[Anniversaire du Duché] Banquet et bal

Plumedange

*La blondinette tournait en rond dans sa chambre, y a des fois ou vous attendez tellement quelque chose que vous tenez pas en place.
Pour ceux qui connaissent Plume il n'y a pas grand chose qu'elle peut attendre ainsi, soit sa livraison de gâteaux au miel habituelle, soit une nouvelle toilette.
Vu le bal du Duché approchant c'était le second qu'elle attendait se demandant si elle aurait sa tenue à temps.
Mily lui avait conseillé un couturier et les pigeons avaient volés aux quatre coins du Royaume.
Ce jour là, des pages arrivèrent à plusieurs et déboulèrent dans ses appartements.
Pas loin de trois nouvelles robes s'étalaient devant ses yeux.
Le dilemme était de savoir laquelle mettre maintenant.
Le faire à Am--Stram-Gram?
Si son époux avait été là elle lui aurait demandé, mais ils c'étaient grandement disputés et elle n'était ni à la Bonne Etoile, ni à Rochechinard.
Soupirant, elle opta pour la première commandée, celle inspirée de sa robe de mariée.
Demandant l'aide de quelques servantes, elle passa sa somptueuse toilette, une robe assez légère afin de pouvoir danser et agréable aussi.
Confectionnée avec un mélange de velours et de soie de couleur beige et azur, cintrée à la taille et avec une ceinture en tissu qui retombait sur les hanches.

Se tournant dans un sens puis dans l'autre elle regarda la robe voleter se demandant un instant avec qui elle pourrait bien danser, son époux n'irait probablement pas à une telle festivité, les bals et lui ne devaient pas être très amis...
La jeune fille fit ensuite route vers le lieu du bal, la salle n'était pas très remplie à son arrivée, mais il y avait du monde.
Rayonnante elle passa les portes et se fit annoncer, parcourant les personnes déjà présentes.
Ka et la fameuse Justine qu'elle avait rencontré lors du tir à la corde étaient là et attirèrent un regard tendre de la blondinette.
Puis Plume aperçu Mily près du buffet et l'observa amusée avant d'apercevoir Kernos et le gouverneur qui semblaient cheminer vers elle.
Qui restait t-il donc...
Oh mais bien sur, comment n'avait t-elle pu pas la voir la blonde Axel.
Une dame qui lui rappelait fortement feu sa suzeraine et qui n'hésitaient pas à lui donner conseil si elle était perdue.
Celle-ci était d'ailleurs accompagnée d'une très jolie fille qui lui ressemblait.
La jeune blondinette se dirigea vers sa voisine terrienne et fit une légère révérence.*

-Axel!
Je suis bien heureuse de te voir en ce lieu, cela fait si longtemps que je ne t'ai point vue...

*Laissant les politesses de côté elle se surprit elle même à lui faire la bise en rosissant un peu pour le coup.
Ayant presque l'impression de voir Espoire lui dire d'un air sévère presque réel que cela ne se faisait pas, tout en ayant une lueur amusée au fond des yeux.
Un sourire vint se greffer sur son visage alors qu'elle regardait la damoiselle, aux côtés d'Axel, intriguée, se demandant si elle la connaissait déjà en fait ou pas...*
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_geoffroy_

Un bal, un bal et encore un bal... lui qui n'avait pas l'habitude de tout cela, le voilà qu'il était contraint d'y passer... En plus il y venait seul, espérant y retrouver sa femme d'ailleurs qui ne raterait probablement pas l'occasion de s'y rendre malgré leur dernier différent. Leur vie était assez mouvementée ces derniers jours, la prévôté, l'ost, la politique, et la vie de couple, tout plein de domaines susceptibles d'attiser les disputes ou l'incompréhension de l'un ou l'autre... Ca ne lui plaisait guère d'ailleurs lorsque ça se passait comme ça, les paroles fusaient et ils ne se comprenaient pas, mais il savait qu'au bout d'un moment, tout rentrerait dans l'ordre.

C'est donc dans cet état d'esprit qu'il se rendit au bal d'anniversaire du Duché. Il avait revêtu un de ses plus beaux costumes, d'ailleurs c'était à nouveau sa femme qui l'avait choisi pour lui, comme toujours... Elle s'y connaissait bien plus en matière vestimentaire que lui ! Et le mélange des couleurs, c'était à peine si elle ne le disputait pas lorsqu'il cherchait à épouser deux couleurs différentes mais qui ne devaient pas donner un résultat flagrant en terme d'esthétisme... Enfin elle avait ça dans le sang, ça devait être ça le petit truc en plus qu'avaient ces dames... Le sens du détail, de l'harmonie.

Cette fois il s'était vêtu de vêtements plutôt sobres, au moins il ne pourrait pas se tromper dans les couleurs, du noir et du blanc, voilà qui était parfait pour l'occasion ! Laissant à l'entrée du lieu où le bal allait débuter sa monture, à un des pages présent pour s'occuper des chevaux de chacun des invités. Il marcha donc doucement jusqu'aux premières personnes, apercevant le Vicomte de Savines ainsi que la damoiselle Justine, puis son regard se posa sur une charmante blonde en robe blanche et bleutée.. il esquissa un léger sourire et se hâta de la rejoindre, elle semblait déjà en pleine discussion avec une autre personne.

Bien le bonjour mesdames...

Il caressa son épaule du bout des doigts en faisant le tour de sa personne, puis se glissa à ses cotés en lui souriant, ayant reconnu son épouse près d'Axel.
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[Anniversaire du Duché] Banquet et bal

--Nicolas_caillou

Ca y était, le point final des festivités en l'honneur des cinq ans du Duché et de la Sainte Boulasse était enfin arrivé. La Dame de Thauvenay, très occupée ailleurs, avait confié à une équipe de gens très compétents la préparation de la salle, tandis que le banquet serait lui préparé par le Maître-Queux des cuisines ducales, la demoiselle Lora.

Curieux, Nicolas s'était faufilé dans les lieux pour voir si tout était prêt, afin d'aller rassurer celle qui à coup sûr le sermonnerait gentiment d'être allé traîner dans les jambes des gens affairés.

Partout les couleurs du Duché trônaient, tandis que vaisselle et récipients remplis d'alcool divers trônaient sur les tables. Des tables rondes, pouvant accueillir jusqu'à dix personnes, étaient mises de façon à garder un espace libre suffisamment grand pour les danseurs se dégourdir les jambes ensuite.

Les plats ne devraient plus tarder à être livrés...

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Lora85

Lora, élue ,récemment au Poste de Maître Queux,au Duché du Lyonnais Dauphiné,avait été convié par Dame de Terwagne, d'organiser le banquet,qui clôturait les festivités du Duché.Pendant ces deux derniers jours,elle avait préparé,tous les mets, qui ce soir seraient présentés au convives.Elle venait d'affiché en salle le menu qu'elle avait préparé,à l'occasion du banquet.

