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{RP} Au bord de la rivière, il fait bon, fait bon...

Maeve.
Ceci est un topic de "lieu", c'est à dire qu'il décrit un lieu, il est donc ouvert à tous, chacun peut se promener au bord de l'eau tout ça...


La môme s'prélasse tranquillou sur l'bord de la rivière. Karyl lui a montré ces derniers jours quelques techniques de pêche, mais la rouquine a la flemme. Faut dire qu'elle a passé la nuit à essayer de construire son premier rang de mailles sur ses aiguilles à tricoter. Alors à c't'heure ci, il est juste temps d'faire la sieste.
D'toute façon, depuis sa retraite, elle n'a plus rien qui l'attendre nulle part, et plus grande envie d'se plier à quelque contrainte que c'soit. Certes elle poursuit son entrain'ment l'matin au réveil, mais elle sait désormais qu'il n'servira qu'à elle, et à aucune autre cause que celle d'sauver ses miches en cas d'attaque.

Les mirettes fermées pour cause d'soleil éblouissant, elle entend avant d'apercevoir le gamin mandaté pour lui apporter le pli cacheté. Réflexe, main sur la dague, avant d'se détendre d'vant la trogne pouilleuse du jeune angevin. C'est qu'elle commence à les connaître, les coursiers du coin, à force d'trainer dans les rues de Saumur.
Sans s'presser, elle décachette la missive, et déroule le parchemin. En voyant l'expéditeur, elle fronce légèrement le nez. Sa mère lui avait bien dit qu'il fallait qu'elle envoie une lettre de démission, mais la rouquine n'ayant jamais eu le sentiment d'avoir appartenu à l'Ordre, elle n'arrivait pas à percevoir l'intérêt de les prévenir qu'elle n'y entrerait effectivement pas. Ethan n'avait aucunement essayé de prendre contact avec elle, Cerrid s'était proposée, mais Maeve était alors tombée malade, et depuis les choses en étaient là, c'est à dire nulle part, la môme avait donc cédé à la fainéantise, et n'avait rien écrit.


Citation:
Du Haut Conseil de l'Ordre Royal de la Licorne,
A damoiselle Maeve Alterac,
Salutations et connaissance de vérité.

Par la présente,

Nous vous faisons connaitre la position de la Licorne quant à votre comportement.
Qu'il soit su que la Licorne n'a point besoin d'hommes et de femmes qui ne tiennent pas leur engagement.
De même, l'Ordre n'accueille et n'accueillera jamais les ennemis de la Couronne et ceux qui lèveront l'épée contre le Royaume de France.
Par conséquent, à partir de ce jour, qu'il soit su que la dénommée Maeve Alterac n'est plus écuyère personnelle du Chevalier Ethan Newton, qu'elle n'est donc plus affiliée d'une quelconque manière à l'Ordre Royal des Chevaliers de la Licorne.

Fait à Chinon, le 12eme jour de septembre, an de grace MCDLVIII




Puis le froncement de nez, en lisant le motif de son renvoi d'un ordre dont elle n'avait jamais fait vraiment partie, se transforme en grimace, le front se plisse et la pupille s'enflamme. Légère surprise, l'étonnement et une pointe d'agacement, limite de la colère. S'foutent vraiment d'la gueule du monde... fut sa première pensée. Suivie d'un haussement d'épaules, alors qu'la menotte s'en va fouiller dans son sac, récupérant sa plume, un peu d'encre, et d'quoi gratter le velin.
Non parce qu'elle va pas prendre un parchemin neuf quand même, faut pas déconner, elle a b'soin de sous pour s'refaire une santé, va pas en dépenser en papier.


