Afficher le menu
Information and comments (2)
<<   <   1, 2, 3   >>

[RP] Oui, je le veux !

Dhea
Tout s'enchaîne (j'ai dit tout et pas tous c'est pas parce qu'il y a une paire de menotte-alliances que tout de suite...enfin bref...bande d'obsédés) enfin !! Il était pas trop tôt.

Foulques commence son blabla de moine libidineux quand la Brune l'interrompt. Quoi encore ??

Re interrumption !


- Non mais c'est pas un peu fini ces interrumptions ?? Et c'est qui le vioc qui vient d'entrer ? Hein ?
- Il a pas compriiiiis mes ORDRES le garde à l'entrée ?? Faut que je lui fasse une visite guidée de mes oubliettes ?

AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH, cris d'effroi et pas chouette !! Merdum ! Boulette, grosse, très grosse boulette. Oups et gloups et pas glop à la fois !!

- Monseigneuuuur c'est Voooous. Quelle joie de vous recevoir. Je vois que le garde vous a fait parvenir mon, enfin notre invitation. Enfin vous voilà ! Aristote soit loué nos épousailles vont pouvoir être bénies.

Plongeon en direction de l'Archevêque de Limoges, attrapage de sa main et bisouillage de son anneau.

- Pardonnez moi Monseigneur car j'ai pêché. Pardonnez nous car nous sommes des pénitents qui souhaitons nous purifier avant de célébrer ces épousailles...

Re re interumption ! Regards archi noir de la Vicomtesse à l'impromptu qui ose venir squatter le bureau du Régent en pleine cérémonie. Encore un pique assiette, un parasite, un poux qui veut se sustanter gratis !

- Et moi je tiens la chandelle? Ou vous voulez peut être que je fasse les choeurs pour mettre une ambiance sympa et joyeuse!

En entendant ces paroles du bellâtre, Dhéa, veuve de l'Ysengrin sanguinaire, se dit qu'elle carrerait bien la chandelle dans l'fion d'une certaine personne qui se radine comme un cheveau dans la soupe !
Des chants...oui voilà des chants...


- Pluuuuus prèèèèès de toooooaaaaaaa mon Diiiieuuuuuu....

Et c'est une Dhéa repentante, dans l'attente qui toujours a genoux entâme ce chant.


Pendant ce temps que font le reste des protagonistes ? Vous le saurez dans la suite du fol mariage de Lastours et de la Vicomtesse...enfin s'il a lieu...un jour...
_________________
Après la Relique, fiancée au Vieux
--Sergent_bourgogne


- Hep petit, c'est ici la maison de fo.... le Salon de la Régente?"
L'imposant personnage qui vient de poser cette benoite question et un vieux Limousin, vieux... presqu'aussi vieux que le Comté. L'éloignement ne l'a pas épargné, souffle court et teint rubicond, nez épaté par le mauvais vin, quinquets bleus ternes d'avoir monté d'innombrables gardes, lippe vermillon fendant une face couturée en maints endroits, en un mot comme en cent: le Sergent Bourgogne.
Il s'enfile poussivement dans les marches du grand escalier et passe d'un coup d'épaule le planton qui entendait sottement lui barrer le chemin. La porte s'ouvre sur lui et un copieux bruit de ferraille qui choit.

- Pas bien épais les gardes du Comte. MISSIVE POUR LA REINE MERE... euh La Vicomtesse de Droux!" claironne le vétéran avant d'écarquiller les yeux sur le spectacle peu ordinaire du salon.
Le chant qui s'élève d'une voix haut perché passe facilement l'obstacle de la salade du soldat pour s'insinuer douloureusement dans ses conduits auditifs, le jetant immédiatement à genoux, pognes sur les esgourdes. Un coup à tomber raide d'une rupture d'anévrisme, pire que la clameur de la bataille.
Pendant ce temps, un moine sautille étrangement en jetant des anathèmes apparemment sans effet sur un prélat tremblotant. Et le Vieux Lastours semble plongé dans une catatonie due à ce chant des sirènes que n'aurait pas renié Homère.

