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[RP]Puisqu’on vous dit que c’est fermé, mortes couilles !

Rix
Rix avait réuni quelques amis, Jargorois, et même Hydre, devant la taverne du Jargor. Enfin, ce qui ressemblait de plus en plus à sa famille. Il y avait sa légitime, l’illégitime de sa légitime et forgeron de surcroit, son illégitime à lui, elle-même légitime du vieux breton et de la blonde hydreuse, le légitime de la légitime de son illégitime et son fils adopté avec sa légitime. Il y avait encore Bastienz et quelques autres, qui ne tarderaient pas à légitimer eux aussi leur appartenance au cercle familial, illégitimement ou pas, mais qui pour l’heure campaient sur leur position légitime de rester des célibataires endurcis.

-Bon, mes lapins, vous ne laissez personne entrer dans la tav, hein ? Et surveillez les alentours, je ne veux pas d’oreilles indiscrètes.

Rix avait eu une idée fumante : installer provisoirement le Jargor à Villefranche, revenir sur les lieux du crime en quelque sorte, mais dans un registre parfaitement inoffensif. Les vilains pas beaux allaient devenir d’honnêtes citoyens, de braves forçats de la mine, de respectables artisans, d’humbles gueux. Bon, puisque l’on parle d’honnêteté, il s’agissait surtout de réunir leurs butins, après une campagne à l’Ouest particulièrement réussie, et d’investir. De fabriquer des charrettes aussi. On avait le fer, on avait le bois, plus qu’à se cracher dans les mains et hardi petit !

Et puis les rats ayant quitté Rodez depuis longtemps, rien ne semblait empêcher de repartir du bon pied avec les Rouergates.

Evidemment, l’arrivée des lances du Jargor avait créé un certain émoi. En mairie comme au château. Alors Rix s’était fendu d’un premier pigeon à l’adresse du Comte du Rouergue, amusé et provocant, puis ils avaient tous deux continuer à échanger des trucs en plumes, entamant une négociation lente et fastidieuse. Seulement, un décret autant menaçant que grotesque était venu gâcher tout ça, un maire aussi, la bave à la commissure des lèvres. La situation s’était tendue. Rix ne s’en faisait pas plus que ça, il savait le Jargor assez puissant pour couper court à la conversation et botter le cul de tout le monde hors de la mairie de Villefranche, et même du château. Mais il avait décidé de rester pacifiquement en Rouergue, et il était têtu.

-Euh…. Vous laissez entrer le Lord, bien sûr, et soyez accueillants, un large sourire et une tape sur les fesses suffiront !

Le comte avait finalement décidé de venir à Villefranche et de juger de la situation. C’est pourquoi Rix lui avait proposé de le rencontrer en taverne, au secret, pour continuer la négociation.

-Bien, je vous laisse, je vais l’attendre à l’intérieur, devant quelques bières. Ne soyez pas sages, mes lapins.

Il embrassa sa légitime, son illégitime, le fils de sa légitime, il serra la main de l’illégitime de sa légitime, tapa sur l’épaule du légitime de la légitime de son illégitime, chercha des yeux les légitimes de cette dernière, salua les autres et, légitimement convaincu de n'avoir oublié personne, il entra dans la taverne du Jargor et fila derrière le comptoir se remplir une chope.
Lordmick
Lord se tapait des mirgaines phenomenales à Rodez dans les bureaux de son Castel quand il apprit par ses espions que de veille connaissance etait revenu. D'ailleur pas que lui le savait deja de partout ca envoyait des missives et criaient aussi.

Comme si j'avais que ca à faire tiens manquait plus que ça... Je te jure je te mettrais bien des coups d'épée de partout au moins ca me defoulerait.
Comme on est jamais mieux servit que par soit même il scella un cheval et parti voir ce qui se passait à VF directement avec une escorte car on sait jamais les chemins sont pas sur et puis il est Comte apres tout faut bien profiter du peu de privilege qu'il a...

