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[RP] : Des pélerins à Vaudemont

Naudeas
Naud écoute les autres remarque, elle n'avait pas fait attention à Clodeweck qui vint se placer perfidement derrière lui et la surprit ne s'attendant pas à son arrivée à la pastorale commune. Elle lui fit un grand sourire, heureuse de le revoir depuis le temps.

Enfin à n'en pas douté que cette histoire est foutrement mal tournée, ou je me serais assoupie sur la compréhension. M'enfin dans sa compréhension, il n'a pas cherché outre mesure sauf quand le curé lui a expliqué le pourquoi du comment. Tu peux savoir que nul n'a cet accueil enfin là c'est le curé mais remplacé par le tribun, si je ne m'abuse. Enfin baste, te voilà arrivé en entier, c'est là, une chose principale.

Uriel et Solane aussi avaient prit la parole. En même temps, le texte était aussi pour les interrogations. Elle esquissa un sourire à voir Uriel faire du protocole à Clodeweck, voilà une des choses qu'elle n'avait pas à faire enfin si à chaque fois qu'ils étaient en entretien, elle devait bicher sa bague, ils ne s'en sortiraient plus. Elle regarda Uriel à nouveau. Quand Ashrei vint faire son apparition.

Un curé est la pour montrer le chemin de la Vertu, intéressant. Mais les curés peuvent avoir le regard voilé car les pécheurs sont de leurs amis, les laissant vivre dans le péché. Tous les péchés ont leur importance. Ce curé ne se mettrait il pas en porte à faux par rapport à sa foi et ce qu'il prêche le dimanche en nos Saintes Églises ? Ne serait-ce pas parjure ?
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Solid
La môme avait assisté au départ d’Angel pour son combat sans piper mots. Elle, qui n’était déjà pas d’un naturel bavard, s’enfermait de plus en plus dans le silence depuis quelques temps. Seule Solane savait encore la faire sortir de son mutisme et l’affection de l’adolescente pour elle s’en trouvait chaque jour grandie.

Très vite, elle avait senti une présence dans les alentours. Sans se retourner, elle aurait pu jurer qu’il ne s’agissait pas d’un de ses compagnons de pèlerinage. En effet, au court de leur périple, elle avait eu le temps de les observer, d’apprendre la façon qu’avait chacun de respirer, de se déplacer.

Elle se retourna non pas en alerte, car elle savait que personne n’oserait venir dans ce lieu en cet instant avec l’instinct belliqueux, mais avec curiosité. Elle inspecta le nouveau venu de la tête aux pieds, et assista à la marque de respect du père Uriel pour lui, ne faisant que lui confirmer ce que son instinct lui dictait sur l’identité du personnage.

Elle prit le parti de respecter sa discrétion, lui concéda un *bonjour mon père* et se désintéressa de lui aussitôt en se penchant vers Solane pour lui souffler :


Dis le texte du Père Uriel, ça veut pas dire simplement qu’il faut éclairer l’ignorant plutôt que lui jeter l’opprobre ? Que l’inquisition n’est pas là pour punir les ignorants mais pour châtier ceux qui font offense au Très-Haut en toute connaissance de cause ?
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Uriel
Uriel était toute ouïe aux questions, et remarqua que pas mal de gens suivaient, ce qui était une bonne chose.
Pour une première pastorale commune, ça avait l'air de bien se passer.

Il avait entretemps répondu au salut de la môme, toute silencieuse depuis son apparition et même bien avant.

Les paroles de Naudeas l'auraient presque fait sourire. Si il avait été paranoïaque, il se serait sans doute imaginé que ces affirmations lui étaient directement adressées parce qu'ils n'avaient pas eu gain de cause. Revenait-on une fois encore à une discussion sans fin, où chacun resterait sur ses positions ?


Un clerc est là pour montrer le chemin de la vertu, pas pour forcer à le suivre. Dieu a laissé aux humains leur libre-arbitre, dès lors chacun est conscient qu'il marche sur un chemin mais peut à tout moment s'en éloigner. Le clerc ne peut ainsi que convaincre et non contraindre, sinon, il s'opposerait lui-même à La volonté du Très-Haut.
Les prêches du Dimanche s'adressent aux paroissiens et à ceux qui daignent les écouter et sont des exemples pour tenter de s'améliorer et rechercher à atteindre la perfection. Quant aux clercs, si ils doivent tenter de s'élever au dessus de la moyenne, moralement parlant, ils sont également des humains et c'est bien humblement qu'ils doivent accepter leur imperfection et la corriger.