Les valets avaient dressés les tables,ornées de nappes de lin,les couverts étaient dressés soigneusement.Des bassins remplient d'eau ,parfumés à l'eau de rose,étaient disposés à plusieurs endroits de la salle,accompagnés de serviettes, afin que chacun puissent se laver les mains.Les mets attendaient les convives,qui commençaient à pénétrer dans l'immense salle .Il était de rigueur,que chaque invité aille se servir ,afin de choisir ce qui leur plaisait.En ouvre bouche,elle leur proposait,des poires en compote,ce qui leur ouvriraient l'appétit,et aideraient aussi à une bonne digestion.En second plat, bien sure,l'incontournable potage,la Poré blanche,a base de poireaux,oignons,et de lait.Viendrais ensuite,le Brouet de cannelle,qui se composait de poules cuites dans un bouillon,assaisonné dans lequel elle avait ajouté des épices, cannelle et gingembre, clous de girofle.La sauce avait été liée,avec de la mie de pain,de l'amande en poudre et du jus de verjus.Suivrait,du mouton au miel et aux amandes,avec en accompagnement une cretonnée de poix,accompagnés de salades verte croquantes.Les épaules de mouton,découpées en morceaux,avaient été dorées,avec les oignons,et saupoudrées de gingembre,de cannelle,poivré salé,et avaient cuites doucement dans le four à pain.Les fromages de saison,étaient dressés sur des plats sur l'immense desserte,ainsi que les miches de pains.L'hypocras,attendait servi dans des carafes.Les rissoles,aux pommes,trônaient déjà en desserte,toute dorées et craquantes.Lora avait confectionné ces pâtisseries,a base de farine,de beurre,d'oeufs.La compotée a base de pommes,de pommes,de figues, de raisin secs,aromatisé de gingembre,cannelle et muscade,celle-ci avait servi de farce pour garnir les rissoles,qui étaient dorées et croquantes.Avec les blancs d'oeuf,afin de les utiliser,elle avait confectionné des meringues,un petit plus si toutefois les convives avaient encore une petite place pour les déguster.

Elle regardait les convives qui commençaient à prendre place.Les Officiers de bouches étaient présents,prêts à répondre au moindre désir.Les musiciens avaient pris place,et la musique battait déjà son plein.

Les Dauphinois et Dauphinoises aiment le bien manger,qui fait partie intégrante de la vie,de la fête et du plaisir de vivre.

Le Maître Queux,souhaita la bienvenue aux invités et se retira les laissant prendre place à leur guise,en leur souhaitant un bon appétit.

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Terwagne_mericourt

Un peu mieux vêtue sans doute qu'à l'accoutumée, la Dame de Thauvenay arriva quelque peu en avance sur les lieux du banquet et du bal, ce qui lui permit de croiser le Maître-Queux, la demoiselle Lora, qu'elle félicita une fois encore pour son savoir-faire, ébahie devant le travail qu'elle avait abattu en à peine quelques heures lui semblait-il.

Elle en profita également pour vérifier que tout était en ordre, incapable de se retenir de le faire, et attendit l'arrivée des premiers conseillers, qui elle l'espérait seraient plus nombreux ici qu'à la messe, ainsi que celle des membres du Comité des fêtes ducales, fort logiquement.
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Qu'importent les dièses et les bémols, quand l'harmonie est là... avec "Toi".

Rotule

Tutule sachant qu’il ne serait pas présent pour profiter du banquet se permetta d’entré par la porte entrouverte, puis gourmand comme un ours sortant d’hivernage devant un pot de miel il commenca à gouter trempant ses doigts dans la compote de poire, qu’il aprécia, puis avanca et prit une louche pour gouter la souplette de poré blanche qu’il trouva agréable en bouche ,alors il se reversa une seconde louche dans le gosier, puis s’attaqua à un beau morceau de poulets qu’il dévora en deux coups de croc puis se saisit d’une belle poignée de morceau de mouton doré aux oignons et au miel, qu’il mâchouilla avec plaisir.

Toujours en proies à la gourmandise il se dit qu’un petit coup pour rafraichir les écoutille faciale ferai du bien, alors il se saisi d’une carafe et la porta en bouche, et bu se nectar bien plus qu’il n’en fallait pour étancher sa soif.

Regardant de gauche à droite, il voyait les musiciens au fond entrain de répéter, il se décida de continuer et passa au fromage , et trancha avec son couteau de pêche une tranche dans une grosse miche et étala de long en large un fromage crémeux.

Mâchouillant sa tartine, il s’arrêta devant les rissoles ! Mon dieu que c’est bon ca ! pensa le Tutule.

Alors il s’en saisie une bonne poignée qu’il fourra dans ses poches, et après avoir finit sa tartine de fromage il retourna à la carafe et finit le contenu d’une traite et c’est avec une Rissole dans la bouche qu’il parti en direction de la halle.

Le ventre remplis les papilles en fêtes , il se dit que l’année prochaine il aurait peut être plus de temps pour profiter du banquet, et pourrai féliciter le maître Queux de se festin.
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Milyena

Mily, passa à la hâte voir si du monde était présent au bal de clôture.
Ayant pas mal prit de retard, elle n'avait encore eut le temps de s'habiller pour l'occasion. Ne voyant pas encore trop de monde, elle entra avec grande discrétion et tenta de rejoindre les cuisines sans que qui que ce soit ne l'aperçoivent.
Une fois s'y trouvant elle alla à la rencontre de la gagnante du concours culinaire et ayant été nommée Maître-Queux des cuisines ducales.
Elle n'avait encore jamais eut l'honneur de rencontrer la damoiselle Lora, dont elle avait vu les splendeurs lors de ce concours.
Mily l'a félicita et admira le menu de cette soirée.

Bonjour à vous damoiselle Lora. Je suis Milyena, membre du comité des fêtes ducale et conseillère ducale...

Mily avait malgré tout horreur de se présenter en donnant ce type d'information, mais en même temps si elle ne le faisait de la sorte, la pauvre Maître-Queux pourrait la faire jeter de ces cuisines, se demandant ce qu'elle ferrait ici.

Je suis heureuse de vous rencontrer et enfin pouvoir vous féliciter pour votre place de Maître-Queux et lisant le menu de cette soirée, ai vraiment hâte d'y goûter. Vous êtes une vrai fée culinaire.

N'ayant put regarder qu'en grande vitesse le buffet et la décoration de la salle, vu la rapidité avec laquelle elle c'était rendue en cuisine, pour échapper aux quelques personnes étant présentent. Mais en ayant vu suffisamment que pour voir que la damoiselle Lora avait réalisé à nouveau de merveilleuses préparations et de toute splendeur pour les yeux. Elle n'avait certainement pas eut les mots suffisant pour la hauteur du travail que cela devait demander.
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Axel2fersen

Axel avait quitté ses douces montagnes depuis quelques jours, elle commençait petit à petit à reprendre goût à la vie depuis sa sortie du sanatorium. On aurait pu croire qu'elle avait choisi son moment pour revenir aux réalités de l'existence. Le duché était plongé dans un semi-chaos provoqué par la rancœur, la bêtise et la méchanceté gratuite et sa vie personnelle se délitait. Le paradoxe parvenait à son paroxysme, alors que tout semblait s'effritait autour d'elle , le duché s'apprêtait à fêter son anniversaire et la poésie s'infiltrait peu à peu dans ses rêves.
Tout était si... elle ne trouvait même pas les mots pour exprimer ce qu'elle ressentait dans ce marasme qu'était devenu sa vie. Elle n'avait plus même d'identité, ou plutôt elle ne savait plus qui elle était. La seule chose qu'elle savait c'est qu'elle avait envie de danser, de rire et de s'amuser...
Alors elle fouilla dans ses malles, et y dénicha La robe. Celle qu'il lui avait offerte pour la remercier, elle n'avait eu l'occasion de la porter qu'une seule fois depuis lors. Elle la défroissa et la regarda longuement, elle était le symbole de tout ce faste désormais perdu. Cette robe sublime au couleurs de Roynac s'accordait à merveille avec son teint diaphane et ses cheveux d'or. Les années ne semblaient pas avoir de prise sur la douce Axel et cela la rassurait, elle qui 'avait toujours cru n'exister que de par sa beauté. Enfin parée de ses plus beaux atours, la blonde dioise, se mira une dernière fois dans la psychée de sa chambre, puis se dirigea vers la salle où devait se dérouler les festivités de clôture. Elle espérait ne pas jouer les tapisseries tout au long de la soirée.

