Maelya
Maëlya était effrayée. Le Caporal Mérin la gardait près de lui, les deux autres gardes s'étaient également rapprochés, mais elle voyait bien que la situation était sans espoir. Elle ne voulait pas qu'aucun mal ne soit fait aux gardes de son père, surtout pas au Caporal en qui elle avait toute confiance et à Philo, qui était encore si jeune pour mourir...
Caporal, c'est sans espoir... murmura-t-elle au Caporal. Laissez-moi faire...
Elle le regardait, son devoir était de la protéger au coût même de sa propre vie. Mais Maëlya ne voulait pas les voir tomber. Elle refusait. Elle se plaça aux côtés du Caporal, puis posa son regard sur Louis, essayant de calmer l'affaire elle lui adressa la parole :
Louis ? Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Dites à vos hommes de baisser leurs armes et parlons plutôt. Nous sommes au-dessus de ces méthodes, vous et moi. Que voulez-vous ? Que cherchez-vous ? Si c'est moi que vous voulez, je vous suivrai, ne blessez pas les gardes de mon père inutilement. Vous me décevez, Louis. Mais pour épargner la vie des gardes de mon père, je sacrifierai la mienne...
Elle regardait Louis, essayant de cacher sa peur. Elle espérait que quelqu'un viendrait la sauver une fois que Louis l'aurait emmener. Elle essayait de ne pas penser à Yannig, au chagrin qu'il aurait en apprenant son enlèvement, à son propre coeur qui ne saurait plus battre loin de lui. Elle se retenait de hurler, d'appeller à l'aide. Ils étaient suffisament enfoncés dans la pinède pour que personne ne l'entende crier...
Caporal, dites à Yannig Von Wittelsbach que... qu'il me pardonne. Je l'aimerai toujours... Dites-lui, dès que vous le pourrez Caporal, je vous en prie. finit-elle par dire, espérant que le Caporal pourra un jour lui transmettre le message.
Elle regarda le Caporal, puis Louis, attendant que les armes descendent pour conclure une entente avec les brigands.
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Caporal, c'est sans espoir... murmura-t-elle au Caporal. Laissez-moi faire...
Elle le regardait, son devoir était de la protéger au coût même de sa propre vie. Mais Maëlya ne voulait pas les voir tomber. Elle refusait. Elle se plaça aux côtés du Caporal, puis posa son regard sur Louis, essayant de calmer l'affaire elle lui adressa la parole :
Louis ? Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Dites à vos hommes de baisser leurs armes et parlons plutôt. Nous sommes au-dessus de ces méthodes, vous et moi. Que voulez-vous ? Que cherchez-vous ? Si c'est moi que vous voulez, je vous suivrai, ne blessez pas les gardes de mon père inutilement. Vous me décevez, Louis. Mais pour épargner la vie des gardes de mon père, je sacrifierai la mienne...
Elle regardait Louis, essayant de cacher sa peur. Elle espérait que quelqu'un viendrait la sauver une fois que Louis l'aurait emmener. Elle essayait de ne pas penser à Yannig, au chagrin qu'il aurait en apprenant son enlèvement, à son propre coeur qui ne saurait plus battre loin de lui. Elle se retenait de hurler, d'appeller à l'aide. Ils étaient suffisament enfoncés dans la pinède pour que personne ne l'entende crier...
Caporal, dites à Yannig Von Wittelsbach que... qu'il me pardonne. Je l'aimerai toujours... Dites-lui, dès que vous le pourrez Caporal, je vous en prie. finit-elle par dire, espérant que le Caporal pourra un jour lui transmettre le message.
Elle regarda le Caporal, puis Louis, attendant que les armes descendent pour conclure une entente avec les brigands.
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