Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7, 8, 9   >   >>

[RP] Des Loups dans la Campagne...

Galahad*
[Près de la meute des chiens, Sud de la Forest]

Galahad écoutait le baron et ami, puis il lui répondit.

Seigneur, apercevoir des traces ne veut pas dire que nous prendrons des loups. De plus, je suis sûr qu'ils nous ont humer de loin, bien avant notre entrée en forêt. Il est toujours aux aguets, cherchant à sentir les dangers ou les occasions de manger. Il ne faut pas oublier que le loup est un coureur agile et résistant. Il va se sentir en danger et il va certainement nous fuir. Il peut courir plus vite qu'un cheval ! N'oubliez pas baron, que le loup fuit l'homme ! Les traces que vous avez aperçu et que j'ai vu également ne sont pas fraîches, mais nous pouvons être sur son territoire. Si meute il y a, le couple dominant a du faire comprendre à leurs congénères de partir rapidement. La chance que nous pouvons avoir, c'est qu'au crépuscule ou à l'aurore, les loups chassent. Nous pouvons surprendre un solitaire ou un égaré.

Galahad salua Nkhan d'un signe de tête et suivant son ordre, il piqua Zéphyr qui fit un bond en avant. Sa monture, en quelques bonds, parvint près des chiens et de leurs maîtres.

Vous allez aller droit devant vous sur un quart de lieue et vous ferez un arc de cercle. Je veux voir tous les trente pas un homme et ses chiens. Tenez-les fort, qu'aucun ne s'échappe de votre étreinte, je ne donnerai pas cher de votre canidé, la mâchoire d'un loup est trois fois plus puissante que celle d'un chien ! Gardez le vent dans votre dos ou sur le côté. Cela vous permettra de pousser les loups vers la ligne du baron ! Si jamais, vous voyez un louveteau désemparé, ne le touchez pas, ne le tuez pas ! Ignorez-le, il retrouvera ses parents naturellement. Sinon, n'ayez crainte, avec les aboiements de vos chiens, vous ne rencontrerez pas de loups !

Galahad avait préféré rassurer les hommes, un loup chassé pouvait devenir très dangereux. Il devança la meute de chiens. Il tenait fermement son épieu d'une main, prêt à toute éventualité. Du haut de sa monture, il ne craignait pas grand chose, il pouvait voir parfaitement les alentours, mais il se méfiait du mondre buisson ou bosquet, cachette idéale d'un loup à l'affût.
_________________
--Grisardleloup
[sent la présence des chiens ]

Sa meute a disparu derrière un butte. Les traces sont cependant visibles dans la neige. Grisard sait qu'il est abandonné. C'est le lot de tous les vieux loups. Il tente une dernière manoeuvre pour protéger leur fuite, se roule dans la neige , se met à courir en tous sens, revient sur ses pas.
Un hurlement ?...fuyez! a t il envie de hurler, fuyer ! ils arrivent !..." .
Grisard cherche désespérément une cachette, trouve un enfoncement et s'y blotti, tous ses sens en éveil...espérant que les chiens passeront...mais le vent porte déjà leurs odeurs....il se battra jusqu'au bout, pour l'honneur...
Axelthebigkille
a quelque dizaine de metre de nkhan sur sa gauche , dans la foret

axel execute l'odre que le baron fait circuler dans les rangs et change sa direction pour avoir le vent de face . le frai vent d'hiver puis reprend sa marche toujours a une allure sereine en essayant de ne pas faire trop de bruit[/i]
--Un_lobito_bueno


[A l'Est de la forêt, sur une petite butte]


Ma patte a gonflé... j'ai eu beau la lécher, à force de bondir de tous côtés, cela ne l'arrange pas. Bien sûr, je pourrais m'arrêter et attendre mais je ne peux rester sans retrouver maman. En plus la neige me brule... c'est étrange, d'habitude j'adore cela la neige mais en ce moment...

J'arrive maintenant dans une clairière. La neige y est tâchée de sang. Chic ! Ça, c'est maman et ses copines qui sont passées par là... Tiens, non je ne sens pas leur odeur. Au contraire, ça sent rudement fort et pas bon... La charogne, cela oui c'est normal mais il y a autre chose...