Il etait la ayant recu une missive de Rix lui indiquant ou le rencontrer pour tailler une bavette et negocier ce que l'on peut alors tant cas faire allons au plus rapide. Il se rendit donc sur les lieux et vit un comité d'accueil sur place devant l'antre.

Il se tourna vers ses soldats.


Bon les filles je sais que ca demange tous le monde de se faire une brochette partie mais la on se regarde le blanc des yeux et on reste sage.
Il descendit du cheval et le donna à un palfrenier puis passa devant ses gardes avant d'arriver devant les membres du Jargor mais au moment ou il alla entrer une voie l'interpella.[i]

edit 3/10

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Bastienz
Couché du soleil, arrivé de l'obscurité, l'heure du rendez vous s'approchait. Un rendez vous avec le Comte du Rouergue. Pas que le Rouergue était un comté important mais quand même. Le Jargor prenait de plus en plus d'importance chaque jour passant ! Ils auraient bientôt une renommé international, qui sait ?

Enfin bon, pour l'instant, son rôle était de jouer les vigiles. Ils étaient plusieurs à être venu sécuriser leur taverne. D'autres devaient sûrement patrouiller dans la ville à la recherche d'agissements suspects. Un coup fourré était toujours envisageable.

Des bruits, une petite escouade. Le Comte arrivait pile poil à l'heure. Bon, avec quelques soldats mais Bastienz ne doutait pas une second de pouvoir se les faire avec les autres. Tout seul, ça aurait été un peu compliqué. Et il n'avait pas particulièrement envie de mourir avant d'être un peut plus connu. C'était pas le moment de jouer au héros !

Une silhouette approchait, laissant les autres à l'autre bout de la place.
Le Comte allait entrer quand Bastienz l'interpella, assis sur le toit de la taverne :


Hé, mon chou, tu t'es cru ou ? !
Tu pensais pouvoir entrer comme ça impunément ?

Un saut, atterrissage parfait entre le Comte et la porte de la taverne.

J'vais t'expliquer les règles puis ce que tu sembles les avoir oublié.

-De un, tu me refiles ta ceinture avec ton épée et son fourreau. Elle sera en sécurité avec moi !

-De deux, tu me refiles le poignard que tu caches ! Et prestement, sinon tu vas y aller en culotte à ton rendez vous !

-Et de trois, tu te laisses fouiller. T'inquiète pas, on sait que tu es douillet, ça se fera en douceur.

Et pas de discussion ! Il t'attend alors fait ce que on te dit !

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Autoproclamé " Champion du Jargor"
Lordmick
Lord s'appreta à rentrer dans la taverne quand une voie venant du toit l'interpella comme si ils avaient elever les cochons ensembles. Il leva les yeux et vit un bellatre se la jouer equilibriste venant se placer entre lui et la porte de la taverne.

Bon on va reprendre dans l'ordre oublie pas que tu es la ou calmer les choses Lord mais bon on est pas chez mémé non plus....


Citation:
Hé, mon chou, tu t'es cru ou ? !
Tu pensais pouvoir entrer comme ça impunément ?


Dis la donzelle je connais une troupe de troubadour qui pourra jouer avec toi si tu aimes la proximité masculine pour ma part je prefere les dames elles ont de plus belle courbe que les tiennes et vu que l'on a pas ete eleve dans la meme etable tu garde tes familiarites pour tes copines...
Un saut, atterrissage parfait entre le Comte et la porte de la taverne.

Il le regarda avec un sourire en quoi et se dit que finalement tout allais pas etre aussi calme que ca...

Citation:
-De un, tu me refiles ta ceinture avec ton épée et son fourreau. Elle sera en sécurité avec moi !
-De deux, tu me refiles le poignard que tu caches ! Et prestement, sinon tu vas y aller en culotte à ton rendez vous !
-Et de trois, tu te laisses fouiller. T'inquiète pas, on sait que tu es douillet, ça se fera en douceur.
Et pas de discussion ! Il t'attend alors fait ce que on te dit !