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Milyena

Mily après cette visite auprès de Damoiselle Lora, était repartie aussi discrètement que ce qu'elle n'était arrivée.
Rentrée chez elle, elle se dirigea de suite vers sa penderie et en sortit la toute nouvelle tenue qu'elle avait demandé à Amy de lui préparer.
Depuis plusieurs jours, elle aurait eut envie de l'enfiler, mais n'osait même pas ouvrir la porte la dissimulant. Notre Mily, n'avait jusqu'à présent, jamais eut d'autre robe, qu'une prêtée par Dame Anne de Culan et deux autres qu'elle avait réalisée elle même.
Mais une aussi jolie robe, faite de si jolie matière et sur mesure, ça c'était une vrai première pour elle.
Elle allait ce soir, se sentir enfin plus femme...Plus cette petite fille de rien, débarquée en LD un beau jour enneigé de décembre. Là où elle retrouva sa soeur, séparée toute deux depuis tant d'années. Sa soeur avait souhaiter l'aider, mainte et mainte fois.
Mais Mily s'y refusait, elle voulait y arriver par ces propres moyen. Et son ainée en eut grand respect, mais lui avait dit de ne jamais hésiter le jour où quoique ce soit lui manquait.
Alors notre Mily était fière d'elle ce soir. Et c'est dans un grand bain parfumé, qu'elle plongea et se délassa. En sortant ensuite, elle s'assit face à son miroir et peigna ses cheveux. Elle fit en premier un chignon, puis se regardant, non, elle les préférait pendant et plus sauvage pour ce soir.
Une fois son visage et ses cheveux soigné, elle prit sa robe en main et l'enfila enfin.... Elle qui passait ses journées vêtue de brailles et uniformes, était habillée comme une dame.
Un sentiment étrange l'a parcourut, mais sentiment si agréable, elle ne bougea pas, se regardant un instant encore dans son miroir sur pied.
Prise dans divers pensées et sentiments...Puis se ressaisissant, dans un mouvement rapide, elle se tourna et sortit de sa chambre, prenant le chemin de la salle où le bal se donnait.

Arrivée sur place, elle y vit Axel et se dirigea vers elle souriante.

Axel, bonjour! Ravie de te voir. Et bien cela faisait un moment que je ne t'avais plus croisée, avant ce jour au concours.
Comment vas tu?
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Axel2fersen

Axel hésitait encore à entrer *j'y vais... j'y vais pas...* C'était sa première sortie de femme célibataire depuis ce jour d'avril 1455 où elle avait accepté la demande en mariage de Kernos. Mais à présent elle n'était plus Axel Rouvray, elle n'était plus qu'Axel tout court...
Elle allait probablement repartir quand une voix amie la sortit de sa réflexion et de ses doutes.

Axel, bonjour! Ravie de te voir. Et bien cela faisait un moment que je ne t'avais plus croisée, avant ce jour au concours.
Comment vas tu?

Une Myliéna tout souriante s'avançait vers elle dans une robe qui n'avait d'égal que la beauté de celle qui la portait .

Oh Bonjour^^ Je suis heureuse de te voir, je vois que tu as pris un bon bain depuis notre dernière entrevue. Elle rit repensant à l'orgie boueuse à laquelle elle avait reparu dans le monde peu de temps auparavant.
Et bien j'ai été gravement malade et j'ai dû me soigner très longuement... A présent tout va pour le mieux. Et j'espère pouvoir le prouver sur la piste de danse, enfin à condition que je ne reste pas telle une vieille fille au fond de la salle...

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Milyena

Tu es magnifique Axel! Tu ne resteras pas seule comme une vieille fille, ou alors ils ont un sérieux problème tous ces messires.

Elle lui sourit tout en lui parlant. Mais il était vrai qu'elle était une belle femme et qu'elle ne resterait probablement pas seule...Peut-être n'aurait elle pas assez de ces deux jambes pour accepter les propositions.
Bon, encore aurait-il fallut que des messires arrivent à cette soirée, mais elle ne faisait que débuter et les dauphinois allaient bientôt arriver et emplir cette salle, faisant honneur aux merveilleux buffet et ces braves musiciens.
Une belle soirée en perspective se dessinait.

Bon, je vois que tu n'as pas pris de quoi m'offrir un Génépi cette fois....Allez viens avec moi! Et allons nous choisir un bon verre.
Et si je ne suis pas trop indiscrète, tu pourras me raconter le mal dont tu as souffert, mais dis le moi si cela te gêne ou est déplacé.
De plus le lieu n'est peut-être pas des plus approprié. Mais une chose est certaine, tu es resplendissante, d'où je suis certaine que ton repos t'auras fait un bien fou.

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Axel2fersen

Bon, je vois que tu n'as pas pris de quoi m'offrir un Génépi cette fois....Allez viens avec moi! Et allons nous choisir un bon verre.
Et si je ne suis pas trop indiscrète, tu pourras me raconter le mal dont tu as souffert, mais dis le moi si cela te gêne ou est déplacé.
De plus le lieu n'est peut-être pas des plus approprié. Mais une chose est certaine, tu es resplendissante, d'où je suis certaine que ton repos t'auras fait un bien fou

Et non pas de génépi^^ La fiole était celle de Ka à vrai dire moi je ne bois que très rarement ce tord-boyau, mais ne le répète pas aux montagnards , ils sont plutôt susceptibles concernant le génépi à Briançon.
Merci pour le compliment mais bon je vieillis , je le sais bien chaque jour que fait le Très-haut!! Regarde-toi si belle si fraiche tu es éblouissante et si pleine de jeunesse!!!

Elle sourit à la jeune demoiselle et s'avança vers le buffet à sa suite. Croquant dans une petite bouchée, elle poursuivit:

Il n'y a aucune indiscrétion, je suis malade depuis fort longtemps et de nombreuses sont au courant que telle une sorte de sorcière je fais des crises.
Le Mal emporte mon corps en une sorte de danse macabre, je ne contrôle plus rien et j'en ressors à chaque fois hagarde, épuisée et à demi-vivante.
Cela avait tant fait peur au prêtre-médicastre qui venait parfois au couvent qu'il avait préconisé un exorcisme puis le bûcher pour me purifier dans le cas où les prières auraient été insuffisantes...

Axel leva les yeux au ciel en repensant à la réaction du vieillard. Sans la mère supérieure qui s'était portée garante de sa purification elle ne serait certainement pas là boucles blondes au vent en train de papoter en attendant qu'on la serve. Une jeune demoiselle arriva sur ces entre-faites un plateau à la main sur lequel trônaient divers pichets.

Je prendrai un peu d'hypocras pour ma part merci bien^^ Myli tu prends quoi?

Attendant que la demoiselle de Thauvenay prenne sa décision, Axel avala le reste de sa bouchée puis but une gorgée afin de faire "descendre" celle-ci. Puis repris son récit telle la bavarde invétérée qu'elle était.

