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La Rose Pourpre, Bordel des Miracles (2ème partie)

Le_gone_lorenzo
[ Bar : Quand les questions se retournent ]

Le jeune lyonnais sentait que son regard pesé..la jeune demoiselle ne devait pas avoir l'habitude de se faire épier de la sorte, forcement, elle était nouvelle... Il fallait simplifier les choses, faire en sorte d'avoir plus le romantisme que Lorenzo n'avait jamais vraiment eu, se contentant d'ordinaire de sourire le regard charmeur..ici les gens savaient à quoi s'attendre c'était différent.. Douceur douceur il fallait réfléchir... L'alcool aiderai..peut être à la calmer de ses ardeur...ou au contraire! Se penchant vers le bar, il s'adressa à la serveuse affairée..

Si vous pouviez m'en servir un autre, ce serait un plaisir non dissimulé..

Grand sourire charmeur, comme il savait les faire, ses prunelles d'azurs brillant encore des effets du verre d'avant... Retournant son attention sur la douce perchée à ses cotés, il écouta sa réponse, la croyant sur parole..avec l'imposant portier les protégeant, elle ne risquait pas grand chose..et les jeunes femmes présentes semblaient fort sympathique..maintenant les clients c'est une paire de manche! Il lui sourit, se voulant rassurant, pendant qu'il le pouvait.

La jeune sembla alors un temps dans ses pensées, toujours aussi impossible à deviner.. Un léger silence s'installa, sans qu'il ne devienne pesant pour autant. Le gone observait la salle dont l'atmosphère était définitivement confiné..il se demandait quel mystère resservait les lieux, n'y ayant jamais mis les pieds avant, il ignorais même qu'il y avait un sous-sol. Ses yeux se posèrent sur la reine de la cours, il la reconnu de sa prestance, mais cette dernière semblait fort occupée, de toute façon rien ne pressé..
Bientôt il écoutait la jeune brisée le silence..les questions précédemment posée lui revinrent en pleine face, bah oui que venait il faire ici ? Etait-ce le vice qui le poussait ? Car au fond, il trouvait des filles aux charmes moins onéreux sur la presqu'iles lyonnaise...Mais il lui fallait fuir les parents qu'il avait volé..fuir la vie de canut qu'on lui réservait, protéger ses mains tant entretenu qu'il aimait faire glisser sur des peau immaculés... un temps il avait même pensé devenir masseur dans la capitale de gaule... alliant plaisir et rémunération. Mais si on en croyait sa présence ici lieux, il avait surement envie de commençait bénévolement.. Payer pour adjuger des douceurs, c'était peu commun , et surtout inavouable..Il lui fallait trouver parade, pour ne pas traduire l'importance de son égo plus qu'il ne le faisait déjà.. et gagner un peu d'humilité par l'occasion. Jeux de mots pour s'en sortir ? Nous verrons bien..


Hum, c'est une bonne question demoiselle...disons que je me suis égarée dans la capitale, et que prêt à offrir des douceurs, l'inconnu de cette porte m'a attiré..

Moui, rien de très convaincant..le jeune charmeur était décidément pas des plus habiles pour mentir, il préférait d'ordinaire améliorer la vision de la réalité, mais on ne peut pas dire que c'est chose aisée en pareil lieu, la réalité étant parfois troublante en pareil lieu..les histoires se succédant , ne se ressemblant que trop peu...Cachant de son mieux sa légère moue, il la remplaça finalement par un sourire, ayant trouvé idée pour faire avancer les choses, et éviter les silences mornes dont semblait faire preuve, les hommes d'églises un peu plus loin..
Évitant les regard fuyant de son mieux, il plongea ses prunelles dans celle de Zabo, et lui confia, cette fois ci avec beaucoup plus de sincérité..


Peut être désirez vous quelque chose ? Un peu d'alcool ou quelques douceur ? Je sais que ce n'est pas commun ici lieu, mais je suis prêt à écouter tout vos désirs et faire de mon mieux pour le réaliser...en versant correcte somme il va s'en dire..

Le lyonnais sourit amusait, il venait de proposer de payer quelqu'un pour qu'elle lui confie ses désirs et qu'il les réalisent.. Le jeune garçon réservait définitivement bien des surprises...
--Zabo



Quoi? que disait-il? entendait-elle bien? Elle n'avait pas bien compris, c'est certain? Elle pensait pourtant que... En général, les clients payaient et les filles de joie satisfaisaient leur moindre envie. Il venait de proposer de payer pour satisfaire ses envies à elle? Soit c'était le monde à l'envers, soit... c'était un envoyé du Très-Haut... soit il était fou... soit...