Et ben tu dois etre le plus intelligent de la bande tu sais au moins compter jusqu'a trois pour ca qu'il ta mis la ton chef non?

Donc tu disais de un si tu veux ma ceinture avec mon épée faudra venir la chercher toi meme et je pense pas que tu es droit a la douceur de tes amis quand il te caresse la nuque, de deux si tu veux plus d'intimite avec moi faudra que tu manges un peu de soupe et alors que tu demandes à tes amis de venir t'aider et de trois les seuls personnes qui sont autorisé mettres les mains sur mon corps sont feminine et toi meme si tu en as les allures tu as trop de poil à mon gout, alors tu dis a ton chef que je poserai mes armes quand je serai face à lui vu que je sais pas ce qu'il ya dedans et suis pas né de la derniere etoile donc.

J'ai une parole je lui es donné il l'a j'ai pas pour habitude de m'y deroger. Donc soit un bon chien de garde et va le prevenir.


Il le regarda droit dans les yeux et posa sa main sur son pommeau pret à agir au cas ou le jeune aurait une idee bizarre lui passant derriere la tete.
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Lograinne
Lograinne fiston adoptif du chef de ces deux beaux mètres avait tout entendu de la conversation. Il avait bien apprécier la pirouette de Bastienz.

Mais alors que la procédure nécessaire de sécurité était déclamé avec force verve par le Jargor.
Le pseudo Comte tenta une argumentation légère a opposé a l'homme qui gardait la porte.

Citation:

Donc tu disais de un si tu veux ma ceinture avec mon épée faudra venir la chercher toi meme et je pense pas que tu es droit a la douceur de tes amis quand il te caresse la nuque, de deux si tu veux plus d'intimite avec moi faudra que tu manges un peu de soupe et alors que tu demandes à tes amis de venir t'aider et de trois les seuls personnes qui sont autorisé mettres les mains sur mon corps sont feminine et toi meme si tu en as les allures tu as trop de poil à mon gout, alors tu dis a ton chef que je poserai mes armes quand je serai face à lui vu que je sais pas ce qu'il ya dedans et suis pas né de la derniere etoile donc.

J'ai une parole je lui es donné il l'a j'ai pas pour habitude de m'y deroger. Donc soit un bon chien de garde et va le prevenir.



Ha oui il voulait rigoler machin, tient oui c'était quoi le nom du comte. Rha défection faudra demander a papa rix alias Bichon.

Log se Rapproche alors du Rouergat et vient se planter prés de sont camarade Bastienz.


Ba dit donc toi tu veut pas obéir aux consignes.

Log toise le comte de haut en bas.

Tu veut te faire fouiller par des femmes ba ont peut arranger sa mais fais gaff ont a que des tigresses chez nous.

Alors ou tu dépose ton épée a l'entrée ou ont te dépose ton épée a l'entrée et ces une femme qui te fouille.
Mais moi a ta place je préférerais que sa sois Bastienz.


Suite aux geste du comte de poser sa main sur la garde de sont épée log fit de même et attendit sa réaction
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Bastienz
Bastienz lui rendit son regard avec un sourire froid figé sur ses lèvres. Le Comte valait le détour, semblait il. Il allait encore le tester un petit peu puis le laisserai aller à son rendez vous. Mais avant, il souhaitait en savoir plus sur lui.

Intéressant, très intéressant ! Moi qui croyait que le Rouergue était définitivement stupide, il y a encore un peu de chose récupérable. Sache que si tu veux que je garde mes familiarités pour moi, faudra que tu me prouves que tu le mérites. Et honnêtement, être Comte ne t'aide pas du tout.

Bastienz le regarda droit dans les yeux et continua.

La proximité masculine, c'est pas plutôt votre truc ? On a beau nous reprocher beaucoup de choses à nous autres brigands, je regrette de te décevoir mais je ne suis point ce que présume. En plus, la dernière fois que j'suis allé dans le bureau du Comte, y en avait des pas belles ! Et puis, c'était mal rangé, l'argent trainé partout. Encore que au final, s'êtes pauvre. On en a trouvé beaucoup plus dans d'autres Duchés !