Enfin, voilà depuis mon accident de cheval il y a une bonne dizaine d'années, j'ai parfois des crises que seule la belladone peut calmer. Mais cet été ça a été pire car j'ai été prise d'une grosse fièvre qui a interdit toute prise de la belle italienne, et ça a été assez difficile de me remettre de cette fièvre alors que le Mal ne cessait de venir me chercher...
Enfin voilà j'ai hérité de près de deux mois de sanatorium pour me remettre tant j'avais maigri...et me revoilà!

Axel leva alors son verre en souriant et conclut sur un A l'amour!! qu'elle affectionnait tant.

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Lora85

Lora, constatait avec un immense plaisir que le menu qu'elle avait concocté pour ce banquet avait été apprécié.Des appréhensions ,elle en avait eu,tout à fait légitimes,c'était le tout premier repas qu'elle organisait,depuis son élection en tant que Maître Queux du Lyonnais Dauphiné.Elle avait remercié Dame Milyena,pour sa gentillesse et ravie d'avoir fait sa connaissance.puis elle s'était retirée,avant de saluer Dame Axel2fersen.
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Milyena

Mily apprécia ce moment de discution avec Axel, c'est qu'elle ne se connaissaient pas plus que cela et c'étaient croisées bien souvent dans le cadre de réunion au comités des fêtes ducales.
L'écoutant attentivement, sur la raison de cette longue absence, Mily grimaça un rien, étant peinée pour Axel de vivre de si laide période. Comme cela devait-être pénible.
Et elle ne savait que trop bien, ce qu'était des ennuies de santé inexpliqués et dont l'état de la personne en souffrant, pouvait en effrayer plus d'un, tout comme en faire discuter et partir dans des délires d'explications. Cela par contre l'amusait avec ironie.

Et bien, ma pauvre Axel, vous venez de vivre de biens laides journées et surtout de biens laides années de souffrances. Si un jour je peux vous être de quelque aide que ce soit, n'hésitez surtout pas.
Mais je ne suis plus sur Vienne, donc n'envoyez pas de pigeon pour moi vers là.

Elle se retint de rire, imaginant le pauvre pigeon, se baladant, sa petite missive accrochée et faisant les cents pas devant l'ancienne demeure qu'elle occupait sur Vienne.
Axel lui demanda ensuite sont souhait en boisson.

Alors, à défaut de la présence de Messire Ka, et sa fiole, je prendrais un Génépi présenté avec banalité dans un verre.

Riant à nouveau, elle prit à son tour quelques petits amuses bouches, présentés par les soins de serveurs passant avec des plateaux bien fournit. Mais avec la blonde et la brune, cela ne durerait pas apparemment et le plateau se viderait assez rapidement.
Levant son verre, Axel conclut avec un "A l'amour!".

Sur ses mots le visage de Mily s'illumina. C'est qu'enfin elle pensait l'avoir rencontré l'amour. Et cela l'a rendait toujours plus heureuse, chaque jours passé auprès de lui.
Elle regarda Axel, dans les yeux levant son verre également, ce qui se fait, pour que les mots ou souhaits prononcés, soit sincères et puisse avoir plus grande chance d'être exhaussés. Elle les dits à son tour.

A l'amour! Et à votre bonheur et amour futur!

Souriant toujours et portant le verre à ses lèvres, elle aperçut Damoiselle Lora. Ayant l'air soulagée, sans doute cela était-il dut au fait que son menu aie plut. Elle lui fit un petit signe de la tête, comme pour l'inviter à se joindre à elles, ne sachant trop d'ailleurs si Axel et le Maistre-Queux se connaissaient, ni même si elles c'étaient déjà saluées ce soir.
Mais voici le plateau repassant sous son nez et Mily y plongeant délicatement les doigts pour se saisir à nouveaux d'un merveilleux amuse bouche.
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Ka_devirieux

Ces temps-ci le Ka n'avait pas même le temps de fermer sa garde robe qu'il devait déjà la rouvrir pour prendre ses habits de parade. D'ailleurs à cette occasion ci, l'ostrogoth (l'homme de main de Ka) avait encore pris des coups de pieds au séant!

En effet Ka, dans l'empressement, lui avait refourgué ses vêtements pour qu'il les envoie au lavoir. Mais l'homme de main, peu enclin à déléguer la tâche à une boniche qui saurait y faire, avait décidé de s'adonner de lui-même à cette tâche.

Ndlr; je ne sais si il est utile de décrire le résultat que donne l'ostrogoth au lavoir ! Sachez seulement que le nombre de renvoi au lavoir que Ka lui a fait faire correspond au nombre d'hématomes sur le séant. Celui qui voudra compter saura comment faire, bon courage à vous!

Une fois que ses vêtements furent prêts, voilà donc les longues minutes devant la glace à se faire habiller, et donc trifouiller par plusieurs pages et boniches.
Aïeuh ! *Shplaf!* Voilà ce que chacun pouvait entendre lorsque par malheur une épingle le piquait. Décomposons donc ceci; "Aïeuh; cri de douleur du Devirieux" - "Shplaf"; bruit du plat de la main du Devirieux sur une main de domestique.

Bon, tout ça pris donc un bon moment comme on l'a bien compris. Il était donc déjà pas mal à la bourre! Il écrit vite un billet destiné à Justine et ce faisant, il demanda que l'on fasse préparer son coche et son cheval.

A ma tendre Justine,
Sachez, ma douce, que je me mets en route pour le bal. Je vous attendrai sur les escaliers de la Grande Salle des festivités.
Eblouissez...

Ka Devirieux

Il confia alors le billet à l'ostrogoth; Prend le Coche et va chercher Justine, remets lui ce billet, pour ma part j'irai à cheval !

Il descendit alors rejoindre les écuries et prit son destrier. Il chevaucha alors jusqu'à la salle des fêtes, sa monture recouverte d'une robe aux couleurs des armes de Savines et de Saint-Véran.

Sur le parvis de la salle des festivités, il confia sa monture à un page, et attendit donc debout sur l'escalier, se mettant à faire les cents pas après quelques minutes.
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Secrétaire de l'Assemblée nobiliaire du Lyonnais-Dauphiné - Kartographe

Axel2fersen

Milyéna était une amoureuse du génépi, et elle fit honneur à celui qu'une jeune femme lui servit. Au fur-et-à mesure de la conversation qui était empreinte de légèreté , le plateau mis à la disposition des deux femmes se vidait à vue d'oeil.
Elles trinquèrent et saluèrent la maître-queue qu'elles félicitèrent pour ses succulentes recettes. Puis Axel jeta un oeil en direction de l'entrée son chevalier servant du moment lui avait promis de venir et de la conduire sur la piste de danse. Elle l'attendait, l'espérait même avec impatience. C'est à ce moment-là qu'elle aperçut une silhouette au travers du vitrail.
Cette silhouette elle la reconnaîtrait entre cent, elle l'avait souvent étreinte et si longuement admirer qu'elle aurait pu la dessiner de mémoire. Elle se retourna alors vers Milyéna et dit joyeusement en faisant cingler à nouveau sa chope contre la sienne.

Et bien en parlant du loup... enfin de l'ours... je pense que le vicomte de Savines est là!!
C'est étrange qu'il n'entre pas peut-être devrions-nous aller à sa rencontre!!

