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Mariage 17 Janvier 1458

Shillia
Je priais pour nos disparus, en plus de Messire Gogosse, Messire Mitou nous a quitté, bien triste nouvelle..
Je recite le crédo en leurs mémoire..



Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis, Juge de notre
âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète, le fils
de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse et
les lois divines de l'Univers aux hommes égarés
Je crois aussi en Christos, Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote
à la droite du Très-Haut.
Je crois en l'Action Divine ;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine,
Une et Indivisible ;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
Zahra.2
15 jours s'étaient écoulées, la dame de Beaulieu était à nouveau de passage dans son village d'adoption, sa première halte fût Notre dame de Sion, cela tombait à point, c'était un dimanche comme tant d'autres, mais la Zahra avait le coeur toujours aussi lourd , les décès se succédaient, de plus en plus proche, elle avait du mal à suivre , se posant des questions , ayant de plus en plus de doutes quant à la foy, qu'elle tentait de protéger, un coup de folie était vite fait venu pour une alcoolique, 5% hérétique , qu'on se le dit, Zahra de naissance était sans foy, irrespectueuse de tout ce qui pouvait représentait la religion, quelque soit le bon dieu, toutes personnes qui faisaient des sermons, était usurpatrice et menteuse, et avait le droit aux railleries de l'alcoolique, la mort pour elle c'était la fin, sans suite possible, mais depuis qu'elle était venue en Lorraine, après avoir rencontré l'évêque à l'époque de Toul, qu'était la grande Ecaterina, elle s'était laissée bercée par les sermons, par la lecture du livre des Vertus, elle y croyait enfin, la foy préservait l'esprit, elle donnait espoir, elle soudait les liens, l'amitié aristotélicienne, cette communauté aussi importante, aussi liée, peu importe le lieu, cette croyance rapprochait les personnes.

Elle entra dans l'église, s'assoit sur un banc au fond, puis se mit à prier silencieusement pour toutes ces personnes qui avaient disparu, qu'elle espérait retrouver au paradis solaire , ou le soleil paradisiaque.

_________________
Shillia
la Diacre se rendit dans le lieu où jadis, sa Foy en Dieu et en l'Église s'étaient révélées. L'une des deux aujourd'hui demeurait intacte.
Elle s'agenouilla, elle aussi et se mit à prier.


Citation:
Ô Tout-Puissant, Dieu d'amour, Guide parmi les guides.
Je viens à Toi pour te remercier de ce que tu as fait de ma vie.
mes ami(e)s continuent de se rapprocher de Toi et de ton Paradis.

Fais que dans le chemin que Tu as tracé pour moi, je continue de Te servir de la manière que Tu souhaites, que j'accomplisse Ton dessin et que je sois l'instrument de Ta divine volonté.

Qu'elle en soit ainsi.


elle se releva et sortit.

merci père Joce votre prière je l'ai reprise..elle m'a plus!..
Blanche_de_belrupt
De minces rayons de soleil filtraient parmi les nuages qui régnaient dans le ciel de la ville de vaudemont. Elle était encore calme à cette heure de la journée, la plus part des villageois étant encore profondément endormis avant la dure journée de labeur qui les attendait. Cependant les primeurs de la ville s'affairaient déjà sur la grande place du village où ce tenait le marché pour mettre en valeur leurs fruits récoltés la veille.
La jeune Blanche était levée depuis plus d'une heure et faisait distraitement le tour des étales qui commençaient à prendre forme. Elle ce dirigeait vers l'Eglise pour sa prière du matin, qu'elle exerçait avec une grande ferveur tel une aristotélicienne convertit.
Une fois les marches du parvis franchit, elle poussa avec délicatesse la grande porte de l'édifice. Blanche jeta un coup d'œil à l'intérieur, elle serait seule. Elle se mit à genoux puis se signa avant de remonter l'allée. S'installant sur l'une des chaises de la première rangée, elle commençât sa prière. Ses pensées allaient pour sa famille, son père retenu en Savoie pour sa fonction, sa mère qui était le plus souvent en retraite, sa tante qui commençait un nouveau mandat de mairesse. Elle était très fière de chacun d'eux, et regrettait de ne pouvoir les voir plus souvent. Blanche espérait aussi accomplir un jour, des actes pour lesquels ils seraient aussi fiers d'elle.