Bref, vous m'étonnez. Moi qui m'attendait à un bureaucrate mort de peur, voila que le conseil a choisi un soldat. Et puis un soldat assez malin. Mais dis moi, t'a pas été jugé coupable de haute trahison envers le Rouergue ? Me semble bien que si ! Tu les as trouvé a ton goût les geôles ?

Vu que je suis de bonne humeur, je vais répondre à ta question. J'ai pas été choisi pour ce que insinue, mais pour un truc ou j'excelle.


La main droite alors dégagea la cape dévoilant un pommeau d'épée usé mais de très bonne qualité. Il posa sa main dessus et la retira du fourreau. Il souleva l'épée jusqu'à sa bouche pour lécher avec sa langue l'acier froid, dévoilant un reflet inquiétant dans ses yeux.

Tu veux une leçon ? Je me ferai un plaisir à goûter à ton sang. Je commence à être en manque ! J'en profiterai pour te faire ravaler ton orgueil. As tu au moins déjà combattu sur un vrai champ de bataille ? Je serais d'ailleurs très heureux de récupérer ton épée sur ton cadavre mais malheureusement, ca arrangerait pas nos affaires.

A ce moment là, une ombre furtive apparut vers la gauche. Un scintillement, l'homme était armé. Bastienz regarda à peine le nouveau venu, fixant son attention sur son adversaire. Il en avait profité pour juger l'attitude du Comte. Ce dernier ne semblait pas avoir réagi. Il s'était contenté d'affirmer sa prise sur son épée.

Puis il s'adressa à Lograinne.

Bien arrivé ? Ca se passe comment en ville ?

Il l'écouta et éclata de rire quand il l'entendit parler des femmes Jargoroises.
Faut dire que les femmes dont il parlait était hors norme !

Sur ce coup, il a pas tord. Si tu te fais fouiller par une de nos compagnes, tu risques pas seulement de perdre ta virilité mais également ce qui te définit comme homme. A toi de voir, mais par contre, il est hors de question que tu rentres avec ton épée. Ta parole ne signifie strictement rien à nos yeux. Je te rappelle que tu n'es pas en état de force. A l'heure d'aujourd'hui, nous sommes plus fort que vous !

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Autoproclamé " Champion du Jargor"
Lordmick
Ho putain la journée allait etre longue se dit il... Non content d'en avoir un à faire le fiere à bras voila un deuxieme qui voulait se la faire dans le genre armoire à glace. Lord sentait une migraine et une impatience monter de plus en plus chez lui et se demanda si la negociation par l'épée serait pas plus radical. A la limite 6 pieds sous terres, il sera au calme tranquil à se faire sucer par les verres...

Allons reprend toi tu es la pour negocier, oui mais bon ya des limites quand meme.

Il ressera la main sur le manche de son épée la discution allait monter d'un cran.

Il enleva son regard du jouvenceau pour le poser sur l'armoire à glace.


Citation:
Ba dit donc toi tu veut pas obéir aux consignes.
Tu veut te faire fouiller par des femmes ba ont peut arranger sa mais fais gaff ont a que des tigresses chez nous.
Alors ou tu dépose ton épée a l'entrée ou ont te dépose ton épée a l'entrée et ces une femme qui te fouille.
Mais moi a ta place je préférerais que sa sois Bastienz.


Donc si je comprend bien lui s'est la tete toi c'est les muscles... Vous devez faire un malheure dans les foires locals.

Il sourit en coin.

