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La Rose Pourpre, Bordel des Miracles (2ème partie)

--Ocean.


Océan avait a vu la rouquine faire tomber les piécettes contre le comptoirs, avec un large sourire et avec une habilité hors norme, elle les fit disparaitre dans la caissette a monnaie, et servit un verre du breuvage demandé. Jolie femme cette rousse, elle n'avait presque pas bougé, elle n'avait pas d'homme, est-elle catin? Ou juste une femme qui venait se distraire ice-lieu ?

Océan n'en avait pas la moindre idée, elle se faufila vers la nouvelle, encore une! Eh bien on recrute dur ces derniers temps! Elle attrapa un plateau rond sur lequel elle posa deux verres joliment fait, et un cruchon d'un vin doux mais a l'effet pervers, il vous embrumé les sens en moins de deux et vous étiez comme sur un petit nuage, sans compter l'ambiance des lieux, les buveurs aller se croire au paradis, ou en enfer selon les gouts de chacun.

Tout en s'activant elle vit la jeune Zabo se lever et aller vers le client, elle lui fit un léger sourire d'encouragement, si les filles se sentaient bien ici, il y aurait du rendement, pas de doute, on ouvre plus facilement les cuisses quand on se trouve bien dans un endroit donné.
La brune fit glisser le plateau vers la nouvelle et avec un clin d'oeil accompagné d'un sourire lui dit

" Fais attention a pas tout mettre par terre!"

Avec un petit rire gentil, Océan attrapa un chiffon et lustra machinalement son comptoir, voyant sa Reine accoudée au bar elle lui demanda :

" Vous aviez pas un portier quand je suis arrivée?"
Lyhra
Aux bains ?! Saint Foutre, une bonne étoile brillait pour elle dans le ciel des Miracles cette nuit là. Des lunes qu'elle cherchait quelqu'un pour s'occuper des bains, justement !

Le sous sol avait été ingénieusement aménagé, les baquets installés, toutes sortes d'onguents, de crèmes, d'huiles avaient été spécialement fabriqués, tout était prêt pour que la Rose offre à ses clientes et clients un service particulier.

Quelle aubaine !

C'est le ciel qui t'envoie ma jolie. Tu vois l'escalier là au fond ? Il descend aux bains de la Rose. Un endroit... magique. J'ai besoin de quelqu'un qui s'en occupe et je paye bien. Qu'en dis-tu ?

Elle la laissa réfléchir quelques instants à cette proposition imprévue pour répondre à Océan qui s'en sortait décidément avec brio dans l'exercice imposé qu'elle lui avait confié.

Un gardien ?

Ses yeux brillants comme joyaux au soleil s'étrécirent pour ne laisser que deux fentes, luisantes.
C'est de son amant qu'elle parlait. Celui là qui devait, en cet instant même, donner du plaisir à un jouvenceau, tandis que son ventre à elle criait famine.

Il déniaise un jeune garçon, répondit-elle, laconique.
_________________
--.ariane.


Ariane posa sa fine main candide dans celle de la femme. Elle avait de belles mains, douces, avenantes, et avait dû ensorceler bien des hommes avec. Mais à elle ... que comptait-elle lui faire ? Caresser sa peau, sûrement, l'embrasser peut-être ... le vaste inconnu qui l'attendait lui procura un léger vertige tandis qu'elle descendait de son tabouret pour suivre les pas de la rousse, ne sachant trop si elle devait tenter d'imaginer ce que deux femmes peuvent se faire derrière ces rideaux, ou si au contraire il valait mieux cesser de se torturer l'esprit et la laisser guider ses pas.

Les plis de sa longue robe blanche reprirent place et masquèrent à nouveau ses cuisses de lait. Elle posa inconsciemment une main sur son ventre serré dans le tissu. Pour faire taire le désir naissant, peut-être, ou la peur, ou ... Une dernière fois, elle se tourna vers la salle, comme si l'on pouvait encore la venir sauver, comme si Madame Madeleine pouvait retarder l'instant. Il fallait pourtant. La mère avait dit de ramener l'argent ... l'idée l'effleura qu'avec un peu de chance elle rentrerait chez elle encore vierge, et avec l'argent de la dame. Si on ne la vendait pas à un homme ensuite ...

