Mariage 17 Janvier 1458

[25 mai 2010

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{la fée C.}]

Ce coup ci, Zahra n'était pas tombée du lit, non, ce dimanche là, elle arriva, un peu tard à la messe, la diaconesse Safia était déja à la moitié de son sermon, une partie des fidèles s'étaient retournées en écoutant la porte de l'eglise claqué, mais leur prière et leur concentration étaient grandes, ainsi, la Zahra alla prendre place pas très loin de son chevalier, elle pria en silence et écouta la fin de la messe.

Elle alla saluer la diaconesse et les autres avant de partir, Safia se donnait du mal, avec tant de dévotion, la présence des villageois ne feront que l'encourager se disait Zahra.

Zahra alluma un cierge, avant de sortir rejoindre Amyr et prendre la route.
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Safia Diacre De Vaudemont allait donner une messe, tout avaient été préparer la veille au soir même l'enfant de chœur était au garde a vous les mains jointes et pas mot ne sortait de sa bouche voyant que je le regardais il vint vers moi.

-Bonjour Ma soeur,

-Oui en effet, je te cherche partout regarde, tu a oublier le vin dans le Ciboire !...veux tu en mettre, pour la messe!..
Un peu plus que ça !...tu a la main légère ce matin tu n'en cacherais pas un peu pour toi des fois ?...
-Va sonner les cloche !... Mon enfant !..
-je suis prêt, ma Sœur, je vais sonner les cloches ...



DONG ... DONG ... DONG ....DONG ....DONG ....

Safia lui sourit, avec un aire attendrissant comme si c'était son enfant...
Elle le salua quand elle passa devant lui pour aller a la sacristie pour enfiler sa robe noire a col blanc.
Lorsqu'elle en sortit, le doux soleil de Janvier éclairait le chœur par une lumière diaphane, qui passait à travers les vitraux.
L'autel avait été préparé avec un beau tissus, le livre des vertus était ouvert.
Quand les fidèles se furent installés, la Diaconesse prit la parole

-Bienvenue, chers fidèles, en la maison du Très-Haut
Vous êtes venus en ce lieu pour faire acte de foi , ainsi nous allons d'abord commencer par nous purifier spirituellement.
Prions ensemble...
-Mais qu'est ce !...tout ce remue ménage ?..
Que les enfants qui coure, aillent se rassoir tranquillement sans bruit
-Commençons!...
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la
rémission de tous nos péchés.

Tous pouvaient se confesser, que ce soit en public ou en privé.
Certains n'hésitaient pas à confesser leurs fautes face aux autres,
mais le plus souvent, ce n'était pas le cas, de peur de leur regard, ce
qui était - au demeurant - légitime.
D'un geste simple et posé, elle invita les personnes présentes à dire après lui, cette prière.

-Mais nul ne saurait se présenter devant cet autel sans avoir récité la prière du pardon...
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Et après s'être purifiés spirituellement par la confession, nous allons réciter le Crédo...

Safia, mit sa main gauche sur le livre des vertus et la droite au
niveau de sa poitrine sur son cœur, pour réciter le crédo

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant
Créateur du Ciel et de la Terre
Des Enfers et du Paradis
Juge de notre âme à l’heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète
Le fils de Nicomaque et de Phaetis
Envoyé pour enseigner la Sagesse
Et les lois divines de l’Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos
Né de Marie et de Giosep
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
C’est ainsi où après avoir souffert sous Ponce
Il est mort dans le martyr pour nous sauver
Il a rejoint le Soleil où l’attendait Aristote à la droite de Très-Haut

Je crois en l’Action Divine
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine unie et indivisible
En la Communion des Saints
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle

Amen

mon enfant de Choeur
tourna alors les pages du Livre des Vertus pour s'arrêter sur un
passage de la Vita De Christos

-Je vais vous lire un passage du livre des Vertus
-Merci mon enfant tu est a la bonne page tu peu aller t'assoir.
-Vita de Christos, Extrait du Chapitre Huitième

Et elle dit

Si votre famille ne vous comprend pas, priez pour elle, car elle n’est pas sensible au message de Dieu.
Si celui qui vous Commande vous en veut, ne lui en voulez pas, et priez pour lui, car il n’est pas sensible au message de Dieu.
Si vos amis vous retiennent, alors entraînez les avec vous, afin qu’ils découvrent aussi le message de Dieu.
La route sera longue et tortueuse, le chemin rugueux, l’horizon
lointain, la pente forte, mais le soleil qui brille guidera nos pas.
Vous marchaient depuis une semaine vos pieds vous fond souffrir Priaient, chantaient, riaient , mais penser qu'il y a toujours Dieu au bout, priaient il vous protégera.
Tout au long de ces Routes
Nous connaîtrons des difficultés, des disputes, des colères, des
passions, des hésitations, mais l’amour et l’amitié nous unirons et
Dieu nous portera, vous vaincraient.
Mais si quelqu’un vous frappe, et que vous tombez, alors vos amis les plus sincère serons là et Dieu vous aidera à vous relevé
Si vous voulez vivre en groupe, dans l’amour de votre prochain et de la multitude,
si vous voulez partager votre pain avec vos amis, marcher
avec vos frères, alors venez à Dieu et vous gagnerai
Dans ce cas, si vous tombez sur le chemin, un frère s’arrêtera, et vous relèvera.

attendit quelques instants que chacun ait entendu ses paroles et s'en soit imprégné, puis elle reprit ...

Ce passage de la Vita de Christos est l'un de mes préférés et je dois vous confesser que je le dis très souvent.
Et pour cause, en lui seul, il met en exergue plusieurs des qualités de
notre belle communauté aristotélicienne : l'amour, l'amitié, le don de
soi ...
Et surtout que malgré toutes les épreuves, il y a toujours quelqu'un pour vous aider, pour vous relever si vous chutez, chez les disciple d'Aristote l'amitié avant tout.
Ainsi, notre mission, à nous, les représentant de l'Église est de vous guider spirituellement, mais nous pouvons aussi vous conseiller
lorsque vous faites face à l'adversité.
Ce texte nous montre aussi que celui qui vit seul est bien égoïste, car
il n'a rien à attendre des autres puisqu'il ne donne rien.
Certes, nous devons tous travailler et vivre, mais si cela se faire
dans les meilleures conditions, ce n'est pas plus mal, n'est-ce pas ?

Elle sourit à l'assemblée et prépara les ustensiles de la communion,
le pain et le vin !... Je communiai la première en suit mon enfant de
chœur s'approcha et je lui donnai la communion, je me bus deux bonne
gorger de mon vin de messe mon petit rosée préféré.

La Communion



Quand tout le monde avaient communier, je leur proposai une dernière
prière, une prière que j'affectionnai tout particulièrement.
je raclais ma gorge discrètement
et je me mis à chanter L'Ode que j'aimais bien.

-nous allons dans une dernière prière chanter l'Ode
-l 'Ode à la foi Aristotélicienne

Grâce à la pensée et la création du Très-Haut,
Nous pouvons vivre sur ce monde.
Grâce à l'éducation du prophète Aristote,
Nous avons retrouvé la voie Divine.
Grâce à Christos montré en exemple.,
Nous savons de qui nous inspirer.

Tout les jours nous en sommes reconnaissant,
De vivre et prospérer pour Sa gloire.
Tout les jours nous en sommes reconnaissant,
de vivre dans la Foi et Sa lumière.

La Créature sans Nom,
Essaie de nous détourner.
La Créature sans Nom,
Veut qu'on s'égare de la voie divine.
La Créature sans Nom,
Nous trompe avec ses paroles.

Mais grâce à la raison,
Qui nous donne le pouvoir de résister.
Mais grâce à la Foi,
Qui nous aide à passer les tromperies.
Mais grâce à l'amour,
Que Dieu Créateur et Père nous inspire.


Merci à vous d'êtres venu et d'avoir honoré de votre présence ce lieu sacré.
Je vous remercie également personnellement pour avoir assisté à
l'Office que j'ai donné, et merci aussi a notre enfant de Choeur qui a
su tout préparer.

Elle salua ces paroissiens de Vaudemont.
en suite elle irait dire quelques mots a la sortie de l'Eglise à ses
Frères et Soeur, dans la Foi écouter d'une oriel complaisante les
dernière nouvelles du village.


Allez en Paix que Dieu vous garde

Arrivé à Vaud', le Premier Archidiacre de Trèves ne pouvait laisser passer un mariage pareil.

Hélas il ne saurait pas rester jusqu'au bout, car un autre sacrement l'appelait à Nancy, mais faire acte de présence était important.

Après avoir mis quelques denrées à vendre sur le marché, il se rendit à l'Eglise pour aider Safia, mais il constata que tout était prêt.

Entrant dans l'édifice, il se signa, avant de remonter l'allée centrale. Il fit un signe à la statue d'Aristote, avant de faire une génuflexion devant la croix de Christos.

Il salua la Diaconesse, prête à officier, tandis qu'il rejoignait les places spécifiques réservées aux membres du clergé Lorrain.
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Tem ,apres son voyage de nuit et ayant proffité de la cariolle de la bonté et douceur d'une dame qui avait conduit toute la nuit et des tartes ,donc bien reposé et dispo ,entra dans la batisse salua les presents et fis un signe a la même statue que son ami Uriel
tiens tiens il repond pas
puis alla prendre place a l'arriere de la salle ne voulant deranger personne vu que lui aussi avait une autre ceremonie a faire a nancy mais pour rien il n'aurait raté le mariage de balsamo et de sa noiraude oups jo il leur souhaita tout le bonheur du monde et plein de bonnes choses
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Balsamo arriva a l'eglise pour cette ceremonie qui marquera une grande etape dans sa vie et pour celle qui va desormais partager sa vie.....il passa par le chemin du moulin un peu plus longue mais ca lui permis de de detendre un peu ......



quelques amis etaient deja la et il alla les saluer .....

mes amis!! bonjour merci d'etre la je vous remercie vous avez fait bon voyage? comment allez vous?

il serra les mains et embrassa les femmes presentent .... les gens arrivaient de plus en plus nombreux.....
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Balsamo alla saluer Catha et son fiancé Cao qui venaient d'arriver ......

bonjour a vous deux merci d'etre la ca me fait vraiment plaisir .... vous avez fait bon voyage?et toi Catha comment te sent tu ?

il lui fit la bise et serra la main a Cao puis alla faire la bise a Fabala qu'il n'avait pas vu mais en ce jour il etait partout et nul part un peu perdu et anxieux il esperait que ses amis ne lui en tiendrait pas rigueur...
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fabala salua bal son ami, lui fit la bise...salua les personnes qu'elle ne connaissait pas, puis s'adressa à bal



Que tu es beau!! w houa, c'est un grand jour pour toi, et suis si heureuse pour vous deux!!