Sans attendre la réponse de la demoiselle de Thauvenay car quasi sûre de sa réponse,Axel saisit le plateau sur lequel demeuraient quelques canapés rescapés (enfin ceux qu'elles n'avaient pas aimés sûrement) et déposa une chope de génépi puis elle se dirigea vers la porte d'entrée. Suivie de Milyéna elle sortirent alors sur le pas de la porte afin de saluer le Devirieux.

KA-CHOUUUUU!!! Ben qu'est-ce que tu fais là à faire les cent pas, c'est dedans la fête!!!

En guise de preuve elle lui poussa le plateau devant le nez, lui offrant ainsi le boire et le manger (même s'il s'agissait des mignardises qu'elles n'avaient pas aimées puisque seules restantes)
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Kernos

Noir comme la nuit la plus sombre où seul l'éclat d'argent de la Lune éclaire vos pas au milieu des ténèbres... ainsi était vêtu Kernos Rouvray, ainsi étaient ses armes et couleurs. Velours noir de la tête aux pieds, à l'exception du fermoir de sa cape et le motif tissé sur son poitrail, tous deux représentant un chêne rouvre d'argent, canne à la main et épée au côté, il se dirigeait vers les lieux où le bal et le banquet clôturant le 5e anniversaire du Lyonnais-Dauphiné et ses festivités se tiendraient.

Dans l'air, flotté l'odeur des victuailles fraîchement préparées et disposées à l'appétit et à la gourmandise des convives... un parfum d'épices, de viandes... un parfum de fête oui qui vous accueillait, vous mettait l'eau à la bouche et l'esprit aux réjouissances... Oui, se réjouir, rire, danser, manger et boire, quoi de plus normal pour rendre honneur au Duché? Car oui, aujourd'hui, comme tout le long de ses festivités où les plumes, les pinceaux avaient rivalisé d'imagination et de talent, où l'on avait soufflé, sué et crié autour d'une corde, où les archers avaient fait montre d'habilité, tout ça pour célébrer le Lyonnais-Dauphiné et pour lui seul. Et c'était pour cela que le Rouvray était là, pour rendre hommage à cette terre qui l'avait accueilli et fait prospérer, cette terre où il avait aimé, pleuré, saigné et rit, cette terre qu'il portait dans son coeur et qui l'avait marqué au plus profond de son âme... Cette terre qui était devenu la sienne.

Son regard se porta vers l'avant, une silhouette de plus en plus familière à mesure qu'il avançait... Savines, qui semblait attendre... quelqu'un, le début des festivités? En tout cas, il semblait légèrement impatient à en croire les tours qu'il effectuait sur le parvis. Une femme s'approcha de lui avec un plateau à la main. De loin, il aurait pris pour l'une des servantes venues apporter quelques friandises, mais s'approchant encore, il se figea légèrement dès qu'il reconnut ses traits pour les avoir contempler des années... Axel.

Il hésita quelques instants, non point qu'il redoutait de se trouver en présence de la mère de ses enfants ou bien qu'il lui portait grief, mais leur dernière conversation ne lui avait pas laissé un bon souvenir, et aujourd'hui étant jour de fête, il n'avait point envie de se prendre l'esprit avec des soucis familiaux d'autant plus que... d'autant plus qu'il avait d'autres projets en tête. Le Rouvray soupira légèrement et reprit sa marche vers l'entrée.

Arrivant à leur hauteur, Kernos les salua poliment en grimpant prestement les marches malgré sa jambe encore endolorie, pour s'engouffrer dans la grand pièce et tomber nez-à-nez avec l'une des demoiselles Méricourt, mais point celle qu'il cherchait.

Demoiselle Milyena Méricourt, le bonjour. Auriez-vous vu votre soe...?
Point le temps d'achever sa phrase, son regard était déjà attiré ailleurs, dans un coin plus retiré où ses pensées et son attention furent immédiatement capturées.

Veuillez m'excuser.

Oui, c'était certes très cavalier, mais que pouvait-on attendre de plus d'un gens d'armes d'ordonnance? Boitillant avec un empressement à peine dissimulé pour traverser la pièce en direction de la Dame esseulée, encore plus captivante que sa beauté sauvage n'en était que plus soulignée, comme l'on remarque avec plus d'aisance la touche rouge enflammée d'un coquelicot solitaire au milieu de la blondeur des blés. Un sourire exprimant avec sincérité ce qu'il ressentait à cet instant aux lèvres, il inclina son buste avec souplesse pour saluer d'un baisemain, la seule et unique Dame de Thauvenay, une lueur audacieuse aux prunelles qu'il plongea au coeur des siennes.

Votre Grâce, de vous voir si belle je suis comblé.
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Justine

Le bal !

Justine se souvint de l'annonce faite en gargote au sujet du bal... Depuis plusieurs jours elle taillait et cousait une robe dans de vieux tissus encore en bon état, peut être des rideaux, trouvés dans la demeure acquise quelques temps auparavant à Briançon. La tenue, assortie à l'émeraude de ses yeux et surtout à ceux de son tendre afin d'être en parfaite harmonie avec lui, lui seyait plutôt convenablement, malgré la pauvreté des étoffes. Elle n'en eu cure, puisque de toute manière les moyens lui manquaient de se faire fabriquer chez une modiste la robe de ses rêves... Ka Devirieux le matin même l'avait prévenue qu'il l'emmenait à cette festivité, et elle fredonnait tout en coiffant ses longs cheveux. Elle opta pour une coiffure simple, et n'ayant pour tout bijoux que des boucles d'oreilles que la Mère Supérieure du couvent lui avait remises, elle les suspendit à ses lobes.

C'est alors qu'un tambourinement à faire peur aux morts retentit à la porte d'entrée... Grand dieu déjà ?! Elle se précipita, faillit s'entraver dans le tapis du hall et ouvrit tout grand sur un Ostrogoth un peu bougonnant, ce qui la fit grandement sourire...

- Vous mon ami, vous vous êtes encore fait gronder... Entrez donc, et allez en cuisines prendre une collation...

Il lui remit alors le billet, et c'est sans rechigner qu'il obéit à son conseil... Elle déplia la missive et son sourire s'agrandit encore à sa lecture.

A ma tendre Justine,
Sachez, ma douce, que je me mets en route pour le bal. Je vous attendrai sur les escaliers de la Grande Salle des
festivités.
Eblouissez...

Ka Devirieux

Mais tout à coup son sourire s'effaça... Eblouissez lui disait-il... Baissant le regard sur sa pauvre tenue elle finit par pouffer et se rendit aux cuisines et prit le brave homme à témoin...

- Et bien ! Ce n'est point ce soir que je vais éblouir attifée de rideaux ou dessus de lit comme je le suis ! Vous venez mon ami ? Nous y allons ? Laissez-moi juste attraper un châle !

Chose qu'elle fit, puis sortie derrière l'Ostrogoth et monta dans le coche que son tendre mettait à sa disposition.

Le voyage ne fut guère long somme toute et lorsque le véhicule fit la halte tant attendue, elle n'attendit point que l'homme de main de son promis vienne lui ouvrir la portière, et descendit illico presto... Et là elle le vit, tout en haut des marches, magnifiquement vêtu... Une honte magistrale l'envahit... Dieu qu'il resplendissait dans ses atours... ce sera lui qui éblouira sa soirée et non l'inverse... Prenant son courage à deux mains, et même deux pieds pour continuer d'avancer
comme si de rien n'était, elle lui fit un petit signe de la main et grimpa doucement les marches.