Du monde entrait. Ariane, fugace apparition blanche et blonde, disparut à l'intérieur de l'alcôve. Eulalie tira les rideaux.

Les bruits de la salle furent atténués par les épaisses tentures, et l'absence soudaine de regards posés sur elle la détendit mieux que le vin. Désormais, seule Eulalie l'observait et ses yeux ne laissaient entrevoir encore que de la bienveillance. Courageuse, Ariane sourit et accepta le verre bien qu'elle ne fit qu'y tremper ses lèvres avant de le reposer sur la table. Et maintenant ?

Maintenant, il était temps de s'offrir. Sans la lâcher des yeux, elle commença à défaire les lacets de son corsage, persuadée que c'était ainsi qu'il fallait commencer. Offrir à la vue.
--Ninon_de_lenclos


La Rose...des bains! Le Tout Puissant soit loué...sa chance tournait enfin! La journée mal commencée prenait dès à présent un angle plus qu'agréable! Et en plus de ça, elle pourrait les gèrer! Non mais là elle bénissait l'étoile qui venait de lui faire franchir le seuil de cette fameuse porte rouge!
Elle répondit à la rousse dans un grand sourire.


C' que j'en dis! J'en dis que ça me va parfaitement...J' commence quand?
Ah! Et moi c'est Ninon au fait!


C'est là que la donzelle du bar vint interroger la maîtresse des lieux...Ainsi le bordeau avait un gardien! Bon à savoir, chose sûre, le lieu lui plaisait vraiment et de plus en plus!
Elle avait cependant dut mal entendre..le gardien déniaisait un puceau! Un puceau! Deux hommes...

Les yeux s'arrondir, elle n'avait jamais imaginé ce genre de pratiques...et à la réflexion cela n'avait peut être rien d'étonnant. On était dans un lieu de débauche après tout alors pourquoi pas...Elle se demanda alors si se retrouver avec une femme la gênerait ou lui plairait...Elle n'en avait pas la moindre idée étrangement!

Enfin...elle s'interrogeait un peu sur le travail tout de même...


Et euh...vous avez beaucoup de matériel? Vos clients viennent souvent pour des bains? Le personnel y a-t-il droit? Comment...

Elle s'arrêta consciente que sa curiosité débordante prenait corps par ce flot ininterrompu de questions...Rester calme, la dame allait prendre peur à ce rythme et la trouver pas assez convenable pour ses clients...Fallait pas perdre la place gentiment offerte...Manquerait plus que ça!
--Zabo


[Toujours au comptoir]

Battement de cils, coeur qui s'emballe, dents qui se serrent, un peu... Sourire charmeur qui cache l'angoisse, la peur d'être maladroite, de tout rater, de décevoir, de mal faire. Non, elle y arriverait. Quand on veut, on peut lui répétait sa jolie maman avant de mourir, lorsqu'elle était petite. Finissant son verre, profitant de l'effet de l'alcool qui continuait à réchauffer ses sens, elle acquiesça aux dires de la Rousse maquerelle, oui elle était reconnaissante et, en vertu de cela, elle ferait tout son possible.

Sourire en coin à Océan, elle prit le plateau tendu et s'avança vers les deux hommes. Ainsi donc, elle devait tenter de faire moins que ses quinze printemps, quoi de mieux qu'un sourire candide pour effacer deux ou trois années de trop. Son corps avait encore un petit quelque chose de juvénile malgré, une poitrine formée et trop serrée dans le corsage noir.

Gracieusement, elle se glissa près des deux hommes. Diantre, ils étaient deux en plus! Pour sa première fois, elle était gâtée! Elle retint la grimace qui pointait sur le bout de son nez. Son sourire se fit timide, ses joues rosirent, elle serra le plateau contre elle.