[/b]
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ho si tu sais Catha le stress est la et j'espere que tout ira bien..merci a toi Fab tu est aussi tres belle ....

il regarda en souriant les enfants qui etaient sage en souriant ...puis Vivlyne entra dans l'eglise et il s'empressa de venir a sa rencontre.....

bonjour Viv merci d'etre venue ,tu est vraiment toute en beauté ta robe est magnifique je te remercie de ta presence....

il lui fit la bise chaleureusement et l'invita a prendre place
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...
Théo arriva au bras de son époux, et chacun d'eux portait un bébé sur l'autre bras ! Elle arborait un visage de femme radieuse et comblée, et chuchota à Free en riant : " chiche que je t'épouse une deuxième fois !"

Elle frissonna en pénétrant dans l'église, il faisait frisquet ! Le voyage s'était ma foi, pas trop mal passé, malgré ses appréhensions de cahoter ainsi sur les routes avec deux enfants tout juste nés. Pourtant Théo était heureuse de retrouver le village qui l'avait vu naître elle même. Elle n'y était pas revenue depuis un certain temps et c'est avec grand plaisir que ce fut pour une si belle occasion.

Elle sourit en reconnaissant bien des visages, un petit signe aux uns, un baiser à d'autres, progressant ainsi jusqu'à la nef. Elle aperçut alors Catha... et ses bébés ! Elle s'approcha avec ravissement...

- Ne me dis pas que... non... ce n'est pas possible !!!? Des jumeaux ?? toi aussi ? Théo pouffa de rire... Mais c'est une épidémie !!! ^^
Elle présenta ses propres bébés à son amie... Les miens sont nés le 17 ! Voici Anne et Alix !

Puis, se souvenant qu'elle avait quelques responsabilités aujourd'hui, elle prit la fuite, imaginant que trop bien le plaisir de se lancer dans une longue conversation, pour deux mamans toutes neuves ! Elle se précipita alors vers le héros du jour...

Oh oh ! Que te voilà élégant mon filleul !!!! Elle embrassa Bal qui semblait dans ses petits souliers et le serra bien fort dans ses bras. Courage Baloo, ce n'est qu'un bon moment à passer ! ^^ Et la petite famille s'installa non loin de là...
...
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Balsamo eu un large sourire en voyant arriver sa marraine et toute sa petite famille et son amie Gribouille et s'empressa d'aller les acceuillir..il serra sa marraine aussi et l'embrassa chaleureusement ainsi que Gribouille et Free ...

quel plaisir de vous voir!! oui un merveilleux moment Theo mais installez vous ..le voyage a etait bon? vous allez bien tous?

Balsamo avait la tete partout et saluer les arrivant en esperant n'oublier personne ......il etait heureux de voir que tout ses amis etait la !!ce jour resterait gravé dans sa memoire
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Ed' arriva, pour une fois, à l'heure afin d'assister à l'union de Jo et Balsamo. Il reconnut de vue quelques personnes qu'il n'avait plus croisé depuis des lustres mais ce n'était ni le moment, ni l'endroit de commencer à taper la causette...

Il se signa et regarda la décoration. Si la cérémonie était aussi belle, nul doute qu'ils allaient alors avoir un bon souvenir de ce mariage. Il se hâta de rejoindre sa fiancée au banc qu'elle avait choisi.

Hum ... la robe te va à merveille.

Il lui sourit et se tut, nomého où étaient passées ses bonnes manières?!

Free vit s'approcher Gribouille et la bisa joyeusement ...

Oui, bien ma Grigri malgré les nombreux arrets, nous sommes arrivés à bon port ... Tous présents et en bonne santé !! Dit-il en souriant à son amie.
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Balsamo continua a acceuillir les invités et ne savait ou donner de la tete il parlait avec tout le monde ,bisouiller les femmes serrait les mains aux hommes ,allait de l'un a l'autre .......
mais lui comme les invités attendait une chose! l'arrivée de la mariée ,de sa future femme.....il avait hate de la voir et de l'avoir a ses cotés...

quand on vit le carosse arriver Balsamo eut un sentiment de bonheur et d'impatience .....la voila ma cherie
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Amazone vit Fabala jeter des pétales de roses. Elle en déduit que tout se brouhaha dehors était dû à l'arrivée de Jo devant l'église. Trop curieuse de voir la belle robe, elle sortit de l'église et vit Jo.

*Waou quelle est belle!! pensa-t-elle.* Jo est vraiment magnifique*

Elle s'approcha d'elle, l'embrassa et lui murmura

- Tu es absolument merveilleuse dans cette robe! Balsamo va en tomber par terre!

Après avoir fait un voyage très joyeux, Isis et Slarkoss arrivèrent à Vaudevilliste .
Ils allèrent s'installer dans une auberge ou il y avait encore quelques chambres de disponible afin de se reposer avant la cérémonie.

Après quelques heures d'un sommeil bien mérité, ils se préparèrent et allèrent vers l'église la main dans la main.

Arrivant sur le parvis, ils saluèrent leurs amis et admirèrent les mariés.

Jo, tu es magnifique. Tu resplendit de bonheur.
Bal , toi aussi tu es magnifique.
Vous faites un très joli couple.

Puis, ils entrèrent dans l'église et s'installèrent dans le fond attendant le début de la cérémonie.
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Gribouille avanca dans l'allée centrale aupres des autres demoiselles d'honneur .

Elle vit fab qui jetait des petales de roses par terre .
Elle salua en passant les personnes qu'elles n'avaient pas vu .

Puis , d'un pas lent s'arrêta devant l'hôtel, Fabala à ma gauche, et zahra,celinia à droite, regardant la marié avancée jusqu'à nous.
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Balsamo qui se tenait devant l'autel entendit l'agitation devant l'eglise et attendit la suite en regardant ce qui se passait .....il avait hate de voir arriver celle qui allait devenir sa femme , celle qui allait partager sa vie .... puis les demoiselles d'honneur entrerent et toute la magie de cette ceremonie commenca........il passa son regard vers tout les gens qui etaient la et n'arrivait pas a mesurer vraiment tout le bonheur qui l'envahisait ......tout le monde etait la !!!!il salua du regard les gens qui arrivaient tardivement.....
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Burtchico arriva a l'église serra la main de Bal et de la tete les autres invité. Il a lla s'assoir dans un banc.

Le voyage depuis Nancy n'avait pas duré très longtemps ; en fait, le temps semblait bien plus facile à porter ces derniers jours. Olivier en connaissait la raison, elle chevauchait à ses côtés en ce moment.
Sitôt arrivés à Vaudémont, son Aimée s'était isolée pour se préparer pour la cérémonie. Olivier fut beaucoup plus rapide, la tenue de cérémonie était déjà enfilée et il sortit se dégourdir les jambes dehors.

Lorsqu'il revint dans leur chambre à l'auberge, il fut estomaqué ! Il n'eut soudain plus très envie de sortir de la chambre...mais il fallait être raisonnable ; son adjointe et amie se mariait aujourd'hui, place à la fête !

Ils se rendirent bras dessus bras dessous à l'église, où ils retrouvèrent bon nombre de têtes connues. A eux deux, ils connaissaient bien la moitié voire les trois-quarts des personnes présentes, et ils se séparèrent à regret pour aller les saluer.

Jo était déjà en route vers l'autel ; en la voyant elle et Gribouille, Olivier se dit qu'il avait sans doute le plus bureau de la maréchaussée de Lorraine, ce qui au vu de la situation à Epinal était des plus réconfortants...

L'assemblée pénétrant à l'intérieur de l'église, signe que la cérémonie allait commencer, Olivier alla rejoindre son Aimée et s'assit à côté d'elle, espérant tout au fond de lui qu'un jour, peut-être, ce serait leur tour...
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Pilli arriva derrière Xenon. Elle sourit en voyant la mariée si belle ne pouvant qu'approuver les paroles de son ami.

Tu es magnifique Jo

Elle lui fit la bise et suivit Xenon auprès de Rosa.

Elle sourit de loin encourageant à Bal, le saluant. Elle lui fit signe qu'ils se verait plus tard n'osant pas bouger de sa place vu l'heure solennelle.

Pilli regarda autour d'elle et salua ceux qu'elle connaissait. Elle vit Sabi et alla lui faire la bise revenant auprès de Rosa et des enfants. Elle leur fit des bisous et s'assied Julien sur les genoux. Elle avait revêtue un robe qu'ella avait faite pour cette occassion et avait mis de beaux habits à son fils.
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Il était maintenant temps de rentré, Jo attrapa le bras de Christoff et regarda toutes ses amies repartir à l'intérieur de l'Église. La nervosité de la journée retombait sur Jo d'un coup d'un seul, elle ne savait plus quoi faire. Entré ou attendre un peu, elle ne voulait pas faire déshonneur à son futur époux.

La jeune femme prit une grande respiration, regarda Christoff, et lui donna une bise.
Chris on peut y aller je suis prête enfin je crois.

Tenant son bras bien fermement d'une main et sa robe de l'autre, évitant de la laissé trop trainé.
En entrant, Jo ce signa comme toute bonne Aristotélicienne, avança d'un pas lent vers l'autel. Elle souriait à tous ses amis quelle croisa sur le chemin. Elle fit des signes de la main, pour les saluer et de grands sourires.



Émerveillé par la beauté de l'Église de Vaudemont, Jo finit par porter ses yeux au bout de l'allée. Elle vit tout d'abord ses quatre demoiselles d'honneurs, puis Safia. Ensuite son regard changea de visage. Son fiancé, il était la, il l'attendait les yeux tournés vers elle, remontant l'allée doucement vers lui. La future mariée lui souriait, ne le lâchant plus du regard. Sa main ce serra sur le bras de Chris plus elle souriait, heureuse de ce qui ce produirait dans quelques instant.

Son homme était merveilleux et rayonnant de joie, très belle homme dans son costume blanc. S'approchant doucement savourant cet instant magique de ce faire désiré dans l'attente, elle était tout de même tout aussi impatiente d'en finir et de ne plus employé le mot « fiancé », elle serait bientôt sa femme et ceux pour l'éternité.

La tension était la mais l'amour qu'elle lui portait encore plus, devant lui Jo ne le lâchait plus du regard, elle avait déjà du mal en temps normal mais la c'était encore différent, elle ne voulait pas perdre une miette de lui, de son regard.

Christoff la lâcha et Jo lui donna une dernière bise, lui chuchotant au creux de l'oreille un merci, merci d'avoir fait cela pour moi. Jo sourit et leurs belles demoiselles d'honneurs partir s'assoir au moment ou Safia commença la cérémonie. La jeune femme déposa sa main dans celle de son futur époux.

Osadus complètement en retard, arriva en courant et pénétra dans l'Église

il regarda autour de lui et se murmura:

Ouf la cérémonie n'as pas encore commencée

Discrètement, il alla se posé a la première place qu'il vit en fin de rangée

Telle une statue dans sa robe de bure grise, Uriel était resté bien sagement assis au fond du choeur.
Seul Tem', à priori, l'avait remarqué.

Fallait dire qu'il était arrivé bien tôt.