C'est sur ces pensées qu'elle termina sa prière puis sortit de l'Église direction le château de son père, Chatenois.

_________________
Grandstef
L'errance. Des ruelles inconnues qui vous forcent à faire mille détours. Cul de sacs qui vous font revenir sur vos pas, pavés mal équarris qui vous font perdre l'équilibre. A moins qu'il s'agisse simplement des dernières effluves des godets mirabellés dont vous abusez avec délices un soir, mais qui le lendemain se rappellent à votre bon souvenir...
Vaudemont s'éveillait donc ainsi que le grand échevelé dans une ambiance plus chancelante que jamais. Un bref arrêt dans taverne culturelle lui avait fait reprendre contact avec la réalité poignante du matin. Sa main courrait sur les murs des maisons afin de maintenir cet équilibre précaire qui était le sien à chaque éveil. Soudain son pied botté buta contre un pavé mal dégrossi qui faisait saillie et il s'étala de tout son long les mains en avant. Il poussa un chapelet de jurons en grimaçant...

Par les cornes du grand rouge ! Que mille furoncles éclatent sur sa face suintante mordiou ! Je hais tous ces foutus cantonniers qui ne savent pas ce que faire une route veut dire ! Qu'ils aillent tous rôtir en enfer !!!

Il se releva tant bien que mal en maugréant encore et se frotta les paumes des mains égratignées par sa chute. La journée commençait bien. Il regarda, dégouté, le sang et les quelques petits cailloux incrustés dans ses mains et ronchonna de plus belle. Où trouver de l'eau lui permettant de laver ces petites blessures ? Il fit quelques pas et la ruelle s'élargit pour laisser place à grande esplanade sur laquelle trônait l'église du village... Une idée venait de germer en son esprit. Lentement, il gravit les marches du parvis et se glissa à l'intérieur de lieu saint. La pénombre et la fraîcheur l'accueillirent ainsi que quelques odeurs de myrrhe qui flottaient dans l'air depuis la dernière messe. Il remonta l'allée centrale garnie de ses grands piliers que les aristotéliciens nommaient la nef et se dirigea à la croisée du transept vers la droite. Une petite absidiole abritait là un baptistère empli d'eau bénite. Sans la plus infime trace d'hésitation, il se lava les mains et entreprit d'enlever les graviers qui les ornaient. Soulagement bénit, on s'en doute. Puis il observa d'un œil critique l'eau sanguinolente qui ondulait encore après ses ablutions thérapeutiques et esquissa un sourire.

Mmmmh ! Ça va déjà bien mieux. La brûlure s'en est allée toujours... Mais que faire pour cette eau si... hum... murmura-t-il pour lui même.
Allons je vais vider ce truc et il n'y paraitra plus rien j'en suis sûr ! Bien malin qui pourra dire ce qui s'est passé.

Il farfouilla un instant sous le baptistère à la recherche de siphon lui permettant de le vider en toute quiétude et trouva là un petit robinet de métal poli. Sans un doute, il l'ouvrit et l'eau commença à se déverser à ses pieds. Quant au récipient lui, passez muscade, il ne se vidait pas.

Quel est donc ce prodige ? Et d'où vient donc toute cette eau par la barbe de Christos ? Et pourquoi ce foutu machin ne se vide pas aussi ?

Il éclata en imprécations tandis que l'eau filait bon train et faisait à présent grande flaque qui avançait toujours plus loin. Consterné, il tenta de fermer le robinet mais celui ci semblait bloqué, ouvert bien sûr. Cette journée promettait monts et merveille décidément. Il s'arcbouta comme un dément sur la molette mais rien n'y fit.

Rhaaaa ! Suis-je donc maudit ?! Haaaan !

Il frappa un grand coup sur la vanne récalcitrante en vain mais le monument tangua dangereusement. Aussitôt, il se calma, les dégâts s'enfilaient comme perles à un collier, il n'avait pas besoin en plus de casser le matériel divin, sur que pour lors, il serait voué à la damnation éternelle. Il se frotta le menton, laissant crisser les poils de sa barbe naissante sous sa main tandis qu'il réfléchissait...
L'eau, quant à elle, faisait à présent petite mare jusqu'à la croisée du transept et commençait à imbiber les bancs du premier rang. Il ne put retenir un rire nerveux.