Ne pas tout faire tomber...

Heureusement, même si elle n'avait jamais servi qui que ce soit, la maladresse n'était pas dans ses habitudes. Comme quoi avoir un peu d'assurance peut avoir du bon, et elle en avait une bonne dose dans sa besace.

Elle passa sa main dans sa longue chevelure, et dans un geste de pudeur étrange, remonta le bout de manche qui lui couvrait l'épaule. Elle les regarda, souriante, il fallait prendre son courage à deux mains, ne pas trembler.


Bienvenue à la Rose, Messires... je suis à votre disposition, que puis-je pour votre plaisir? Peut-être pourrions-nous commencer par nous rafraîchir d'un peu de ce breuvage?

Elle jeta un coup d'oeil à Océan. Anticiper. Où devrait-elle les conduire après le comptoir. Elle avisa les alcôves disponibles et à nouveau lança un regard interrogateur à Océan, son alliée dans la place, elle en était sûre.

Elle posa sa main sur un pichet, s'apprêtant à les servir, attendant que l'homme d'Eglise acquiesce.

Dans sa tête, il n'y avait qu'une idée, ne plus penser à rien, juste être à la hauteur.

Ses yeux opales se posèrent sur le garde puis se plongèrent dans ceux du prélat. Un frisson contenu lui parcourut le dos. Peur, appréhension? Pauvre naïve, elle était rassurée finalement. Elle avait de la chance, tomber sur un homme d'Eglise, il ne pouvait pas être totalement mauvais, au contraire, il était forcément moins pire que l'homme horrible qu'on avait voulu lui faire épouser. Un sourire effila le carmin de ses lèvres. Le souffle en suspension. Son avenir se jouait là, à cet instant précis.
--Eulalie_la_rousse
La rouquine sourit à la pucelle tout en lui prenant les mains, ne la laissant pas ainsi finir le délaçage du corsage. Non, il fallait prendre son temps, ne pas presser les choses. Elles étaient des femmes et non des hommes.

Ma mignonne,
Prenons le temps. Nous ne sommes pas des hommes. Eux, ils prennent ce qu'ils peuvent tout de suite, sans réfléchir à rien d'autre.
Non, prenons le temps. Laisse moi te guider, laisse moi te montrer. Soit à l'écoute de ton corps.


Tout en disant cela, elle avait approché ses lèvres de celle de la vierge et y déposa un léger baiser. Puis, tenant toujours les mains de la jeune fille, elle les écarta et jeta rapidement un coup d'oeil à ce que le délassage du corsage permettait de voir. Mais non pas un coup d'oeil pervers ou avilisant. Non! Simplement un regard curieux, qui voulait savoir plus et donner plus.
C'est alors que la catin lesbienne glissa son visage dans le coup de la gamine, embrassant cette zone très sensible. Puis, elle descendit doucement vers la gorge, continuant ses baisers, avant d'explorer le peu que le délassage du corsage avait permis de laisser à porter d'une bouche curieuse et avide de chauffer les sens de la pucelle.
Lyhra
La jolie Ninon -elle venait de se présenter ainsi- avait happée la proposition de la Succube avec un bel enthousiasme.

Le mieux c'est que tu descendes te rendre compte par toi-même.

Petit sourire en coin tandis qu'elle omettait de prévenir qu'elle tomberait probablement sur un spectacle des plus troublants mais quoi ! Ce n'était pas une oie blanche après tout.

Quiconque travaille à la Rose peut utiliser les bains, bien sur, c'est même recommandé ! Je n'apprécie point les âmes laides et encore moins les culs crottés !

Et pour ce qui est des clients, c'est un service qu'ils apprécieront pour peu que le bouche à oreille sache fonctionner...

Aller aux bains avant de besogner une fille, qu'on les câline avec des huiles pour leur faire durcir le vit tant et plus et les amener au bord de l'éclatement, ça va plaire ! C'est pas que les filles aient besoin qu'on leur mâche le boulot notes bien, mais c'est une amusante torture à faire subir à ces messieurs.