    Au Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne,
    A Nith,

    De Maeve Alterac, Dame de Saint Sornin Lavolps,

    Le bon jour,

    Prenant note de mon renvoi (sic) de votre Ordre, je ne vous écris pas ce jour pour le contester. Je n'ai plus aucune envie d'appartenir à la Licorne, ni de rejoindre cette étrange famille que vous représentez. Ainsi, en être renvoyée ne me dérange aucunement, et n'ayant, tout comme mon chevalier envers moi, pas pris le temps de vous donner des nouvelles, je m'étonne même qu'il intervienne aussi tard.

    En revanche, je vous trouve assez mal informé pour un lieutenant commandeur d'un tel Ordre, qui se distingue pourtant par bien des points. J'aimerais assez que vous m'expliquiez en quoi je suis : «  ennemi(e) de la Couronne » et en quoi j'aurais « levé l'épée contre le Royaume de France. » Parce que ne pas tenir mes engagements, j'admets que ne pas répondre à des courriers inexistants d'un Chevalier qui devait s'occuper de moi et ne rien faire pour en demander un autre et ne pas participer à la vie d'une famille dont je ne me sens pas un membre, puisse s'y apparenter. Mais cela ne vous permet absolument pas de m'accuser de quelconque acte envers la Couronne, et encore moins d'acte armé.

    Pour cette accusation, je vous demande même des excuses. Parce que je me sens blessée qu'on puisse salir mon honneur, et mon nom, par de telles diffamations.

    Dans l'attente d'une rectification du motif de mon renvoi- qui se résume objectivement à une absence prolongée et volontaire de Ryes et des regroupements de licorneux- j'ose croire que vous avez uniquement recopié un courrier type, trop occupé par vos taches pour l'adapter à la demoiselle que je suis.

    Maeve Alterac


Et la môme de cacheter la missive, la tendre au gamin qui passera au pigeonnier, en échange des quelques pièces dont elle le gratifie. Puis, mains sous la nuque, Maeve repart dans ses pensées. Doit-elle commencer par le haut ou le bas de la robe ? Et si elle fait un rang de 20 mailles, sera-ce suffisant pour les manches ? Des préoccupations autrement importantes que sa sortie de la Licorne, quoi.
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Pertacus


Pertacus était triste ou déçu, il ne savait plus. Dans la soirée il avait rencontrez Aurile. Une demoiselle magnifique avec qui il partagé avait un bon moment, une longue discussion comme il n’en avait eu depuis longtemps.

A vrai dire la dernière remontait à environ deux ans, quand Claudia était encore en vie, cette Claudia qu'il devait épouser, qu’il aimait plus que tout mais que la maladie avait emporté peu de temps avant leur mariage.

Avec Aurile. Il avait ressentit le même bien être, il se sentait bien avec elle, comme avec Claudia. Mais beaucoup de question se bousculait dans sa tète.

Est il possible d’en aimer une autre que Claudia ?
Ce fait il des illusions ?


Il avait fait confiance a une seul fille depuis la mort de Claudia et elle l'avait trompé, était t’il prêt a recommencer de courir le risque de revivre cette expérience douloureuse.

Il ne le savait pas, c'est se qui le rendait triste mais en même temps il était déçu. Quand Aurile. Était revenu en taverne et que son parrain était présent, elle ne lui avait pas adressé la parole, même pas un coup d'œil et même pas un au revoir


Pertacus s'allongea dans l'herbe au bord du lac, il avait amené un parchemin et une bougie puis il se mit à écrire un poème, pour lui permettre de se calmer

Citation:
Le Temps


Le Temps est un puissant allié,
Il a le pouvoir de faire oublier,
Mais ainsi limiter ses effets
Revient à se fourvoyer.

Celui-ci est multivalent,
Un jour il s'écoule d'un pas lent,
Un autre encore son pas rapide
Nous plongera dans le vide.

Il est de savoir populaire
Qu'il faut au temps laisser son affaire !
Une fois son œuvre faite
Nous trouvons répit à notre quête.

Quête d'oubli ou quête personnelle
Elle ne peut se résoudre d'un coup d'aile.
C'est alors que le Temps devient éternel,
Le monde tout autour nous paraît irréel.