Voilà que je vais inonder église à présent et ben j'aurais décidément tout fait dans cette vie ! Mais par les dents du grand Ari que vais je pouvoir bien faire ? J'en ai foutre pas la moindre idée !

Puis une idée soudaine. Un souvenir des paroles de son vieil Enguerrand, moinillon de son état et qui lui avait servi de père. "Donnez-moi un point fixe et un levier et je soulèverai la Terre." Il tourna la tête en tous sens et avisa un grand candélabre. Il l'en débarrassa de ses cierges et avec dextérité bloqua un de ses bras sous le robinet et poussa de toutes ses forces. Miracle ! Ce dernier daigna bouger et se ferma enfin.

Ouf ! Voilà qui est fait ! Par ma faute l'église Aristotélicienne ne prendra pas l'eau et ne s'abîmera point dans la vase. Si tant est qu'elle n'y soit pas déjà... ajouta-t-il à voix basse.

Il reposa le candélabre et l'orna de ses bougies puis entreprit de vider le baptistère avec ses mains en coupe. Satisfait de son travail qui dura quelques minutes, il s'épongea le front.

Bon bon, voilà qui devrait aller. Quant à l'eau du sol, ben je peux pas y faire grand chose hein ! Elle finira bien par s'évaporer !

Ploc, ploc... Clapotant sur le chemin du retour, il sortit de l'église avec la mine du pèlerin qui vient de confier ses espérances au Très Haut. Ses bottes laissaient traces humides dans l'allée et sur le parvis, mais il n'en avait cure, pour une fois les dégâts causés n'étaient pas tant considérables...
Shillia
+++++++++

L’office dominical, appelant les fidèles de à la prière et à la réunion.
la Diacre se rendit aux portes pour accueillir les paroissiens..
quand je vis arrivée mes deux amis, je l'ai entrainaient a la sacristie pour leur faire gouter ma Mirabelle que je venais de recevoir et dont j'étais fière
nous pallions des dernier potins et je m'aperçus que le temps étaient venus de dire ma messe..


Mais amis vous avaient vu l'heure je vais être en retard pour dire la Messe

les villageois commençaient a entrés il faut que j'aille !...
je l'ai quittais a regret mais le devoir m'appelait...


On y va, vous venez aussi?..

Elle chercha la page de l'hagiographie qu'elle avait choisi pour aujourd'hui
Un peu troublée par la Mirabelle!...


Bonjour, tout le monde est bien installer, aujourd'hui 5 Septembre 1458 de l'an de grâce de notre seigneur, je vais vous dire la Messe que j'ai préparée hier pour vous!...



Commençons pas la confession...
Nous allons maintenant demander pardon à notre Seigneur afin de de se laver de nos pêchers.

Mes amis comme chaque Dimanche, Nous allons commencer, par récité la confession, répète après moi...


Je confesse à Dieu tout-puissant,
Je reconnais devant mes frères,
Que j'ai péché en pensée, en parole,
Par action et par omission,
Oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
Les archanges et tous les Saints,
Et vous aussi mes frères,
De prier pour moi le Créateur.
Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
Qu'il nous pardonne nos péchés,
Et nous conduise à la vie éternelle,
Dans le paradis solaire.

Amen


Récitons le credo qui va maintenant nous unir au Très-Haut

le Crédo



je pris mon livre des vertus a la page que j'avais marquais d'une épis de blés sec..

écoutez un passage du livre des vertus, que je vais vous lire que j'ai choisi tout particulièrement pour d'aujourd'hui!..Ui parle de la nature, qui nous entour, un passage du livre que j'affectionne tout particulièrement..