Puis l'église se remplit peu à peu et il redressa les épaules, enleva sa capuche, sourit à tout un chacun.
Il regarda les futurs mariés, et les trouva magnifiques comme ... comme tous les mariés ...

Il attendit impatiemment que la cérémonie débute.
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...
Théo enchaîna elle aussi...

Je confesse à Dieu tout-puissant,
Je reconnais devant mes frères,
Que j'ai péché en pensée, en parole,
Par action et par omission,
Oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
Les archanges et tous les Saints,
Et vous aussi mes frères,
De prier pour moi le Créateur.
Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
Qu'il nous pardonne nos péchés,
Et nous conduise à la vie éternelle,
Dans le paradis solaire.

Amen

et dans la foulée... son Crédo :

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
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Balsamo en voyant arriver son amour au bras de Christoff fut subjuguer par sa beauté ....quelle vision sublime ! devait il l'embrasser ? non malgré qu'il en mourrait d'envie.... ce n'etait pas l'instant.....mais il lui prit quand meme la main pour y deposer un tendre baiser et lui fit un sourire amoureux........ puis la ceremonie demarra......il resta attentif aux paroles de Safia ......puis repris sa confession en gardant ses mains jointes devant lui......

Je confesse à Dieu tout-puissant,
Je reconnais devant mes frères,
Que j'ai péché en pensée, en parole,
Par action et par omission,
Oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
Les archanges et tous les Saints,
Et vous aussi mes frères,
De prier pour moi le Créateur.
Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
Qu'il nous pardonne nos péchés,
Et nous conduise à la vie éternelle,
Dans le paradis solaire.

Amen

puis resta silencieu a l'ecoute.......puis apres un moment il enchaina sur le credo....

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

puis il eut un regard sur sa fiancée ..... et eut un sourire heureux .......
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Free écoutait la cérémonie avec attention. Il tenait Anne et Alix, chacun dans un de ses bras et posé sur une cuisse. Il pouvait ainsi les bercer doucement. Les deux anges se regardaient et semblaient heureux.
A l'invite de la diaconesse, il recita de mémoire ...

Je confesse à Dieu tout-puissant,
Je reconnais devant mes frères,
Que j'ai péché en pensée, en parole,
Par action et par omission,
Oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
Les archanges et tous les Saints,
Et vous aussi mes frères,
De prier pour moi le Créateur.
Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
Qu'il nous pardonne nos péchés,
Et nous conduise à la vie éternelle,
Dans le paradis solaire.

Puis il enchaina sur le credo avec ses amis ...

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
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...
Théo s'approcha un peu émue de l'autel... Elle tenait à la main un parchemin, sur lequel elle avait griffonné son texte... Elle s'éclaircit la voix et commença sa lecture d'une voix forte et claire, en levant de temps en temps les yeux vers Jo et Bal...

Je suis Théo, née à Vaudemont et maintenant habitante d'Epinal, marraine de Bal et aujourd'hui son témoin de mariage...

Puis elle enchaîna...



Théo leva la tête de son parchemin et sourit, son regard parcourant toute l'assistance...

Alors on peut se dire... fastoche ! Il en a de bonnes Christos ! ... Un engagement à vie !... mais comment sait-on qu'on a choisi la bonne personne ? L'a t-on choisi réellement d'ailleurs ? ...N'a t-on pas tous déjà essuyé maintes déceptions ? Comment fait-on la différence ? Comment est-on sûrs ?

Théo fit un large sourire... Et c'est là qu'arrive le "petit coup de pouce de Dieu" !!!

Jo vivait une triste déception... mais qu'est ce qui l'a donc poussée à prendre la route vers Epinal ce soir là ?
Bal vivait dans les ténèbres, déçu lui aussi... se disant prêt à mourir...

Par quel heureux hasard ces deux là ont-ils poussés d'une même main triste et résignée, la même porte, de la même taverne à la même heure ??? (la Chipotte, ouvert à toutes heures et bières à 0,75 !) ^^

Mais quel est donc ce Grand Créateur qui fait si bien les choses, qui a rendu Bal si galant homme... se faisant un devoir de raccompagner Jo jusqu'à Vaudemont ? ^^ (bon... je suis sa marraine aussi... j'ai donc moi aussi veillé à ce qu'il reçoive une éducation de gentilhomme ! nanmého ! ^^)

Quel est ce Grand Créateur qui a enseigné aux hommes l'art de fabriquer des parchemins ? d'élever des pigeons ? Ben oui... sinon... comment donc auraient-ils fait ces deux là, pour s'écrire chaque jour suite à cette rencontre ??? ^^

Alors...? Vous vous posez encore la question ? Ai-je fait le bon choix ? saurais-je tenir ma promesse ? ... Théo sourit... faites comme moi ! ...Ayez confiance ! et comptez sur "le petit coup de pouce " !^^


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Peste soit des étourdissements imprévus. Le départ s'était fait pour moi dans la précipitation, la solitude... et le retard. Le convoi des toulois conviés à la noce de deux jeunes Vaudémontois partait sur le coup de midi, et je n'avais pu sauter en selle que lorsque que le soleil disparaissait derrière la ligne d'horizon, sous un ciel encombré de nuages gris-blancs...

La route avait défilé sous les sabots d'Helvritt toute la nuit. Il y avait eu une halte, que je voulus la plus court possible. Le judas du monastère s'ouvrit sur la trogne rougeaude du frère portier, qui su directement, avec des yeux écarquillés de confusion, à quel genre d'homme il avait affaire.

-Vous êtes le lieutenant Einskaldir, c'est cela, mon frère?
-Oui, frère, je suis venu chercher celui qu'on vous a confié il y a deux lunes maintenant...
-Je suis tellement navré, frère soldat... Nous avions ordre de vous avertir de sa présence dès que vous seriez revenu de bataille...Dame Catha me l'avait pourtant répété maintes fois... Mon Dieu, mon Dieu...Je vous aurais causé bien des tracas, frère soldat. -Laissez votre Dieu en dehors de tout cela, l’abbé, c'est humain...Je l'emmène ce soir.

La petite cellule s'ouvrit après une enfilade de couloirs de pierre, et celui qui attendait ma venue m'accueillit sans un mot, mais avec son large sourire habituel. Nous partîmes aussitôt, et sur la route, seule sa petite tête contre moi témoignait de sa présence à mes côtés.
Nous atteignîmes Vaudémont alors que la lune était déjà sur son déclin dans la voute céleste. Je tâchais de retrouver promptement l’auberge où nous avions prévu de demeurer la nuit. Le soleil commençait à poindre. J’éveillai mon compagnon de route, et nous gravîmes tout deux les escaliers vers la chambre qui nous attendait. Vivlyne n’y était plus, mais ses draps étaient encore tièdes. J’entrepris donc de déposer mon paquetage et de revêtir mon uniforme officiel. Noir, sobre, mais très distingué. Le seul des mes accoutrements qui faisait de moi un gentilhomme. Par-dessus, j’agrafai ma large cape verte chasse, et je débarbouillai du mieux que je pus la petite frimousse du voyageur nocturne, toute marquée des plis de mes vêtements de voyage, et toute enchiffonnée de sommeil.
Nous étions prêts. Le soleil commençait à monter derrière ses écharpes de brume. La noce pouvait débuter, nous serions tout deux de la partie, gais comme des pinsons malgré la fatigue qui parfois avait raison de notre attention et de notre clarté d’esprit. Surtout pour lui.
Des pas se pressaient sur les allées pavées de Vaudémont. Tous se dirigeaient vers l’église, siège sacré où tout allait se dérouler ce jour, pour l’union de deux jeunes gens. Je reconnus les fiancés, entourés de nombreuses connaissances et amis. Le voyageur commençait à s’endormir, je le pris dans mes bras.
Et apercevant Vivlyne, divine dans sa robe longue, je pénétrai le lieu saint, mon fils Einar sommeillant entre mes bras. Je sourit dans la lumière du jour perçant à travers les larges vitraux colorés.

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Qu'Odin garde tes pas, que Thor guide tes armes, qui que tu sois...

Balsamo toujours receuilli ecouta Safia et attendit un moment.....le moment crucial ou on attend de savoir si quelqun s'oppose a l'union puis....Safia posa la question tant attendue....

Balsamo repondit d'une voix claire et le bonheur au coeur....en se tournant vers son amour...

OUI je veut vivre dans le mariage et prendre Jo9183 pour femme

puis il lui sourit en ecoutant sa reponse......
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Rosana donna le magnifique coussin brodé a son fils ,



puis y installa les alliances bien en évidence . Brisson avançait dans l allé centrale et porta le précieux coussin au marié



Rosana avait les larmes aux yeux en voyant son fils avancer aussi droit et sérieux qu un homme de grande valeur comme son père..................
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Olivier avait suivi la cérémonie aux côtés de son Aimée. La guettant du coin de l'oeil, il n'avait pu s'empêcher de remarquer son trouble, à priori pas seulement dû au mariage de leur amie.
Il se refit rapidement le fil de sa vie en arrière, s'arrêtant à la Maréchaussée d'Epinal...Balsamo, Jo, deux personnes qu'il y avait connues s'unissaient maintenant pour la vie ; il y avait décidément quelque chose de spécial dans le vieux bureaux de police spinalien, lugubre parfois, mais la Vie et ses belles histoires reprenaient toujours le dessus.
De voir son adjointe radieuse, il oublia instantanément tous les petits soucis qu'ils pouvaient avoir dans leur travail. Il se prit même à rêver de jours meilleurs, d'ici peu...lui et son Aimée, Jo et Balsamo, Gribouille, Hathor qui fidèle à son habitude se planquait pour qu'on ne la voie pas pleurer, et tous les autres...le renouveau après de sombres heures.

Olivier serra un peu plus fort dans sa main celle de sa douce et tendre au moment des voeux, en un message silencieux.
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...
Théo s'approcha des nouveaux époux le sourire aux lèvres... Il y a belle lurette qu'elle les considérait fait l'un pour l'autre, aujourd'hui était juste une petite formalité supplémentaire. ^^

Elle embrassa Jo puis Bal, les serrant sur son coeur...

Félicitations à tous deux !!! Je vous souhaite d'être aussi heureux que je le suis, "plus" ce n'est pas possible, "autant" vous avez de grandes chances ! ça j'en suis certaine ! ^^

Et elle rejoigna rapidement Free, pour le libérer des bébés et le laisser à son tour venir les féliciter.
...
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Theo sa marraine vint les feliciter et Balsamo la serra dans ses bras et l'embrassa !!!

merci marraine !! merci a toi pour tout et merci a vous d'etre la .... de participer a notre bonheur ....

puis il reprit la main de sa femme et un sentiment de bonheur l'envahit.....ils eurent quand meme le temp de saluer Uriel qui partait a Nancy ...
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Christoff avait accompagné Jo jusqu'à Bal, puis il s'était dirigé vers un banc libre pour s'y asseoir.