Le Temps est l'une des rares choses que l'on ne peut dépasser,
C'est la seule limite que l'on ne peut repousser.
En effet chaque essai pour la barrière fatidique éloigné
N'est qu'un leurre car contre lui impossible de gagner.

Ainsi notre veille contrôlée et maîtrisée
Se révèle être suite d'impressions piégées.
Car le temps par la fatigue accumulée
Est bien le seul qui en l'affaire y a gagné.

C'est alors qu'au moindre mot mal prononcé,
Se réveille le trop longtemps contenue irascibilité.
Vient alors le temps du souvenir et non de l'oubli,
Celui dans lequel votre être est plongé dans la mélancolie.

Profonde tristesse qui prend contrôle de votre être
Et en ce jour vous ne pouvez plus laisser paraître,
Ou laisser croire à votre entourage que votre état
Est très loin de figurer parmi ceux qualifiés de béats.

Oui le Temps n'est finalement pas qu'un allié,
Il est aussi l'un des plus féroces adversaires
Qu'il puisse être donné un jour d'affronter !
Il est celui qui fait de vous un solitaire.


Une fois sont poème finit il s’allongea sur le dos et s’endormit.


Pertacus


Pertacus avec passez toute la nuit au bord de la rivière, le lendemain matin quand il se réveilla il découvrit un mot dans sa main.

Il le lut et fut soulagé, c'était un simple morceau de papier mais il signifiait beaucoup, elle lui avait écrit, peut être était ce la demoiselle qu'il cherche depuis si longtemps.


Il reparti en direction du village et passa la journée en taverne, mais ne la vit pas, il attendit longtemps et croisa beaucoup de monde, même le père de la demoiselle, se ne fut pas une rencontre amusante pour lui, surtout au moment ou il chuchota un peu trop fort a Calyce le nom de la demoiselle en question.

Le Père l'entendit, puis se mit a lui parlé qu'il ne devait pas trop l'approcher etc. ...
Il en avait l'habitude toute la famille d'Aurile n’arrêtait pas de le lui répéter, mais il était prêt a surmonter tout se qui se mettrait sur son passage pour savoir si Aurile était la demoiselle qu'il cherchait depuis si longtemps.
Celle qu'il pourrait aimer jusqu'a sa mort, et avec qui il pourrait enfin fonder une famille. Depuis tout petit il rêvait d'avoir une fille.
On lui avait souvent posé la question : Pourquoi une fille ?
Il n'en avait pas la réponse, c'était ainsi. Peut être parce que les filles sont belles et qu'il voulait pouvoir la protéger.

Dans la soirée Pertacus avait envoyé une missive à la demoiselle, pour lui proposer de le rejoindre au bord du lac

Il repartit donc en direction de la berge ou il s'installa espérant qu’Aurile viendrait
Aurile.
Toute seule dans l'camp'ment Breton, l'Aurible Pestouille reste l'plus souvent a l'écart d'tout l'monde et surtout silencieuse, c'qui lui r'ssemble pas du tout.C'est au détour d'une tente alors qu'elle s'éloigne un peu du camp'ment qu'elle reçoit une missive. Les p'tits pas s'arrêtent, la missive est deplié avant qu'ses lèvres forme un "O"muet surprise. Missive rangé discret'ment ensuite dans une d'ses poches avant d'prendre la direction d'la riviére d'un pas decontracté, quson regard zieutes les alentours, sait'on jamais des fois qu'un membres d'la famille surgisse. L'jeune homme fait reference a la rencontre d'son pére la veille dans une taverne Saumuroise. Elle s'doute bien qu'il a du passer d'mauvais quart d'heure, c'qu'elle lui dit pas c'est qu'sa mére peut être pire a la paroles qu'son pére, parcque leur seul terrain d'entente a présent a ces d'eux là, c'est son education et surtout d'veiller a ses fréquentation, et là a deux on est mal, sont capable de d'venir l'pire cauch'mard jamais fait.