Obeir tu dis? Je sais depuis toujours j'ai toujours eu du mal avec les exces d'autorite mal place, il va etre dur de se refaire maintenant, comme je l'ai dis à ton ami et vu que la haut le son à du mal à monter je depose rien et meme si vos femmes sont des plus charmante on me tripote pas comme ca je suis pas un homme facile. Donc si vous voulez que tous le monde se fouille et se desarme allez dire à votre chef de sortir mes gardes se feront une joie de le fouiller ainsi que la taverne afin de sortir tous ce qui traine qu'en pensez vous ? Ou alors je rentre et fais discuter avec votre chef au lieu de perdre du temps à bavasser comme un jeune jouvancelle qui va perdre sa virginté....

Regardant de nouveau le jouvenceau.

Malheureusement pour toi je n'ai rien à te prouver Comte ou pas Comte pas ca qui va changer mon languague, comportement ou facon d'agir.

Apres je vais te decevoir de nouveau mais meme chez moi elle n'est pas de mise donc peut etre avec l'ancienne regente ca marchais chez moi pas trop et j'ai appris à ne rien laisser trainer du tout.

Si les autres Duché t'interesse tant que ca je peux te faire une carte pour sortir hors d'ici et je serai toi je me vanterai pas trop d'avoir piller un Comté sans rien dedans et peu de defense... Comme on dit à vaincre sans peril on triomphe sans gloire...


il fit une pause ecoutant l'homme lui balancer son cv.

Et ben tes services de renseignement son bon j'ai ete juge par exces de zele donc je m'en remettrais et puis les geoles sont tres agreables on y fait plein de connaissance surtout quand on connais les geoliers.

Voila que maintenant l'homme lechait sa lame, et ben la journee va etre interminable...

Ta maman ne ta pas appris qu'il fallait pas lecher se genre d'objet et qu'ils avaient un autre usage car c'est bien jolie jolie de faire le malin avec une épée usé mais faut il savoir encore comment on s'en sert et vu que tu es bien renseigne sur moi tu devrais avoir la reponse à ta question. Surtout que c'est pas une question d'orgueil mais plutot une question de negociation apres si tu veux un petit combat je n'y vois pas d'incovenient faudra que tu prennes un numero j'en ai beaucoup en attente en esperant que tu viennes seules pas avec ton jumeau...

Il retira l'épée de son fourreau et la tenait maintenant fermement le long de sa hanche pret à riposter.

Donc voila 3 options s'offre à nous mesdemoiselle, soit on tout le monde se tripote et verifie que tous aille bien, soit on me laisse rentrer disctuer avec votre chef comme convenu en homme de bonne parole soit on en vient au main et meme si je me fais atomiser je vous garantie que le geant redeviendra taille humaine et que le menestrel aura du mal à faire cabriole car j'enmenerai un bout de vous deux dans les abysses....

Le moment etait venu.
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Nemesis
Nem qui s'était tenue à l'écart jusque là approcha tranquillement.

Toisant les deux Jargorois, elle se décida à intervenir, sachant qu'elle pourrait compter sur eux si elle devait en venir à une méthode plus musclée


Enchantée Messire, je suis Nem, l'illégitime et bras droit de lui que vous venez voir.

Je vous pense assez intelligent pour comprendre que la sécurité de notre chef nous importe. Vous ne risquez rien là dedans et vos hommes et les miens veilleront sur cette porte. Maintenant vous avez le choix soit vous me confiez vos armes, soit je m'en occupe mais croyez moi il aurait mieux valu que ce soit mon compagnon qui s'en charge ...


Elle plongea son regard dans celui du comte et attendit qu'il se décide

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Lograinne
Citation:
Donc si je comprend bien lui s'est la tète toi c'est les muscles... Vous devez faire un malheurs dans les foires locale.


Log bien plus fin qu'il n'en avait l'air écouta la tirade de l'homme qui se faisait passer pour un comte même si il avait plus l'air d'une pucelle voulant perdre sa virginité rapidement que quelqu'un voulant faire des négociations.

Quand l'homme qui se faisait appelé Lord tira sont épée hors de sont fourreau log fit de même de la flamberge qu'il avait accroché au dessus de sont épaule droite dans un chuintement.