Beeeuuurrrkkk... qu'est ce que c'est que cela ? Des renards... Trois renards éventrés et accrochés sur un sapin ! La mère et ses deux petits... Ils ne sont pas vraiment décomposés, le froid les a conservés... En tout cas aucune chance que je puisse en manger, la chair est trop dure.

Ça ne me fait pas vraiment pleurer, parce que les renards je n'aime pas trop. Des voleurs de poules de mauvaise réputation, on dit même qu'ils vont jusqu'à attaquer les louveteaux comme moi pour les saigner.Mais quand même, là, ces petits renards éviscérés, cela va trop loin...

L'autre odeur, c'est celle de ceux qui les ont chassés, puis qui leur ont mis les entrailles à l'air. Quelque chose qui ne se lave pas souvent et qui ne se lèche jamais... C'est étrange il se mêle à cela une odeur de rose, on dirait que le chasseur ajoute cela pour dissimuler la sienne. Il ne doit vraiment rien sentir pour s'imaginer que cela cache sa sale puanteur de massacreur. Ce n'est pas un loup mais qu'est-ce-donc ?

Maman me l'a expliqué : la chasse c'est la vie. Le loup qui tue pour le plaisir est un loup perdu pour son peuple. Nul ne hurlera plus avec lui. Nul n'accepter de partager sa tanière. Nul ne gambadera avec lui sous les vertes frondaisons par un soir d'été quand les feuilles frémissent sous la chaude brise. Il finira fou et solitaire, hanté par les visions de ses carnages.

Je n'ai pas envie de croiser la bête qui a fait cela... quel plaisir a-t-elle pu y trouver ?

Toujours pas de traces de maman. Je hume le vent. Au loin vers l'endroit où le soleil se tient quand il fait le plus clair, mais pas si loin, il y a des bêtes qui galopent... beaucoup de bêtes... Que se passe-t-il ? C'est un jeu ? En tout cas un tel rassemblement, maman ne manquerait surement pas ça. Ce serait l'occasion d'une bonne chasse.

Je vais aller par là...

Nkhan
[Dans la forest..ordonné et prêt à la chasse..ligne de battue Sud-Est]

Le Baron avait apprécié les conseils de son vassal et ami..et les avait accueillis avec un hochement de tête approbateur..
La ligne s'était réorganisé tant bien que mal, tandis que Galahad prenait la direction de la meute de canidés..

Nkhan, toujours perché sur son destrier...regardait les hommes à ses côtés..certains semblaient transis de peur..tandis que d'autre, le menton haut, semblait heureux de se dégourdir les jambes..

La ligne continua à avancer..

Quand soudain..son destrier piaffa...il sentait la présence de quelques animaux..Nkhan essaya de calmer la bête..et affuta son regard sur les fourrés..une silhouette passa devant son regard..quelque chose qui ressemblait à un loup..la carcasse semblait bien vieille..un loup égaré sans doute...

Ni une ni deux, Nkhan donna un coup de talons à sa monture et intima l'ordre aux personnes de la ligne de faire mouvement..

_________________
GAN Un parti qui vous défend, qui vous respecte, et qui a des valeurs!
Geremy_freeride
[Dans la forest..ordonné et prêt à la chasse..ligne de battue Sud-Est]

Geremy, après s'être mis en position avança a vitesse soutenue derrière le baron.

Il était tellement concentré que le piaffement, soudain, de la monture du baron le fit sursauter.

Il entrevu une forme, une silhouette qui semblait bien être se qu'il pensait, un loup.

Il sentit les hommes derrière lui tressaillir, mais lui est il en était fier n'avait point peur!

Il leva les yeux vers le baron et celui ci ordonna de faire mouvement

Ce qu'il fit sans dire un mot ...

