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[RP] Cathédrale de Vienne:Mariage de Jehanne du G et Nerval

Jehanne_du_genevois




Quelques jours avant le grand jour ...

La cathédrale enfin en vu .




Journée magnifique ce jour pour venir reconnaistre les lieux avant le grand jour .
La peur au ventre ,le stresse je monte le parvis .
Les portes sont ouvertes .J'entre lentement en ce lieu de sérénité et de prière .
Devant moi l'allée remontant jusqu'à la nef .Ebahie je regarde tout autour de moi .




La lumière su sole joue à travers les magnifiques vitraux de la cathédrale .
J'imagine déjà les couleur éclaboussant les lys et les autres fleurs blanches qui seront la pour décorer de mille teintes .




Je m'avance encore un peu pour découvir un magnifique Autel .




Tout me plaisais en cette cathédrale .
Elle ressemblait à celle que je voyais dans mes resves petite ,me voyant remonter jusqu'à l'autel pour me marier avec le prince charmant .Rêve de toute petite filles qui deviendrait dès le 11 octobre vrai!


--Sara_ela






--Sara_ela




Décoration de la cathédrale avant l'arrivée des invités et des mariés

Sarah supervisait tous les gens embauché pour décoré la Cathédrale .Il fallait que tout soit parfait pour ce grand jour tant attendu .






Sarah recula jusqu'à l'entrée pour avoir une vu d'ensemble .
Tout semblait parfait .

Nerval
Je suis L'Nerval d'la butte aux étoiles
Et l 'étoile Blanche a une merveilleuse mine
Le ciel se charge de soleil
Y a Sarah qui passe un coup d'balais

Il est cinq heures
Nerval s'éveille
Chignin s'éveille

L'Nerval va se raser
La tignasse reste coiffée
Les habits sont enfilés
Les vêtements sont fignolés

Il est cinq heures
Nerval s'éveille
Chigin s'éveille

Le lait est dans la tasse
Les joues rosés auraient besoin de glaces
Et dans la tête rien de salace
Le coeur tambourine comme une carcasse

Il est cinq heures
Nerval s'éveille
Chignin s'éveille

Le chêne dans le jardin à froid aux pieds
La vie semble se ranimer
Et les chevaux sont excités
Entre la nuit et la journée

Il est cinq heures
Nerval s'éveille
Chignin s'éveille

Le ban et les invitations sont publiés
Le femmes volages sont déprimées
Les sentiments se réveillent, ils sont plus brimés
C'est l'heure où je vais me marier

Il est cinq heures
Nerval se lève
Il est cinq heures
Je vais me marier!

Le grand jour pour lui. Ce jour tant désiré depuis si longtemps. Le futur marié est étrangement calme. Calme comme toujours d’apparence, il bouillonne, cette envie en lui d’être à ce soir, ou bien plus qu’un anneau ornera son doigt. Où il sera officiellement non pas la moitié de la Baronne de Chignin, mais le mari de la belle Jehanne. Le reste ne lui importe que peu. Le besoin de calmer ce volcan en lui est present, le soleil se lève à peine et les yeux sont grands ouverts. Impossible de rester à dormir ou à attendre la cérémonie sans rien faire. Les vêtements de cérémonie sont sur son dos. Que faire maintenant? Il reste tant et tant d’heures à passer avant le début. Il avait eu l’interdiction de passer voir sa promise. Une seule solution, il quitte le château pour venir à son endroit habituel. Nerval s’allonge lentement à même le sol oubliant légèrement ce qu’il porte. Le regard porté vers le ciel se colorant peu à peu. Il pense, encore et toujours.

Elle, lui, maintenant eux. Une seule pointe d’appréhension, il devra être à sa hauteur. Un léger sourire se fait sur son visage en repensant à cette rencontre, à la relation qui se créa de manière étrange pour en arriver à une union. Il y a un an, lui l’épicurien, comment aurait-il pu penser une seconde à être la à attendre avec impatience ce moment la, brûlant intérieurement par cette passion ardente qu’il lui voue. C’était la réalité, même si les mauvaises langues tentaient de faire penser le contraire, il n’y avait qu’elle, rien qu’elle.

Il aurait pu avoir peur, une pointe d’appréhension sur son choix mais non rien. Serein était le terme. La longueur à lui dévoiler ses sentiments était à la hauteur de ceux-ci. Fort, pas un coup de tête.