Si tu ne veux pas te faire d'ennemies ici, ne termine pas un client qu'une fille attend, c'est la seule chose. Mais si l'homme vient d'abord aux bains et qu'il n'a encore payé pour aucune, tu peux le faire dégorger autant qu'il te plaira du moment qu'il allonge les écus. Il te paiera directement. Tu ne me reversera que soixante pour cent mais les crèmes et tout le saint frusquin sont à ta charge... Ah! je loge et je nourris.


La proposition était honnête.

Si tu travailles bien, l'argent rentrera vite.
Une dernière chose, ne t'avises pas d'essayer de me rouler, j'ai l'oeil pour ces choses là et je ne suis pas charitable si on me joue des tours de fourbe.


Le tout dit le plus calmement du monde et avec le sourire.

Et la petite Zabo, allait-elle embobiner le saint homme ?
_________________
--.ariane.


Oui, madam... Eulalie.

Ses grands yeux noirs restèrent un instant grands ouverts : le cœur battant, elle recevait un baiser inattendu. Pas même le temps d'en apprendre plus, ni de goûter à son tour la bouche de la dame aux mœurs étranges, que déjà, elle sentit son cou puis son buste se tendre sous la douceur de ses lèvres tièdes. Des fragrances inconnues se mêlaient à son propre parfum, devancées par cette once de désir qu'elle commençait maintenant à savoir définir dans les yeux de ses prédateurs.

Que désirait-on en elle, cette cendrillon maquillée en putain, cette moins que rien, innocente et si jeune. Ariane ne comprenait pas, n'entendait plus ... elle ferma les yeux et sonda ses impressions intimes comme on le lui demandait. Les mains d'Eulalie la contraignaient avec amabilité à l'immobilité. Cependant elle sentit les corps vaciller et s'écraser dans les coussins pourpres. Seule sa frêle poitrine, chahutée par son souffle chaotique, indiquait qu'elle ne s'était pas encore évanouie.
Thorvald_
Visiblement, Liébault avait fait abstraction de l'impressionnante corpulence du géant, de ses mains qui d'une pression auraient pu lui briser les épaules, de ses reins qui d'un mouvement auraient pu le fendre, lui le jeune homme frêle et délicat. A force de patience et d'ensorcellement, le colosse était enfin parvenu à l'apprivoiser, à lui faire courber l'échine avec la plus grande dévotion, à faire de la peur une alliée. Machiavélique, il l'était. Monstrueux de douceur ...

Voûté sur lui, Thorvald parsema sa nuque de baisers, fit courir sa langue entre les gouttelettes d'eau et de sueur, avant d'entreprendre une danse d'un autre ordre. Il le voulait soumis, gémissant dans le feu des enfers, entre supplice et jouissance. Et son souffle dans le cou du jeune homme indiquait combien il prenait plaisir à arpenter ces étroits cheminements, tout en le rappelant à la réalité de la torture.

Sans répit, il soutint le rythme longuement, veillant à toujours maintenir Liébault dans un état d'émerveillement, ralentissant au moindre sursaut trop nerveux, affermissant l'emprise à mesure que le souffle s'étirait dans les aigus et que le corps s'épanouissait. Jusqu'à sentir poindre un désir trop puissant et franchir la frontière dans un râle animal.

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X
--Le_charmeur
Dans l'alcôlve brûlante:

Le charmeur s'était laissé entraîner dans une folle aventure. Il défit ses braies les laissant choir au sol. Il se colla contre Félicie pour lui montrer toutes les aspérités de son corps. Le whisky écossais avait fait son effet, son corps était aussi chaud que de la braise mais il lui restait encore la conscience. La plaquant contre le mur, il l'embrassa à pleine bouche retenant ses mains sur le mur. Il laissa ses mains et caressa les courbes généreuses du bout des doigts glissant de plus en plus vers la fournaise qui allait sûrement le dégorger. Elle était de flamme, cela lui rapellait quelqu'un. Il eut du mal à se défaire de ses souvenirs. Il se frotta à elle pour lui prodiguer de la chaleur.