Citation:
L’éclipse I: La lune

L’histoire que je vais vous raconter peut sembler surprenante, mais,
lorsque vous l’aurez écoutez, vous saurez qu’il y a en elle beaucoup de
vérité.
Un jour qu’il faisait beau, je me promenais avec mon chien le long de
petits chemins ondulant entre les champs. Je venais de manger et me
cherchais un petit coin agréable où faire ma sieste. En cet après-midi
de mai, le ciel était d’un bleu pur, vierge de tout nuage. Les oiseaux
chantaient et mon chien courait à travers les blés, poursuivant de
petits animaux bien plus rapides que lui.
Il aboyait de toutes ses
forces dans sa course-poursuite perdue d’avance.
La journée semblait belle, mais la présence de la lune dans le ciel en
plein jour m’inquiétait. Alors que le soleil était le lieu destiné à
accueillir les justes après leur jugement, la lune était le futur lieu
de supplice des pécheurs. Le premier était surnommé Paradis, alors que
la seconde était appelée Enfer.
Le rapprochement de ces deux astres
divins en pleine journée ne pouvait qu’être annonciatrice de grands
malheurs.
Je me baissais pour admirer une petite fleur des prés, mais l’obscurité
était telle que je ne pouvais plus la distinguer. L’obscurité, me
dis-je? Comment pouvait-il y avoir la moindre obscurité pendant une si
belle journée, alors que le soleil était à son apogée? Je levai les
yeux au ciel et fus saisi d’horreur: la lune masquait maintenant le
soleil, empêchant la divine lumière, source de vie, d’éclairer le
monde.
Seul un sinistre halo couleur de feu, ceignant l’astre de nuit,
témoignait encore de la présence de l’astre de jour.
Mon chien s’arrêta d’aboyer. Je me dis, pour me rassurer, qu’il ne
s’agissait que d’un de ces événements cosmiques dont les anciens
avaient régulièrement gardé trace, et que cela allait finir bientôt.
Mais je n’en étais pas convaincu. Le halo de feu donnait à cette
éclipse une atmosphère angoissante. Mais il finit par disparaître quand
la lune acheva sa conquête du soleil. Il faisait un noir d’encre. Même
les étoiles avaient décidé de s‘éclipser.
C’est alors que la lune
décida de contrevenir aux règles de la physique.
Je la vis se colorer de diverses teintes. Au centre de ce disque
d’obscurité, des taches de couleurs se mouvaient, comme des oiseaux
virevoltant dans le ciel. Elles semblaient livrer batailles, se mêlant
les unes aux autres, puis se séparant brusquement. Le mauve se jetait
sur le bleu, qui esquivait le turquoise, alors que le vert fuyait le
rouge, lui-même poursuivi par le jaune. Puis, les taches calmèrent
leurs ébats.
Je ne pouvais pas quitter la lune des yeux, alors que je
voyais les couleurs se répartir la surface de l’astre de nuit, en un
tout enfin ordonné.
Elles restèrent ainsi toute une éternité, alors que mon chien geignait,
caché dans le champ de blé. Puis, les taches de couleurs surgirent de
la lune, telles des carreaux tirés par une arbalète. On aurait dit six
rayons de lumière qui déchiraient le ciel en de longs traits colorés.
Les couleurs se joignirent en un véritable arc-en-ciel qui vint
s’abattre à mes pieds.
J’avais devant moi un pont zébré de couleurs,
formant une arche qui enjambait la distance qui me séparait de la lune.
Je la regardai alors et vis que le pont de couleurs y tombait en une
véritable chute de lumière blanche. Je regardai ensuite à mes pieds et
vis qu’ils étaient aspergés de la même douce lumière laiteuse. Les six
rayons, accolés sur toute la longueur du pont, venaient à ses
extrémités fusionner en une même blancheur.
Bien qu’étreint par une angoisse indescriptible, je décidai de poser le pied sur cet arc-en-ciel lunaire...
Sypous



j'espère mes Amis que ce passage vous a plus, nous en aurons d'autre, le livre des vertus en renferme pour tout le monde, chaque Dimanche on en découvre de nouvelle histoire qui on existée, alors prenons soin de ce qui nous entour car si on ni fait pas attention nous n'aurons que des champs sans beauté, des champs sec, sans valeur aussi bien au regard que pour nos enfants, pensons à leurs laissez un héritage...
Ce si dit, mes amis nous allons communiez, approcher pour ceux qui veulent la communions...
comme Christos la fait au dernier jour de sa vie, son dernier jour de liberté et son dernier repas!.. reproduisons ce dernier repas



Dóminus vobíscum.
Et cum spíritu tuo.
Benedícat vos omnípotens Deus Pater
Amen.
Je fis sonner la fin de la messe par mon enfants de choeur qui si il ne reviens pas dans cinq minute c'est qu'il cet envolé avec!..
que Dieu le garde..
Je raccompagnais mes Amis au porte de notre Église, ou nous nous miment a discuter une bonne heure, des dernier potins du village,
puis il me fallait partir je leur dit a bien tôt et bonne journée .