Stratégiquement, Bourgogne décide de temporiser, rangeant missive et appel à la pitié pour plus tard.
--Omnipresenceetcie
Nan mais franchement ... vous croyez sincèrement que la Bess elle se laisse dépouiller de ses trucs brillants sans rien dire ? Bon j'avoue que sur le coup elle en est restée comme deux ronds de flan. C'est vrai quoi, bien qu'elle soit pas du genre à se pavaner ou quoi que ce soit, sa position fait qu'on la traite plutôt comme quelque chose ou quelqu'un qu'on ne peut approcher comme n'importe quel pécore qui se ballade dans la rue. Et l'autre là qui la traite de sauterelle... est ce qu'elle à l'air d'une sauterelle ? ELLE????? namého ! Et non content en plus de la faire se ratatiner dans ses chausses avec l'allusion à sa lame qu'elle range prestement (soit dit en passant) vla t'y pas qu'il lui saute dessus, enfin sur ses mains déjà, afin de les délester prestement.

Donc les mains tripotées par le moine, elle le regarde les yeux ronds, les sourcils hauts, et lorsqu'il s'empare d'une bague en particulier, elle reste là les bras ballants, se demandant encore ce qu'il vient de se passer.

C'est vrai quoi, elle se fait pas tripatouiller tous les jours non plus ! Bref sur le coup elle réagit pas, laissant le rubicond moinillon faire son spectacle, alors qu'elle regarde ses doigts, cherchant l'erreur. Parce que erreur il y a ça c'est sûr et certain. On lui laisse pas beaucoup de temps, vla déjà le moinillon en train de commencer son office, une Dhéa (soit disant) repentante, et l'arrivée intempestive d'un rougeaud vétéran, qu'elle avait bien connu fut un temps.


Heu... dites j'voudrais pas faire ma chieuse, mais quitte à prendre un anneau, je préférerais et de loin que ça ne soit pas mon scel officiel !!!!

Nan mais c'est vrai quoi ! elle l'avait fait monté à gros frais, sur une magnifique monture d'or, sertie de rubis, elle va pas la laisser partir sans rien dire ! faut pas déconner quand même ! Pi attendez .... elle en a "quand même" un peu besoin pour ses courriers officiels alors bon ....

Donc si vous pouvez me la rendre là tout de suite ménan, je veux bien vous donner la grosse là avec les diamants et l'émeraude.Dit-elle en tendant la dicte bague.

Posté à la demande de Jdr Bess.
Aldaaregonde
Toi aussi ami lecteur tu trouves que parfois ça traîne trop en longueur, ou que le suspense est trop fort... pas d'inquiétude nous allons arranger cela. NdA


Les priorités n'étant pas les même pour tous, Arégonde attendait toujours de savoir ce qu'il y aurait au menu, l'idée de faire une soupe aux champignons lui traversa l'esprit mais elle n'aurait jamais de quoi satisfaire tout le monde, d'autant que plus ça allait plus le nombre de convives augmentait et cela de façon exponentielle. Un regard vers son frère qui ne semblait pas encore décider à prendre part au chant de Dame Dhéa puis sur le nouvel arrivant. A l'odeur elle se dit qu'elle l'avait déjà croisé.
_________________
Dhea
Le temps semblait être suspendu. Tout (et tous) était au ralenti. Personne ne bougeait, ne bronchait.

Dhéa était toujours agenouillée attendant la bénédiction et l'absolution de l'archevêque. L'attente se faisait longue, très longue et elle avait peur de s'endormir en l'état.

Son esprit se mit à vagabonder, elle entendit à peine Bess raler à propos d'un seau. Si ce n'était que ça elle lui en ferait livrer un de seau...

Elle zyeuta à gauche et à droite, ne s'attarda pas sur son Régent de fiancé qu'elle connaissait.
Ses pensées vagabondes se fixèrent sur le bellâtre de la de Rien.