Zabo se perdait dans ses élucubrations, peu importe de qui il était l'envoyé au final, peut-être que... son dépucelage ne serait pas aussi affreux qu'elle le cauchemardait au final! D'ailleurs, devait-elle lui dire? Oui... non... peut-être... elle était censé être une catin, pas une vierge effarouchée, et puis elle savait l'impact que l'effet "vierge" avait sur certains hommes, cette lueur de lubricité qui avait brillé dans le regard de l'homme qu'on l'avait forcé à épouser alors qu'il tentait de la forcer. Berk. Elle réprima la grimace qu'elle avait envie de faire. Ce n'était qu'un mauvais souvenir, autant passer outre.

Elle se reconcentra donc sur son jeune homme, la bouche entre-ouverte et l'air très étonnée. Quelle drôle de demande incongrue! Quels étaient ses désirs... Si elle répondait qu'elle adorerait juste deviser avec lui sans contact physique, ça semblerait sans doute... douteux... alors? il fallait mentir? encore?


Mes désirs? Et bien c'est la première fois qu'on me demande une telle chose... je... enfin déjà, je ne dis pas non à un bon verre de vin... Ensuite, pour le reste...

Elle se mordit la lèvre, une envie furieuse de lui dire qu'aucun homme ne l'avait touché, qu'elle appréhendait déjà ce moment et qu'elle ressentait plus du dégoût que du désir... non il ne fallait pas.

Alors, elle glissa sa jambe nue le long de celle du jeune homme, lentement, aussi sensuellement qu'elle le pouvait. Il fallait donner l'illusion.


Pour le reste, hé bien nous pourrions peut-être allier mes désirs avec les vôtres et nous en tirer tous deux à bon compte? Si vous le souhaitez, nous pourrions prendre un bain dans les étuves... où nous retirer dans un endroit plus tranquille. Les deux me conviennent parfaitement.

Voilà, elle tirait son épingle du jeu... se montrer souple et adaptable, peut-être que finalement elle y prendrait du plaisir, qui sait... il était gentil ce jeune homme, presque trop... peut-être que... que c'était louche? Qu'en fait, cette gentillesse cachait le pire des pervers!

Un frisson lui parcouru l'échine et elle plongea son regard dans les yeux du gone. De toute façon, les dés étaient jetés.
Advienne que pourra.

Le_gone_lorenzo
[ Le bar : Avance et mauvaises volontés ]

Quelques regards et sourires échangés, et des réponses aussi tactiles que résonnantes. De quoi surprendre par rapport aux sentiments préférant.. Mais certainement bien plus positivement..Peut être s'était elle remise de sa chute et en venait aux choses sérieuses ? Le lyonnais bien que méfiant de nature, n'en demeurait pas moins jeune, et trop peu abusé pour se douter de quoi que ce soit..
Le regard taquin, il buvait donc ses paroles, se demandant quelle surprise elle allait lui réservé..car après tout, c'était son métier...
Vin, bain, douceurs et désirs partagés, voilà qui ne pouvait que l'intéresser..Ignorant la présence de la dite étuve, il s'imaginait déjà dans un lieu confinée de luxures offrant toute intimité à qui viendrait s'y baigner..et puis, cela donnerai toute occasion de se servir de ces deux bijoux à cinq doigts, qui pourraient peut être attendrir des peaux crispées..peut être!
Léger sourire aux remarque imaginés, avant de choisir scrupuleusement les mots qui allaient marqués sa réponse. Approbation, motivation, proposition ?


Et bien..je serai plus que ravis d'allier mes désirs à vos plaisirs demoiselle, les bains me paraissent des plus approprié, et ma fois, je suis prêt à m'allier à vous pour consommer du vin, une bouteille conviendra ? Souhaitez vous la consommer ici même ou vous isolez directement ?

Prenant en main la conversation, comme si il voulait la mener, la mener où d'ailleurs ? Il se rendit par ailleurs compte de la quantité d'alcool qu'il allait consommait, non pas que cela lui causerai damages , mais plutôt qu'il risquerait de perdre la patience qu'il voulait installer..Que ce passera t'il vraiment ? On ne peut pas le prédire..
Sans même attendre l'approbation de la jeunes femmes aux jambes frivoles et douces, il interpella une fois encore la serveuse, à qui il donnait décidément beaucoup de travail.
.

Excusez moi encore charmante demoiselle, mais la jeune fille à mes cotés souhaiterait boire du vin, je serai donc d'avis que vous nous apportiez une bouteille...toujours selon votre convenance !

A ce rythme là, le trésor qu'il portait sur lui allait vite se réduire, mais il ne se faisait absolument aucun soucis quand au paiement de ces frais du soirs..Pour la suite, il verra..
Eloso
Il buvait. Pensif. Environné du babillage de ses voisins. Babillage. C’était le mot. Ils lui semblaient des enfants, l’une meurtrie, l’autre insouciant. Lui, incapable de réaliser la petitesse de sa vie, bercé de l’illusion de séduire une fille à vendre. Elle, oiseau aux ailes brisées, trainée dans la fange des rues. Oh, il l’entendait, elle se disait en sécurité, sereine. Mais elle se vendait, tout simplement. Pour survivre.