Une voix qui résonne dans sa tête, le petit page courant vers lui comme si un malheur avait eu lieu. Il se relève doucement. Soit disant il le cherchait de partout, il avait peur d’un départ précipité. Un simple haussement d’épaule en réponse. Comment pourrait-il s’enfuir à ce moment la? Ce jour en est un de bonheur! Un peu déçu par la réaction de son page, Nerval repart en direction du château avant de se faire arrêter par un cri strident. Se retournant vers le jeune homme, un regard quelque peu... inquiet. Il balbutiait, en parlant de tenue, d’herbe, de saleté... Nerval écarquille les yeux et se précipite à l’intérieur afin de réparer son erreur. Aidé du page qui soigneusement nettoie la tenue, le souci est résolu, un long soupire de soulagement. Quelle idée aussi de vouloir s’allonger dans l’herbe avec sa tenue de marié? C’est qu’il le sermonnerait presque le petite page mine de rien!

Incident clos, fort heureusement, Nerval reste dans son bureau à tourner en rond, l’impatience est grandissante. Le temps s’écoule lentement, son impatience à être marié lui jouait des tours et il ne pouvait plus tenter de se calmer en regardant le ciel comme habituellement. Il tournait en rond sous l’œil du jeune page. Il tentait de récapituler, la tenue c’est bon, les vœux sont dans la poche, la mariée doit être en train de se préparer, invitations envoyées, Mère à été conviée.

L’heure fatidique était proche, et le page le fit remarquer à Nerval qui s’arrêta pensif. Un long soupire pour tenter de se calmer. Direction le coche. Dernier coup d’œil vers la demeure en montant, l’envie de la voir, il aurait été rassuré mais non. Le moment n’était pas encore venu. Le moyen de locomotion commence à partir, il restait assis sans broncher, juste regarder le paysage qui défilait. Bientôt, il sera l’heure. Bientôt il sera lié à cette femme pour qui il éprouve cette chose indéfinissable. Aucun regret, juste une envie... le futur...





[*Hrp/ chanson adaptée de J. Dutronc]
_________________
--Dame_de_vandimion


Son Fils lui faisait souvent parvenir des missives afin de l'informer de sa vie. le pauvre avait été chassé par son géniteur tout ça car il n'avait voulu suivre la voie qu'il lui reservait. Il preferait les femmes et le plaisir soit disant. La Dame de Vandimion ne pouvait qu'en etre fiere. Son fils était comme elle, desireux uniquement du plaisir.

Quelle surprise lorsqu'il reçut sa derniere missive. Nerval lui avait deja annoncé qu'il en pinçait pour une femme soit disant parfaite mais elle ne l'avait pas pris en consideration ou si peu. Ce ne devait etre qu'une façade pour elle. Mais lorsqu'elle lu le dernier ecrit de son fils alors que deux hommes partageaient sa noble de couche pendant que son mari travaillait dans le bureau d'a coté, elle ne put qu'echapper un cri de surprise.

Elle reveilla ainsi ses deux amants, elle l'Epicurienne qui avait elevé son fils ainsi, qui l'avait incité à vivre sans se soucier du reste, qui l'avait, par l'éducation qu'elle lui avait donné, entrainé loin du carcan du chef de famille, son propre fils allait se marier.

La Dame de Vandimion ressentait quelque chose d'étrange en elle, une fierté son fils allait se marier mais d'un autre coté il allait contre tous les preceptes qu'elle lui avait enseigné. Elle-meme avait été contraint de se marier entre grande famille et elle avait plongé dans la débauche sans jamais porter attention à son mari. Elle reexpedia ses deux amants dans leurs chambres respectives avant de reflechir longuement. Cette femme, la future mariée, pour avoir ainsi alpaguer son fils, elle devait etre quelqu'un. Il fallait qu'elle la voit, devoir de mere.

Elle se fit preparer par ses serviteurs afin d'aller à cette fameuse cérémonie. Bien entendu, elle n'en glissa aucun mot à son mari, il destestait son propre fils d'avoir refusé de s'engager dans l'armée et de n'avoir pas su prendre ce qu'on lui offrait. Elle avait soutenu Nerval.

La robe montrait une certaine élégance, mais elle n'en n'oublia pas une seconde qu'elle pourrait peut etre aussi faire des rencontres delicieuses labas et ainsi gouter a plusieurs corps masculin ou feminin par ailleurs. Une vue plongeante sur ses formes était de mise.

Elle fit le voyage depuis le chateau lointain jusqu'a l'endroit indiqué sur la lettre de son fils. Elle regretta de n'avoir pas emmené un homme afin de briser la longueur de la route.

Elle arriva enfin sur le parvis de la cathedrale. Il n'y avait encore personne. Elle descendit tout de meme elle avait besoin de bouger quelque peu. Elle était un peu en avance peu importe. cela lui permettrait de faire connaissances avec celles de son fils.
Ambroise_perrigny


Hava nagila
Hava nagila
Hava nagila v'nismeḥa

C'est jour de mariage ! quel bonheur !
Chantait et disait Ambroise sur le chemain de la cathédrale de Vienne.