'Je confesse à Dieu tout-puissant,
Je reconnais devant mes frères,
Que j'ai péché en pensée, en parole,
Par action et par omission,
Oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
Les archanges et tous les Saints,
Et vous aussi mes frères,
De prier pour moi le Créateur.
Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
Qu'il nous pardonne nos péchés,
Et nous conduise à la vie éternelle,
Dans le paradis solaire.

Amen '

Et il poursuivit avec le Crédo

'Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN '

Puis il observa la cérémonie.
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puis se tournant vers son Ami Free a qui il donna une accolade longue et sincere......

merci du fond du coeur mon ami ! merci d'etre la ,c'est cela qui est magique, la presence de tous! ca fait chaud au coeur je t'assure!

puis il vit d'autre personne arriver .....son amie Gribouille qu'il embrassa chaleureusement en la remerciant elle aussi...
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Dès l'instant où ils s'étaient assis, elle avait pris la main de son Aimé dans la sienne, sans la lacher à quelque moment que ce soit. Cette main grande et puissante, mais qui pourtant, était une douceur qui laissait transparaitre une grande force lorsqu'elle passait sur son corps. Douceur qui la faisait frissonner malgré la chaleur qu'elle provoquait irrémédiablement en elle.
Cette main, dans la sienne, représentait beaucoup pour elle, surtout en cet instant.
Depuis sa rupture avec Jules, elle n'avait plus eu gout à la vie et plus tard, reprenant plaisir à la vie, plus gout aux hommes. Elle avait plusieurs fois penser a cette bague de pierre de lune qui lui avait offerte et qui était resté sur la table, à coté d'une lettre. Avait -elle fait le bon choix? Mais maintenant, la question n'était plus d'actualité, n'effleurait plus ses pensées. Olivier avait su la réchauffer, lui faire de nouveau ouvrir son coeur qui aujourd'hui débordait de joie.

Elle le regarda. D'habitude, il etait magnifique. Son état d'esprit des plus plaisant mais aussi d'un physique que la maréchaussée avait entretenu.
Aujourd'hui, dans ses habits d'apparat, il n'etait pas magnifique. Non. Il était resplendissant.

Elle tourna de nouveau le regard vers l'autel. Jo et Balsamo aussi étaient resplendissants. Leur amour etait palpable et Yarwelh etait vraiment heureuse pour eux. La cérémonie se déroulait sans heurt et ils en vinrent rapidement aux voeux. La main dans la sienne se serra un peu plus tandis qu'elle faisait de meme. Les alliances furent échangées et une larme se forma au coin de l'oeil de la jeune femme. Yarwelh ferma les yeux pour l'empêcher de couler.

Jo et Balsamo étaient officiellement mariés. Ils méritaient leur bonheur. Ils travaillaient pour et cela les avaient menés jusqu'ici. Parfois, il y avait de la justice dans ce monde. Pas tout le temps, mais parfois, et les moments comme ceux ci donnaient de l'espoir à Yarwelh.

Alors que le couple quittait l'autel et parcourait la nef, Yarwelh leva la main qui tenait la sienne et l'embrassa.

Olivier et elle se devaient d'aller féliciter les jeunes mariés, leur amis, ce qu'il ne manquèrent pas de faire avec plaisir. La main dans la main, car Yarwelh ne voulait pas la lacher.
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Pilli était heureuse pour ses amis. Elle vit Tem dans un coin et alla le rejoindre lui faisant une bise qu'il lui rendit.

Je suis heureuse de te voir. Excuses moi mais je vais féliciter les mariés. Je dois tout comme toi être à Nancy pour le mariage.

Elle lui sourit et le laissa sachant qu'ils se verait plus tard et pourrait discuter.

Pilli alla féliciter les jeunes mariés et leur fit la bise.

Tous mes voeux de bonheur à vous deux. Je ne peux hélas rester mais je restes avec vous par la pensée.

Elle s'en fut rejoindre Uriel qui avait préparé les chevaux et s'apprétaient à partir quand ils virent Jo. Elle sourit. Elle aurait voulu rester mais le mariage se son cousin l'attendait.
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Fabala fut très émue de cette belle cérémonie,
" surtout au moment ou jo et bal se sont dit oui!! c'était très touchant, très émouvant, et si beau".


Je partie les embrasser.

Félicitations à vous deux, je suis si heureuse pour vous.. que votre vie soit douce et vous souhaite pleins de bonnes choses

Je vous laisse à tout à l'heure mes amis, je laisse la place à d'autres!! avec le nombre d'invités que vous avez!! , vous risquez d'y rester jusqu'à la nuit!!

puis me dirigeais vers la sortie, pour les saluer d'autres convives

[/b]
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Balsamo et son epouse sortirent de l'eglise en remerciant tout leurs amis ...ils recevaient des felicitations de tout le monde et cela ne faisait qu'augmenter le bonheur que lui et son amour vivaient a cet instant ...il embrassa amoureusement son epouse ...et lui tenant la main il se glisserent dans la foule.....elle etait si belle dans sa robe de mariée et lui etait si fier d'etre son epoux ...c'etait comme un reve....

il ne savait ou donner de la téte et comme la si bien dit son ami Freebooter cette ceremonie a reellement etait magique ...comment imaginer qu'ils auraient eut tant de monde ! l'emotion lui tira une petite larme au coin de l'oeil.... Balsamo ne realisait pas encore il essayait d'oublier personne il remercia Vivlyne Cielina Fabala..en les embrassant chaleureusement....

merci a vous mes amies ! merci d'etre la votre presence nous fait un reel plaisir ....encore merci!!

puis Olivier ,Yarwelh ,Pilliwyggin qu'il remercia aussi de tout coeur....il alla aussi remercier Safia.....

Safia je te remercie pour cette belle ceremonie ....tout etait parfait encore merci a toi.....

puis s'adressant a l'ensemble de leurs amis .....en souriant...

mes amis suivez nous a la maison comme la dit ma douce femme vous restaurer un peu et boire un bon verre a votre santé ..........
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Les jeunes mariés les remercièrent entre deux félicitations qui fusaient de toutes part.
Olivier laissa meme des sous entendus glisser dans l'air, mine de rien.

Tu vas vite en besogne toi! Qui dit que j'ai envie de toi moi?

Mais un très leger rehaussement des commissures de ses levres démentait ses paroles. Toutefois, cela allait un peu vite pour elle. Mais d'un autre coté, elle l'aimait tant.
La reflexion de Yarwelh fut coupée car plusieurs personnes voulaient encore féliciter les époux et ils durent s'écarter.

Lorsque Jo parla d'un buffet, Olivier avait, inconsciemment?, pris le chemin de la maison vaudemontoise des époux. Yarwelh sourit, un brin taquine. Cet amour la coutait cher: en nourriture.
Elle arreta Olivier dans son élan. Elle avait envie d'un baiser de sa part avant de rejoindre tout le monde. Elle plaça ses mains sur les hanches de son Amour et l'embrassa. Après ensuite, il put aller satisfaire son estomac. Et la jeune femme aussi ^^
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Jec vint se recueillir à l’église comme tous les dimanches. Il aimait suivre la messe dominicale. Ces petits instants de tranquillité lui étaient très bénéfiques pour son moral. Il salua son amie Shillia, fidèle parmi les fidèles, et récita le credo aristotélicien avec les quelques membres de sa communauté bien que les bancs fussent passablement clairsemés.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant
Créateur du Ciel et de la Terre
Des Enfers et du Paradis
Juge de notre âme à l’heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète
Le fils de Nicomaque et de Phaetis
Envoyé pour enseigner la Sagesse
Et les lois divines de l’Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos
Né de Marie et de Giosep
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
C’est ainsi où après avoir souffert sous Ponce
Il est mort dans le martyr pour nous sauver
Il a rejoint le Soleil où l’attendait Aristote à la droite de Très-Haut

Je crois en l’Action Divine
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine unie et indivisible
En la Communion des Saints
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle

Amen

Ensuite, il écouta l’homélie prononcée par la diaconesse et alla communier. En sortant de la petite église, il hésita un instant entre prendre un apéro en taverne ou faire un petit tour au verger.

Le Premier Archidiacre se rendit à la messe pour célébrer Dieu, comme tous les dimanches, comme tous les jours.

Assistant discrètement à l'office, assis sur un des derniers bancs, il pria silencieusement, tout en se demandant pourquoi Safia - enfin Shillia - ne lui adressait plus la parole.

Mais ses pensées étaient tournées aussi vers le voyage, il partait ce soir pour Epinal pour gagner quelques jours de repos avant de reprendre la route ...
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Depuis le temps qu'elle avait pris ses fonctions d'archidiacre en Béarn, c'est à dire il y a bien longtemps maintenant, jamais plus elle n'avait eu l'occasion d'assister une messe où elle ne soit pas officiante elle même.
Aussi fut elle heureuse d'entendre les cloches appeler au saint office sans que ce soit elle qui soit en charge de la célébration.
Elle hâta légèrement le pas afin d'arriver plus vite à l'église et assista tranquillement à l'office, répétant les paroles sacramentelles en tant que nécessaire.
la confession, waou intérieur, la dernière remontait bien à deux semaines.


le déroulement puis le credo



L'archidiaconnesse nouvellement nommée faisait le tour des paroisses afin de choisir celle où elle s'installerait. Pendant que la diaconnesse en charge de celle ci parlait de St Valentin, elle écoutait tout en se disant quand le flot des paroles de l'officiante se tarissait, que Vaudemont semblait bien prise en main par la jeune personne qui se trouvait devant l'autel et qu'il ne semblait pas y avoir grand besoin de sa présence.

La communion se déroula puis, à la sortie, elle se permit de se présenter à la damoiselle
"bonjour très chère soeur, je me présente à vous, je suis Bertille de Nivellus, plus communément appelée Bourrike eu égard à un caractère manquant quelque peu de tempérance
je viens d'être nommée au poste d'archidiacre du diocèse de Toul, et je tenais à vous féliciter pour cette messe qui m'a réchauffé le coeur"
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **

Je vis s'approcher de moi la nouvelle Archidiaconnesse, je la saluais d'un grand sourire...
Bonjour, ma soeur..toute mes félicitations pour cette nomination
Elle me répondit d'une voix claire et aimable

Bien aimable!..elle vous a plus j'en suis ravie, il faut venir plus souvent ...
pour insister, si cela fait deux semaines que vous n'avez pas officié, deux
messes de manquer...Vous devez manquer a vos paroissiens,
comment fond t il sans vos messes..
Heureuse de vous avoir connue, venais quand cela vous dit...

Passage rapide, en route vers la Capitale Temporelle Lorraine, Uriel afficha des bans de mariage :

Après avoir pris un solide petit déjeuner, Jec sortit de chez lui et fit la tournée matinale de ses champs. Il avait reçu 4 petits agneaux la veille et voulait contrôler que tout se passe bien. Ensuite, il se dirigea vers l’église pour y célébrer le jour du Seigneur.