Lorsque je baptise quelqu'un, je lui fais remarquer que si je lui tend l'échelle qui mènera peut-être le futur fidèle au Paradis Solaire, ce sera cependant à lui de gravir les échelons.

Vous l'aurez sans doute compris, cette histoire relatée reste très utopique ; depuis, le monde a évolué, nous ne sommes hélas pas chez les bisounours où tout le monde est beau et gentil ; sincèrement, ça me plairait bien, mais la réalité est toute autre ...
Les tours de l'Ombre sont nombreux et peuvent embrouiller bien des esprits.


Il marqua une pause et regarda Naudeas droit dans les yeux, si elle avait une requête précise à formuler, autant avoir le courage de ses opinions.
Sinon, si il s'était trompé ... tant mieux, il était loin de s'estimer parfait.


D'autres questions ?
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Verty
SE Verty avait essayé de faire une entrée aussi discrète que son beau frère le cardinal Clodeweck.

C’est sans compter son agilité, sa prestance, sa grâce légendaire, son charisme envahissant qui passait rarement inaperçu qu’elle se mêla aux fidèles.

La baronne de Montfort, prit place auprès du sous pape bien évidement un Montfort également dont les titres ne tenaient pas sur sa carte de visite tellement il en avait.

Elle écoutait attentivement, ravie Mgr Uriel compter la pastorale.

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Gbe
[A l'archidiocèse de Trèves, au matin]

Gratien avait appris à l'archidiocèse que Monseigneur Uriel menait pastorale en pleine forêt au valeureux groupe de pélerins. Un frère convers était en train de charger sur un une courte charette quelques victuailles.

Tranches de lard, quelques miches de pains et un chaudron de soupe.

S'adressant au frère
:


La pastorale est certe la nourriture de l'âme, mais je comprends également qu'il faille nourrir le corps ... pour que l'âme reste en alerte et profite du message divin.

Je vous escorte jusqu'au lieu de rassemblement. Il serait malheureux que ces bonnes choses n'arrivent pas aux vaillants pélerins.


Le frère acquiesa et cria pour faire avancer la mule. Avait-il seulement compris tous les mots ? Bah l'important était de porter ces vivres aux brebis du très Haut.

Il leur faudrait une à deux heures pour rejoindre la clairière.


[en vue de la clairière, alors que le pâle soleil devait approcher de son apogée]

Gratien qui escortait à cheval la charette arriva en vue de la clairière. Il portait en surtout une longue cape. Sachant que les rapports pouvaient être tendus, en témoignaient les deux missives qu'il reçut en son temps d'une certaine, Farges, Large ou Targe ..., il convenait de ne part heurter. Et puis c'étaient des brebis du très Haut en quête de spirtualité, d'amour aristotélicien, pas des bandits de grand chemin.

L'atroupement était assez considérable. Uriel était en plein cours. Gratien distingua même la tenue de deux prélats, des cardinaux sans nul doute.

La Charette se rangea à quelques distances pour ne point troubler le cours. Gratien et le frère convers déchargèrent simplement le chaudron pour l'approcher des braises et concourir à son réchauffement.

Ils saluèrent tout deux l'assemblée. Uriel présenterait sans doute Gratien aux prélats ou à l'un ou l'autre des pélerins s'il l'estimait nécessaire lors de la pause.

Gratien envoya encore le frère convers quérir quelques bois secs - Ce n'était pas une mince affaire en ces temps où l'hiver s'annonçait - et lui manda d'entretenir le feu.

Une fois cela arrangé, il s'approcha du groupe pour profiter de l'enseignement de Frère Uriel.

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Gratien du Bas Ermitage dict GBE - Garde épiscopale - aspirant-Lieutenant diocésain de l'évêché de Toul
Naudeas
Mouais, elle haussa des épaules à la réponse d'Uriel comme quoi tout était facile de fermer les yeux enfin, elle allait pas épiloguer la dessus, ça en deviendrait trop long et surtout stérile, de toute façon, elle savait que ça reviendrait sur le tapis, cette histoire.