_________________
--Grisardleloup
[tout près des chasseurs du baron]

Ils étaient proches. Grisard avait à peine eut le temps de filer se cacher qu'il senti déjà l'odeur des chevaux.
Il ne lui fallu qu'une fraction de seconde pour prendre sa décision : il devait protéger la fuite de sa meute.
Le vieux loup rassembla ses forces et, se redressant d'un bond, ressorti de l'enfoncement, fila d'une traite presque sous les jambes des chevaux faisant piaffer l'un d'entre eux, fit demi tour, grimpa sur une petite butte, s'arcbouta, gueule ouverte, crocs en avant, épaules saillantes, queue droite en signe d'attaque et poussa un grognement sourd
Il pensa : "mourir oui...mais ils vont le payer.."
Galahad*
Galahad sentit un danger, les oiseaux ne chantaient plus et son cheval Zéphyr renâclait fortement. Il regarda les hommes et les chiens qui ne s’occupaient guère des détails de la forêt, continuant à avancer droit devant eux. Faisant un tour d’horizon, Galahad fut étonné de ne plus apercevoir un suiveur et son molosse. Il y avait 60 pas, à présent, entre deux équipes, celles-ci progressant entre des bosquets. Manifestement, le trou dans la ligne était béant et personne ne s’en inquiétait. Chacun devait penser que le maître et son chien avait pris du retard dans l’avancée sur un terrain encombré.
Galahad, fronçant les sourcils, tira sur la bride de Zéphyr et lui fit faire une volte-face pour faire le chemin inverse. Il ordonna à la ligne de s’arrêter un instant. Il n’eut pas longtemps à comprendre la situation. Un homme, assommé, gisait à même le sol et son chien, la gorge broyée était à ses côtés.


Soyez sur vos gardes, danger il y a ! Sonnez du cor pour prévenir que nous avons un contact !

Instinctivement, des chasseurs se rapprochaient entre eux alors que certains venaient sur Galahad et le blessé. L’homme se remit de ses esprits, après avoir eu un linge mouillé sur le front où une énorme bosse apparaissait.

Que vous est-il arrivé ? demanda Galahad qui était à ses côtés.

Je … Je ne me souviens plus très bien. Une forme, une puissance incroyable m’a projeté au sol, mon chien a à peine gémi. Je suis tombé sur une pierre et avant de perdre connaissance, un museau m’a reniflé, un grognement et des dents menaçantes près de mon visage. Ensuite, plus rien…..

Dans quelle direction venait-il ?

Le peu que je sache, c’est qu’il est venu sur mon côté droit, un peu en arrière. Je n’ai rien vu, mon chien n’a rien senti et pourtant il était là, tapi !

Galahad fit relever le chasseur et escorter en arrière. Un village n’était pas très loin d’après les dires de certains.

Messieurs, nous avons dans le secteur un loup. Deux solutions se trouvent devant nous. Ou, il court droit devant lui et sera surpris par les hommes du baron ou il a décidé de rebrousser chemin. Si c’est le cas, nous ne le rattraperons jamais.

Galahad demanda aux hommes de presser le pas et de rejoindre la ligne du baron. Il y avait peut-être une chance de surprendre le loup.
_________________
--Grisardleloup
[fuit mais fonce vers les hommes du baron]

Grisard, la geule en sang, fonce droit devant lui. Le chien n'a pas résisté à son attaque et l'homme est tombé...il n'a pas le temps de s'inquiéter du reste...fuir, fuir au plus vite....protéger la meute qui doit certainement être hors de portée maintenant ?...il court, s'essoufle dans la neige dense, laissant derrière lui des traces trop visibles...
Tout à coup il sent une, non ..plusieurs présences à ses côtés. Trois autres loups l'ont rejoints....
--Loupblanc
[ fuit les bruits et le pré où il a tué le mouton - va donc échapper à Nkhan mais se dirige sans le savoir droit sur Valézy]

La meute a trainé la bête le plus loin possible à couvert. Dans la neige une longue trainée sanglante est visible. Loupblanc sait qu'ils ont peu de temps.
Il arrache le morceaux de choix qui lui est réservé, laisse Louve en faire autant puis abandonne l'animal à la meute. En un rien de temps, les jeunes nettoient la carcasse, tout affamés qu'ils sont.
Loupblanc hume l'air : l'odeur des humains est repérable.
Il donne le signal et tous se remettent en file derrière lui.
Par deux fois il grogne sur les louveteaux que Louve à bien du mal à garder sous son contrôle. Les petits quittent la ligne pour jouer à se poursuivre. Un seul regard de leur père suffit. Tête basse les deux louveteaux se remettent en file entre Louve et les autres.
La meute avance bon train, file au ras du sol, marchant bien dans les traces de leur chef.
Loupblanc est inquiet. Le terrier est loin. Il ne connait pas cet endroit.
Soudain, ses sens le rappellent à l'ordre. Il s'arrête net et lève le nez : l'air frais lui apporte de nouvelles odeurs : des chevaux, des hommes !
Loupsblanc est pris de terreur. Il sait maintenant que le combat sera rude et inévitable.Les autres mâles de la meute le rejoignent...
Biwer
Biwer ne savait pas trop quoi faire, alors il suivit les autres soldat jusqu'au moment ou il vu le loup... alors il pensait a luna... heureusement celle-ci etait rester chez lui, il le loup qu'ils poursuivaient ne lui ressemblait pas...