L'arrivée d'Axel avec quelques mets semblait-il sur un plat la fit sourire, sentant déjà la faim la tirailler au creux du ventre, mais pour l'heure, c'est d'une toute autre faim dont elle souffrait et se dépêcha de la satisfaire en embrassant son amour et se blottissant dans ses bras...

- Bonsoir mon chéri... J'espère ne point être en retard, m'avez-vous attendu longtemps dites-moi ? Puis se tournant vers Axel... Bien le bonsoir dame Axel... Ce que vous amenez là me semble bien appétissant, puis-je ?
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Ka_devirieux

De droite à gauche, de gauche à droite, de droite à gauche, de gauche à droite... Après plusieurs allers-retours, il entendit une voix familière. Un appel bien particulier d'ailleurs! Il se retourna alors vers Axel qu'il avait reconnu; *Ahem* Bonsoir Axel...Non j'attends Justine... Cet abruti de l'Ostrogoth doit encore être perdu! Le chariot vint alors étrangement le rejoindre. Bon..C'est pas parce qu'on attend qu'on est au régime non? Zoup il se laissa à prendre une tranche de charcuterie qu'il engouffra dans sa barbe.

Merci mais excuse-moi je vais attendre qu'elle arrive. C'est alors que Kernos de Rouvray arriva et finit par passer à sa hauteur. Fier-Barbe fût étonné de la froideur du Chêne. Lui ne manqua pas de le saluer fortement; Bien la bonne soirée Sire de Rouvray!

C'est alors que des bruits de sabots se faisaient entendre. Ka fixa son regard en direction du coche qui apparaissait en approchant, se redressant pour mieux voir, il posa les poings sur les hanches, fixant l'Ostrogoth en hochant de la tête de gauche à droite. Lorsque le coche fût devant les escaliers, Ka descendit quelques marches pour la rejoindre et l'enserra de par le bras à sa taille. Vous voilà ma Justine! Je n'sais si c'était vraiment longtemps mais ça me l'a paru !

Bon entrons! Et du bras il invita Justine à le suivre dans la salle.
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Secrétaire de l'Assemblée nobiliaire du Lyonnais-Dauphiné - Kartographe

Axel2fersen

Le porche prit tout à coup des allures de hall de gare, humm... enfin de relai de calèche... Ka refusa poliment de prendre à boire , mais ne se laissa pas prier pour une tartine de pâté. Il lui expliqua qu'il attendait la jeune Devirieux, sa promise comme elle aimait à dire. Elle était mignonne la petiote, jeune et innocente certe mais toute gentille . Axel avait elle aussi succombé à son charme, il devait être écrit qu'elle ne saurait en vouloir à ses poursuivantes, car encore une fois elle s'en était éprise. Tout en poursuivant cette conversation des plus anodines, une silhouette claudicante s'avança prestement sans même ou presque se préoccuper de sa présence. Kernos... il y a quelques mois à peine il aurait baisé le moindre grain de poussière que les pieds de la blonde avait foulé et là rien. Il ne prit même pas la peine d'être courtois avec le Vicomte, avait-il donc tant changé comme le prétendait la rumeur. Ka sembla remarquer également cette froideur que seuls connaissent les arbres morts l'hiver et s'empressa de le saluer ouvertement. Cette adresse puissante cinglait comme un reproche, Axel s'attendit à ce que le père de ses enfants y réponde, mais rien à peine un mot pour Milyéna qui passait la porte à son tour et il disparut. Jamais jadis il aurait été si impoli, parfois les rumeurs reposent sur des faits...
Pas le temps de réfléchir à ce bref instant de vie, que le ballet recommença , ce fut la délicieuse Juju..Stine qui parut , parée de vert ... Axel se promit de s'entretenir avec elle à ce sujet , bien sur Saint-Véran et Savines arboraient de telles teintes, mais une blonde qu'elle soit des montagnes ou d'ailleurs jamais... Le Très-haut lui avait permis de naitre dans l'azur de l'ours , il lui faudrait s'en contenter.
Un tourbillon amoureux sembla alors emporter le jeune couple, la jeunesse était surtout du côté de Justine d'ailleurs mais peu importait. Ka Devirieux était encore pas mal conservé pour son âge, l'oeuvre de beaucoup d'exercice physique sans nul doute. Bref, ils échangèrent un doux baiser puis la jeune sur du duc de QUeyras, s'adressa à la dame de Roynac.

Bien le bonsoir dame Axel... Ce que vous amenez là me semble bien appétissant, puis-je ?
Très heureuse de vous voir Juju..Stine , bien entendu servez-vous , Milyéna et moi-même avons déjà quasiment dilapidé ce pauvre plateau. Mais peut-être pourrions nous tous entrer après tout il y a toute autre sorte de mets et de breuvages délicieux qui nous attendent à l'intérieur
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Justine

- De toute manière mon tendre, court ou pas, le temps nous parait toujours long lorsque nous sommes éloignés l'un de l'autre...

Elle eu juste le temps d'écouter puis de sourire à Axel qui l'invitait à se servir, d'attraper un morceau de boulette au faisan et cury lui semblait-il et de la remercier que déjà Ka ôtait son bras de sa taille et le lui présentait afin qu'elle passe le sien autour. Chose qu'elle s'empressa de faire amoureusement, puis lui murmura en le suivant...

- Vous me voyez là toute excitée vous savez mon amour, il s'agit de mon premier bal tout de même ! Vous me montrerez les pas de danse dites-moi ? Je promets de ne point vous marcher sur les bottes soyez rassuré ! Mais en attendant allons saluer les personnes déjà présentes...

Lorsqu'ils entrèrent, elle confia son étole à une servante qui lui demanda son nom pour le ranger dans un vestiaire, puis elle avala rapidement ce qu'elle tenait dans sa main et manqua de s'étouffer... ensuite ils se dirigèrent dans une vaste salle illuminée de mille chandelles lui semblait-il tant les miroirs renvoyaient la lumière à l'infini. Eblouie par les tapisseries, les boiseries travaillées par des mains de maistres artisans, le parquet si bien ciré que l'on pouvait presque se mirer dedans, elle resta un instant immobile, ne trouvant plus ses mots..
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Terwagne_mericourt

Cela faisait de nombreuses minutes qu'elle était partagée entre deux solutions...

Soit le fait qu'elle soit mieux vêtue qu'à l'accoutumée avait empêché les premières arrivantes de la reconnaitre, raison pour laquelle aussi bien Dame Axel2fersen que sa propre soeur avaient purement et simplement ignoré sa présence, soit quelqu'un lui avait lancé un horrible sort d'invisibilité et le résultat était le même au final.

Quoi qu'il en soit, c'était un fait, sa soeur et les autres se comportaient comme si elle n'avait pas été là, et cela provoquait bien des interrogations en elle.

Peut-être était-ce le coin où elle était placée qui était responsable... Mais non, elle n'était même pas dans un coin d'ombre, pour une fois. Etrange, vraiment étrange...

Perdue dans ses réflexions, elle cessa de regarder dans leur direction, pour se tourner vers une plante verte déposée à quelques pas d'elle. Vert... beurk.... elle en voyait partout en ce moment, du vert, de ce vert qui lui faisait penser à un horrible couvre-chef porté par un horrible homme de glace dans un horrible Duché où vivaient d'horribles personnages imbus d'eux-même, et où même le vert était FIER. Pour un peu, elle en aurait eu des nausées.

