille rentre.
m'enfin qu'est que vous avez a tous me regardez!!qu'est que j'ai de si spécial!!
ta deux tête.
quintus!!tu est de leur bord?!
je suis pas du tiens ni du leurs.je suis sur mon bord.
ouai,ton bord sale qui pue!!
conclu mutus.il se retourna vers mellusine.elle avait pas trop l'air dans son assiette.quoi?elle aime pas la chasse?mais ses bien la chasse!!tu coure sur des toits après des saouls,tu les tue et tu rapporte leur cadavre a des rigolos paranoïaque qui te paye beaucoup d'argent pour que tu t'amuse.
mellusine??vous allez bien??
elle a surement pas prit assez d'alcool...
mutus réfléchie un instant.
bonne idée quintus!!il faut lui donnez plus d'alcool!!
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