Uriel
Attentif aux paroles du Cardinal, Uriel l'écouta comme il se devait.
Et une fois encore, un discours empreint de sagesse - au final, c'était tant mieux si Angel l'écoutait, au moins c'était déjà cela.
Clairement, l'archidiacre avait tenté de passer "au-dessus" des événements, mais à chaque conversation qu'elle fut avec Naudeas ou Angel, ceux-ci n'avaient eu de cesse que de le re-précipiter dedans, lui claquant à la figure des reproches, de l'irrespect, voire même proclamant en taverne qu'il était hérétique.
Bhen ouais ... les lorrains aimaient leur clerc, leur "mascotte made in EA", ils lui étaient dévoué comme lui leur était dévoué à et leur écoute permanente. Bien peu de choses se produisaient sans qu'il fut informé.
Pour l'heure, aucune grande avancée n'avait été possible, quelques pas tout au plus. La colère, il l'avait laissé de côté, mais ses prémices, l'agacement, était là. Si il avait voulu les écraser sous le poids de ses charges cléricales et leur imposer le respect, il aurait pu ; si il avait voulu les dénigrer en étalant ses titres de noblesse, il aurait pu ; mais il avait su garder cette humilité caractéristique.
Il avait donné cette pastorale de bonne foi, sans arrière pensée aucune, pour l'édification de ces gens, pour leur indiquer le chemin afin de sauver leur âme. Au lieu de cela, certains lui avaient imposé un jugement à peine déguisé.
Clodeweck s'adressa alors à lui : Merci Uriel d'avoir accepter cette pastorale, il t'as fallu être courageux
Le cardinal avait bien raison, car de fait, de nombreuses personnes l'avaient mis en garde. Ce n'était pas l'envie qui lui avait manqué de ne pas venir et de laisser tomber, en tant qu'homme peut-être, mais en tant que clerc, il ne pouvait refuser de les aider.
Il s'inclina alors, en signe de remerciement envers le Camerlingue, attendant soit qu'il continue, soit une réponse du capitaine de la troupe.
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Et une fois encore, un discours empreint de sagesse - au final, c'était tant mieux si Angel l'écoutait, au moins c'était déjà cela.
Clairement, l'archidiacre avait tenté de passer "au-dessus" des événements, mais à chaque conversation qu'elle fut avec Naudeas ou Angel, ceux-ci n'avaient eu de cesse que de le re-précipiter dedans, lui claquant à la figure des reproches, de l'irrespect, voire même proclamant en taverne qu'il était hérétique.
Bhen ouais ... les lorrains aimaient leur clerc, leur "mascotte made in EA", ils lui étaient dévoué comme lui leur était dévoué à et leur écoute permanente. Bien peu de choses se produisaient sans qu'il fut informé.
Pour l'heure, aucune grande avancée n'avait été possible, quelques pas tout au plus. La colère, il l'avait laissé de côté, mais ses prémices, l'agacement, était là. Si il avait voulu les écraser sous le poids de ses charges cléricales et leur imposer le respect, il aurait pu ; si il avait voulu les dénigrer en étalant ses titres de noblesse, il aurait pu ; mais il avait su garder cette humilité caractéristique.
Il avait donné cette pastorale de bonne foi, sans arrière pensée aucune, pour l'édification de ces gens, pour leur indiquer le chemin afin de sauver leur âme. Au lieu de cela, certains lui avaient imposé un jugement à peine déguisé.
Clodeweck s'adressa alors à lui : Merci Uriel d'avoir accepter cette pastorale, il t'as fallu être courageux
Le cardinal avait bien raison, car de fait, de nombreuses personnes l'avaient mis en garde. Ce n'était pas l'envie qui lui avait manqué de ne pas venir et de laisser tomber, en tant qu'homme peut-être, mais en tant que clerc, il ne pouvait refuser de les aider.
Il s'inclina alors, en signe de remerciement envers le Camerlingue, attendant soit qu'il continue, soit une réponse du capitaine de la troupe.
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