Arfff aller on va y arriver....

Biwer sortit son épée franchement forgé et courrut avec les autres soldats...
Axelthebigkille
a une dizaine de metre sur la gauche de nkhan , dans la foret

axel entendit de marcher alors il accelera l'allure cette fois si il ne marchait plus tranquillement il etait pret a en decoudre puis entendit quil yavait contact alors il commenca a s'approcher du baron et de la cavalrie
Valezy
[Dans les bois à 43° 01′ 42″ Nord - 0° 34′ 18″ Est, environ…]

Bon, bon, bon… Se dit-il alors, non sans une certaine morosité.

Cela faisait déjà un bon moment que sa petite troupe s’était mise en marche d’un bon pas, longeant ainsi les bois en silence… Car, pour sûr, ses compagnons n’étaient pas très bavards. Mais là ne résidait en rien son problème.

En vérité, Valezy ne connaissait rien à la chasse…
Habitué qu’il était à vivre en guerrier et à évoluer sur les champs de bataille, il avait alors mené une vie simple pour un homme simple où nul ne se cachait pour éviter sa fureur…

Son regard se porta vers la cime des arbres, pendant que le jeune noble s’abandonnait ainsi à ses souvenirs. Repensant avec une nostalgie certaine à ses péripéties passées avec les Loups de Champagne… Fiers soldats d’un lointain duché du nord, aussi mou à l’intérieur qu’à l’extérieur. Ah quel plaisir cela avait été de chevaucher derrière eux pour les passer par les armes et ceci jusqu’aux derniers… Un vrai massacre !

Voila bien le genre de chasse aux loups que Valezy goutait sans modération, aucune.
Mais, car il y a toujours un mais dans une histoire digne de ce nom, force était d’avouer que tout ceci était beaucoup moins palpitant avec des vrais loups…
Fallait t’il encore en voir un de loup, d’ailleurs. Car, pour l’instant, il n’apercevait pas l’ombre d’une boule de poil, juste des arbres et des fourrés qui bordaient de trop près le chemin de forestier, forçant ainsi les chasseurs à évoluer en file indienne.

C’est alors que des aboiements le tirèrent, sans ménagement, hors de ses songes. A toute évidence, Nkhan et son équipe avait lâché leur meute de limiers et cette dernière devait avoir débusqué une proie, vue l’excitation de la vénerie clairement perceptible à travers ses hurlements.

Par tous les Saints… C’est de l’antijeu ! Pensa-t-il. Avec une telle aide, ils seraient sûrs de rentrer avec une prise ou deux… Mais pour son équipe et lui-même, et avec le rythme adopté… Il était assuré que bredouille serait le seul adjectif adapté à leur petite battue.

Ses iris d’azur portèrent son regard sur le reste de la troupe…
Peut être pourrait il demander de l’aide à l’un des soldats qui l’avaient suivit ? Ou même à sa tendre et chère ?
Mais réponse à ces questions s’imposa aussitôt à son esprit. Il était Valezy… Et un Valezy digne de ce nom, ne dévoilait jamais ses faiblesses en quémandant de l’aide.

Ne lui restait donc plus qu’à trouver une idée de génie… Et si possible dans les plus brefs délais. Son attention se reporta sur la route, ses yeux allant inlassablement de droite à gauche tandis que son esprit était en ébullition.

Mettre le feu à la forêt ? Ce serait efficace… Mais peut être un peu trop violent.
Saigner un nain pour en faire un appât ? Trop étrange… Et puis pourquoi devait il toujours penser à Gaspard en ces termes ?