Il en connaissait, il en avait croisées, des gamines de ce genre, en bordure des armées, suivant les troupes, espérant la chance d’une nuit avec un capitaine généreux. Elles jouaient les femmes fatales, et s’endormaient avec leur peluche, quand aucun bougre n’avait cédé à leurs provocations. Il les avait observées, du haut de son cheval. Rarement, il les avait désirées, le plus souvent seul restait une forme de mépris mêlée de pitié. La brunette ne dérogeait pas à la règle, le fond de ses yeux vacillait alors qu’elle se vendait, crâneuse, à un gamin.
Il subsistait chez elle un reste de dignité, encore. Bientôt elle serait brisée, anéantie, viande à consommer sur place, enveloppée d’un voile de séduction troué.

Il ne jugeait pas, jamais. Qui était-il, lui qui avait lancé des troupes à la mort, pour condamner une enfant qui tentait de vivre ?
Le dégoût, peut-être, était le plus fort, finalement. Il considéra le jeune homme, sans aménité. Celui-là semblait se goberger de victoires faciles, qui ne faisaient que renforcer sa fierté de jeune coq aux plumes lissées.

Il fit la moue, acheva la bouteille de vin, et se leva de son tabouret. Scath s’était éloignée, et la bouteille de prune trainait toujours sur le comptoir.

La route la plus directe pour la porte passait entre les deux tourtereaux. Aussi, n’étant guère enclin à dévier, passa t-il entre la brune et le …. Jouvenceau ? Il ne se glissa pas, non, il ouvrit son chemin. Au détriment de l’épaule du jeune homme, qui n’eut d’autre choix que de s’écarter devant la sienne. Il s’arrêta même un instant, face à la femme-enfant. Leva une main, dans un relent de cuir fauve, et la laissa glisser le long de la joue de la fille, une étincelle de bonté au coin des yeux. Puis il détourna le regard, cherchant le gardien, et avança vers lui.

Mon épée, ma cape, mon chapeau.

Demanda t-il d’un ton sec, habitué au commandement.
_________________
--Zabo


Du vin, oui. Se noyer dans un verre, si s'eut été possible, Zabo l'aurait fait. Mais du haut de son strapontin, ce n'était que la dérive de sa propre vie qu'elle pouvait contempler. De toute façon, avec les cartes qu'elle avait en main, elle avait très peu de chance que sa vie ne dérive pas et finalement, ici, elle était un peu plus libre que dans la vie qu'on voulait lui imposer.

Elle sourit, et regarda intensément le jeune homme.


Peut-être pourrions nous prendre la bouteille et descendre prendre un bain? Qu'en pensez-vous?

Depuis qu'elle était entrée à la Rose et qu'elle avait entendu parler des étuves, elle n'avait qu'une envie: y faire un tour. Déjà, parce que prendre un bain et se détendre un peu lui ferait le plus grand bien, mais aussi parce qu'elle avait toujours adoré ce genre d'endroit. Il lui tardait donc de découvrir ce lieu de plaisir et de détente assurée.

A cet instant précis, il se passa quelque chose d'étrange, elle était encore perdue dans ses pensées et le soldat, près d'eux se leva. Le temps se figea. Il passa entre Lorenzo et elle, elle releva les yeux, il la regarda et un caresse vint frôler sa joue. Un frisson. Etrange sensation.

Son regard la bouleversa, il y avait une grande tendresse, non pas un de ces regards de désir, ou de mépris, juste de la tendresse, de la compassion. En un éclair, elle vit la vie qu'elle n'aurait jamais. Elle vit l'amour qu'elle ne connaîtrait jamais. Une vie qui n'était pas la sienne. Un léger soupire glissa entre ses lèvres et une brusque envie de s'effondrer en larmes la saisit. Mais, ça n'était pas sa vie. Elle ne serait pas éperdument amoureuse d'un bel homme qui la choierait et la respecterait, elle ne serait pas entourée par une famille aimante, elle ne découvrirait pas la joie d'être reconnue dans une caste sociale qu'elle avait refusée d'elle-même. Non, cette vie n'était pas la sienne. Et le rêve s'envola, accompagnant le soldat compatissant.

Retour à la réalité, elle lança un doux sourire à son jeune homme et sauta lestement de son tabouret dans un froissement de tissu. Elle tendit son bras à Lorenzo et s'y agrippa fort. Il fallait prendre les choses comme elles venaient.


Alors, un bain? Messire Lorenzo?

Elle était terriblement tentée, se retrouver dans les vapeurs enivrantes l'attirait et elle espérait de tout coeur qu'il dirait oui.

