Mara_lalia
L'après midi commençait à peine, et la petite rouquine courait dans les ruelles de Lyon. Son doudou en main, elle se rapprochait de la grande place, comme elle l'appelait. Aucune âme qui vive ce jour-ci, au désespoir de la fillette qui aimait se faufiler entre jambes et paniers.
N'ayant nul part où se rendre pour le moment, la rouquine décida de s'assoir près d'un arbre et d'observer la place.
Paupières mi-closes, petit baillement.
Luttant contre le sommeil, la fillette posa son doudou à côté d'elle, pour qu'il la protège des mauvais rêves. C'est ce que lui répétait son frère ainé, avant...
Frottement d'yeux, petit baillement.
La rouquinette regarda autour d'elle, perdue, ne sachant où elle était. Moment qui ne dura qu'une minuscule poignée de seconde. Debout sur ses deux pattes, la fillette avança pour courir entre les paniers. Le jeu dura un bon moment, jusqu'à ce que la petite rouquine s'aperçoive qu'il lui manquait quelqun.
Ses grands yeux gris cherchèrent, affolés, autour d'elle, sur le sol...
Tête baissée, les larmes au bord des yeux, la rouquine avançait pour trouver son doudou. seulement, elle ne le trouvait pas. Dans une grande ville comme Lyon... Et puis son doudou c'était le plus beau du monde, n'importe qui aurait put le prendre et garder le plus beau doudou du monde pour lui.
Cette fois, les larmes coulèrent. La rouquine ne pouvait plus retenir ses pleurs.
* Doudou, où es-tu ? Mon doudou... *
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N'ayant nul part où se rendre pour le moment, la rouquine décida de s'assoir près d'un arbre et d'observer la place.
Paupières mi-closes, petit baillement.
Luttant contre le sommeil, la fillette posa son doudou à côté d'elle, pour qu'il la protège des mauvais rêves. C'est ce que lui répétait son frère ainé, avant...
Frottement d'yeux, petit baillement.
La rouquinette regarda autour d'elle, perdue, ne sachant où elle était. Moment qui ne dura qu'une minuscule poignée de seconde. Debout sur ses deux pattes, la fillette avança pour courir entre les paniers. Le jeu dura un bon moment, jusqu'à ce que la petite rouquine s'aperçoive qu'il lui manquait quelqun.
Ses grands yeux gris cherchèrent, affolés, autour d'elle, sur le sol...
Tête baissée, les larmes au bord des yeux, la rouquine avançait pour trouver son doudou. seulement, elle ne le trouvait pas. Dans une grande ville comme Lyon... Et puis son doudou c'était le plus beau du monde, n'importe qui aurait put le prendre et garder le plus beau doudou du monde pour lui.
Cette fois, les larmes coulèrent. La rouquine ne pouvait plus retenir ses pleurs.
* Doudou, où es-tu ? Mon doudou... *
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