Il galopait, ou plutôt son cheval galopait et lui le montait, à vive allure car il était en retard... Mais il était euphorique ! Euphorique... Oui : très heureux pour Jehanne qu'elle ait fin trouvé quelqu'un avec qui elle fera réellement sa vie. Dans son euphorie il avait même oublié de vérifier si son cadeau de mariage avait bel et bien été envoyé à la baronnerie... M'enfin ils verront bien aux festin ! Ambroise alors approchait de Vienne. Il pouvait au loin distinguer l'imposante grandeur de la cathédrale. Il en était fort heureux, et le cheval sans doute aussi mon on ne lui a pas demandé, d'atteindre très prochainement son but, sauf qu'il avait faim, et soif. C'est alors sur les chemins il croisat un vendeur de fruits. C'était un être humain, bien que son dos faisait un belle angle de carré ce qui le forçait à marcher avec une canne pour éviter de tomber tête en avant. Devant ce spectacle (l'étalage de fruits), Ambroise ne pouvait que saliver. Il jetat alors une bourse remplie d'or sans compter et commença son festin fruité. Le temps commençait à se faire long, et le cheval attendait. Ambroise daigna alors de remonter en selle et de chevauché à nouveau ce chemin que le mènerait à la ville, puis à la cathédrale.

C'est ainsi qu'un Ambroise, ventre semi-gonflé et haleine aux senteurs exotiques, entra bruyamment dans la cathédrale. Non point qu'il voulut se faire remarquer, d'ailleurs il aurait voulu ne point se faire remarquer, mais c'est que son odeur fruité vint attiré quelques manants affamés. quand Ambroise descendit de son cheval, certains ont commencé à courir vers lui. Pris par la peur de finir en repas pour vilains (alors qu'il avait lui-même encore faim), Ambroise courir se réfugier dans la cathédrale. Et c'est en ouvrant la porte qu'un de ces personnages vils lui sauta à la jambe, et que comme dans un même élant Ambroise s'avançait... Il chut, tête en avant, comme le vendeur de fruit s'il n'avait point sa canne pour se tenir. Après avoir chasser l'homme qui était la cause de son salissement, Ambroise fortta quelque peu ses vêtements. Pour l'occasion il s'était habillé en rouge. Mais de rouges plutot calmes, point trop vifs en couleurs, sans pour autant aller dans des tons bordeaux. Il avait en effet décider de se mettre au couleur de Chignin, afin de mieux honorer la marier. C'est ainsi que pantalon de velour rouge, bottes en cuir marron foncé, chemise en soie de Byzance rougen mais avce des reflets pourpres, un pourpoint plus foncé que la chemise, avec pareillement des dessins aux reflets pourpres, et aucun gilet.

Un fois prêt, il regarda avec admiration les décors de la cathédrale puis il se l'imagina nue, et la trouva tout autant magnifique. C'était un endroit de rêve, pour une jour merveilleux. Il n'était rien de mieux, si ce n'est un couché de soleil à admirer sur le sommet d'une colline d'un verger, avec une douce demoiselle, et une petite bouteille d'un vin de la Loire d'une millésesime mil quatre cent neuf au plus jeune. Finissant de rêvasser, Ambroise chercha les mariés.
Laclemanus
Le carrosse aux armes de Luserne d'Alinoë venait de s'arrêter devant la cathédrale après un voyage assez tranquille et sous un agréable soleil d'automne.
Laclemanus qui accompagnait sa fille en sortit prestement tout heureux de pouvoir se dégourdir les jambes, il fit quelques pas puis revint vers l'attelage pour aider la Duchesse de Luserne à en sortir. Il lui tendit la main pour lui faciliter la sortie et qu'elle ne se prenne pas les pieds dans sa ravissante robe.

Alors qu'Alinoë faisait quelques pas, Laclemanus renvoya le cocher et pris le temps d'admirer sa fille avant de la rejoindre,*elle ressemble de plus en plus à sa mère*. Comme elle, elle savait choisir les vêtements qui la mettaient en valeur, il était toujours fier d'avoir sa fille à ses côtés.

Il chassa de son esprit le souvenir de son épouse défunte et rejoignit Alinoë, il lui présenta son bras pour monter les escaliers.
Alinoe_de_chenot
Il n'y avait pas beaucoup de carrosses devant la Cathédrale. Une dame se trouvait sur le parvis et faisait quelques pas, Alinoë se dit qu'ils étaient encore une fois en avance, vu que le marié était absent.
Elle fut heureuse de prendre le bras de son père, ne voulant pas abimer sa robe en montant les escaliers.