-Passez une bonne journée et bon appétit pour certain.
Shillia


DONG ... DONG ... DONG ....DONG ....DONG ....
Avant de célébré la messe il y avait toute une préparation, mon habit devait être impeccable, mon pain tout frais, mon vin ni chaud ni froid..
J'envoyais mon enfant de chœur sonner les cloches comme tout les Dimanche, pour appeler les paroissiens a la messe...Le dernier DONG .... venait de tinter !..
Je regardais les paroissiens s'installer, l'un faisant tomber une chaise, l'autre
laissant passez son épouse en premier avec les enfants qui suivaient sans bruit pour une fois..

Quand tout ce petit monde étaient bien installer et me regardaient pour voir si j'allais commencer la messe, j'étais toujours les mains joint l'air bêta..
Je me décidais à prendre la parole


Bonjour, mes amis (e), tout le monde est bien installer sur sa chaise ou sur le banc..
Nous allons comme vous le savaient réciter la confession comme chaque Dimanche que Dieu fait...



Après sa nous sommes plus léger, laver de nos pêchés d'hier et d'aujourd'hui, j'espère que vous avaient passez une bonne semaine
que pour vous la vie est belle..
Poursuivons, ne nous arrêtons pas en si bon chemin, comme d'habitude
prions en disant notre Crédo aristotélicien



je sortie mon livre des Vertus pour lire un passage comme chaque Dimanche a la célébration de la messe

Je vais vous lire un passage du livre des Vertus comme nous en avons l'habitude chaque Dimanche..un passage d'histoire vraie qui a été écris spécialement pour les messes et toute cérémonie religieuse..

Citation:
Livre de la Création
Chapitre V - « La réunion »

Dieu regardait, ému, le petit groupe de créatures qui pleurait. Elles se sentaient abandonnées de Lui, car elles n’étaient pas dotées de talents particuliers. Elles en étaient venues à croire qu’Il les détestait, alors qu’Il aimait chacune de Ses créations. Elles faisaient partie de Lui et les détester reviendrait à haïr une part de Lui. Il avait créé l’univers, le monde et la vie pour pouvoir les aimer, et Il les aimait.

Par à cet amour, Dieu avait doté chaque espèce de créatures composant la vie de talents afin qu’elles trouvent toutes leur place dans Sa création. Mais ce magnifique cadeau restait invisible aux yeux de ce petit groupe de membres. Les humains qui le composaient étaient habités par le doute, restant aveugles à Son amour. Leurs larmes étaient sincères mais injustes. Ils ne demandaient qu’à être aimés de Lui, mais ne voyaient pas qu’Il le faisait déjà.

Les autres créatures étaient conscientes de ce cadeau, mais n’en avaient pas compris la raison. Elles s’imaginaient toutes être les seules à être ainsi récompensées. Les unes pensaient que seule la force était un cadeau de Dieu. D’autres faisaient la même erreur avec la vitesse, la nombreuse progéniture, la longévité, la laine, la capacité à voler ou encore le territoire qui leur avait été alloué par Lui. Elles s’estimaient donc toutes favorisées de Lui et se croyaient Ses préférées.

Mais cet humain, que les siens appelaient Oane, portait en lui le germe du talent que Dieu avait donné aux siens. Il prenait petit à petit conscience du véritable amour que Dieu portait à Sa création. Il commençait à comprendre que chaque composante de la création était aimée de Dieu, mais ne savait pas encore pourquoi. Il passait son temps à regarder les étoiles, espérant y trouver le Très Haut, mais il ne savait rien de Son omniprésence.

Alors, Dieu décida que le temps était venu de donner sa véritable place dans l’univers à l’espèce dans laquelle se trouvait la seule créature qui comprenait l’amour, seul véritable sens de la vie. Il se dit qu’il fallait éprouver l’amour que Ses créatures avaient pour Lui. Pour ce faire, Il décida de réunir toutes les créatures du monde en un seul endroit et de leur demander ce qu’était la vie. Ce qu’Il ferait d’elles dépendrait de leurs réponses.

Alors, d’une seule pensée de Dieu, toutes les créatures du monde entier furent au courant de la convocation divine. Sans attendre, elles se mirent en route. Il existait une gigantesque plaine verdoyante sur un continent verdoyant. C’était là que le monde entier devait se réunir pour entendre la question divine. C’était là que le sort de l’univers allait se jouer.