Scath_la_grande
[Du ciel de fauve à l’orage]



Qui avait été le plus goupil des deux ? Lui assurément, l’âge, l’expérience, tout cela avait pesé dans la balance, de son côté à lui.
Le voilà la charriant comme un pêcheur remontant ses filets, et elle tel un poisson hors de sa sphère, agonisante à l’air, elle s’était prise dans ses gréements.
Et au lieu de jouer, elle s’était laissé enjôler. Troublée, envoûtée par les yeux sombres, la rouquine avait filé directement dans les rets sans même réfléchir un instant. Le désir charnel, sentiment encore instable pour elle, avait rué dans son être, et Scath, piètre cavalière n’avait su brider par la longe l’animal qui l’habitait.
Pas encore, il lui manquait encore un peu de pratique pour savoir consumer le corps sans se brûler l’âme.

El Oso la tenait, le creux de ses reins dans la moiteur de sa pogne. Comme une bête à l’affût, elle le regardait, la fièvre rongeant son bas-ventre. Un mot de lui, et elle aurait été sienne, pour quelques heures, une nuit peut-être, juste le temps de satisfaire leur faim.

Et alors qu’il se penchait sur son cou palpitant, le souffle chaud se perdant dans le feu de sa chevelure, elle y croyait, La Grande, dur comme fer, que le baiser se trouverait au bout de ses lèvres.
Déception. Amertume aux paroles masculines.
La vestale matinale, récemment déchut de son état, était à présent déchue de son rôle de prêtresse sybaritique nocturne.

L’homme lui glissa quelques mots dans le but d’amadouer un peu la rouquine. Assagir un appétit qu’il avait lui-même nourrit…
Les yeux embués changèrent comme la moue sévère qui vint s’installer sur le museau de la demoiselle.

Le cou, les vermeilles, l’albâtre de sa peau, tout cela resta orphelin de douces caresses, de tièdes baisers… il l’abandonna là, avec son désir en latence qui lui vrillait les tripes à en hurler de douleur.
Comme seule compagnie, une bouteille de prune pour laver l’affront que le brun lui avait fait. S’en était plus qu’odieux pour la belette.
Elle serra les poings, écumant sa rage intérieure pour ne rien laisser transparaitre.
Ne pas lui donner cette ultime victoire.

Garder la maîtrise d’elle-même en pareil moment, fut une tâche bien plus ardue pour la rousse qu’elle ne l’aurait pensé. La gifle cinglante pendait déraisonnablement au bout de ses doigts, et elle dut se faire violence pour ne pas être tentée par ce geste.
Plantée vers l’escalier, la carcasse si raide qu’elle ne pouvait se mouvoir sans que son corps n’indique sa colère, le temps fila jusqu’à ce que l’ours se lève, pour partir.
Non, il ne partirait pas avant ELLE, ça serait une humiliation de plus, une que Scath ne pourrait encaisser ce soir.

La morgue au visage, elle glissa dans le pourpre sans bruit aucun, les doigts effilés se glissèrent sur un tissu sombre posé négligemment sur un tabouret. Sa cape laissée là, plus tôt dans la soirée. Mouvement ample, gracieux et l’étoffe siégea sur le frêle des épaules. Deux pas, puis un, la séparait de lui. El Oso réclamait ses affaires, Scath le dépassa d’un pas vif.

Juste le temps pour la rousse de se retourner, lui adressant un regard crépusculaire des plus mauvais, l’orage s’était installé sous les sourcils automnaux, assombrissant ses fauves. Les cheveux roux disparurent sous le capuchon, lorsque la rouquine poussa la porte de sortie.

L’air dehors était puant, et le museau délicat de la belle se retroussa sous l’agression olfactive. Maintenant, il fallait qu’elle retrouve son auberge et la vieille grincheuse, elle avait payé sa nuit, et n’allait pas gaspiller d’autres monnaies pour ça. Elle prit dans un de ses mains un pan de sa robe afin qu’elle ne traîne pas dans les souillures, tandis que l’autre restait en alerte, prête à foutre un coup de gnon dans le tarin du premier inconscient qui l’approcherait.
Merdasse, pourquoi qu’elle avait oublié sa dague à l’Auberge du Pendu ?

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"Seul Dieu est mon juge"
Le_gone_lorenzo
[Le bar, plus pour longtemps : Stupeurs et Douceurs]

Le regard du jeune gone s'illumina, non seulement elle acceptait, mais en plus elle semblait plus que motivé, de quoi sous entendre un bon moment à passer...à voir si ses désirs s'allieront définitivement au sien..ou si il allait falloir les créer.
Petit sourire en coin, se demander si il ne préférait pas les créer justement, poussait la luxure et la tentation au plus haut point, pourraient s'avérer plus qu'amusant avec une si charmante demoiselle, alliant tendresse et douceurs en toute intimité avec chaleur et humidité à souhait.. Plus qu'espérer, vraiment plus qu'espérer..Et les surprises ne faisaient surement que commencé.