Il saisi alors sa belle lame qu'il avait pour habitude d'aiguiser et d'entretenir dés que les conversations en Taverne ne l'intéressait plus. La lame était bien trop grande pour des hommes plus petit que Log et en imposait. C'était d'ailleurs pour sa qu'il l'avait choisi.

Quand tout a coup une des femmes a qui il avait fais allusion apparu surement la pire de celles a qui il pensait.

Nemesis bras droit de rix et illégitime de celui si.

Log laissa la place a la brune pour qu'elle se place entre lui et l'autre molosse du jargor.



Citation:
Enchantée Messire, je suis Nem, l'illégitime et bras droit de lui que vous venez voir.

Je vous pense assez intelligent pour comprendre que la sécurité de notre chef nous importe. Vous ne risquez rien là dedans et vos hommes et les miens veilleront sur cette porte. Maintenant vous avez le choix soit vous me confiez vos armes, soit je m'en occupe mais croyez moi il aurait mieux valu que ce soit mon compagnon qui s'en charge ...


Hé voila tout en finesse là si le pauvre gars en face chargeait pas dans le tas devant les menaces légérement implicite de Nem ces que le gars avais du sang froid et il gagnerait sa au moins aux yeux de Lograinne.
Tata avait donné le ton des autorités du Jargor.


D'ailleurs m'sieur si je peut me permettre et même si je peut pas je vous avais prévenu.

Log sourit machiavéliquement il savait de quoi Nem était capable et encore il devait pas tout savoir. Cette pensée fit frissonner Log

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Lordmick
Et voila il l'avait demande et y'en a une qui se pointe... Il se demanda si fallait qu'il se tape le bonjour de tout le monde ou on allait arriver à la fin...

Au moins elle avait appris la politesse celle la ca changeait un peu des deux autres et leur familiarite... Un peu de douceur dans un monde de brute...


Citation:
Enchantée Messire, je suis Nem, l'illégitime et bras droit de lui que vous venez voir.
Je vous pense assez intelligent pour comprendre que la sécurité de notre chef nous importe. Vous ne risquez rien là dedans et vos hommes et les miens veilleront sur cette porte. Maintenant vous avez le choix soit vous me confiez vos armes, soit je m'en occupe mais croyez moi il aurait mieux valu que ce soit mon compagnon qui s'en charge ...

Ha oui il avait entendu parler de cette histoire de legitime illegitime qui etait la legitime au 3eme degres du cousin de la soeur du beau frere enfin bref on reprend les bonnes maniers.

Bon Dame, je suis Lord Mick, le legitime qui vient voir votre chef pour discuter le bout de gras mais apparament on a un soucis de communication ici.

Vous vous inquietez de la protection de votre chef, c'est normal moi je m'occupe de la securite de mon seant et vu que la dedans je ne sais pas combien ya de gens et si ya des armes vous comprendrez aisement que je ne puisse me separer de la seul chose qui me servirait à faire un peu de degat avant de trepasser.

Et meme si vous me semblez la plus intelligente des trois je crains de pas pouvoir acceder à votre requete ma santé en depend aussi.


Il vit le geant du coin de l'oeil tirer sa flamberge, il se dit que apres tout avec les deux jambes casser il serait de nouveau a niveau. Il l'ecouta lui donne un conseil puis se dit qu'il etait temps de s'adresser directement à Dieu temps cas faire de passer par ses saints.

Merci du conseil mais je vais essayer une autre solution...Rix je pense qu'il faut que tu sortes que l'on regle un point de detail sur le parvit avant de rentrer dans le vif du sujet car sinon la situation risque de s'orienter sur une autre sorte de vif...

Son épée toujours prete à l'emplois et commencait à jauger lesquel risquait de bouger en premier et voir qui il faudrait perforer avant que les autres n'agissent. Il esperait quand meme que le chef allait se pointer car le but premier n'etait pas un massacre mais une discussion mais comme il dit, la garde meurt mais ne se rend pas...
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Nemesis
Attentive, Nem calma ses hommes d'un geste et écouta le comte. Elle le regarda s'egosiller avant de reprendre la parole.