Une fois à l’intérieur, il regarda alentour et ne voyant personne, il s’assit au premier rang en face de l’autel. Comme il ne risquait de déranger personne, il se mit à prier à haute voix, comme il aimait à le faire parfois, en conversant avec le Très-Haut.

J’aimerais te remercier, mon bon Seigneur, pour ce pain qui sort du blé de la terre,
pour cette eau pure des sources, pour ces fruits doux et savoureux,
enfin pour toute cette nourriture, que tu nous offres, sans compter.

Merci, mon bon Seigneur, de me garder du mal et de me guider, afin que je marche dans le droit chemin,
plein de Lumière, sans obstacles qui blessent ma démarche.
Merci de m'avoir fait naître et vivre dans la famille, le milieu, que j'ai mérité.

J’aimerais te remercier, mon bon Seigneur, parce que tu m’aimes comme je suis et parce que je t’aime comme un Père.
Ma prière aujourd’hui n’est plus un monologue, mais un dialogue avec Ta présence à mes côtés, maintenant et à jamais.

Jec resta encore de longs instants dans ce havre de paix, il se sentait serein chaque qu’il pénétrait dans la maison de Dieu.
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« Tu reconnaîtras la justesse de ton chemin à ce qu'il t'aura rendu heureux » Aristote

En retournant la terre de son champs et ce afin de savoir si l'ouvrier qu'elle avait embauché avait bien fait son travail et c'était le cas, la jeune femme avait trouvé un étrange coquillage ou un caillou enfin un truc entre les deux. Il avait la forme d'une étoile de mer et ça, la blonde en fut bien surprise car, elle, fille de la mer, elle ne pouvait que constater l'absence de cette surface mouvante eau salée, piquante, dévorante parfois dont le flux et le reflux la berçait jadis ...

La troubadour en elle toujours à l'affut de contes et légendes s'agitait et puis l'historienne surtout ... Sa curiosité avait été piqué au vif. ne sachant que trop le manque de bibliothèque en lorraine, elle se rendit tout naturellement à l'Eglise, seul lieu ou pouvait être entreposé des livres. Mais peut être n'y avait il que le livre des vertus et rien d'autre. Mais il fallit qu'elle aille voir et puis peut être trouverait elle en la personne de Shilia une lettrée à même de la renseigner.

C'est ainsi que Cyann gravit la colline de Sion qui menait à l'église dont la haute tour dépassait de la verdure appelant de loin à la prière de tous les champs et colline alentours.




La blonde tout à étoile poussa la lourde porte en bois et pénétra dans la fraicheur et le clair obscur de l'église. Elle riva son regard de gauche et de droite mais nul signe de la diaconesse. Le silence invitait à la prière, elle prit place sur un banc et se recueillit. Elle se leva et se dirigea vers la statut de Sainct Valentin. Au pied du Saint, elle alluma un cierge et dit en s'adressant à lui.

Mon bon Sainct Valentin,

je me place sous vostre aile aux plumes si douces, en amoureuse éperdue que je suis. Et puis apres tout c'est un peu à cause de vous tout cela et vous le savez bien .... sans vostre aide ... * elle sourit *
Comme vous le savez, nous ne pouvons convoler, mon adoré et moi mesme, car il est encore marié à une autre mais, sachez que nos coeurs sont liés et veillez sur nous je vous prie afin qu'un jour dans la lumière nous puissions enfin rejoindre les préceptes de notre seigneur.

N'est ce pas vous qui avez dit que l'amour est toujours une bénédiction ? Et que les amoureux doivent être unis dans la maison de Dieu ?

Cyann hocha la tête lentement et regarda la statut en silence. Nul ne sait ce que saint lui répondit ou même si il lui répondit. Toutefois, la blonde repartit un sourire sur ses lèvres framboises. Elle en avait oublié l'étoile de Sion qui dormait blottie dans son bustier, tout près de son coeur.

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Après avoir préparer L'Église, je m'affairais a son embellissement, époussetage des statues coup de balai, chiffon, changement de napperon pour le tabernacle, de joli fleurs dans les pots de fleurs...

L'Église était devenu belle et le parfum des fleurs embaumaient tout la battisse religieuse ou il faisait une douce chaleur...

J'attendais mes Paroissiens, mains jointe en prière, beaucoup d'évènement c'était passer de puis mon dépars, le Décès de L'Évêque de Toul Artmaniack
beaucoup d'autre avaient disparus...
je jetais un œil les Paroissiens commençaient à s'installer...

Bonjour, je suis de retour, pas trop tôt car vous m"avaient manquez
j'espère que moi aussi je vais est manquez...
Comme tout les Dimanche nous allons nous confesser en demandant pardon
a notre Seigneur, confessons nous en récitant après moi pour ceux qui ne
savent pas par coeur la prière !...

-Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi,
mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en
action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le
Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

-Pour suivons avec notre Crédo Aristotélicien, si vous le voulaient bien
Après avoir entendu les paroissiens répéter ses paroles, Shillia s'inclina devant la croix et retourna près de l’autel.

Spagyricus assistait à l'office dominical, comme souvent d'ailleurs... Recueilli, il ne pu s'empêcher d'admirer la verve de la diaconesse. Des paroles simples mais un rythme presque parfait. Une énergie forte animait ces propos ; énergie qui ne pouvait qu'être transmise à celui qui les écoutait.

Mais la fin de l'office lui serra le coeur quand Shillia annonça son départ. On ne pouvait que se réjouir de la promotion de la diaconesse. Mais Vaudémont pouvait s'attrister de son départ... Plus qu'une taverne qui fermait, c'était une pierre d'angle du village qui disparaissait...

Mais la diaconesse partait pour servir l'aristotélisme avant de se servir elle-même et en pensant à l'abnégation de Shillia, Spagyricus ne pu que penser aux paroles de Sainte Illinda qu'il murmura l'office fini, dans les travées désertées de l'église...

La seule Eglise qui puisse vivre est celle pour laquelle tant d’hommes et de femmes de bien sacrifient leurs êtres...
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[Baptême de Spagyricus]

Le Premier Archidiacre de Trèves arriva par la porte est de la ville, venant en droite ligne d'Epinal.
Il avait fait bon voyage sur les routes de Lorraine qu'il connaissait si bien depuis le temps ; certes, cela n'empêchait pas d'être prudent car les brigands pouvaient se terrer partout.

Il traversa le village de tôt matin, saluant les premiers paysans qui partaient au champ ...
Passsant près de chez Sabifax, il se demanda si il n'allait pas aller prendre la mirabelle du matin mais non ... il était encore un peu tôt pour réveiller le juge Lorrain, il se dirigea donc vers l'Eglise Notre Dame de Sion.

Uriel ouvrit toutes grandes les portes de ladite église afin de laisser entrer la douce chaleur de l'extérieur et de chasser l'humidité ambiante, maintenue par les vieilles pierres.

S'avançant alors dans l'édifice, il alluma quelques cierges et alla préparer l'autel, y déposant le livre des vertus et les ustensiles nécessaires.

Récitant silencieusement une prière, il attendit messire Spagyricus, sa marraine Cyann, d'éventuels invités et bien sûr les fidèles de Vaudemont ...

Spagyricus avait peu dormi cette nuit-là. Quelque peu impressionné par l'événement qui se préparait. Il avait beau savoir qu'il s'agissait d'un moment unique et qu'il serait entouré de personnes qu'il appréciait, il avait malgré tout entamé une inspection poussée de la taverne municipale pour se changer les idées. Et c'est la tête lourde, avec la désagréable impression de mâcher ses propres dents que le tribun arriva sur le porche de l'église.

Il avait revêtu de simples habits, sobres et propres. Spagyricus avait hésité un temps à orner son habit de quelques paillettes dorées, en hommage à l'Astre Solaire, mais après réflexion... Franchissant le porche, il se tourna vers les statuaires des Prophètes pour les saluer solennellement avant d'apercevoir l'Archidiacre Uriel et la mairesse, sa future marraine, qui était déjà présents.

Dame Cyann... Sieur Uriel... les salua-t'il, les sachant tous deux apprécier peu les titres protocolaires... La journée s'annonce belle dirait-on... Même si le ciel semble un peu poussièreux.
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Spagyricus commençait à se sentir plus à l'aise à mesure que le moment approchait. Car il n'appréciait rien tant que d'entendre réciter le Dogme... S'engageant à la suite de l'Archidiacre, il arriva face à l'autel devant lequel il s'agenouilla. Et en écho aux propos du sieur Uriel, il récita...

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés....
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Regardant de manière bienveillante les enfants du Très-Haut, Uriel continua la cérémonie.

Après s'être purifiés spirituellement, nous allons maintenant réciter la profession de Foi Aristotélicienne, le Credo.
Par lui, nous renouvellerons notre croyance en Dieu omniscient.

Ensuite, Cyann viendra nous lire un texte issu du Livre des Vertus, un texte choisi par elle pour son filleul, qui représentera le message aristotélicien qu'elle souhaitera lui faire passer.

Le Premier Archidiacre entonna la prière commune.

Tressaillement soudain, la blonde marraine, toute à ce baptême, n'avait point entendu arriver son bien aimé Sabifax et ne put retenir un long frisson le long de son échine en sentant ses doigst se faufiler entre les siens. Elle tourna naturellement l'ovale de porcelaine de son visage vers Lui et comme en miroir, ils se sourirent, de ces sourires niais qui disent combien ils sont heureux de se retrouver. Cyann avait reporté son regard ocena sur la cérémonie. Mais villà qu'apres le crédo, sabifax lui dit là en poleine eglise hiencome si ce'tait le momente t le lieu...

Dites moi.... Cyann, ma mie...
Vous... vous êtes occupé du coq ? Vous savez... le coq ?

le coq ?

Le coq ???

Le coq ? Mais de quoi parlez vous Sabifax ?

...
ha le coooooooooooooooq, ben vous voyez bien que je suis occupée... mon cher et tendre Sabifax, je ne puis être au four et .. à l'église .... et puis vous êtes chez vous, chez vous.... moi je ne connais rien à votre cuisine et regardez la dernière fois que j'ai voulu vous faire une tarte à la rhubarbe ..... non voyez c'est un don de Dieu lui mesme si je suis marraine fort occupée ce j ...



Le poids du regard de l'archidiacre sur les deux amoureux bavassant en pleine cérémonie se fit tout à coup sentir. Elle décocha un sourire à Sabifax et ajouta d'une voix trop aiguë.

désolée je suis attendue pour lire un passage du livre des vertus

Elle détacha leur doigts emmêles et marcha d'un pas souple vers l'estrade.

Bien évidement , la troubadour qui fus jadis appelée "celle qui chante l'amour" et qui plus une amie d'Oane, pas celui du livre des Vertus non l'Oane du Poitou, la de Surgères, ne pouvait pas lire un autre passage du livre des vertus ... Un de ses passages préférés bien sur mais, pas seulement, un des plus compréhensibles aussi ; car la Cyann adorait aussi l'éclipse ; toutefois le récit était si long qu'elle eut peur d'endormir toute l'assemblée et un seul passage ne suffisait pas à en comprendre l'entièreté, la jeune femme avait donc opté pour ce passage ou Oane interrogé par Dieu explique en quoi réside la magie de l'être humain.