Néanmoins, jamais le Seigneur de Magnet ne devait réfléchir sérieusement à cette dernière question, que sous son séant, il sentit Tyran, sa monture, se laisser gagner par la fébrilité. Le destrier se mettant ainsi, sans raison apparente, à battre le sol de ses quatre fers, brisant la glace et soulevant la neige sous le poids de ses sabots. La voix de Valezy se fit alors retentir tout en se voulant apaisante, et ceci, malgré son évidente surprise.

« Nom d’un petit Aristote… Tout doux Tyran… Tout… »

Il n’eut toutefois guère l’occasion d’aller plus en avant que déjà, non content de ne point se calmer, son cheval se cabra violemment, faisant ainsi décoller du sol ses pattes antérieures et manquant de peu de faire vider les étriers à son cavalier.

Ce dernier, les yeux exorbités et les mains fermement agrippées aux rênes du canasson rendu fou, en était, d’ailleurs, toujours à se demander ce qu’il pouvait bien se passer, tandis qu’il se retrouvait à la verticale sur sa selle.
C’est alors qu’il aperçu du coin de l’œil, une blanche silhouette tapis dans les fourrés et bien mal perceptible tellement cette dernière se fondait dans la neige.

En retour à ce constat, un hennissement se fit entendre dans la forêt, peu avant que deux sabots ne battent nerveusement les airs…

_________________
--Loupblanc
[ La mort de LoupBlanc - la meute fuyant Nkhan se heurte à la troupe du Valézy, seigneur de Magnet ]

Ils sont là! ... les hommes, les chevaux ! Loupblanc n'a pas le temps de se demander si ses sens l'ont trahis à ce point ou si, finalement, les hommes ont été plus intelligents qu'eux ?
Laissant Louve trouver un recoin où se cacher avec les deux petits, Loupblanc s'avance lentement. Un regard vers ses congénères.
Les loups ne vont pas attaquer de face et en force, ils se divisent : loupblanc au centre ira , seul, tout droit couper la route au cheval de tête;
Son fils et deux autres loups partiront sur un arc de cercle à droite pour tenter d'avoir l'autre face du groupe de cavaliers.
Le second fils et un compagnon feront de même à gauche afin de revenir sur le dernier cheval de la file des hommes.

Le signal - un grognement sourd - les loups foncent.
Loupblanc disparait dans la neige. Il glisse en silence vers le cheval de tête monté par un jeune seigneur tandis que les deux bras de la meute enferme le groupe des cavaliers.
Le cheval l'a senti, il renâcle et piaffe, risquant de désarçonner son cavalier qui ne doit son salut qu'à sa parfaite maitrise.
Loupblanc fait un bond en avant visant l'antérieur du cheval qui se dérobe à sa vue : celui ci a cabré !
Loupblanc emporté par son élan, glisse dans la neige, bat des pattes pour se redresser, ouvre la gueule pour mordre.Une fraction de seconde...le sabot ferré du cheval est juste au dessus de sa tête...
Un coup ...si rapide et violent qu'il ne provoque aucune douleur...les bruits s'enlisent dans un monde devenu flou...cris et hurlements étouffés, lointains, lointains ....
Loupblanc se sent comme flotter entre deux mondes, hommes et chevaux ont disparus ...
Le noir, la paix...la nuit, déjà?
Biwer
Biwer regarda Valezy tuer le loup par un mouvement rapide et bref...
Grâce à sa monture, l'homme tua le loup d'un coup...
Alors Biwer se dit:
"Et si ca aurait été luna?"
Alors Biwer se dirigea vers le loup, il avanca d'un pas leger...
il plongea son regard dans celui de la béte...
dans ce regard on pouvais y voir sa vie...

On voyait que se loup était un chef de meute, il compara alors la situation...
""Valezy notre chef, presque un guide pour certain d'entre nous... Et si c'était le loup qui l'aurai tuer...""

Il se posa a coter de la béte, peut être avant qu'elle ne meurt...
Il s'avait qu'il risquait quelque chose en s'approchant ainsi d'une béte a l'agonie...
Il lui murmura:
"Pars en paix..."

Il posa donc sa main sur son torse... Il se tourna vers Valezy...

Bravo, mon seigneur, vous n'avez rien?
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7, 8, 9   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)