S'apprêtant à acquiescer de manière plus que motivé, le jeune lyonnais alors en contact avec Zabo, se retrouva dans une situation qu'il n'avait pas imaginer jusqu'à présent. Légèrement penché vers la douce demoiselle, il fut bousculer par l'étrange soldat qui n'avait pas cesser de faire des allez retour, laissant par la même une bouteille à moitié pleine (optimisme quand tu nous tiens). Complétement écarté de sa convive,il eu regret d'observer que la démarche de l'homme avait définitivement ralentis le regard posé sur la petite.. L'allure imposante de soldat avait alors dû faire place à l'homme, mais le lyonnais n'en voyait que trop peu pour pouvoir en juger. Décidément, il ne comprenait vraiment pas ses soldats alliant dureté à tendresse inavoué..Il avait refusé les charmes d'une charmante rousse puis ensuite s'était ravisé, retournant au bar pour consommer.. Étonnant, mais est-ce vraiment utile ? Peu importe. Une fois l'homme effacé, le canut eu du mal à reprendre ses esprits, partagé par ce qu'il venait de se passé, et troublé par le regard de sa jeune complice qui semblait éloigné.. Le doute commençait à l'envahir, lui avait il susurrer quoi que ce soit ? Était-ce simplement un regard, se connaissait il ? Tant de questions qui ne trouverai jamais réponses, c'est un fait.

Mais un voix mélodieuse et enjoué le sortit enfin de ses pensées, et lui redonna toute bonne volonté. Retour à la réalité, au profit du moment présent. Aucun doute que ses stupeurs seraient bientôt oublié, laissant place au plaisir d'un peu de douceur, il n'y avait définitivement pas place au tremblement. Se levant à son tour après avoir laissé une de ces bourses sur le trottoirs, suffisamment pleine pour payer le double des consommations..il se laissa agrippé le bras prêt à se faire guider.
Lui souriant, il répondit d'un ton charmeur, fraichement retrouvée.


Ce serait un plaisir que je ne pourrai dissimulé, je vous suis..

Lui adressant son plus sincère des sourires, il lui offrit par la même un regard du même registre, faisant brillé ses prunelles d'une façon qu'il n'avait que rarement égalée. Un peu de chaleur qu'il ne trouvait pas si facilement, d'usage froid sous la volonté de ses parents. Les choses changeaient, lui aussi.
Attrapant de son autre mains bouteilles et ballons retournés, il adressa un signe de tête et un sourire non dissimulé en remerciement pour la barmaid. Une des rares à voir le ballais s'enchainer sans jamais y prendre part.. A tord..ou à raison.
Charmé, et dans l'illusion complète de ses sentiments, ce n'est que le cliquetis marqué de ses écus sonnant et trébuchant, qui le ramena à la raison. Cette luxure avait un prix, et ce bain n'était pas gratuit. Parcourant la salle du regard à la recherche de La Succube, il posa ses yeux sur elle avant de se tourne vers la jeune fille accroché à son bras, pour ne pas dire coller..


Douceur, ne devrais-je pas payer avant de me relaxer dans la luxure des étuves ?

Sa voix était douce, elle le changeait, certainement grâce à l'illusion de complicité qu'elle avait su installer, bien meilleure actrice que lui cela allait de soit..Mais ne l'ignorait il pas ? Arroseur arrosé, ou inconscience juvénile, l'avenir dictera le sentence..
--Liebault


[Aux bains]

Merci, madame!

Un sourire radieux éclair le visage de celui qui n’est plus puceau. La phrase de sa professeure le conforte dans sa position de mâle viril, même si son expérience entre les bras du gardien le conforte dans l’idée que d’une part, il faut rester ouvert d’esprit, et que d’autre part, son endurance à l’effort laisse encore à désirer.
Le sourire s’élargit alors qu’il recule d’un pas, se séparant du corps doux qu’il enlaçait encore, et la regarde une nouvelle fois, toute pudeur disparue dans ses yeux. Quand on a fait ce qu’on vient de faire avec une femme, même si on doit la payer, on doit pouvoir la regarder sans en rougir après, non ?


Vous êtes belle madame.

Il caresse du bout du doigt son visage, et spontanément, pose ses lèvres au coin des siennes.

J’reviendrais vous voir je crois madame, il me reste encore beaucoup de choses à apprendre, n’est-ce pas ? Nouveau sourire alors qu’il se dirige vers l’endroit où sont posés ses vêtements, après avoir rendu la jolie robe translucide à sa propriétaire, puis, alors qu’il enfile ses braies de lin fin : Vous avez dit que les femmes avaient mal quand c’était la première fois qu’elles faisaient … euh… ceci. Une pause, alors qu’il bataille pour mettre sa chemise dans le bon sens, c’est qu’il ne s’est jamais, ou presque, vêtu sans valet. Celle que je vais épouser bientôt… ça sera son cas, je crois… A quatorze ans, une fille de bonne famille, normalement c’est encore une pucelle non ? Je ne veux pas la blesser…Diable ! comme ces lacets étaient compliqués à passer dans les œillets ! Ah ! voilà, il a fini par y entrer ! Rougissement, il va encore passer pour un niais ne sachant pas s’habiller sans aide, la dame refuserait certainement de le revoir, après ça ! Je voulais dire… Je ne voudrais pas la blesser, je ne veux pas qu’elle me déteste et… Soupir d’appréhension, alors que dans sa tête il compte le nombre de semaines qu’il lui reste : trop peu. Vous m’apprendrez comment lui plaire ?