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ha le coooooooooooooooq, ben vous voyez bien que je suis occupée... mon cher et tendre Sabifax, je ne puis être au four et .. à l'église .... et puis vous êtes chez vous, chez vous.... moi je ne connais rien à votre cuisine et regardez la dernière fois que j'ai voulu vous faire une tarte à la rhubarbe ..... non voyez c'est un don de Dieu lui mesme si je suis marraine fort occupée ce j ...

A mesure qu'elle parlait, le jeune homme qui était arrivé avec un petit sentiment d'appréhension, sentait maintenant les trompettes de l'urgence résonner dans sa tête. Ah ca... on peut pas être au four et à l'église... Le message était clair: le vin de communion pour elle, et le vin dans le coq pour lui! C'est ça la vie: Ya ceux qui boivent et ya ceux qui travaillent. Elle avait choisie son camps, lui... était forcé de prendre de l'autre. Mouais... ça, on verrait bien!

désolée je suis attendue pour lire un passage du livre des vertus

Évidemment... 'toujours une bonne excuse', maugréa le jeune homme. Même si, il faut bien l'admettre...celle ci semblait un peu valable. Il était encore en train de fulminer intérieurement, surtout qu'il ne voyait pas comment il allait se sortir de sa journée.

Ce n'est que la voix claire de la troubadour emplissant l'air du lieu saint qui le tira de ses préoccupations. Son attention se porta sur elle, debout sur l'estrade il ne pouvait que contempler son visage et sa chevelure éclairée par un rayon de soleil teinté par les vitraux. Émois d'admiration tout comme aux premiers jours, et même plus encore, un sentiment de tendresse l'envahi quand son regard engloba la jeune femme dans son entier.

Il attendit qu'elle revienne le rejoindre à sa place pour finaliser cette histoire ménagère. Il allait prendre les choses en main. Son cerveau commençait à organiser la suite de la journée.


Très beau texte Cyann...
Bon! pour le coq... celui à cuire. Je vais aller m'en occuper de suite, vous saluerez Spa pour moi. J'espère qu'il comprendra l'urgence culinaire dans laquelle je suis. C'est que j'ai pas encore fait le marché.
Et euh... j'ai besoin d'un peu de temps aussi pour l'apprêter.
Si vous pouvez retenir un peu Uriel, le faire patienter quelques heures.. le temps que je prépare le plat... D'accord ? * il voit son regard interrogateur * Je sais pas moi... Tiens! vous n'aurez qu'à aller confesser tout vos péchés...

Oh! Il réalise d'un coup qu'il vient peut-être de commettre une bévue, emporté par son élan maladroit... Il a sans doute dit un mot de travers, une phrase au complet même! Malgré l'empressement du jeune homme, c'est Le genre de remarque, que même si elle est murmurée du bout des lèvres, la troubadour risque de ne pas apprécier. Au mieux, il risque un petit coup de poing dans l'épaule, au pire un regard torve digne de celui de sa vieille jument. Le jeune homme sent l'urgence de la situation, tout autre que celle du coq. Quoique là si il ne trouve pas à se reprendre... c'est un jeune coq qui risque de finir embrocher. A moins que la jeune femme n'y perçoive qu'une pointe d'insolence taquine, auxquelles elle doit commencer à être habituée.

Pour le moment, ne souhaitant pas trop troubler plus que nécessaire la cérémonie, ni sa bien aimée... il enchaine aussi sec avec un sourire un peu gêné accroché à ses lèvres.

Si c'est moi qui vais à confesse... il y en a pour des jours et des jours.

Nouveau petit sourire amoureux... très amoureux avec une petite étoile, toute toute petite, brillant dans le fond de son œil.

Je file, Cyann... Et je vous laisse ma part de vin de messe.

Il se lève, marche sur la pointe des pieds et le plus discrètement possible se dirige déjà vers la sortie.


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Tandis qu'il officiait, le Premier Archidiacre vit entrer le Juge de Lorraine tout inquiété, mais il avait l'air assez fier - comme un coq - d'aller s'installer près de la mairesse.
Échange de messes basses entre les deux amis au sujet d'une volaille récalcitrante ... toujours était-il que la bouteille de vin ne le serait pas.

Ainsi, Cyann, toute perturbée, se leva pour lire le texte avant que le tribun ne puisse réciter son Credo.

Ah c'est beau l'amour, justement, ça vous embrouille l'esprit comme il se doit ; il se dit alors qu'il allait être bon prince et ne point faire mine de l'avoir remarqué, car cela mettrait bien mal à l'aise la troubadour.
Certes il était taquin, mais pas à ce point ... il nota cependant le détail dans un coin de sa mémoire pour la houspiller au moment qu'il jugerait le plus convenable ...

Comme elle lisait Le Livre, il laissa son esprit vagabonder vers son étoile, fermant les yeux un instant, il inspira puis les rouvrit et c'est d'un sourire qu'il accueillit son amie touloise qui venait assister à l'un de ses offices.
La Commissaire au Commerce était de sortie, pardi, il espérait pouvoir trouver le temps de faire la tournée des bars avec elle et ils riraient encore du temps passé, comme à Toul où ils courraient dans les rues, capes flottant au vent comme des fantômes dans la nuit.

Il regarda alors Spagyricus réciter son credo puis reprit.

Ainsi, Oane doutait, comme nous tous doutons parfois ; il n'osait pas exprimer ce qu'il avait au fond de son coeur : un message d'Amour pour Dieu, d'humilité et d'abnégation.
Et nous voyons que l'Amour emplit nos vie, cet amour de la vie, cet amour des humains et enfin, celui de notre créateur. Voici notre "don" : aimer ; et je vous le dit, le coeur de l'homme n'est pas fait pour être seul, mais pour échanger, pour dire à ceux que l'on apprécie ô combien ils sont importants pour nous, et il ne fat jamais hésiter, car parfois, lorsque l'on y pense il est trop tard.
Alors si nous avons de l'Amour en nos coeurs, faisons en profiter nos semblables.

Il fit une légère pause en regardant les amoureux.

Maintenant, Spagyricus, vous voilà prêt à entrer dans une nouvelle famille, dans une grande communauté de croyants et de fidèles, et à compter de ce jour, nous serons tous vos frères et vos soeurs.
Nous vous aiderons dans la détresse et la douleur, et nous serons là aussi pour partager vos joies car comme l'a dit Christos à ses disciples :

« La route sera longue et tortueuse, le chemin rugueux, l’horizon lointain, la pente forte, mais le soleil qui brille guidera nos pas. Nous connaîtrons des difficultés, des disputes, des colères, des passions, des hésitations, mais l’amour et l’amitié nous uniront et Dieu nous portera.

Si vous voulez vivre seul, raisonner seul, manger seul, marcher seul, alors rien ne vous en empêche, passez votre chemin et réfugiez vous dans l’amour de vous même.

Mais si quelqu’un vous frappe, et que vous tombez, alors personne ne vous relèvera.

Si vous voulez vivre en groupe, dans l’amour de votre prochain et de la multitude, si vous voulez partager votre pain avec vos amis, marcher avec vos frères, alors venez à moi et suivez moi.

Dans ce cas, si vous tombez sur le chemin, un frère, une soeur, s’arrêtera, et vous relèvera. » "

Les personnes présentes connaissaient sans doute ce texte, car le Premier Archidiacre le récitait souvent à l'occasion des baptêmes.

Il l'aimait beaucoup et était très représentatif.

Vous voici, Spagyricus prêt à être purifié, et vous pourrez emprunter ce chemin, le chemin de la Vertu, celui qui vous mènera au Paradis Solaire.
Et sur ce chemin, vous rencontrerez beaucoup d'Amis et d'Amies.
D'ailleurs, j'en vois déjà quelques uns ici présents !

Maintenant, voici le moment vous devez prêter serment, le Serment du Baptisé :



Uriel invita l'homme à réciter ces mots

Alors que Spa récitait le serment, il constata que ce dernier était fort ému.
Uriel prit alors un petit récipient contenant de l'eau bénite qu'il avait puisé dans le fond baptismal de l'église Notre Dame de Sion et fit le tour de l'autel ; il vint se placer devant le futur baptisé et avec cette eau, il traça le signe de la Croix de Christos sur son front.



Je vous baptise, Spagyricus, au nom de l'Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l'amitié de tous les Saints et pour l'amour du Père de l'humanité.

Ensuite Uriel invita l'homme à se relever et alluma un cierge qu'il lui tendit.



Il entama avec conviction :

Prenez ce cierge, que sa lumière guide vos pas dans l'obscurité, qu'elle dissipe les ténèbres de vos doutes ; portez la lumière, mon enfant, et éclairez les coeurs de ceux qui sont actuellement dans le noir.
Bienvenue dans la fraternité Aristotélicienne, vous voici baptisé.
Puisse cet engagement vous rappeler à tout instant la voie à suivre, la voie de la perfection et du chemin vers Dieu, vers son Paradis, ne vous en éloignez jamais car vous risqueriez de vous perdre en trahissant votre engagement solennel par une conduite déshonnête.

Se retournant, il prit et ouvrit une petite boîte, dans laquelle se trouvait une médaille :



Voici pour vous, cette médaille symbolise votre appartenance, portez-là avec fierté car vous savez maintenant ce qu'elle représente.

Il lui posa la main sur l'épaule, lui sourit et lui donna une accolade fraternelle.

Félicitations, Spagyricus, vous voici baptisé.

Uriel se recula alors, souriant, il invita sa marraine Cyann à venir le féliciter.

Pendant ce temps, il préparerait ... le vin de messe !

Et voici que le baptême touchait à sa fin.

Uriel sortit alors de dessous l'autel un petit panier.
Il saisit le pain et le rompit ; puis, il prit la coupe et y versa le vin.

Et bien, voici maintenant le moment du partage.

Voici le pain, prenez-en tous ; voici le vin, buvez-en tous ; ainsi par ce geste nous partagerons symboliquement cette nourriture, au même titre que nous partageons amour et amitié.

Il invita chacun à venir à l'autel
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Cyann avança vers l'autel un air d'ailleurs sur l'ovale porcelaine de son visage recueillie et approcha d'Uriel pour recevoir le pain et le vin.
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Eowynn entra dans l'église toute guillerette. Non qu'elle avait réussi à oublier Léo! En fait, pour enlever Léo de sa tête, Eowynn l'avait rempli de mirabelle. Ce breuvage la rendait joyeuse en apparence. Elle s'avança devant l'autel, tout en zigzaguant puis se mit à genoux...........enfin s'écroula de tout son poids sur ses genoux et essaya de joindre les quatres mains qu'elle voyait et pria.