Il fallut de nombreuses années pour réunir tant de créatures. Toutes ne survécurent pas à ce long voyage, mais aucune n’avait l’intention de rebrousser chemin. Dieu avait insufflé en elles l’envie irrépressible de venir rejoindre la grande réunion de toute la création. Elles traversèrent les mers, les montagnes, les glaciers, les déserts brûlants et tant d’autres lieux difficiles. Elles continuaient cependant à vivre, à mourir, à se nourrir et à procréer. Mais tout cela en ne cessant jamais d’avancer.

Et enfin vint le jour fatidique où toute la création était réunie.

Spyosu

Shillia
Après ce passage que je ne crois pas vous avoir déjà lus..oui!..notre créateur, notre très haut décida que le temps était venu de donner sa véritable place dans l’univers à l’espèce dans laquelle se trouvait la seule créature qui comprenait l’amour, seul véritable sens de la vie. Il se dit qu’il fallait éprouver l’amour que Ses créatures avaient pour Lui. Pour ce faire, Il décida de réunir toutes les créatures du monde en un seul endroit et de leur demander ce qu’était la vie. Ce qu’Il ferait d’elles dépendrait de leurs réponses.

Nous allons passaient a la communion, que les paroissiens qui veule communiez s'approche!..




Mes Amis passez une agréable semaine, je vous dit a Dimanche prochain
que Dieu vous Bénisse et vous garde..
Napoléon, incarné par Cyann


Napoléon de son prénom
avait tout d'un petit démon
avec sa queue en tire bouchon
et son caractère de cochon

Il avait faussé compagnie à la mairesse
préférant de loin chercher l’allégresse
là ou se trouvait la source d'ivresse
c'est ainsi qu'il s'en vint à la messe

non pas que le cochon fut croyant
mais il avait repéré le jour d'avant
une écuelle au fumet enivrant
lasse il ne l'atteindrait facilement

L'animal entreprit d'y grimper
tant l'objet de son souhait
se trouvait élevé sur un pilier
mais comment y arriver ?

le goret prit appui sur son arrière train
et leva ses sabots crottés avec entrain
il put alors plonger son rose groin
dans le bénitier sacro saint

C'est avec une grande délectation
qu'il se désaltéra et fit ses ablutions
quand il eut fini et quitta la maison
de Dieu, une aura ceignait sa tète de cochon

Moralité : Dieu, dans son infinie sagesse, accorde la sainteté même aux cochons


GRUICCCCC
Spagyricus
Spagyricus priait silencieusement, agenouillé devant la statuaire du prophète Christos.

L'ancien Tribun aimait à se rendre dans cette église, là où régnait l'esprit de l'aristotélisme, là où tant de fidèles avaient prononcé leurs prières, emplissant les modestes voûtes de leurs joies, leurs espoirs et leurs chagrins. Mais Spagyricus s'en voulait de ne s'y être rendu plus souvent ces derniers temps. Travaillant, travaillant, travaillant, ainsi que Dieu l'avait ordonné aux hommes. Mais l'Eternel avait prononcé ces mots en d'autres temps, bien avant l'Acédie.

Les choses avaient changé et son repos n'avait que trop duré ; Spagyricus savait qu'il était temps pour lui de revenir à la vie de la Cité. Il n'avait pas réalisé ce pèlerinage à Luxeuil sans raison ni résultat et les paroles de Saint Abysmo lui revenait à la mémoire.


Saint Abysmo a écrit:
Les valeurs ne sont pas des reliques et elles ne s'usent que si on ne les fait pas vivre. Prêcher l'exemplarité est chose aisée, se montrer véritablement exemplaire est autrement plus éprouvant...

Sages et justes paroles que celles-ci. Et c'est en les méditant que Spagyricus se releva de sa prière, se dirigeant d'un pas plus léger vers le village.
_________________
Shillia

Après avoir marché pendant deux jours pour célébré la messe, a notre Église de Vaudemont, mon panier avec toute mes préparation faite la veille, je me dirigeais d'un pas ferme vers notre Église..Heureuse de la retrouvée..j'ouvrais les deux portes en grand, pour laissez entrée un peu soleil..Je sonnais les cloches a toute volée, elle vibraient de tout leurs forces, à peine arrêter que les paroissiens arrivaient de toute part, Une bise par çi un serrement de main par là..quel que mots échangeaient..