Il abandonne l’idée d’enfiler le gilet et le mantel brodé, de toutes façons il faisait trop chaud. Une botte, puis l’autre, le reste de ses affaires roulées en boule comme probablement tous les adolescents du monde le faisaient, sous son bras, il se pencha à nouveau sur celle qui l’avait initié au plaisir des femmes, rougissant, et la regarda à nouveau, les yeux gris s’attardant sur les courbes.
Un sourire encore, éclaire son visage, ça y est, il est un homme, et c’est grâce à elle.


Voulez vous boire quelque chose Madame ? Je remonte maintenant, au bar, car j’ai grand soif. Vous pouvez m’accompagner si… si… si vous me… euh… le désirez.

Ca y est, il s’empêtrait encore. Il avait des progrès à faire, ça oui ! Peut être que Thorvald était encore là haut, comme ça il pourrait l’observer, pour savoir comment il fallait se comporter avec les dames ? Les joues rougies d’embarras, il réussit tout de même à sourire, encore. Il était un homme !
_________
--Ninon_de_lenclos


Rien qu'avec cette phrase et surtout aussi grâce à ce déniaisage en règle, elle avait eut le droit à un peu de respect et un merci...c'était assez déroutant!

Les corps se séparent, Ninon se relève et se frotte un peu le fessard qui était dans une position inconfortable. Et contre toute attente, un baiser vient se poser à la comissure des lèvres provoquant un effarement qu'elle essaye de ne pas laisser paraître. On n'embrassait pas les catins surtout dans cette zone là..enfin, il était jeune et innocent...autant ne rien lui dire et oublier.

La brunette continue d'observer le jeune homme qui déjà s'affaire avec ses habits, alors qu'il lui a rendu les siens. Il semble empêtré dans cette multitude de tissus...Des choses à apprendre songe-t-elle, oui comme tout ex-puceau, il devrait apprendre bien d'autres choses!


D'sons qu'vous n'avez eu qu'un bref...apperçu des choses d'l'amour m'ssire Liébaut! J' dirais que ça corresponds à...c' que l'Eglise tolère en somme!Et la r'ligion ne tolère pas grand chose!!!fit elle en pouffant.

La robe transparente avait repris place sur les courbes féminines, remettant en place les rôles de chacun! Alors que le petit palabrait toujours au sujet de son mariage à venir...Ninon s'atait approché du baquet dont elle avait enlevé le linge avec habileté et une fois cela fait, elle l'avait posé dans un recoin sombre de la pièce pour le mettre plus tard à laver.

Soudain, elle s'était arrêtée, il voulait qu'elle lui apprenne à satisfaire une épousée, une fleur toute fraîche...quatorze, un bouton de rose à peine éclos!
Grand dieu! Comment lui faire comprendre que cette première fois ne serait certainement pas un amusement pour la donzelle...


J'vous apprendrais à la détendre,ça d'vrait aider à c' que les choses s'passent bien! Mais n'vous attendez pas à c'qu'elle s'amuse la première fois hein! Les fois suivantes si vous savez vous y prendre, mais pas la première fois! Enfin à mon humble avis!elle esquissa une ridicule révérence.

Et voilà que maintenant elle vidait le bassin dont l'eau sale ne serait plus d'une grande utilité, lui offrant la vue d'un postérieur rebondi, appétissant. Voilà qu'il proposait à boire, mais Ninon voulait se faire désirer un peu plus encore et surtout découvrir davantage les lieux, elle déclina poliment son offre!


C' serait avec plaisir m'ssire Liébaut...mais, j' dois remplir c' baquet pour d' prochains clients et aussi faire l'inventaire d'c' qu'il m' manque pour p'voir acheter tout ça...C'prenez bien qu' j' dois satisfaire la maquerelle si j' veux garder ma place et vous servir d' nouveau!un sourire enjôleur ponctua cette décision.

Et attrapant la joue du jeunot, elle y déposa un baiser délicat qui laissa sa trace de rouge avec légerté.
--Liebault


D’accord! Au revoir Madame!

Il lui sourit une dernière fois, radieux, et grimpa les escaliers, ses vêtements toujours roulé sous le bras. Revenu à l’étage, il fureta un peu dans les alcôves, cherchant son précepteur, à qui il fourra les vêtement dans les bras.