Ainsi plongée dans la contemplation répugnée de la dite couleur, elle n'aperçut pas l'homme qui entrait en trombe et se dirigeait vers elle, et il fallut que le son de sa voix la ramène tant bien que mal à la salle de bal et au présent.

Quelque peu hébétée, elle ne trouva alors rien de plus intelligent à lui dire que :

De voir que jamais vous ne portez de vert, je suis rassurée...
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Qu'importent les dièses et les bémols, quand l'harmonie est là... avec "Toi".

Kernos

Les mots de la Dame de ses pensées, de ses nuits, de ses jours... enfin bref, les mots et la voix de la Dame de son coeur - et d'autres choses encore comme l'âme ou l'esprit aussi - tombèrent sur lui comme l'eau ruisselante et cristalline* d'une cascade d'interrogation. D'audacieuse, la lueur de ses yeux devint surprise, puis interrogation alors qu'il se redressait, quittant de ses lèvres cette chaire si tendre et aimée pour les ouvrir afin de laisser quelques mots s'en échapper.

Des vers moi? Grand Dieu non, je prends régulièrement des infusions de graines de tanaisie pour les combattre.

Un léger frisson de dégoût le parcouru... beurk! Des vers, quelle horreur! Ces vermines grouillantes et visqueuses qui vous rongent de l'intérieur, il en avait une sainte horreur et se préservait de tout risque en ingurgitant régulièrement des infusions et en observant une hygiène de vie et de corps irréprochable: bains réguliers à base d'herbes aromatiques, savonnage des pieds à la tête, rasage quotidien, feuilles de chêne pour se laver les cheveux, etc... Mens sana in corpore sano, c'était sa devise... hum... non c'était Mea robur est mais peu importe.

Ses doigts toujours autour de sa main, car si sa bouche l'avait quitté ce n'était pas le cas de ses doigts, il continua de la regarder, non plus avec une pointe d'interrogation, mais une pointe de taquinerie.

De toute manière, les seuls vers que je supporte sont ceux des poètes ou ceux remplis de vin... ou de calva à la rigueur. D'ailleurs, que dirais-t.. que diriez-vous d'aller en chercher un pour que nous puissions nous mettre en bouche avant le début des "hostilités" gastronomiques et musicales?

*elle est si bonne.
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Terwagne_mericourt

A peine avait-elle prononcé cette phrase qu'elle se rendit compte qu'elle était idiote, et se mordilla-t-elle la lèvre, avant de desserrer son étreinte sous la violence de l'éclat de rire qui lui naquit dans la gorge en entendant sa réponse décalée.

Des vers? Grand dieu, elle s'en doutait bien, qu'il n'avait pas de vers, lui qui menait vie tellement saine, du moins au niveau de ce qu'il ingurgitait. Laissant s'envoler deux simples notes de rire, elle se ressaisit aussitôt pour écouter la suite de ses propos, le sourire aux lèvres, les yeux posés sur ses doigts , sur leurs doigts à tous deux.

Quand il en eut terminé, elle releva ses yeux vers les siens, une lueur passionnée au fond du regard, et lui répondit.

Où vous irez j'irai, envers et contre tout, dusses-je même frôler de mes jupons cette horrible plante pour aller quérir un peu de nectar et d'ivresse.

Avec un clin d'oeil complice, elle fit pivoter sa main dans la sienne, glissant sa paume contre sa compagne de plume et de tant d'autres choses encore, avant de la lui retirer, lentement.
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Qu'importent les dièses et les bémols, quand l'harmonie est là... avec "Toi".

Milyena

Etant apparemment les premières arrivées, Axel et Mily discutaient depuis un moment à présent.
Malgré qu'elle fut toutes deux membres du comité des fêtes ducales, bien rare fut les fois où ces deux jeune femmes eurent l'occasion de se croiser, autre que lors de réunions de préparatifs de festivités. Se connaissant si peu, cette soirée semblait être l'occasion d'y remédier.
Il faut bien avouer que Mily et cette dernière, ne devait pas vraiment avoir les mêmes lieux de fréquentations.
Mais notre Mily, aimait la vie, aimait le contact, aimait les rencontres. Et sauf si les personnes vers qui elle se dirigeait, n'auraient accepté son sourire et ses salutations. Elle avait en effet bien prit ses marques dans ce duché, qu'elle chérissait tant.
Etant prête à savourer cet amuse bouche prit juste quelques instants plus tôt, elle entendit la voix d'Axel encore bien plus joyeuse qu'au début de leur rencontre. Mily n'eut le temps de rien, même pas poser son verre, que la voici attirée vers l'entrée de la salle par les soins de son interlocutrice.
Ne sachant trop que faire et d'ailleurs n'en ayant pas vraiment le choix, elle se retrouva à l'extérieur à son insu, face à Messire Ka Devirieux, qu'elle salua.
Se trouvant face à une situation qui paraissait quelques peu particulière.
Elle vit le Sieur Kernos, arriver à son tour. Et fut surprise de ne point voir Terwagne à ses côtés. Etant sur cette réflexion, ce dernier la salua, lui demandant apparemment si elle n'aurait point vu sa soeur. Mais ne finissant sa phrase il pénétra dans la salle avec un certain empressement.
C'est à cet instant qu'elle se rendit compte que tout ce temps où elle faisait plus ample connaissance avec Axel, Terwagne se trouvait également dans la salle.
S'excusant poliment à Axel et Messire Ka, elle passa à son tour la porte, souhaitant réparer cette erreur, de n'avoir même pas saluer sa soeur.
Mais vu que tous deux avaient l'air bien heureux de se retrouver et que cette soirée apparemment l'amènerait de surprise en surprise, elle repartit auprès du buffet, trouvant l'endroit bien agréable.
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Axel2fersen

je dois des excuses à deux joueuses , un pardon ljd Milyena de vous avoir fait vous déplacer sans votre autorisation et désolée à ljd Terwagne d'avoir cru que sa marionnette était sortie de la salle et de l'avoir snobé en quelque sorte

Axel se retrouvait seule sur le parvis , elle n'en revenait pas , tout ce monde et puis d'un coup plus rien , et puis rien à boire... Elle soupira oh et puis mince !!! elle s'essaya sur la marche supérieure et attendit un peu désabusée, qu'un "prince" vint la chercher aux marches du palais. On aura pu croire avec sa somptueuse robes qu'elle sortait tout droit d'un conte ou d'un roman chevaleresque et des siècles plus tard , on chanterait encore il en était certain.

Citation:

Aux marches du palais
Aux marches du palais
Y a une tant belle fille... lon la y a une tant belle fille...

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Kernos

[Fidèle comme une ombre...]

...Où vous irez j'irai, envers et contre tout, dusses-je même frôler de mes jupons cette horrible plante pour aller quérir un peu de nectar et d'ivresse.

"La caresse de ton regard est pour moi d'une ivresse bien plus grande que le nectar du plus beau fruit de la Création..." aurait-il pu dire en se brûlant à la passion qu'il lisait au fond de ses yeux, mais cela aurait sans doute fait trop poétique pour être naturel, tandis qu'ils passaient de la caresse de leurs prunelles à celle de leurs mains, qu'il goûta d'ailleurs énormément. Un léger froid lui saisi la paume qu'elle venait de quitter, tant son corps entier, dans la moindre de ses parcelles, réclamait le sien avec ardeur... mais il se domina, à l'exception de ses yeux peut être, et de ses lèvres qui s'étirèrent d'avantage quand il lui répondit avec entrain.