Bonjour, mes amis, Bonjour, Spagyricus , mes amis installer vous sur une chaise ou sur le banc..
Tous le monde est bien installer, mes amis, comme chaque Dimanche et depuis peu, je re célébré la messe ici et a Saint Dié qui n'a pas de clerc, alors en attendant je fait des aller retour pour que nos village respectif aient des messes pour les villageois..
Bien sur celle çi n'est pas la même qu'ici..Mais elle se ressemble tous au final..

Mes amis commençons à nous confessez demandez pardon de nos péchés!..
en récitant la confession..

Shillia
Maintenant, nos âmes étant plus légères, proclamons notre foi en récitant le credo.

Répétez après moi :


Shillia se dirigea alors vers la chaire, elle grimpa les quelques marches, puis ouvrit le Livre des Vertus et dit :

Aujourd'hui, je vais vous lire dans le Livre II du Livre des vertus, Le Chapitre II des Dialogues d'Aristote.

Citation:
Chapitre deuxième.

Un jour le jeune Aristote, âgée seulement de cinq ans, voulu s'asseoir près du temple du faux dieu Apollon dans sa ville de Stagire. Le temple était sur une petite colline à l'extrémité est de la ville. L'enfant aimait regarder les hautes colonnes de pierre blanche se découpant dans l'azur du ciel.

Alors qu'il s'approchait des marches du temple il s'arrêta, comme immobilisé par une force invisible. Ne comprenant pas ce qui ce passait, il se retourna vers la ville pour appeler sa mère Phaetis, qui était à quelque distance de là. Mais ses lèvres ne produisirent aucun son.
La terreur commençait à inonder son âme, quand un roulement de tonnerre gronda au dessus du temple du faux dieu. Un éclair vint le frapper en son centre et il s'écroula aux pieds de l'enfant.
Puis une voix puissante qui faisait frémir les cieux retentis dans l'esprit d'Aristote; elle disait: "Voilà ce que ma puissance réserve aux idoles qui se font honorer comme des dieux. Cherche le Dieu unique, cherche la Vérité et la Beauté, car un jour viendra celui qui restaurera tout".

Bouleversé l'enfant tomba inanimé sur le sol. Lorsque ses yeux se rouvrirent il était dans la maison de son père, et sa mère était tendrement penchée sur lui: " Mon fils, que t'est t'il arrivé ? Nous t'avons trouvé près du temple écroulé, le visage tourné vers le ciel. Est-ce le dieu qui t'es apparut ? Qui a détruit le temple ? "
Mais l'enfant ne répondit rien. Il restait en silence et regardait sa mère avec les yeux de quelqu'un qui voit pour la première fois.
Enfin il pris la parole: " Mère chérie, je vous en prie, dites moi: qu'est ce que la Vérité ? "
La pauvre femme était bonne, mais hélas son âme était encore pleine des erreurs païennes, et elle ne sut répondre à cette question. Elle se pencha sur le front de son fils, l'embrassa et lui ferma les yeux avec douceur.
"Je t'aime mon fils, n'est ce pas la seule chose importante? Dors maintenant; demain ton père revient de guerre et il faut que tu sois reposé pour le recevoir dignement."

Et se levant elle quitta la pièce, l'esprit rempli d'angoisse.


C'est ainsi qu'à cinq ans, Aristote, le Grand Prophète, fut pour la première fois mit en présence de Dieu.
En cette époque, les hommes croyaient en une multitude de faux dieux, mais le Vrai et l'Unique Dieu choisit alors de reprendre sa place sur Terre et choisit Aristote pour cela.
A ceux qui ne croit pas en Dieu, sachez le, leurs faux dieux connaitront le même sort que ce temple d'Apollon.

Nous tous devront chercher en nos cœurs la vérité et la proclamer au monde. Dieu est unique, c'est le créateur du ciel et de la terre, et notre créateur.
Il nous regarde avec bonté, nous a donné le libre arbitre, mais si on ne vit pas dans la vertu, son jugement sera terrible.


Shillia refermât le Livre des Vertus, redescendit de la chaire et retourna devant l'autel.