Puis une illumination vint enfin sous le nom de Verty, avec toute la grâce qui lui était donné par le Très Haut, elle vint se poser près d'eux. Elle aussi était venue écouter la pastorale. À ce train là, bientôt tous les soutaneux du coin vont se réunir ici pour eux aussi écouter les histoires qu'Uriel avait à raconter. Elle gratifia sa Vertu d'un sourire, heureuse de la voir depuis le temps qu'elle était partie de Bretagne pour récupérer ses biens et s'en retourner la-bas mais la mission l'avait détournée du but. Enfin, ça occupait toujours de se promener. Elle avait encore par moment, la côte qui l'a lancée décidément, le bougre, ce jour là ne l'avait pas loupée. Bref, les aléas du fait de voyager seule.

Enfin un bonhomme qu'elle avait vu ici vint avec des charrettes pleines de victuailles, il comptait faire quoi un banquet ?! C'était la matinée, pas l'heure encore de dîner. Elle haussa les épaules une fois de plus, plus par dépit qu'autre chose. La lassitude prenant le pas de plus en plus sur tout ce qui pouvait se passer. Elle garda tout de même un oeil sur le gars qui vint les rejoindre rapprochant ses jambes près d'elle, une main sur une de ses bottes, ne sait on jamais si on voulait intenter à la vie de ses Éminences, elle ne devait pas malgré tout perdre sa vigilance quand à ce qui pourrait se passer.

Après tout, on peut faire des ronds de jambe devant de façon tout a fait hypocrite puis poignarder dans le dos comme l'histoire d'un Empereur Romain du nom de Jules César qu'on lui avait conté plus jeune, qui fut poignardé par son propre fils Brutus, c'était presque de monnaie courante dans le coin.

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Angel.
[Quelques jours après le duel…De retour a la pastorale bucolique…]



Angel arriva en boitant, séquelle du combat qu’il eut a mené quelques jours plus tôt, la douleur était vive mais pas insurmontable… La pensée d’avoir combattu un vaillant homme était présente, il avait su a lui seul relever l’honneur que peut de Lorrain pouvait prétendre… Et encore moins les soldats qui la défendent…

Sur le chemin pensif a tout cela, il arrivait sur les lieux… Il pu remarquer que les prélats de marque étaient arrivée, les éminences Clodeweck et Verty … L’attroupement était bien formé et Angel pu entendre le denier couplet de l’Archidiacre Uriel :


« Un clerc est là pour montrer le chemin de la vertu, pas pour forcer à le suivre. Dieu a laissé aux humains leur libre-arbitre, dès lors chacun est conscient qu'il marche sur un chemin mais peut à tout moment s'en éloigner. Le clerc ne peut ainsi que convaincre et non contraindre, sinon, il s'opposerait lui-même à La volonté du Très-Haut.
Les prêches du Dimanche s'adressent aux paroissiens et à ceux qui daignent les écouter et sont des exemples pour tenter de s'améliorer et rechercher à atteindre la perfection. Quant aux clercs, si ils doivent tenter de s'élever au dessus de la moyenne, moralement parlant, ils sont également des humains et c'est bien humblement qu'ils doivent accepter leur imperfection et la corriger.

Lorsque je baptise quelqu'un, je lui fais remarquer que si je lui tend l'échelle qui mènera peut-être le futur fidèle au Paradis Solaire, ce sera cependant à lui de gravir les échelons.

Vous l'aurez sans doute compris, cette histoire relatée reste très utopique ; depuis, le monde a évolué, nous ne sommes hélas pas chez les bisounours où tout le monde est beau et gentil ; sincèrement, ça me plairait bien, mais la réalité est toute autre ...
Les tours de l'Ombre sont nombreux et peuvent embrouiller bien des esprits. »


Angel remarqua le regard de l’homme sur la Capitaine Naudeas et s’en suivit d’une question :


« D'autres questions ? »


Un sourire se fit apparaitre sur son visage puis d’un ton sec, il coupa le silence :


- « J’en ai une moi… Enfin plus d’une…»


- « Vous dites que le libre arbitre est une chose essentiel, ce que je peux tout à fait comprendre… Mais quand est t il, sur les choix d’utilisé la sorcellerie ? Doit-on laisser aussi le libre arbitre faire ? Quel positon doit adopter un homme de foi qui constate cela ? »


- « Et surtout, ne me dites pas que la sorcellerie est pas pratiqué… Sinon, cela admettrait qu’il n’y est pas d’adepte du Sans nom et remettrait en doute l’existence de celui-ci… Donc par toute logique, celle d’Aristote aussi… »



Angel fixa l’homme qui menait la pastorale a son tour dans les yeux et attendait une explication un peu plus cohérente que ce qu’il avait pu lui revenir aux oreilles…