Alors Aurile. avance lent'ment, les bottes foulent l'herbe humide des prés pour couper a travers ch'min et rencontrer l'moins d'monde possible avant d'apercevoir prés d'la rivière Pertacus. Elle s'arrête a nouveau en prenant l'temps de quelques calme respirations, la menottes plonge dans l'une de ses poches pour en sortir un des bouchons qu'elle s'amuse a chopper a son parrain, celui-ci vient rouler entre l'plat d'ses mains...Et a nouveau elle avance sur ses gardent, non pas qu'elle est peur d'lui mais plutôt d'la façon dont un membre d'la famille pourrait faire irruption...

A et aussi l'expérience en Bourgogne du cure dent qui voulait la rapter lui avait servit d'leçon...c'lui qui s'y avis'rai d'nouveau s'rai servit a hauteur d'son idées aberrante par la façon qu'elle aurai d'se defendre sans compter par la suite, la déferlante probable de Penthos et surtout j'dis bien surtout par les colères unis d'ses parents.


C'est adossé a un arbre derrière Pertacus qu'elle observes installé sur les berges qu'elle lui signal sa presence


'Soir jeune homme de Montbazon de Navailles
t'm'esxuce hein j'donne pas ma rallonge...

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L'Aurible Pestouille~13 ans~Fibre naturelle d'un kilt et d'une jarretière~~
Pertacus
Pertacus était plonger dans ses pensée, il avait un parchemin a la main et écrivait un poème, tout a coup, il entendit une voix derrière lui et reconnu Aurile, un large sourire béat s'affichât sur son visage

Citation:
'Soir jeune homme de Montbazon de Navailles
t'm'esxuce hein j'donne pas ma rallonge...


Il ne l'attendait pas vraiment, pensant qu'elle ne pourrait jamais venir à cause de ses parents mais elle était venue.

Il se retourna, cachant comme il le pouvait le parchemin qu'il tenait dans la main


-Comme tu veux, et moi c'est Pertacus, voir même Perta c'est plus court, tu veux venir t'asseoir ? On sera mieux pour discuter

Beaucoup d'idée se bousculait dans sa tète, quelque heure avant se moment il avait vu la mère de la demoiselle. Qui le surnommait le pervers un surnom qu'il ne pouvait supporter

Tout sa car il avait pris la main de d'Aurile pour l'aider à se relever après une glissade.

Le problème est qu'elle savait qu'il allait au lac et Pertacus se demandait si elle ne passerait pas dans le coin, ou si elle n'était pas déjà la a les espionner. Il était peut être un peu parano mais il faut dire que depuis peu, tout le monde le mettait en garde lui demandant si il était noble, riche et même si il avait les mains propres

[/i]
Aurile.
C’est adossé à l’arbre qu’elle déclina d’un signe de tête l’invitation de Pertacus de venir plus prés. Non pas qu’elle en a pas le souhait mais sait’ on jamais, une commère passant par là et une rumeur était vite née. C’est sur la réserve et méfiante aussi qu’Aurile resta a bonne distance le reste de leur conversation avant qu’il lui annonce devoir partir quelques jours et que de son côté elle venait de lui annoncé qu’elle avait plein d’trucs à faire pour faire genre quoi d’vant les autres ….


[Quelques jours plus tard]