Messire si vous voulez traiter avec lui il va falloir me faire confiance. Il est seul là dedans, et sans autre armes qu'une bonne chope.
Il n'est nullement dans notre interêt qu'il vous arrive quoique ce soit. Je vous garanti de laisser ma vie sur ce pas de porte pour vous protèger tous les deux et je vous garanti que mes hommes en feront autant. Je réitère donc ma demande pouvez-vous laisser vos armes avant d'entrer ?


Le regarde attentive, incitant à nouveau ses hommes au calme d'un geste.
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Bastienz
Mais savez vous que je n'ai point besoin de mon compagnon pour vous battre ? Tout est dans la finesse, dans la maîtrise. Vous n'arriverez même pas à me toucher, sachez le ! Je possède bien plus d'expérience que vous ne pouvez imaginer !

Alors que la discussion devenait de plus en plus difficile, Nem fit son apparition.

Tiens, voila notre délicieuse Nem. Bien le bonjour, peux être pourras tu convaincre notre ami d'arrêter de faire son têtu ! Il refuse de lacher ses armes sous un prétexte ridicule.

Bastienz écouta la discussion, le sourire aux lèvres. Nem utilisait une autre sorte de technique, efficace quand la première ne marchait pas. La était l'importance d'être plusieurs. On pouvait en expérimenter plusieurs pour voir laquelle marcherait le mieux.
Son sourire grandit encore plus quand il vit le Comte se placer en position de combat.

Pas mal votre placement. Mais je reculerais plus la jambe droite. S'êtes pas assez ancré. Un déséquilibre et vous êtes mort ! On est plus dans la cour de la caserne, mais bien dans la ville réelle. C'est pas un entraînement, donc méfiez vous. Car je ne vous ferez pas de cadeau !

Il allait continuer quand Nem leur demanda de s'arrêter. Bastienz se contenta alors de regarder le Comte avec un sourire ironique s'égosiller pour sortir le l'impasse.

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Autoproclamé " Champion du Jargor"
Lordmick
Le temps et Lord se demande quand tout cela va finir... Une chose est sur s'est pas une fille facile et se laisse pas tripoter comme cela... La Donzelle calme le jeu et negocie deuxieme bon point mais elle oublie une chose...

Je comprend bien que vous veuillez sur la securité de votre chef mais qui me dis que dedans ya pas encore l'illegitime de la legitime du legitime de l'illegitime qui m'attend pour me trancher la gorge? Il est dans l'interet pour personne qu'il arrive quoi que se soit mais un accident et si vite arriver... Donc dans le cas present on peut aussi faire sortir le chef mes hommes fouilles le barraquement il se fait tripoter par un garde et on rentre tous les deux dedans une fois que tous est clair...

Et voila que le damoiseau lui donne des cours maintenant, remarque parait que l'on apprend à tous ages...

On m'a toujours dis de ne jamais dire fontaine, donc tot ou tard vous ferez comme tous le monde vous en prendrez apres ca dependra de qui et ou ca...

Je vois que avez eu de bon je cour peut etre avez vous eu la rousse en professeur mais pour l'heure pas besoin d'etre sur mes gardes non...? Parait que je suis en securite ici... Et l'habit ne fait pas le moine. Je n'ai pas appris ca dans les casernes mais sur les champs de bataille donc ne vous faites pas de soucis j'ai toujours prefere les cours en reel que les excercices...

Bon ben la il va surment finir decouper mais bon la ou ya pas de risque ya pas de plaisir.

Alors vous allez le chercher votre chef ou tout s'arrete la...
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Hakker
Hak se tenait debout, caché sur le toit depuis l'arrivé du comte, dans la pénombre nocturne.