Arrivée en haut, toujours au bras de son père, la duchesse de Luserne salua la dame


- Bonjour ma dame !

Puis se tournant vers son père, elle l'interrogea.

- On attend ici ou entre ?
_________________
--Dame_de_vandimion


Un homme passait en courant sans la regarder. La Dame de Vandimion haussa un sourcil. Geste de famille parait-il par ailleurs. Cet homme lui semblait bien étrange mais soit, elle resta a contempler les rues esperant qu'enfin son fils ou quique ce soit arrive. Elle n'attendait pas longtemps. Un carosse s'avança. Un carosse digne de ceux qui viennent regulierement en son chateau. Qui allait en descendre? Homme ou femme? Peu importe, au vu des armoiries les personne à l'interieur étaient de qualité.

En descendit un homme des plus distingué, la Dame de Vandimion en fit un sourire. Tres interessant que cet homme. A sa suite une jeune femme, belle également. Le sourire pris une tournure un peu particuliere que seul ses amants connaissaient. A moins que...

Ils avaient un air de famille, le pere et la fille probablement vu l'écart d'age. En tout cas elle était en presence d'une femme des plus distinguées. Une idée lui traversa la tete alors que la jeune femme s'avança vers elle pour la saluer. Au vu de la qualité de la robe, peut etre était-ce la mariée? Elle pensa que son fils avait toujours eu bon gout et encore une fois il ne s'était pas trompé. Elle était vraiment... délicieuse, le pere également. Vraiment un tres bon choix que le sien.


Bonjour jeune demoiselle, Sieur. Je suis Farnese Dame de Vandimion, Mere de Nerval. Enchanté de rencontrer la future mariée. Nerval m'a beaucoup parlé de vous et si vous me permettez vous etes comme il vous a decrit, fort belle.
Azalee.de.cernex
C'était un grand jour pour Azalée: sa filleule convolait en justes noces.
Elle aimait beaucoup cette jeune femme, et avait été honorée qu'elle lui demanda d'être sa marraine.

Jehanne avait également mis au monde sa petite Azurelle, au GFC, avec douceur et habileté.

Pour toutes ces raisons, Azalée n'aurait pas manqué les épousailles.
Elle s'était préparée tôt le matin, car Vienne n'était pas tout près.

Lorsque le carrosse aux armes des Bauges s"arrêta devant la cathédrale, Azalée vit qu'elle n'était pas en retard.

Elle descendit de son carrosse, et entra dans la nef.
G_de_b


Adso était arrivé quelques minutes avant Guillaume pour préparer le terrain et organiser la garde à son arrivée

Il remarqua un pauvre mandiant qui passait par là et insité aupres du garde grossièrement pour aoir quelques piecettes.

PLace mandiant! Ne vois tu pas que nous sommes occupés! Va à l'église le gueux, et l'ont te trouvera un traval a faire contre argent et nourriture.

Puis il fit faire la haie d'honneur du parvis jusqu'a l'entrée.

L'entrée ne devait pas être encombré... Comme on le fera un jour pour de patétique star....
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[RP] Aide de Camps du Père Guillaume de Baskerville. Je suis petit ET mignon.

edit! j'ai oublié de l'envoyé avec un pnj faites comme si cetait Adso... on ne peut pas changer ça apres l'avoir envoyé et sur le forum deux on ne peut rien effacer
MERCI

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Alinoe_de_chenot
La jeune duchesse de Luserne sursauta quand la dame la confondit avec la mariée: Elle rougit jusqu'aux oreilles. Sa robe devait être trop riche.

- Je suis Alinoë de Chenot, duchesse de Luserne et voici mon père, Laclemanus de Chenot, duc douairier de Luserne. Je ne suis pas la future mariée ma dame, et je suis enchantée de connaitre la mère de messire Nerval. C'est un homme charmant que j'apprécie beaucoup, autant que sa fiancée.

Elle avança tenant son père et lui dit.

- Voulez-vous nous accompagner dans la Cathédrale ou préférez-vous rester sur le parvis ? Dans ce cas, permettez que nous vous tenions compagnie jusqu'à l'arrivée de votre fils ?
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G_de_b
un enfant de coeur arriva en carriole en face du parvis de la cathédrale, il était troublé et pas vraiment a son aise, il descendit du véhicule assez maladoitement et aida monseigneur Guillaume a en faire pareil.