Seigneur, je ne suis pas digne de toi en ce moment!! Je voudrais tant trouver la force de l'oublier mais je ne le peux. Il est en moi et je l'aime plus que ma vie. Quelle est ma vie sans lui?

Eowynn continua son monologue avec le Très-Haut tout en laissant échapper un sanglot qu'elle ne put retenir.

Eowynn se signa et essuya ses larmes quand elle aperçut au loin son cher parrain.

Oh Uriel, comment va mon parrain préféré?

Elle s'approcha de lui et lui déposa un baiser sur la joue.

Comment vous voyez j'étais en pleine conversation avec le Très-Haut! Il l'a l'avantage d'être à mon écoute et de m'envoyer sa force sans qu'il n'ait un mot à dire.

Elle lui sourit en essayant de ne pas montrer son chagrin. Elle ne voulait pas l'embêter avec cela avant son départ. Elle aurait bien l'occasion de lui en parler au domaine d'Herbéviller.

Quel beau Baptême cela me fait penser au miens qui fut merveilleux
et magique..
je recite le crédo à voie basse, je ne l 'ai pas oublier...

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant, Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis, Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète, le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos, Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce, Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine ;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

Notre curé Jésus de Valence, et mort et enterrer depuis plus d'un mois, une messe a été dite, par shillia en page 8 le 4 avril 1458..

je récite le crédo à voie basse, assis sur la chaise du premier rang...

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant, Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis, Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète, le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos, Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce, Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine ;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
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Official du tribunal ecclésiastique de Toul. Licenciée en Aristologie

Passage rapide, une fois encore, mais là il était attendu.
Ah bon, ça changeait de d'habitude alors ? Que nenni !

Uriel passa à l'Eglise, afin de saluer la gloire du Très-Haut.
Il pénétra dans l'édifice et le contempla, souriant ... quelque chose lui disait que bientôt les cloches sonneraient à nouveau et que l'on pourrait y venir espérer rencontrer les bienfaits de Sainte Boulasse, les mercredis et les dimanches.
Mais il faudrait encore au moins un mois, le nouvel évêque de Toul résidant bien bien loin.

Il lui avait suggéré de venir s'installer à Vaudemont, car - à ce qu'il paraissait - ici, c'était drôlement bon.

Bref, il s'agenouilla, face à l'autel, se signa et récita le Credo arisotélicien.
Quelques pensées allèrent à sa chère épouse, Sybille, qu'il retrouverait le lendemain.
Enfin, il se releva, nous sans avoir communié, bien sûr et sortit de l'église.

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Merci Shilia, pour cette belle messe, on en a besoin, d'au temps plus que une ami a disparu sur un coin de lavabo abandonner de tous, je l'avais connu a Verdun en parlant avec lui deux trois fois, je ne savais même pas qu'il était de vaudemont Italseb est décédé si tu pouvais faire son enterrement, au fête
je ne sais même pas si tu est encore là...

Je récitais le Crédo avec ferveur, pour que la paix soit en son âme..

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant
Créateur du Ciel et de la Terre
Des Enfers et du Paradis
Juge de notre âme à l’heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète
Le fils de Nicomaque et de Phaetis
Envoyé pour enseigner la Sagesse
Et les lois divines de l’Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos
Né de Marie et de Giosep
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
C’est ainsi où après avoir souffert sous Ponce
Il est mort dans le martyr pour nous sauver
Il a rejoint le Soleil où l’attendait Aristote à la droite de Très-Haut

Je crois en l’Action Divine
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine unie et indivisible
En la Communion des Saints
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle

Amen

Je ne sais pas si il y a quel qu'un mais un Vaudemontois et mort...
Personne pour faire une messe d'adieu..

Fait une prière en sont honneur...

J'espère que le très haut va faire quel que chose

Je récitais le Crédo avec ferveur..

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant
Créateur du Ciel et de la Terre
Des Enfers et du Paradis
Juge de notre âme à l’heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète
Le fils de Nicomaque et de Phaetis
Envoyé pour enseigner la Sagesse
Et les lois divines de l’Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos
Né de Marie et de Giosep
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
C’est ainsi où après avoir souffert sous Ponce
Il est mort dans le martyr pour nous sauver
Il a rejoint le Soleil où l’attendait Aristote à la droite de Très-Haut

Je crois en l’Action Divine
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine unie et indivisible
En la Communion des Saints
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle

Amen

À l'entrée de l'église, le prêtre vous serre la main avant de rejoindre l'autel de façon solennelle.



Mes Amies et Amis,
Commençons la célébration en reconnaissant nos fautes.



Proclamons maintenant ensemble notre Foy.



Lecture du Livre des Vertus.
Livre 1 - 3e Partie L'Éclipse.

Chers ami(e)s, mes enfants. il est de notre devoir, à nous les prêtres, de vous montrer de notre mieux comment être virtueux et mériter le Paradis solaire. Tout commence par le baptême bien sûr. Puis, on vient à la messe pour se faire rappeler quelles sont les vertues et comment les appliquer dans sa vie et vivre en bon fidèle aristotélicien. Puis, on doit reconnaitre ses fautes comme nous l'avons fait en début de célébration et demander pardon aux yeux de Dieu.

Voilà la voie pour rejoindre Dieu à la fin de notre vie et célébrer le bonheur au Paradis pour l'Éternité. Vous voyez, nous avons tous des moments plus difficile à vivre. Même les prêtres La vie vous promène aux gré des évènements, joyeux comme lorsqu'un enfant nait ou tristes comme lorsqu'un proche nous quitte. En ces moment-là, il est bon de prendre un peu de recul. Méditer et prier. Et se rappeler pour quoi nous vivons. Et pour quoi nous voulons vivre une vie de vertue. Pour bâtir autour de nous un monde meilleur et trouver grâce qux yeux du Tout-Puissant...Et rappelons-nous que dans nos malheurs et dans nos bonheurs, Dieu est à nos côtés. et qu'il nous aime !

Maintenant Amies, Amis, communions ensemble :

Concluons avec cette courte prière:


Bonne semaine à tous, Vivez l'Amitié Aristotélicienne et :

J'écoutais, le Père, Jorr, dire la messe!.. je n'avais même pas entendu l'appel
du clocher, j'arrivais donc en retard, je demandais pardon a notre très haut...Et récitais la Créodos

Arrivé à l'église, le prêtre ouvrit toutes grandes les portes pour accueillir les paroissiens.
Puis il alla déposer au pieds de l'autel, de magnifiques habits bleus, entièrement fait de laine et bien protégés des éléments.
Puis, il revint sur le parvis pour accueillir les bonnes gens de Vaudémont.


Mes Amies et Amis,
Bienvenus à cette messe du dimanche à Notre-Dame.

Je dédie cette messe à mon amie Vaudémontoise Ambre, décédée en février de l'année dernière, 1457.
Pour Vaudémont elle était l'amie de tous, nombreux sont-ils encore parmis vous qui peuvent la nommer amie.
Ambre était la générosité incarnée et je sais de quoi je parle.
Pour nous c'était plus. Compagne pour l'un, asprirant-sergent épiscopal pour l'autre.
C'était ma compagne de voyage et je lui dois de ne pas avoir été seul pendant des semaines et des mois.
Elle me manque beaucoup depuis mon retour.
Notre ancien évêque, avec qui je discutais dans le temps, considérait que lorsqu'on est cathéchumène, comme c'était le cas pour Ambre, on était de facto, aristotélicien. Si l'on juge à son coeur, cela ne laisse aucun doute.
Ambre n'a donc pas pu recevoir de funérailles c'est pourquois je lui dédie cette autre messe.

Commençons la célébration en reconnaissant nos fautes.




Proclamons maintenant ensemble notre Foy.



Lecture du Livre des Vertus.
Livre 3 - LA VIE DE MARIE-MADELEINE - Le succès de Marie-Madeleine.

Jolie lecture n'est-ce pas. Bien que le départ de mon amie m'ait attristé, je sais qu'elle a aimé ces mots. Ils nous parlent de Sainte-Madeleine, patronne des boulangères (ce qu'était Ambre, pour ceux et celles d'entre vous qui n'ont pas eu la chance de la connaitre). Ils nous parlent de débrouillardise, de confections de petits plats et si on pense à Ambre, on pourrait y rejouter quelques tricots ...
Je ne sais pas trop quoi rajouter mais pour ceux et celles qui l'ont connu et à qui elle manque, recueillons nous quelques minutes pour la saluer...

Maintenant Amies, Amis, communions ensemble :



Bonne fin de journée à tous et en souvenir de notre Amie que nous n'oublierons pas, Vivez l'Amitié Aristotélicienne et :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle
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La Duchesse de Chiny s'etait eloigné du campement de leur armée,pour se rendre a l'Eglise.
Passant en chemin,d'un air songeur,sa main sur le ventre qui commencait a laisser entrevoir l'enfantement qu'elle subissait,la Dame penetra le saint lieu,et abaissa la capuche de sa cape.Se signant elle remonta un peu l'allée pour se poser sur un prie-dieu en grimacant.
La ses yeux se fermerent,ses mains se joignirent,et un murmure se fit entendre


Je m’en remets à Toi, Créateur de toute chose.
Toi qui as confié la terre à l’Humain pour qu’il te serve,
Aide-moi à être la couronne d’épine qui tiendra l’hérétique loin de nos terres,
Aide-moi à protéger la terre lorraine de l’ombre de la créature sans nom,
Ne laisse pas nos terres souffrir, comme Christos à souffert,
Fait que cette fois ce soit nos épines qui percent le cœur de Tes ennemis



Un temps de silence se fit,avant qu'elle ne recommence

Ô Seigneur, réconforte ces frères qui partent en guerre avec Ta grâce et protège la paix de tout mal. Donne leur la grâce et la pureté, qu'ils bannissent tout ce qui est indigne de Tes éloges et contraire à tes commandements. Aide-les à combattre pour qu'ils comprennent l'importance de la paix, et s'ils se laissent envahir par le mal, chasse la Créature sans Nom de leurs cœurs et freine leur colère.
Amen

Une fois terminé,et apres le recit de quelques credos et prieres de benedictions pour les siens,Siva se releva difficilement,portant la main sur sa jambe douloureuse,et repris son chemin pour retourner au campement
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Zahra était arrivée très tôt dans la ville de Vaudémont, plusieurs mois qu'elle l'avait déserté son village, sa propriété.

Elle rentra dans sa chaumière secondaire, pour se dévêtir, retirer ses armes, épées, écu, casque, faire une rapide toilette, le jours venait de se lever, sa spiritualité faisait appel, tristes nouvelles et bonnes nouvelles se réunissaient apprenant que Vaudémont avait enfin un curé, qui n'était certainement pas n'importe qui, l'évêque de Toul.