Et bien Ma Lun... pardon Votre Grâce, permettez-moi de vous enlever jusqu'au buffet, je prendrai garde à ce que t...vous ne heurtiez point cette vilaine plante de jalousie et d'envie ainsi parée*, dussé-je tirer le glaive contre elle tel un saint Georges pointant la lance pour trucider le méchant "dragon" menaçant la princesse Alcyone, afin que nous arrivions sains** et saufs pour nous servir cette fois un bon verre***.

Il regarda alors en direction des tables et rougit en apercevant l'autre demoiselle Méricourt, repensant à la manière bien impolie dont il s'était comporté.

J'aperçois d'ailleurs t...votre soeur qui se tient là, nous pourrions en profiter pour la saluer, qu'en dites vous?

Il lui proposa son bras avant d'ajouter à demi-voix en faisant le premier pas.

Ma Lune, avec toi.

*c'est-à-dire de vert
**donc sans vers
*** et non de vair, comme la pantoufle d'une certaine demoiselle cendrée
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Leane

Léane avait eu vent de ce bal en l'honneur de l'anniversaire du Duché. Elle avait décidé de s'y rendre. Sa mère l'y attendait. Son père serait surement présent lui aussi. Elle fouilla dans une malle à la recherche d'une robe potable pour l'occasion. Elle avait passé tellement de temps enfermer dans un couvent ses derniers temps qu'elle trouvait sa toilette démodée. Elle ne lui plaisait plus. Avec de l'aide, elle essaya une première houppelande, une seconde puis une troisième qu'elle fit ôtée à peine lassée. Elle resta dans la chambre à moitié dénudée, regardant les robes éparses dans la chambre.

Ses pensées voguaient ailleurs. Serait-il là? Elle ne le savait point. Peu de chance qu'il soit présent. Pourquoi toujours penser à lui alors qu'elle n'avait plus de nouvelle. Elle avait décidé de tirer un trait. Qu'il en soit ainsi.

Sa dame lui précisait que si elle ne se dépêchait pas, le bal allait se terminer. Elle lui proposa une robe qui s'accordait à ses cheveux, à son teint pâle. De plus, elle mettait ses yeux en valeur.

Elle la vêtit. Puis, elle monta dans un coche qui l'amena sur les lieux du bal.

Elle descendit du coche et entra dans la salle du bal. Il y avait déjà du monde. Elle reconnut sa mère, son père et... Terwagne.
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Axel2fersen

LA belle de Roynac était là à attendre, quant un coche s'arrêta et la plus jolie des demoiselles en descendit. Sa fille venait de faire son entrée . Axel se releva et sourit en faisant un signe de la main. La jeune Rouvray avait vraisemblablement les yeux braqués sur autre chose par -delà les vitraux.

Léane? Léane!! Quelle joie de te voir ma douce!
TU es magnifique, mais dis-moi cette robe est à moi il me semble... mais bon elle te va bien mieux tu es splendide!!TU vas éblouir tous les jeunes gens de la contrée.

Elle lui sourit et entrouvrit ses bras pour l'inviter à s'y blottir.

Pour ljd Milyénaa peine après avoir posté je m'étais confié a ljd KA en lui disant que j'avais fait quelque chose que je détestais... faire agir un perso sans consentement, mais espérant que le rp allait prendre de l'essor et ne voulant pas qu'axel soit trop impolie.. j'ai été vilaine

merci d'avoir accepté mes excuses en tout cas

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Milyena

Mily était là auprès du buffet à déguster un second verre, son Seigneurs des Lances Helsinki venant de lui faire découvrir la chartreuse, elle avait dont opté pour cela en second.
Hum... Des mélanges... Et bien pourquoi pas après tout. Elle n'était pas grande buveuse non plus et sachant fort bien qu'elle ne danserait pas et passerait une bonne part de la soirée seule, cella n'alait certes pas la préoccupé davantage.

Ayant malgré tout son côté observatrice et fouine. Elle avait cette pudeur de ne pas porter son attention sur des personnes en couple. Ce qui fit qu'elle avait bien aperçut Messire Ka en compagnie de Justine, qu'elle avait salué de bien loin lors de son entrée, mais sans trop si attarder par discrétion. De même que pour sa soeur et Messire Kernos.
Elle était donc le regard un peu partout mais nulle part à la fois.

Tournant le dos tant qu'à présent aux personnes se trouvant dans la salle. Et bien pour une fois, la voici plus que silencieuse et pas vraiment de sourire au visage.
Quand elle était seule face à un buffet et dos aux personnes présente. Elle était comme tous...Silencieuse et ne regardant pas vraiment quoique que ce soit de précis et sourire à des mets succulents n'était pas trop une habitude non plus.

Merci à LJD Axel et bien évidement excuses acceptée^^. Mais il est vrai que je ne suis pas trop pour les persos que l'on déplace sans que le joueur n'en soit avisé. D'où la tournure de mon post précédent.

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Zantiln

Zantiln avait faillit arriver en retard, non pas parce qu'il hésitait entre diverses tenues, il n'avait après tout qu'une tenue convenable pour ce genre d'occasion, réalisé par une couturière de Prunière, mais parce qu'il n'était vraiment pas à l'aise sur un cheval, et que jugeant cela peu convenable, il l'avait laissé peu avant, pour arriver à pied.

C'est ainsi qu'il arriva pendant les effusions d'une mère et d'une fille, et les observa en souriant, sans oser déranger.

Terwagne_mericourt

[HRP: Pas de soucis, LJD Axel. Visiblement, personne n'avait compris que Terry était présente. ^^]

Votre Grâce, permettez-moi de vous enlever jusqu'au buffet

L'enlever jusqu'au buffet? Norf, il n'allait tout de même pas oser la soulever du sol ici, devant tous ces... yeux, et toutes ces plantes vertes? Ecarquillant les yeux, elle le regarda un instant avec un air perplexe, avant de se rendre compte qu'il voulait simplement l'emmener vers là-bas.

En attendant, l'idée d'un enlèvement lui trottait bel et bien en tête, et elle se mit à imaginer des tonnes de scènes toutes plus décalées les unes des autres, allant du comique au coquasse, en passant par le passionné et le...

Il fait un peu chaud, non, dans cette salle?

Question idiote, et sans rapport aucun avec le reste de la conversation, mais il devait commencer à en avoir l'habitude, le pauvre Kernos... Hop! Tentative d'enchaînement avec ce qui avait précédé...

Ca doit venir des plantes, je le gage.

Absurde! Simplement absurde! Les plantes ne produisaient pas de chaleur, ou alors seulement quand on en roulait les feuilles pour les fumer comme le faisait le sieur Ryllas sur les marches de la Cour d'Appel.

Hop! Hop! Nouvelle tentative de rapprochement à la discussion préalable...

Quoi qu'il en soit, un verre ne serait pas de refus, en effet. Je vous suis, Mon Sieur. Et nous en profiterons pour saluer ma soeur, oui.

C'est à cet instant qu'elle aperçut la Demoiselle Léane qui entrait dans la salle, et qu'elle lui adressa un sourire spontané, en souvenir des quelques instants qu'elles avaient partagés lors du séjour de la demoiselle à Saint-Priest, ce séjour où elle lui avait servi de chaperon à la demande de son père.
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Qu'importent les dièses et les bémols, quand l'harmonie est là... avec "Toi".

Plumedange

_geoffroy_

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[Anniversaire du Duché] Banquet et bal