Lui prenant le bras l'enfant de coeur et Guillaume s'avancérent tous deux vers l'entrée de l'église.
En entrant dans l'édifice les jambes de l'enfant de coeur tremblaient et il avait la bouche sèche a cause de l'émotion qui l'habitait.
Mais dans son coeur, il était le plus heureux des enfants de coeur car deux êtres seront marier a la fin de la cérémonie .

C'est une belle journée de début d'automne monseigneur, ne pensez vous pas? , le soleil dard de mille rayons éclatants , donnant une luminosité toute particulière au bleu limpide et clair du ciel.

Vous avez raison mon enfant... Mais plutot que de vous emerveillez du ciel, voyez tous ces hommes et femmes qui nous regarde entrer. Ne soyons pas ingrat, saluons les en passant

et ils saluèrent

Dans la petite allée qui menait de la calléche à la cathédrale, Guillaume fut toute surprise de voir les futur époux, mais certains avaient eu la délicatesse de couvrir le sol de pétales de roses . Il reconnaissait bien là sa délicatesse d'un mariage d'amour. Celà ajouta un peu plus à son émoi et il se sentait de plus en plus ému.

Bonjour mes enfants. Comment allez vous en ce magnifique jour?

HRp! certain m'on demandé pourquoi mon perso parle a des gens qui ne sont pas encore là Normalement le joueur va s'absenter quelques jours... donc j'ai fait un Rp dans le futur... un futur ou les marier sont déjà là... Parceque je ne voudrait pas que le Rp se bloque par ma faute... donc vous continuer vos rps comme si de rien n'étais jusqu'au moment ou vous croisez mon vicaire bon jeu

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--Dame_de_vandimion


La Dame de Vandimion écouta sans trop y preter attention trop interessée à regarder les deux personnes devant elle. Quand soudain... cette si belle jeune demoiselle n'était pas sa belle fille? Mais elle le laissa pas paraitre grand chose. Surement de famille ça aussi.

Veuillez me pardonner Duchesse, j'espere tout de meme que vous n'avez pas pris mal ma supposition. Vous etes charmante et j'ai cru, à tort il est vrai, que vous etiez ma future belle fille. Votre pere aussi par ailleurs est tout à fait... charmant.

Elle esquissa un leger sourire en les regardant tous les deux. Vraiment Nerval avait de fort belle connaissance. Cette cérémonie et surtout la suite allait surement etre délicieuse.

Autant rester ici, cela me permet de faire un peu connaissance.

Prometteur, vraiment. Son doigt se posa sur sa propre joue glissant legerement sur la base de son cou dénudé. Ses habitudes reprenaient le pas sur le lieu, encore que, pour le moment la cérémonie n'avait pas démarré.
Ambroise_perrigny


Vide... La cathédrale était vide. Ou du moins elle le semblait très fortement. Ambroise ne trouvait personne, point même les mariés. Une angoisse monta : et s'il était en retard, et que la cérémonie était jà terminée? Pire : et s'il s'était trompé de jour, et qu'il était arrivé un ou plusieurs jours en retard? Il en devint pâle. Ambroise s'approcha fébrilement d'un bénitier pour y tremper deux deux et se signer, puis se posa sur un banc près de l'entrée et pria. Il fut interrompu quelques instants après par le hennissement d'un cheval qui semblait proche. Apportant attention à ce qui pouvait s'entendre, il entendit le bruit de roue de voitures sur les pavés. Ambroise soupira doucement d'aise et se leva. Il s'était décidé de sortir de la cathédrale même s'il avait cette peur de ne voir que des inconnus et donc de ne point être au bon mariage.

Lorsqu'il sortit, il vit Laclemanus et sa fille discuter avec une femme. Cette femme ne lui sembalit point inconnue. Il chercha alors où donc avait-il pu jà la voir et se remémora qu'à son arrivée cette femme attendait sur le bas des marches. Malheureusement Ambroise ne l'avait pour ainsi dire point vue, pourchassé par ces affamés : seulement entre-vue. Il rougit. Il songea à aller la voir afin de se présenter, et de saluer le père et la fille, mais il était éhonté pour son déportement passé, et avait peur de les deranger à les interrompre pour les saluer. Il trouverait bien l'opportunité de se présenter à la dame, songeait-il. Un nouveau carosse arriva : il s'agissait d'icellui de la duchesse des Bauges. Ambroise esquissa un doux sourire. La duchesse descendit du coche, radieusement imposante. La duchesse se dirigea prestement vers la cathédrale aussi Ambroise laissa approcher sa suzeraine pour se courber devant elle et lui ouvrir la porte. Salutations faites, la duchesse était rentrée dans la cathédrale, et Ambroise, lui, resta stoïc un moment.
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