Tenez, Maitre, gardez moi ça puis allez faire un tour aussi, moi je reste ici encore un peu. Jusqu’à la fermeture, au moins, enfin, il l’espérait. Il ne laissa de toutes façons pas le temps de répondre à l’homme et le délesta de la bourse d’or confiée par son père, avant de s’en retourner vers le bar.
Il sourit à la jeune fille qui servait, radieux, fier de sa toute nouvelle assurance, d’être enfin un homme, et tout.


Je voudrais un verre de vin, madame s’il vous plait.

Il se percha sur un tabouret, et regarda autour de lui, observant les arrivées et départs depuis qu’il avait disparu dans les étuves avant le colosse. La nuit avait du bien avancer, mine de rien… Qui était là ?
____________
--Mme_madeleine
Absence…
Elle a eu une absence.
Là, dans cette salle maintenant bondée de monde, où la chaleur montant des bains souffle sur son visage ridé à chaque fois que l’huis s’ouvre.
Ses yeux n’avaient point quittés la petite Ariane. Ses prunelles avaient suivi chacun de ses mouvements. Son visage s’était crispé à chaque main posée sur son petit corps, à chaque frôlement de doigt sur sa peau vierge de toute étreinte.

Un étrange balancement s’était emparé d’elle. Une litanie de prières avait tourbillonné en son esprit. La sauver. La retirer des griffes de ce bordel. L’offrir à son Seigneur. Cette petite ne devait pas se retrouver entre les mains d’un homme, elle était encore trop jeune pour ça.

Prise par ses pensées, l’intendante ne voit pas le manège qui se trame au comptoir. Elle ne voit pas la rousse s’approcher de la jeune Ariane. Elle ne voit pas les deux corps qui s’éloignent et disparaissent derrière le rideau, dans l’alcôve. Derrière ses paupières closes, se forment des images plus vertueuses que les scènes qui se jouent à l’intérieur de la Rose. Petite menotte dans sa main, Mme Madeleine s’imagine rejoindre son Seigneur, Ariane à ses côtés. Et Dieu sourit, car enfin, elle a réussi sa mission. Celle de sauver une âme qui se destinait à être perdue.

Un bruit de bouteille la ramène cependant à la dure réalité. Un coup d’œil furtif dans la grand salle. Ariane ne se tient plus sur son tabouret. Vide.
L’angoisse s’empare alors de la pieuse femme. Où l’enfant a pu donc bien passer ? Un homme s’est-il finalement emparé d’elle ? Dieu, comment a-t-elle pu relâcher sa surveillance ainsi et la laisser aller à ce supplice. L’inquiétude l’emportant de plus en plus, elle cherche des yeux le petit corps revêtu de cette simple robe blanche. Immaculée. Tout comme elle. Mais si elle ne la trouve pas, Ariane ne le resterait pas longtemps.

En un frôlement de tissu, une jeune femme passe devant elle, plateau en main. La silhouette est suivie des yeux, avec attention. Peut-être le plateau doit-il rejoindre l’enfant et un homme en une chambrée de l’étage ? Elle doit en avoir le cœur net, elle ne peut souffrir plus longtemps de ne savoir où est passée sa protégée.
Une fois la nouvelle employée de la Rose redescendue, l’intendante se faufile dans les escaliers, cœur battant de déranger des couples en plein ébats. Il lui faudrait beaucoup de prières pour se remettre de ce spectacle si par malheur celui-ci devait se retrouver devant ses yeux.

Une à une, les portes sont ouvertes, mais les pièces restent désespérément silencieuses.

Angoisse vissée au visage de décevoir son Seigneur pour avoir failli à sa mission, Mme Madeleine redescend les marches, au bord de l’évanouissement. Accepter ce travail en ce lieu n’était peut-être pas une bonne idée si elle échouait dans chaque œuvre qu’elle se devait d’accomplir.

Immobile sur la dernière marche, elle jette encore un regard sur le personnel de la Rose et les clients. La honte va la prendre, quand un éclair blanc apparaît au sortir de la cuisine. Ariane, enfin. L’enfant est là. Son cœur se remet à battre un peu plus sereinement. Un test. Oui voilà, c’est ainsi. Son Seigneur a voulu voir si elle irait jusqu’au bout, si son engagement est sincère. Silencieusement, elle s’écrit : Oui mon Seigneur, il l’est !

S’approchant d’Ariane, main crispée sur le comptoir, faux air détendu sur le visage, elle chuchote doucement à son oreille.


Je dois te parler mon enfant. Sur le champ.


Il était temps de prendre les choses en main. Elle vivante, jamais cette enfant ne connaîtrait les plaisirs de la chair. En tous cas, pas si jeune, et sûrement pas avant de s’être engagée devant Dieu lors de son mariage.
Un regard soucieux fait le tour de la pièce, examinant tous les recoins. Ce ne serait pas le moment que Mme Succube surprenne cet échange.