La veille l’Aurible avait passé une soirée dont elle souhaitait oublier une bonne partie, entre une blondasse enfantine qui n’avait compris qu’elle voulait juste passé un dernier moment 'vec son père, une mère qui lui ordonnait de venir dormir sous SA tente pour pouvoir mieux la surveiller sans compter sur ce qu’elle avait appris au cours d’une conversation…la surveiller en échange de titre de noblesse, alors là la claque de son grand père refis surface aussi cuisante que si elle venant de la recevoir a nouveau « Ne fait confiance a personne », le sens de cette phrase venait de prendre tout son sens dans la caboche d’la mioche jusqu'à ancrer de la pointe de sa lame les lettres O.U.B.L.I.E sous le r'gard de sa mère et de la discussion houleuse qui s’en suivie tandis qu’elle voulait quitter le camp et que de justesse les mots de son père raisonnent « La Famille ». Elle partie donc sous la tente de sa mère dormir, sommeil qu’elle ne trouva pas et c’est a l’aube qu’elle retourna dans la taverne de Caly, ou plutôt dans les cuisines pour grignoter dans un étrange silence avant de sortir la dernière lettre de son oncle, l’frère d’sa mère parcque des oncles du côté d’son père l’en manque pas la p’tiote…


Une belle journée… pour ce changer les idées…C’est au son de sa voix que Pert qu’elle n’avait pas vu entrer dans la salle se dirigea vers elle pour qu’il lui change les idées, proposant de faire une prom’nade vers la rivière, discutant de ce qu’ils allaient faire en attendant que le soleil réchauffe un peu Saumur. Que la p’tiote propose de s’entrainer final’ ment a la fronde et que Pert préfère lui montrer les rudiments du maniement de l’épée…

Le soleil pointe enfin dans l’encadrement d’une des fenêtres de la cuisine et les v’là parti tout les deux sur le ch’min qui mène au bord de la rivière…passant d’vant l’camp’ ment breton l’odeur des crêpes se fait sentir et les v’la a ce précipiter derrière les tentes en déjouant la sentinelle pour venir chaparder les crêpes toute chaude et de repartir aussi vite en riant.


Les bords de la rivière sont en vue et la brume ce lève douc’ment sur les berges, l’épée de que lui a forgé sur mesure sa tante Kilia est glissé dans le fourreau de son ceinturon claquant légèrement sur sa taille et sur le côté de ses botte a chacun de ses pas. La mioche est légèrement d’vant Pert pour observer les berges et de trouver le meilleurs endroit en toute tranquillité.

S’arrêtant au milieu des berges où elle trouve le moins d'bois mort jonchant le sol, la main se porte sur la garde de son épée pour la sortir du fourreau commençant déjà à la manier maladroitement dans tout les sens.


T’es prêt à m’montrer comme tu sais faire ?
Parcque moi c’est plutôt la fronde que j’aime bien, l’épée c’est plutôt les ennemis qui s’empale dessus…
Faut j’apprends j’fais légèrement danger public 'vec ça …


Continuant à faire des moulinets de son poignets pour se faire a son poids elle attend de voir comme il va lui apprendre.

T’façon faut bien je commence, lulu avait dit elle le f'rait mais elle doit encore pioncer prés d’la bombarde, l’est pas du genre lève tôt…

La pointe de ses coudières a pointes ferré étincellent au rythme de ses mouv'ments dans les rayons de soleil se faisant de plus en plus dense.
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L'Aurible Pestouille~13 ans~Fibre naturelle d'un kilt et d'une jarretière~~
Pertacus


Le matin Pertacus avait passé un long moment avec Aurile, ils avaient eu une longue discussion sur diverse sujet, comme leur ami d’enfance, ou encore qui convaincre pour avoir une chance de restez ensemble.


Soudain, ils c’étaient mis à parler d’une balade au bord du lac, puis d’un entrainement a la fronde. Pertacus n’aimait pas trop la fronde, il faut dire qu’il ne savait pas vraiment s’en servir et c’était un peu comme l’arc, quand il faut viser ce n’est pas son fort, surtout si ces trop loin


Ils en convinrent donc sur un entrainement a l’épée, Pertacus avait dans son enfance été entrainer par l ancienne dame Blanche Adela de Vaisneau et le membre de la licorne Aegidius. Il était donc capable de tenir une épée et il l’avait prouvé plusieurs fois, comme contre la mercenaire Miramaz qu’il avait battu lors d’un duel. Il avait promis de ne pas s’en vanter donc il en parlait peu voir pas du tout


Ils passèrent piquer des crêpes chez les bretons et partir tout les deux vers le lac.