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Uriel
A priori, il n'y avait plus de questions, plus de Naudeas, en tout cas. Comme il était facile de juger les autres, d'agir en solitaire, d'aller de ça et là, sans rien vraiment construire, ni guider.
Au contraire, conduire des fidèles, pendant des mois l'était tout autrement, composer et pas imposer, et enfin garder leur confiance après deux années passées. Imposer était au final très aisé, mais surtout, on perdait vite toute crédibilité et les gens se détournaient bien vite de vos paroles.
A l'heure où la majorité des clercs des Royaumes dormaient, il était vrai qu'il était bien plus simple et "motivant" de se faire critiquer parce qu'on agissait plutôt que de faire comme la majorité : s'installer sur sa chaise et attendre que la Vérité Divine s'accumule comme ça, sans rien faire.

Dans l'entrefaite, la discrète SE Verty fit son apparition et Uriel la salua d'un signe de tête, il l'avait entraperçu quelques fois, à Noirlac, mais aussi il la reconnut grâce aux diverses descriptions que lui avaient fait "la Divine", sa très chère soeur Titca. Il irait la saluer comme il se devait, juste après, sinon des esprits mal tournés allaient finir par s'imaginer que l'archidiacre était prêt à se jeter aux pieds de tous les prélats pour quémander quelque doléance.

Les dix heures sonnèrent alors à l'église de Vaudemont et un chariot apparût au loin ... d'après l'uniforme, ce devait être un garde épiscopal. De fait, c'était bien le major Gratien qui apportait le repas de midi, il fallait encore faire quelque préparation et laisser terminer de cuire le ragoût.
Uriel gratifia son ami verdunnois d'un signe de la main et d'un sourire, le remercia pour son action.

Il reprit alors la parole.


Et donc ce texte permettent à ceux qui l'écoutent la première fois de comprendre quel est le rôle d'un curé, et aussi construit les fondations de notre Foi en Dieu.
L'on a évoqué "la créature sans-nom", parfois aussi appelée "l'ombre" ou simplement "le sans-nom".

Quelqu'un a-t-il une idée de son rôle ?


Il regarda l'assemblée, se demandant si une personne pourrait lui répondre ...
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Angel.
Angel reste figer… Le dit de foi fait comme s’il n’était pas là… Un froncement de sourcils… Ses yeux verts plissent en le toisant de celui-ci, avant de reprendre la parole :

- « Faut il que je parle plus fort… Ou est ce les questions qui ne vont pas.. »


Il croisait les bras presque pas surprit de l’attitude…

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Uriel
[Ah désolé : posts croisés, je n'avais pas vu - tu as bien fait de hurler :p]

Peut-être attiré par le bruit de la charette et des chaudrons, Uriel ne vit pas Angel se lever en prendre la parole.
C'est qu'il n'aurait pas fallu que la nourriture du midi se renverse ... enfin cela aurait toujours été bénéfique pour les animaux de la forêt.

Il le toisa alors, hurlant ... jugeant ... et voilà, encore une agression gratuite. On n'était plus à ça près, on commençait à avoir l'habitude. Saint Gabriel, veillez sur nous.


La sorcellerie ?
Et bien je vous dirais que de prime abord, la sorcellerie est l'affaire de la Congrégation des Exorcistes.

Dans notre monde, la sorcellerie est possible, ... ça n'est pas ma faute, quand même.

Sur la Place d'Aristote, à Rome, vous verrez des gens discuter entre eux alors que techniquement, ils se trouvent physiquement à des lieues ... peut on nommer cela de l'ubiquité ou peut-être prémices d'une future sainteté ? - je n'oserais m'en targuer, cela dit.
Vous qui êtes parti il y a quelques heures pour le duel, vous voici revenu avec une blessure qui semble ma foi assez bien refermée et nette, comme si plusieurs jours s'étaient passés alors que sur le principe, il n'y a que quelques instants écoulés. Cette première leçon de pastorale n'a pas duré trois jours à ce que je sache ...
Enfin, qui n'a jamais fait chanter les MéSaNges à des centaines de kilomètres ? Comment m'expliquez-vous qu'une personne qui ait été coupée en quatre à 4 heures du matin ressuscite et puisse travailler le lendemain à la mine ... voire le jour-même ? La liste est longue ... je peux encore vous citer des dizaines d'exemples et je suis sûr que vous aussi. Si on commence comme ça on ne s'en sortira jamais.