Amies, Amis, communions ensemble




Mes Amis passez une agréable semaine, je vous dit a Dimanche prochain
que Dieu vous Bénisse et vous garde..en bonne santé et par mis nous le plus longtemps possible..
Spagyricus
Le tribun était assis en fond de salle, loin des bancs d'honneur qu'il ne goûtait guère. Ce qui ne l'empêcha pas de saluer Shillia en retour. Il écoutait avec attention la diaconesse qui oeuvrait toujours à merveille. A sa façon certes, qui n'était sans doute pas des plus académiques, mais qui pour autant restait parlante aux âmes honnêtes.

Il écoutait ce passage de la vie du Prophète avec goût. Cette révélation lui rappelait celle qui avait été sienne. Oh ! L'Eternel ne s'était évidemment pas adressé à lui d'un façon aussi directe. Il n'en était pas digne. Mais le chemin parcouru l'avait amené vers la Voie qui lui semblait Juste, la Voie de la Vertu.

Ces pensée présentes à l'esprit, il gagna l'autel pour communier. Puis ceci fait il attendit la fin de l'office pour gagner le parvis de l'église. Dame Shillia s'activait déjà à son départ. Elle qui parcourait le Duché pour assurer la diffusion de la Parole. Il admirait cette abnégation au service de l'Amitié.

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Spagyricus
Pour changer ses habitudes et pour retrouver la paisible atmosphère qu'il avait connu au Séminaire de Trêves, Spagyricus emmena son Livre des Vertus à l'église de la Cité, décidé à le compulser dans ce bel édifice au lieu de rester enfermé dans sa chaumière. La lumière qui tombait des vitraux était rare en ce mois de septembre, annonçant en cela la venue prochaine de l'automne. Aussi le tribun posa son ouvrage près de candélabres qui brûlaient près de l'entrée de la sacristie. Là il entreprit de lire un passage des dialoges de cette Vita d'Aristote qu'il affectionnait

Aristote a écrit:
La troisième classe de citoyens est celle des philosophes rois, la classe d’or. Ceux là sont les plus anciens, recrutés parmi les gardiens qui se sont montrés les plus braves, les plus aptes au commandement, et les plus doués en matière de philosophie. Leur seul bien est la raison, car ils sont délivrés de leurs possessions terrestres. Leur foy en Dieu est leur seule arme. Ils s’illustrent par la pratique des vertus de la manière la plus parfaite. Ils sont un exemple pour tous, et le peuple est heureux de sacrifier un peu de sa propriété pour assurer la survie de ses maîtres. Les philosophes rois constituent le gouvernement de la cité. Ils décident collégialement de ses destinées. Ils sont également les ministres du culte rendu au Tout-Puissant, et là réside leur légitimité. On tient leur pouvoir comme inspiré par le Très-Haut, de part leur condition de prêtres. Ils organisent l’ensemble de la cité, planifient la production, rendent la justice, et légifèrent."

Il avait lu cette phrase à voix haute, incapable qu'il était de lire dans sa tête. Et sa lecture terminée son regard s'était perdu dans le vide, en direction des statuaires des prophètes, statuaires qui semblaient animées d'une lueur particulière.

Ach... soupira-t'il... que de chemin encore à parcourir pour chacun avant la réalisation de notre idéale Cité...
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Spagyricus
C'est pensif que le tribun venait se recueillir en ce premier d'automne. Les feuilles rougeoyaient avant de bientôt tomber. Il espérait que certains masques tomberaient également bientôt. De certains comportements qui ne lui plaisaient guère, il ne comprenait pas l'origine. C'est tout à ses interrogation qu'il se pencha sur le Livre des Vertus, l'ouvrant au hasard comme il aimait à le faire parfois. Et, guidé par la volonté divine, il entreprit de (re)lire l'hagiographie de l'Archange Miguaël...

Et c'est parmi ces lignes qui courraient sous ses yeux, il trouva réponse...




l'Hagiographie de Miguaël a écrit:
7. Au commencement de l’Eglise, celle-ci était encore frêle et Belial se dit que pour mieux la détruire il fallait agir de l’intérieur. Toujours aussi orgueilleux, il décida de prendre possession du corps du plus haut des dignitaires.

Hum... lâcha-t'il de façon gutturale... Serait-ce là la source de tant de méchanceté ???...

C'est avec autant de réflexions qu'il en avait en entrant que le Tribun repartit en direction du village, récitant une courte prière entre ses dents. Pardonne à mon frère et à tous les autres... Ils ne savent pas ce qu’ils font....
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