Citation:
T’es prêt à m’montrer comme tu sais faire ?
Parcque moi c’est plutôt la fronde que j’aime bien, l’épée c’est plutôt les ennemis qui s’empale dessus…
Faut j’apprends j’fais légèrement danger public 'vec ça …



-Oui je vais te montrer


Citation:
T’façon faut bien je commence, lulu avait dit elle le f'rait mais elle doit encore pioncer prés d’la bombarde, l’est pas du genre lève tôt…



Pertacus ne put réprimer un petit sourire, sa ne lui déplaisait pas quelle préfère dormir, ainsi il pouvait être tranquille tout les deux, bien que Lucie ne soit pas trop embêtante elle les laissait libre de faire se qu’ils voulaient


Il se glissa tend bien que mal derrière Aurile, évitant les moulinets qu’elle faisait avec son épée, il se positionna derrière Aurile et prit ça main dans la sienne pour diriger ses mouvements et posa son autre mais sur la hanche de la demoiselle pour l’aider à se positionner. Il espérait que personne ne passerait dans le coin pour interrompre se si bon moment, de plus ils leurs seraient difficile de se défendre si quelqu’un passait dans le coin.


Il lui fit faire quelque mouvement simple, se mettre en garde ou encore frapper de manière basique



-tu vois a peut prêt comment il faut faire ?


















Aurile.
Profitant d’un relâch’ment du rythme de ses moulinet Pert se glissa derrière elle pour glisser sa main dans la sienne et lui montrer comment tenir plus correctement l’épée ou du moins apprendre a la maitriser tandis que son autre mains se pose sur sa hanche pour corriger la position de son corps et apprendre a parer les attaque comme pour esquiver les défenses.


-tu vois a peut prêt comment il faut faire ?

Sa respiration s’arrête un instant tandis que le regard bleuté scrute les alentours avant de revenir sur ce qui se trouve devant elle, autant dire rien a part une branche morte qui est encore miraculeusement accrocher a un tronc d’arbre creux qui jonche le sol du bord de la rivière. Elle se concentre, n’y arrive pas vraiment avec la proximité de Pert. Elle inspire profondément pour reprendre son souffle et de tourner son minois vers son instructeur.

T’es sur c’est la bonne méthode pour apprendre ? parcque une commère passe pas là… on est mort !

Elle se dégage un peu pour ensuite pivoter sur elle-même et de faire quelques pas en arrière avant de ce mettre en garde.


Prêt ? On essaye un vrai combat ?

'fin nan attends…


Et de plonger sa menotte dans l’une de ses poches pour sortir deux bouchons qu’elle a pris à son parrain.
En positionnant l’un sur la pointe de son épée et lui tendant l’autre pour qu’il en fasse de même 'vec la sienne.



L’premier Bouchon qui tombe de l’une des épées c’est c’lui qui a touché l’autre !

Sait pas si elle a été clair là… n’empêche qu’elle se remet en garde attendant qu’il le fasse a son tour.
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L'Aurible Pestouille~13 ans~Fibre naturelle d'un kilt et d'une jarretière~~
Pertacus


Apres quelques minutes d’entrainement Aurile se retourna vers lui, il put plonger ses yeux dans le doux regard bleuté de la demoiselle, il adorait ces yeux mais n’osait pas lui dire. Il était un peu timide Perta et surtout il ne voulait pas brusquer Aurile et ne pas la vexer


Citation:
T’es sur c’est la bonne méthode pour apprendre ? parcque une commère passe pas là… on est mort !



Pertacus rosit légèrement puis répondit


-C’est la meilleur méthode


Il essayait d’être convaincant, sa lui plaisait de rester coller contre Aurile, de sentir la chaleur de son corps, et son parfum. Même si il savait très bien qu’elle avait raison, si une commère passait dans le coin, sa allait être mauvais pour eux


Citation:
Prêt ? On essaye un vrai combat ?