Mouais pas bal pour un bellâtre, têtre un peu jeune...De vagabondes elle passèrent à polissonnes. Dhéa rosit comme une pivoine.
Bon il avait l'air de courrir après les de Rien mais après tout on était entre amies.
L'avait l'air d'avoir le fessier physiquement intelligent et ferme... Quelqu'un hormis l'intéressé se rendrait compte de quelquechose si elle le lui tâtait ? Elle lui fit son regard Biche du Nord...

Bon elle en avait un peu marre d'être là à genoux. Si ça continuait le mariage n'aurait jamais lieu et elle resterait coincée à genoux et ce n'était pas une position facile et confortable!

On faisait comme si l'Archevêque il avait béni Dhéa et qu'il lui avait aussi fait signe de se relever. On faisait comme si tout allait reprendre là où on s'était arrêter...quoique la Vicomtesse se dit qu'elle taterait bien...enfin...Rien.

QUAND SOUDAIN.....




édit : rajout d'une pincée de sel
_________________
Après la Relique, fiancée au Vieux
Childebert
Citation:


Moy Childebert de Béarn Argentat 1er Vice Primat de France, Evêque de Limoges et Recteur de l'Ordre Grégorien. Faisant acte du mariage entre le Vicomte Raspoutine et la Vicomtesse Dhea ne pouvant se faire au dire du Dogme pour les raisons suivante je cite :

Citation:
Sont seul habilités à célébrer un mariage, les prêtres ayant une charge de clerc ainsi que les diacres et assimilés.

Tout mariage devra se faire avec l’autorisation du curé de la paroisse des fidèles, ils devront donc résider dans la même paroisse. Si il n’y a pas de curé c’est à l’autorité religieuse locale de donner l’autorisation pour la cérémonie. Le mariage pourra être organisé n’importe où mais toujours avec l’autorisation de responsable religieux de la paroisse de résidence, ou à défaut par la curie. Seuls les mariages célébrés à Rome par un cardinal ou le Saint Père sont exemptés de cette obligation.


Le dit Foulque n'ayant aucune charge reconnue dans l'Eglise aristotélicienne le dit mariage ne pourra être reconnu.

Fait à Limoges le vingt quatrième jour de novembre 1458.

Monseigneur le Vicomte d'Argentat

Childebert de Béarn Argentat











_________________
[/quote]
Foulques_de_st_pol
Le Gnome sautillant s'immobilisa un instant. La momie du Limousin, miracle vivant défiant toutes les lois de la science en bougeant malgré une mort cérébrale constatée depuis près d'un siècle c'est a dire le jour de sa naissance présumée, la momie donc agitait un papelard.
Faisant fi de ces signaux de détresse visant probablement a appeler des secours pour sa réanimation a grand coups de piolet dans sa tête mitrée, renonçant également à l'immoler pour pratique de la sorcellerie visant à animer un cadavre d'un semblant de vie, Foulques gambada gaiement jusqu'à la Vicomtesse et prit sa menotte gracile, la bisant au passage.

- Vicomtesse, Soleil du Limousin, Source féconde de joie et de plaisirs bien trop violents pour votre futur époux qui ne le cède en gâtisme qu'à Monseigneur, Tendez donc votre didi que j'y essaye l'anneau matrimonial.
Le lourd scel de la Connétable de France passe sans difficulté au doigt parfait de la vicomtesse, qui jamais ne toucha une houe ou autre vil instrument de labeur, mais broda avec divin talent d'innombrables scènes de chasse ou les Seigneurs troussent les pécores et les Dames essayent les tenues les plus couteuses (et donc les plus chiches en tissu) devant des damoiseaux plein de sève.
- Parfait!
Le Saint de Saint Pol sautillait vers le Vicomte de Lastours, pour tenter de passer à un gros doigts taillé pour être brandi à la face du monde l'anneau délicat de la Vicomtesse d'Excideuil...

QUAND SOUDAIN...

_________________
Chapelain du Vicomté de Lastours
Aldaaregonde
Dans les moments pénibles et Aristote sait combien on peut en vivre, Arégonde avait pour habitude de prier les Saints afin qu'ils lui viennent en aide, c'est ainsi qu'en attendant que les choses se produisent qu'elle se mis à prier, on remarquait à peine ses lèvres bouger mais avec beaucoup d'entrainement on aurait pu lire ceci :
- Saint Balrog, Saint Bendalf, Saint Bralic.... Priez pour nous apportez nous la force de croire...