Hum des femmes, les bordels cachent les perles rares dans ce cas. Tu sais y faire et tu vantes tes atouts, j'aime beaucoup...

Il n'eut pas le temps de dire davantage qu'elle se mit à explorer son corps de sa fine bouche le mettant en transe.
--Felicie
Voilà qu'il profitait d'elle. Il devait en avoir pour son argent lui avait-on dit précédemment, il en aurait ! Il semblait d'ailleurs tout absorbé à l'embrasser et à la caresser.
Et voilà qu'il lui parlait. Elle le coupa. Il n'avait d'ailleurs pas répondu à sa question.


Tout doux Drag, ne penses plus à rien et laisse toi faire.


Cette fois, c'est elle qui l'embrassa. Sur la bouche, dans le cou, sur les épaules, puis sur le ventre.
Elle était toujours plaquée contre ce mur, et avait chaud, tout comme lui.
Mais elle vivait la vie qu'elle s'était choisie, celle de profiter des plaisirs charnels chaque jour. Qui plus est, elle était même payée pour ! Aucune ombre au tableau en somme.
Elle se colla encore plus à lui, lui redonnant des baisers sur la bouche. Le charmeur était en transe. Comment allait-il continuer ?


Quelle est la suite du programme mon chéri ?
--Ninon_de_lenclos


Déjà, on l'invitait à rejoindre ses nouvelles fonctions...à peine virée comme une malpropre qu'elle était accueillie dans un établissement visiblement renommé! La dame tenancière lui expliquait d'ailleurs les modalités de son embauche...Et les yeux continuèrent de s'agrandir...Soixante pour cent, jamais elle n'avait été si grassement payé! Certes, elle devrait acheter bien des choses : huiles, savon, eau de rose, quelques plantes utiles pour des mixtures... Rien de très compliqué à se procurer pour une fille qui avait bossé aux étuves et connaissait bien les fournisseurs...Des arrangements seraient toujours possibles!

Un sourire enjôleur naquit sur les lèvres de la jeune femme et acquiescant à la Reyne des lieux qui la mettait en garde contre la malhonneteté, elle estima qu'elle était vraiment bien tombée! Le logis, le couvert et un salaire...que demander de plus!
Ne restait plus qu'à se mettre à l'ouvrage!

D'ailleurs, ses jambes avaient encore la trace de la boue gentiment rencontrée au dehors et on lui avait dit de se diriger vers son univers...Enlevant sa cape et la déposant sur le comptoir avec un regard pour celle qui le tenait propre et efficacement, elle salua d'un signe de tête la rousse.


J'tâcherais de me montrer digne de c'te besogne ma dame!

Et voilà notre brunette partie pour les cuves et leurs vapeurs d'eau aériennes...La porte franchie, la jeune femme toute vêtue de sa transparence s'engagea dans l'escalier et arrivant à une vis marqua un temps d'arrêt...des sons émanaient des entrailles brumeuses de la Rose!

Ainsi, les lieux n'étaient point vides...Etait ce un test de la part de sa nouvelle patronne? Elle n'aurait sut le dire, mais celà ressemblait à un râle bestial... Retenait on des animaux prisonniers comme distraction aux bains? Les gens de la haute demandaient parfois des amusements tellement...étranges!

Ninon se décida donc à avancer encore pour découvrir ce qui l'intéressait, ce dont elle disposait et ce qu'elle en ferait mais là...surprise, l'étuve n'était pas vide...
Deux hommes nus en plein...exercice se trouvaient dans l'eau délicieuse.

La fille de bain resta figée sur la dernière marche, captivée par ce qu'elle voyait pour la première fois, une diablerie qu'elle n'avait pas même envisagée mais qui devant ses yeux semblait apporter plaisir à ses deux protagonistes à en croire les soupirs extatiques qui émanaient des bouches dévorant par instant la peau du partenaire dangereusement offerte...

