--Louis_dict_le_gentil
Louis évaluait les gardes, tout en souriant à la belle qu'il emmenait en promenade. Il avait de la chance, le petit freluquet sans expérience prenait la place derrière eux, ce qui lui offrait une porte de sortie plus facile que si ça avait été le grand costaud ou le Caporal.
Alors que les gardes prenaient leur position, Louis ne pu réprimer un petit rire en voyant le grand balèze mener par le cou le dénommé Philo à sa place.
Tu reste derrière la 'moiselle et tu la ferme surtout.
Et tu fais gaffe à ce que personne ne vienne les déranger ! Ajouta le grand balèze.
Ouais, et toi non plus ne nous dérange pas, nous avons à discuter, la demoiselle et moi. N'est-ce pas ma belle enfant ?
Elle était si belle, cette jeune fille de noble. Tout ce qu'il avait rêvé tout sa vie de minable dans cette ville minable du Périgord. Tous ceux qui s'étaient moqués de lui riront bien jaune quand il rentrera avec ce bijou au bras. Et que dire de leur jalousie, lui il aura épousé une Castel Vilar, une jeune fille d'une grande famille noble de la Gascogne. La fille d'un Duc. Il allait tout faire pour qu'elle ne se sépare plus de lui un instant, qu'elle le veuille ou non, elle allait venir dans le Périgord. Et dans son lit aussi. Une fois mariés, il en ferait tout ce qu'il voudrait. Mais pour l'heure, il fallait gagner sa confiance, ce serait plus simple que de prendre les armes.
Mademoiselle Maëlya de Castel Vilar est-elle prête ? Le vieillard que je suis est impatient d'apprendre à vous connaitre et à se faire mieux connaitre de vous. Je suis peut-être inconnu de vous et de votre noble famille, mais les sentiments qui m'animent sont de plus en plus forts en votre compagnie. Je vous remercie d'ailleurs d'avoir accepté cette humble promenade, qui vous plaira je l'espère... et il fini en murmurant pour lui-même : "En tout cas, moi ça va me plaire, j'en suis sur !"
Louis donna le signal pour que l'équipée prenne mouvement.
En route, vers la pinède, Caporal.
Il sourit à sa jeune princesse, puis il se mit à avancer.
Alors que les gardes prenaient leur position, Louis ne pu réprimer un petit rire en voyant le grand balèze mener par le cou le dénommé Philo à sa place.
Tu reste derrière la 'moiselle et tu la ferme surtout.
Et tu fais gaffe à ce que personne ne vienne les déranger ! Ajouta le grand balèze.
Ouais, et toi non plus ne nous dérange pas, nous avons à discuter, la demoiselle et moi. N'est-ce pas ma belle enfant ?
Elle était si belle, cette jeune fille de noble. Tout ce qu'il avait rêvé tout sa vie de minable dans cette ville minable du Périgord. Tous ceux qui s'étaient moqués de lui riront bien jaune quand il rentrera avec ce bijou au bras. Et que dire de leur jalousie, lui il aura épousé une Castel Vilar, une jeune fille d'une grande famille noble de la Gascogne. La fille d'un Duc. Il allait tout faire pour qu'elle ne se sépare plus de lui un instant, qu'elle le veuille ou non, elle allait venir dans le Périgord. Et dans son lit aussi. Une fois mariés, il en ferait tout ce qu'il voudrait. Mais pour l'heure, il fallait gagner sa confiance, ce serait plus simple que de prendre les armes.
Mademoiselle Maëlya de Castel Vilar est-elle prête ? Le vieillard que je suis est impatient d'apprendre à vous connaitre et à se faire mieux connaitre de vous. Je suis peut-être inconnu de vous et de votre noble famille, mais les sentiments qui m'animent sont de plus en plus forts en votre compagnie. Je vous remercie d'ailleurs d'avoir accepté cette humble promenade, qui vous plaira je l'espère... et il fini en murmurant pour lui-même : "En tout cas, moi ça va me plaire, j'en suis sur !"
Louis donna le signal pour que l'équipée prenne mouvement.
En route, vers la pinède, Caporal.
Il sourit à sa jeune princesse, puis il se mit à avancer.