Pour en revenir à votre question et je vous l'ai dit : chacun a son libre-arbitre et devra répondre à Dieu de ses actions. Si vous n'avez pas entendu mes paroles, l'homme de foi ne peut que convaincre, il n'est pas là pour faire la Loi et punir à tout va.
De toutes façons, les règles ont beau être édictées, on ne sait matériellement pas contraindre les gens de faire d'autre que ce qu'ils veulent. Par exemple, on ne peut pas empêcher quelqu'un de parler.

Je suppose que vous connaissez Genève ... croyez-vous qu'il soit "logique" que des hérétiques puissent encore parler en pleine Cathédrale malgré la présence de nombreux hommes d'armes pour les empêcher de rentrer ? Ce n'est qu'un exemple, mais qui illustre bien le dur travail de l'Eglise et de ceux qui la composent.


Et ces propos il les entendait tous les jours ... à Rome. Hein ? Comment ça à Rome ? Bhen oui, en péninsule italique, quoi. Comme beaucoup de gens Uriel avait le don d'ubiquité, pouvant en même temps se trouver à plusieurs endroits ... à Trèves, à Paris, à Aix, en Berry, etc ... merveilleux n'est-ce pas ?

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Angel.
Angel en avait entendu assez pour comprende que l'homme se prennait pour le divin a pouvoir déterminer ce qui était temporel ou pas...

Angel fit un geste a tout les Conos présent pour leurs signaler de partir de ce lieux qui est bafouer par un hérétique au sein même de l'EA....

Il salua les autres puis prit la direction du village..


( Oui un joueur qui utilise le temps HRP pour du RP je ne cautionne pas cela... merci de faire la différence... Sur ce bon jeu. PS : Je demande au censeur de virer tout mes poste sur ce topic
merci. )
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Chelsy
Trop en était trop, la demoiselle n'avait rien compris aux dernières paroles de l'Archidiacre... Etait il devenu fou???

Elle l'avait déjà dit, la mirabelle faisait bien du mal aux Lorrains, les uns après les autres ils perdaient la tête. Les murmures s'élevèrent tout autour d'elle.

Chelsy reposa sa tasse vide, espérant ne pas avoir été contaminée par la folie du père Uriel. Elle se tourna vers Frances qui elle aussi s'était levée, indignée par de tel propos.
Un regard en coin, invitant chacun de ses amis à faire de même, elle attrapa le bras de son amie, et elle emboîtèrent le pas à Angel.
Uriel
Bien qu'il ne le montra pas, les réactions le firent intérieurement sourire.
Et voilà, une fois qu'ils n'avaient pas raison et que l'on avait bien démonté leurs arguments, ils se levaient et partaient.
Ah il était beau le dialogue !

Uriel était venu ici, à la base, pour donner une pastorale. Au lieu de cela, il avait eu droit à un jugement à peine déguisé de la part de Naudeas et d'Angel, qui avaient lourdement insisté sur certains points. On ne pourrait certainement pas lui reprocher d'avoir entamé les hostilités.
C'était quand même marrant qu'à chaque fois il fallait accepter de se faire presque insulter, bafouer mais qu'on ne pouvait pas répliquer.

En tout cas, il promettait bien du plaisir aux prochains qui auraient à faire à eux ...

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Ashrei
Regardant la scène d'un oeil distrait tout autant que ses oreilles, Ashrei ne cessait de s'ennuyer. La Pastorale avait pris une tournure plutôt étrange.
Sa patience à bout, le jeune homme ne tenait plus en place.
Il jeta un dernier coup d'oeil sur les personnes encore présentes, puis, pris la direction de la ville.

Finalement, j'aurai mieux fait de pas venir du tout moi ! Quel temps perdu.
Uriel
Et bien voilà, les personnes partaient, peu à peu.
Pour un fiasco, c'en était un beau. Avait-il quelque chose à se reprocher ? En tout cas il ne le pensait pas.

Il en vint quand même à se demander si toute cette histoire de pastorale sylvestre n'était pas un plan ourdi pour le tourner en ridicule et jeter une opprobre supplémentaire sur les lorrains.
En tout cas, ça en avait tout l'air.

On l'y reprendrait encore à vouloir être sympathique ; finalement quand les autres lui disaient qu'il avait peut être eu tord d'accepter et que tout dialogue était impossible avec ceux-là, il ne pouvait que leur donner raison.

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