'fin nan attends…



Il regarda Aurile sortir les bouchons les positionnez sur les épées et lui expliquer les règles du combat


-Tu es sur que tu es prête ? Tu ne veux pas continuer à t’entrainer un peu ?


Il espérait qu’elle accepterait de continuer l’entrainement, il ne voulait pas se battre contre elle pour le moment, mais si elle voulait se battre, il ne lui ferait pas de cadeau, il était la pour l entrainer et non pour lui faire croire qu’elle était forte, sinon elle risquerait de perdre la vie au premier vrai combat et il ne voulait pas


Il se mit donc en garde devant Aurile, en attendant sa réponse ou un coup d’épée
























Chaos
[Prom'nons nous dans les bois, tant que L'Chaos n'y est pas...]

Il tend le cou et vient déposer un tendre baiser au creux du cou de la jeune femme avant de se redresser et de la contempler de haut, puis de lui sourire. Lucie était magnifique avec ses cheveux étalés sur les fourrures dans lesquelles ils se nichaient en amoureux. Sa Blondie était encore affaiblie, alors elle restait enfermée dans la tente, et le mercenaire venait lui rendre visite plusieurs fois par jour.

J'ai un truc à faire en ville. J'reviendrai plus tard.

Elle glisse le bout de son doigt dans le dos du brun pour l'inciter à rester, à remettre à demain cette mystérieuse affaire dont il ne donnerait pas de détail. Sans succès. Il presse ses lèvres contre les siennes pour l'embrasser avant de glisser hors de leur couche et de se rhabiller en vitesse pour sortir dehors. En chemin, il note dans sa tête d'envoyer de ses nouvelles à Mira, d'aller étriper un Penthièvre en kilt pour avoir proposer à Lucie de passer la nuit chez lui, et surtout, à aller voir la fille de ce dernier. Il y a quelques heures, il était encore avec elle, et elle lui avait parlé d'un entrainement au bord de la rivière avec Pertacus. Elle avait tellement insisté pour qu'il vienne la voir manier l'épée qu'il avait fini par accepter -c'est pas comme s'il voyait là une excuse pour les épier.


[Je prends mon épée ! J'arrive.]

Le brigand écarte une dernière branche, et il aperçoit enfin les deux duellistes. La vue de deux adolescents s'entrainant ensemble à manier l'épée devrait être amusante, mais pas pour Chaos qui ne vit là qu'un vaurien qui se tenait bien trop près d'Aurile. Pire encore, il la tenait contre lui. La main du mercenaire se referma sur la branche qu'il tenait encore entre ses doigts, ses sourcils se froncèrent, ses pensées noircirent, consumaient par la colère. Il était trop loin pour voir tous les détails, mais il imaginait une main tâchée de médiocrité sur la hanche de la joueuse Aurile, son Aurile. Oui, la sienne, celle qu'il protège des Don Juan des fermes et des Casanova des châteaux. Personne ne peut la toucher, et surtout pas ce bon à rien qui prend un malin plaisir à la blottir contre lui pour mieux sentir ses formes de jeune femme.

J'vais l'buter c'puceau...

La menace est sifflée entre ses dents comme une promesse silencieuse. Sa main se pose irrémédiablement sur le pommeau de son épée, prêt à mettre l'importun en pièce, même si cela devait se faire devant les yeux d'Aurile. Il ne la laisserait pas entre les griffes d'un sois-disant nobliau qui sait danser.

Mais avant qu'il puisse ouvrir la bouche pour crier sa rage et son désaccord, ils se sont éloignés l'un de l'autre. Sa main se décrispe et il observe. Ils mettent chacun quelque chose au bout de leur lame, ils se mettent en garde. Il n'y a pas de raison qu'il intervienne maintenant, il continue de guetter. S'il la blesse, là, il surgira, et rouge sera l'eau de la rivière.

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