Ninon ne sachant trop quoi faire, et voulant se faire la plus discrète possible avisa un renfoncement de mur vers lequel elle se dirigea sur la pointe des pieds...
--Liebault


Sous le colossal assaut, l’enfant tremblait et frémissait, soumis et radieux. En rythme avec le souffle perdu dans son cou, grandissait une pensée, unique : c’est moi. C’est moi qui le rends comme ça.
L’enfant découvrait le pouvoir, le pouvoir qu’il avait sur son partenaire, le pouvoir de ce dernier sur lui, aussi. Le plaisir qu’il avait à se soumettre, à être dominé, et à savoir, du fond du ventre, que c’était grâce à lui que Thorvald était ainsi.

La joie sauvage montait dans son ventre, en lames brulantes. Il se laissait aller contre l’homme, tendant parfois sa frêle croupe vers lui, à sa rencontre, désireux de l’entendre soupirer et gémir contre sa nuque, soupirant et gémissant de concert, à mi chemin entre la souffrance et la jouissance. Exactement là où son mentor le voulait.

Il n’eut pas, un seul instant, l’impression d’être espionné. Concentré uniquement sur les sensations nouvelles, jusqu’au râle primaire qui mourut contre sa peau. Instinctivement, il se lova contre le corps courbé sur lui. Etait-ce fini ? Il n’en savait rien. Il se laissa aller à la langueur, au plaisir, alors que les souffles doucement se calmaient. Attendant, encore, un mot du colosse. Comme un chiot attend une friandise après avoir accompli son devoir.

______________
--Ocean.


Une cape boueuse sur son comptoir ! Quoi quoi quoi ! Océan attrapa le dit tissu crasseuse et qui plus est dégoulinant...Une horreur ! Elle ronchonna et l'accrocha derrière le comptoir, quelle idée de poser ça sur un comptoir tout juste nettoyé !

Enfin, elle regarda la "baigneuse" et avec un sourire se dit qu'elle aller avoir une surprise aux bains. Tout en se disant cela elle nettoya une nouvelle fois son bar, versa quelques verres de liquide alcoolisé. Océan en profita pour boire quelque gorgée de jus de canneberge, une liquide rouge et assez sucré qui était ma foi pas mauvais, du moins il y avait pire...Le nez dans son verre elle observa le manège de Zabo, elle jouait bien son rôle, on ne lui donnait plus son age.

Océan s'appuya les coudes sur le comptoir, penchée en avant elle mit son menton dans ses mains et attendit tranquillement, elle aimait bien être ici au comptoir, cela permettait d'observer sans se mouiller, c'était un peu comme un roman que l'on lisait, ou une pièce de théâtre a histoires entremêlées.
--Le_charmeur
Se laissant happer par les lèvres de velour de Félicie, le charmeur laissa un soupir d'extase s'envoler de sa bouche puis se reprenant il la regarda dans les yeux s'y plongeant avec délice.

Pourquoi j'ai ce surnom? Tout simplement parce que je flâte souvent les femmes. Humm la suite du programme, je te laisse choisir ce que tu veux.
Je n'aime pas forcer une femme à faire ce que je veux sans qu'elle le désire.


Effleurant son fessier du bout des doigts, il reporta son attention sur elle. Il avait été trop rapide, ce n'était pas ce qu'il avait voulu. Il voulait que ça dure assez longtemps pour que la situation devienne chaleureuse et insoutenable. Remontant ses doigts le long de son bassin, de ses côtes; il caressa les pommettes de Félicie avec une douceur constratant avec l'attitude de tout à l'heure. L'alcool avait légérement exagéré ses sensations, cela devait être ça qui l'avait rendu si conquérant sur un terrain qui voulait conquérir par petits bouts.

Et puis nous n'avons pas besoin de programme, nous inventerons par la suite...
Un sourire sur le coin des lèvres et un regard de braise pour une flamme vivante.
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