Quand soudain....
Une missive prit forme sans plus d'explication au bout du bras de l'Evêque de Limoges. Il n'était pas aisé dans prendre connaissance de là où elle se trouvait alors elle s'approcha discrètement pour mieux lire, une moue se dessina sur son visage, jusque là rien de nouveau il était en effet présent pour faire le mariage de Dame Dhéa et du RaspFFFFFF à la demande de la dite Dame, alors quoi... C'était pour prouver qu'il avait lui aussi le droit de participer à l'aventure ? Toujours est il que le Poulpe lui continuait à prendre les choses en main. On finirait bien par manger tôt ou tard même si visiblement cela serait plus tard que tôt.
Une dernière pensée traversa l'esprit d'Arégonde pourquoi n'avait elle pas prit avec elle ce drôle d'objet, héritage de la Vicontesse de Panazol, et qui malgré une légère ressemblance avec un fleuret était d'une luminosité encore inconnue aujourd'hui, elle était certaine que cela aurait eu un effet des plus grandioses à ce mariage. Une autre moue se dessine sur sa bouche.


Quand soudain....

_________________
Gabin
Quand soudain...

Voilà une voix qui s'élève et qu'on avait pas entendu depuis longtemps. C'est vrai que c'était tristounet cette réunion. Tous planté là attendre que le saint esprit nous fasse un signe, et binh on était pas couché. Et ça n'est pas à son habitude que le p'tit blondinet est prit dans un délire étrange. Cela vient sûrement de l'ennuie et du silence... ou peut être de la faim, mais la faim de quoi? Toujours est il qu'il se rapproche du Vicomte, proie de toutes les attentions.

... Comme un bourrin,
Armant son couillard,
D'un oeil vicelard...

Observe au passage le regard du raspoutine puis se rapproche très dangereusement de la Dhéa, presqu'à mimer ses mots.

... L'cap' lui prend bassin,
La Vicomtesse n'y pose un regard,
Que sur l'cul du jeune gaillard
La la la la lin...

Montrer son arrière-train, quelle horreur! même s'il garda ses braies, cette petite tape était une outrance. Et si personne n'avait vu un pincement au fesses munis d'un clin d'oeil. Enfin, là n'était pas la question, l'heure était de continuer puisque les paroles lui venaient dans un air mélodique enjoué. A qui le tour? A la soeurette, qui, il l'espérait, n'avait pas oublié après tout ce temps le rythme et les pas en leurs moments festifs.

... T'nant la chandelle,
La belle saute...relle,
Petite Dame de Rien,
Enfournerait bien un pain...

Toujours dans ses pas de danse, qui, il faut l'avouer, ne ressemble pas à grand chose, pas très synchrones mais le coeur y était, voilà l'important. Il continue alors son chemin passant d'une personne à l'autre.

... Et la Connestable de France,
Qui se prendrait bien une lance,
Dans ses rêves charnels,
Trayant de la mamelle!
La la la la beille...

Il ne restait plus grand monde maintenant, alors tout naturellement il se dirigea vers les ecclésiastiques, mais pas trop près non plus, au cas où ils l'attaqueraient, le prenant pour un possédé ou renfermant une folie. Le Foulque d'abord, il en a l'honneur.

Heureusement v'là les curetons,
Frétillant de l'oeilleton,
Cachent bien sous leur cul...otte,
Une diablement molle loupiote...

A présent il ne pouvait le cacher, sont inspiration n'était plus aussi fructueuse, il essaya de gagner du temps tant bien que mal par diverses danses de bouffon.

N'eut bêtises aux chiottes,
Avec les pelotes... qui picotent,
Que d'vieux croûtons,
Ne pouvant donner d'rejetons,
La la la la lotte!

Il était temps que ça se termine, avec pour le dernier mot un regard vers la personne qui pourrait se sentir visée. Le blondinet ne put tout de même s'arrêter ainsi et continua à sautiller dans la pièce, fredonnant dans sa tête l'air. L'air de Rien.