--La_voleuse


La nuit avait envelopper la ville de son manteau sombre, des hommes couraient dans la ruelle à la recherche de quelqu’un en entendant leurs paroles « elle doit pas être bien loin la maraude, elle va payer très cher si on l’attrape … maudite voleuse ... » en bousculant une personne encapuchonner contre la porte avec rage.

BAMMMM !!!

L’encapuchonner butta contre le bois mais ne préférait rien dire à cet affront.

Trop stupide ou trop ivre ils ne s’étaient pas rendus compte que la personne qu’ils recherchaient était sous leur yeux enfin on va dire que l’obscurité de la ruelle l’avait légèrement cacher, tant pis pour eux et tant mieux pour elle. Un sourire de satisfaction s’afficha sur le visage dissimuler par la capuche, elle sorti sa main qui contenait une bourse pleine d'écus, un butin si durement gagner pour une voleuse.

Son attention fût attirée par les bruits qui provenaient de cet endroit, c’était de loin des cris de douleurs ou autre mais bien au contraire. Elle savait qu’il y avait un lieu comme celui-ci dans les bas fond de Paris mais elle était loin d’imaginer qu’elle y était devant.

Ce genre d’endroit était bien gardé, personne ne pouvait entrer à moins de faire savoir qu’on le désirait. Aurait-on cru qu'elle venait de frapper à la porte afin d'entrer, cela serait intéressant de voir ce qu'il se tramait à l'intérieur.
Eloso
Regard de glace sur les prunelles fauves.
Ca n'était plus le moment. Plus le moment de le séduire, et surtout pas celui de le provoquer.
Il s'était fermé, d'un coup. Pressé de reprendre la route, de retrouver la chaleur de certains bras.
Il était comme ça. Versatile. Et quand il se glacait, quand son visage pâlissait, quand il sentait, à chaque mouvement, vibrer les nerfs, se ramasser les muscles, quand l'adrénaline fouettait son sang, il n'avait plus de limite.
On le prenait souvent pour un soldat. Il n'en était pas un, pas vraiment. Mais il avait de la guerre l'implacable expérience de la mort donnée, l'impérieuse necessité de frapper avant de discuter.
Et la patience lui seyait si mal...

Pour un instant, il n'était plus blasé, et il lui fallait sortir, ne pas voir la gamine descendre aux bains, éviter de saigner le colosse qui veillait sur le cheptel, ne pas briser la nuque du môme, ne pas balayer, d'un revers de tabouret, l'alignement des bouteilles, ne pas en planter une dans la gorge du religieux.

Mon épée, ma cape, mon chapeau !

Le ton se fit plus insistant, plus autoritaire.
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Thorvald_
Thorvald devait être en train de butiner le cou de sa Reine derrière un voile de l'entrée au risque de se faire mordre atrocement. Il n'avait pas vu le temps passer !

Quand il avait quitté le bar pour faire entrer le jeune homme, le couple de la rousse et du soldat semblait bouillir de désir. Aussi ne s'étonna-t-il pas de la voir sortir, certainement l'emmenait-elle chez elle. Si les catins de l'extérieur commençaient à venir chercher les clients à l'intérieur même de la Rose, il allait falloir sévir. Il mémorisa son visage. Il n'était pas dit que la petite rouquine passe la porte avec autant d'aisance la prochaine fois. Il s'imaginait déjà les mille manières licencieuses dont il pourrait lui faire payer le passage ... Et son regard quitta la petite silhouette qui disparut dans la nuit.

Déjà l'homme demandait ses affaires pour partir, mais le ton était étrangement hargneux, empli d'une rancœur insolite. Se connaissaient-ils avant ? Était-il venu la chercher ? Le simulacre de la séduction avait-il fait naître en eux des tourments qu'ils ne soupçonnaient même pas ? Thorvald ne le saurait sans doute jamais.

Le colosse haussa un sourcil désapprobateur à l'attention du râleur. Il n'était pas d'usage de lever le ton à la Rose, si ce n'était pour évacuer la douleur d'autres supplices. Il jeta un coup d'œil vers Océan pour vérifier qu'il avait au moins payé son dû à la maîtresse des boissons, et ouvrit le coffre des armes pour lui rendre son bien.

Il est encore tôt pour quitter la Rose. Enfin ... Bonne nuit, sire.

Pendant qu'il parlait, on frappa. Il ouvrit. Encore une demoiselle perdue qui allait faire fuir la clientèle ?
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X
--Ocean.
Océan n'eut pas le temps de dire au revoir au soldat qu'il partait après l'avoir payée. Elle haussa les épaules, lunatique le gars...

Après quoi elle vit revenir le gamin, celui qui était parti avec le portier au bain, il avait les joues rosies, et l'air totalement détendu, elle ne put retenir un sourire amusé.

Tranquillement elle lui servit un verre de chianti et lui demanda:

"Alors Monsieur, votre soirée a la Rose se passe comme vous voulez?"

Ses yeux gris le détaillèrent et elle esquissa un sourire amical.
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