Il avait observé et écouté la discussion entre les trois hommes, croyant que cela n'allait jamais terminé.Il fut donc soulagé de voir Nem arrivé, essayant de convaincre à sa manière le comte, plus tétu qu'une mule, de laisser ses armes avant de rencontrer l'barbu, mais celui ci pour emmerder la compagnie préfèrait les garder.

Hak aussi silencieux qu'une ombre, se laissa tomber sur le sol, effectua une roulade à la reception, et vint se placer juste derrière le comte.

Il se racla la gorge ce qui fit sursauter l'nobliau:

-Bon c'est pas qu'on s'ennuie ici, mais il y a l'chef qui attends à l'intérieur, surement en train de se boire quelques bières tout seul,,hak sourit en s'imaginant la scène.

Il écarta les bras et reprit:

-Sommes nous si terrifiant ? Faisons nous si peur ?! Voyons, si le but de ce rendez vous était de vous transpercer la panse et de vous balancer dans un lac, vous seriez déjà à moitié bouffer par la poiscaille. Alors cessez de perdre du temps, donner vos précieuses armes à Bastienz, et entrer dans la taverne boire d'la bonne bière, l'chef vous attends.
Rix
Rix avait commencé par enfiler deux ou trois bières à l’œil, merci l’Ange, c’est le Jargor qui régale, puis il s’était calé confortablement, basculant sur sa chaise, le dos appuyé contre le mur, les bottes sur la table, les mains derrière la nuque, à rêvasser les yeux mi-clos, les pensées vagabondes, passant du coq à l’âne, le juste prix pour ses charrettes, les yeux de Nem, le mandat de Necta, le rire de Garance, le Champ de Drunk, la prison de Deb, les bouderies du fiston, la couronne de Sofio, le partage du butin, et des pigeons devant la fenêtre, et des mésanges perchées sur sa tente, et des bateaux en partance, et la mer….

Il avait fini par s’endormir.

A son réveil, toujours pas de comte, juste la vision de son ventre bedonnant, son ventre d’honnête homme qui chaque jour s’arrondissait davantage, vive la sédentarité, vi l’artisanat, vive la vie de bourgeois ! Il s’étira paresseusement, bailla comme un cachalot et se décida à se relever, toujours préoccupé par sa tablette de chocolat disparue, il sa rappela les moqueries de sa belle et se dit qu’un peu d’exercice lui ferait le plus grand bien.

C’est pourquoi il grimpa sur une table, sauta pour s’agripper à une poutre et se hissa à la force des bras et du ventre, les jambes à l’équerre, relâchant puis recommençant plusieurs fois, comptant le nombre de mouvement.

Il fut interrompu par un appel de l’extérieur, une vois qui vociférait et qu’il reconnut immédiatement. Celle de Lord. Il sauta sur la table puis le sol et se dirigea vers la porte. Il allait l’ouvrir mais sa main fit volteface au dernier moment, il changea d’idée et gagna la fenêtre. Il l’ouvrit discrètement et écouta avec un air amusé les échanges de la rue. Ce pauvre Comte ne s’en sortait pas, on lui interdisait l’entrée, Bastienz, Lograinne, Hakker, même sa Nem s’y mettait pour le convaincre de déposer les armes, à lui, le soldat, fier comme un jambon de Parme, autant lui demander de se mettre à poil ! Il le laissa encore s’agacer devant ses hommes en étouffant un rire avec sa main avant de sortir à sa rencontre.


-Alors, Lord, on refuse de se soumettre aux formalités d’usage ? Rhoooo, je t’assure pourtant, ils n’en veulent qu’à ton épée, pas à ce que tu as entre les jambes !

Il regarda Nem avec un large sourire :

-Dis-lui, mon cœur, dis-lui que tu n’as pas l’intention de la lui couper, ni de lui tailler les oreilles en pointe !

Il s’amusa intérieurement à cette idée, convaincu qu’elle en serait bien capable si d’aventure il continuait à lui prendre le chou tout en désignant sa ceinture pour bien montrer qu’il était désarmé.
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