Merci tout de même à LJD Alda et à la censure qui remarquera qu'il n'y a rien de choquant.
_________________
Aldaaregonde
Elle tente de garder les yeux ouverts, mais ils commencent fortement à piquer, elle étouffe un bâillement en obligeant ses mâchoires à rester soudées.

Quand soudain...

V'là le frérot qui fait son numéro, pour sûr c'est un artiste né en un Rien de temps il vous fait une ritournelle, bon on peut lui trouver le pas gauche quand on ne connait pas les danses folkloriques de leur région de naissance, mais à le voir comme ça, les souvenirs affluent et c'est avec émerveillement qu'elle l'écoute et l'observe riant de ses bouffonneries, ce mariage n'aura jamais d'égal. Elle tente de se contenir et de ne pas le suivre mais c'est plus fort qu'elle et avant même que le pauvre Foulques ne puisse enfin faire passer l'anneau au Rasp elle entonne à son tour une petite chansonnette, l'air de Rien histoire de faire un petit fond musical et de détendre l'atmosphère.


C'était l'histoire d'une gueuse
qu'avait pas le feu qu'aux joues
Elle travaillait sans r'lache
à s'en user les genoux
Elle nettoyait les tâches
soulageait l'Raspinoux
Elle pensait la pauvrette
que d'connaitre le château
des caves à au-d'sous bureau
elle finirait Comtesse

C'était l'histoire d'un gueux
qu'avait pas froid aux yeux
Il pourfendait Dragon,
soldat et pauvres vieux
Ou parfois une jolie Dame
qui finissait en larmes
d'avoir ainsi perdu
ses lettres de noblesse
Il pensait l'damoiseu
que les histoires de fesses
f'rait de lui un héraut

C'était l'histoire d'un Noble
qu'avait pas d'temps pour lui
Il traquait les bandits,
les démons les ennemis
et tout cela fini
il se vantait au lit
Il pensait le pauvre homme
qui se la coulerait douce
mais c'était sans compter
sur sa divine épouse

C'était l'histoire d'une Dame,
qu'avait pas....

Quand soudain....



Bah de Rien Jdr Gabin comme tu peux le constater je recycle ^^.
_________________
Aldaaregonde
Une crampe la saisie.
_________________
Dhea
QUAND SOUDAIN.... (hum oui oui à la plage j'ai pas oublié, je poste auj)
_________________
Après la Relique, fiancée au Vieux
Dhea
QUAND SOUDAIN.....(ouais bon ça va avec ce quand soudain !! Quand soudain rien ne se passe !! Ca suffit !!)

QUAND SOUDAIN c'est comme si un voile se déchirait devant les yeux de la jeune et belle promise, la Vicomtesse quoi !
Elle regarde tour à tour tous les protagonistes de cette triste farce ! L'une fait une drôle de grimace, l'un a perdu l'esprit en chantonnant mais quelle belle paire de f...., hum je m'égare... LE promis comme à son habitude ne dit rien. Avec lui c'est tout l'un : il gueule ou tout l'autre il ne dit mot donc là il va consentir de toute façon il est trop tard pour faire machine en arrière.
Mais le plus inquiétant c'est cette odeur de mort et de naphtaline qui hante le bureau du Régent (bah ouais à l'époque des faits Rasp est Régent).

Derrière le voile sombre un éclair ! Un sombre pressentiment s'empare de la fiancée...Vite il lui faut fuir d'ici et tous les fuir, enfin tous sauf un car comme déjà dit impossible de faire marche arrière.

Elle arrache la lettre qui est sortie on ne sait pas d'où mais on pourrait dire d'un trou moisi. Aucune réaction.

Elle attrape son fiancé par la barbichette. Je te tiens, tu me tiens par la barbichetteeeeuuuu ! 'ttendez, il ne peut pas la tenir par la barbichette elle n'en a pas. Bref.
Elle le tire par sa barbichette et l'entraîne à travers les couloirs....du temps....

_________________
Après la Relique, fiancée au Vieux
See the RP information <<   <   1, 2, 3   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)