Songeuse la Zahra se préparait à aller à la messe, pour prier, à la recherche de quelque chose de plus fort que la mirabelle pour noyer son chagrin et son incompréhension, le cul entre deux chaise, l'envie d'arracher ce médaillon qui confirmait sa foy et l'envie de le serrer très fort comme s'il pouvait lui donner espoir de revoir la Sainte Vomitout en bonne santé en Lorraine.

Vaudémont allait peut-être lui permettre de se remettre, de se refaire une santé spirituelle, ou l'inverse, la folie , l'hérésie étaient là, elles la mataient de si près la dame de Beaulieu, elle savait que le curé nommé à l'arrache , Aliasdecraincourt était chez les moines, pour un hérétique cureton ça faisait drôlement paradoxale, son parrain le Père Joce était de retour en Lorraine, peut-être en un jour aura-t-elle , le loisir de le voir, peut-être qui calmera son esprit?

Elle entre dans ce bâtiment, où elle aimait faire ses petites méditations tranquilles, nul besoin de hausser le ton ou de murmurer, le bon dieu était omniscient et connaissait tout d'elle, ses qualités , ses pires défauts, ses envies, ses péchés , son passé-présent- avenir.

L'église était encore vide, quelques croyant s'était rassemblé pour la messe, elle attendait le fameux :



sûrement aucune patience pour écouter le sermon, ou même la messe en entier, bouffait par le temps, par ses fonctions, par ces missives toutes porteuses de saleté , des nouvelles qui la mettent chaos, des nouvelles qui la sidèrent, des demandes, pis le bon Dieu qui rappelait ses serviteurs un peu trop tôt à son goût, attention les 5 pour cent d'hérésie de la Zahra sont en train d'évoluer dans le mauvais sens, ça va bientôt sentir le "méchouis" en Lorraine si ça se poursuit.
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[Moulin délabré du Père Joce]

Entendant les cloches sonner, le prêtre sentit un puissant pincement.
Il s'habilla propre, en robe mais sans soutane.
Il se recueuillit lentement en se lavant et tenta de faire la paix avec lui-même mais ni parvint pas.

Il écrasa sa honteuse fierté et se dirigea vers Notre-Dame en saluant les nombreux paroissiens qu'il connaissait depuis quelques années maintenant, tentant de les entrainer vers l'office par son exemple. Quoiqu'il lui en coutait. Il allait encourager celle qui occupait la position qu'il convoitait depuis de nombreuses années maintenant. La position qu'on avait attribué à ce pompeux évêque, Mgr de Volvent. Position qui avait échu par la suite à ce grand homme qui allait devenir un de ces mentor, Mgr Artmaniak. Et position qui échouait maintenant à une autre illustre inconnue des Lorrains. Qui malgré sa nomination récente, n'avait que peu plus d'expérience comme prêtre que comme évêque selon ce qu'il avait entendu.... Et parmis les villes lorraines, elle avait choisi de s'installer chez lui, à Vaudémont. Si c'était une épreuve que lui imposait le Très-Haut pour le punir de son orgueil, il la relèverait de son mieux. Puis il retournerait s'occupper de sa jument Josette et de ses cochons...

[Notre-Dame de Sion]

Bon,... l'église était en vue. Il tenterait pour elle et pour l'Église de faire bonne figure. Il entra à Notre-Dame et se dirigea vers les premiers bancs. Toujours motiver par l'exemple.

Il ne regarda pas vers l'autel qu'il avait jadis occupé comme vicaire paroissial, alors qu'il était seul en charge de la pastorale de la ville en l'absence de l'abbesse... comment s'appelait-elle déjà ? C'était si loin...bof, le nom lui reviendrait plus tard...

Tiens, des fleurs, comme celles qu'Ambre apportait jadis...

Oh bon déjà la confession...
Bon je peux être honnête et humble, j'ai bien un péché à confesser...
Levant la voix mais non les yeux, il récita:

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints et à vous mes amis,... ....

Puis il attendit la suite.

Tipoison raffermit sa voix et dit :

" Extrait du livre des Vertus : La fin des Temps..." les questions "



Une fois la parole divine lue, l' Eveque se met à arpenter l'allée centrale de l'église, elle tient son menton entre deux doigts, la tête baissée, puis à nouveau revient vers l'autel et fait face à l'assistance...

" Quel texte terrible n'est-ce-pas ? Le Très-Haut avait tant donné aux Oanyloniens. Imaginez sa réaction lorsque ceux-ci se détournèrent de Lui en se fourvoyant...

C'est dur quand on vous tourne le dos, quand on refuse une main tendue...
qu'ils ont dû être terribles ces éclairs dans les yeux des habitants d'Oanylone envers Dieu ; éclairs croisés comme deux épées...et Dieu patienta en attendant leur repentir, et les mots d'excuse tant attendus et refusés...et le mot qui fait mal, mal jusqu'à en souffrir.
Et pourtant, le Très-Haut avait tellement envie d'une communion, de prendre leurs mains, d'apaiser leurs regards, d'accueillir leur pardon, de remplacer des mots qui tuent par des mots qui font vivre, des mots qui font aimer...alors je vous le dis, regardons autour de nous, peut-être pourrons-nous arrêter en ce monde le cycle de la cruauté.
Déjà au sein de cette communauté aristotélicienne, si nous réfléchissions à ETRE un signe de paix en retenant notre agressivité, en facilitant nos relations par une bonne humeur.
Apprenons à écouter le silence de la parole quand monte la colère des mots. Demandons aux prophètes qu'ils nous aident à avoir le regard qui apaise quand monte la tempête des cris et qu'ils donnent à notre coeur la force qui maîtrise quand la violence passe aux actes.
Qu'Aristote nous protège."

Petit silence, Tipoison ferme les yeux ,pleine d' espérance dans ces mots .
Toujours est-il que son coeur bat à tout rompre...
elle reouvre les yeux et levant les bras vers l' assemblée en signe de ralliement elle ajoute :
Mes frères et soeurs, ensemble récitons le Crédo


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Je priais pour nos disparus, en plus de Messire Gogosse, Messire Mitou nous a quitté, bien triste nouvelle..
Je recite le crédo en leurs mémoire..


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis, Juge de notre
âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète, le fils
de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse et
les lois divines de l'Univers aux hommes égarés
Je crois aussi en Christos, Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote
à la droite du Très-Haut.
Je crois en l'Action Divine ;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine,
Une et Indivisible ;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

la Diacre se rendit dans le lieu où jadis, sa Foy en Dieu et en l'Église s'étaient révélées. L'une des deux aujourd'hui demeurait intacte.
Elle s'agenouilla, elle aussi et se mit à prier.

elle se releva et sortit.

merci père Joce votre prière je l'ai reprise..elle m'a plus!..

L'errance. Des ruelles inconnues qui vous forcent à faire mille détours. Cul de sacs qui vous font revenir sur vos pas, pavés mal équarris qui vous font perdre l'équilibre. A moins qu'il s'agisse simplement des dernières effluves des godets mirabellés dont vous abusez avec délices un soir, mais qui le lendemain se rappellent à votre bon souvenir...
Vaudemont s'éveillait donc ainsi que le grand échevelé dans une ambiance plus chancelante que jamais. Un bref arrêt dans taverne culturelle lui avait fait reprendre contact avec la réalité poignante du matin. Sa main courrait sur les murs des maisons afin de maintenir cet équilibre précaire qui était le sien à chaque éveil. Soudain son pied botté buta contre un pavé mal dégrossi qui faisait saillie et il s'étala de tout son long les mains en avant. Il poussa un chapelet de jurons en grimaçant...

Par les cornes du grand rouge ! Que mille furoncles éclatent sur sa face suintante mordiou ! Je hais tous ces foutus cantonniers qui ne savent pas ce que faire une route veut dire ! Qu'ils aillent tous rôtir en enfer !!!

Il se releva tant bien que mal en maugréant encore et se frotta les paumes des mains égratignées par sa chute. La journée commençait bien. Il regarda, dégouté, le sang et les quelques petits cailloux incrustés dans ses mains et ronchonna de plus belle. Où trouver de l'eau lui permettant de laver ces petites blessures ? Il fit quelques pas et la ruelle s'élargit pour laisser place à grande esplanade sur laquelle trônait l'église du village... Une idée venait de germer en son esprit. Lentement, il gravit les marches du parvis et se glissa à l'intérieur de lieu saint. La pénombre et la fraîcheur l'accueillirent ainsi que quelques odeurs de myrrhe qui flottaient dans l'air depuis la dernière messe. Il remonta l'allée centrale garnie de ses grands piliers que les aristotéliciens nommaient la nef et se dirigea à la croisée du transept vers la droite. Une petite absidiole abritait là un baptistère empli d'eau bénite. Sans la plus infime trace d'hésitation, il se lava les mains et entreprit d'enlever les graviers qui les ornaient. Soulagement bénit, on s'en doute. Puis il observa d'un œil critique l'eau sanguinolente qui ondulait encore après ses ablutions thérapeutiques et esquissa un sourire.

Mmmmh ! Ça va déjà bien mieux. La brûlure s'en est allée toujours... Mais que faire pour cette eau si... hum... murmura-t-il pour lui même.
Allons je vais vider ce truc et il n'y paraitra plus rien j'en suis sûr ! Bien malin qui pourra dire ce qui s'est passé.

Il farfouilla un instant sous le baptistère à la recherche de siphon lui permettant de le vider en toute quiétude et trouva là un petit robinet de métal poli. Sans un doute, il l'ouvrit et l'eau commença à se déverser à ses pieds. Quant au récipient lui, passez muscade, il ne se vidait pas.

Quel est donc ce prodige ? Et d'où vient donc toute cette eau par la barbe de Christos ? Et pourquoi ce foutu machin ne se vide pas aussi ?

Il éclata en imprécations tandis que l'eau filait bon train et faisait à présent grande flaque qui avançait toujours plus loin. Consterné, il tenta de fermer le robinet mais celui ci semblait bloqué, ouvert bien sûr. Cette journée promettait monts et merveille décidément. Il s'arcbouta comme un dément sur la molette mais rien n'y fit.

Rhaaaa ! Suis-je donc maudit ?! Haaaan !

Il frappa un grand coup sur la vanne récalcitrante en vain mais le monument tangua dangereusement. Aussitôt, il se calma, les dégâts s'enfilaient comme perles à un collier, il n'avait pas besoin en plus de casser le matériel divin, sur que pour lors, il serait voué à la damnation éternelle. Il se frotta le menton, laissant crisser les poils de sa barbe naissante sous sa main tandis qu'il réfléchissait...
L'eau, quant à elle, faisait à présent petite mare jusqu'à la croisée du transept et commençait à imbiber les bancs du premier rang. Il ne put retenir un rire nerveux.

Voilà que je vais inonder église à présent et ben j'aurais décidément tout fait dans cette vie ! Mais par les dents du grand Ari que vais je pouvoir bien faire ? J'en ai foutre pas la moindre idée !

Puis une idée soudaine. Un souvenir des paroles de son vieil Enguerrand, moinillon de son état et qui lui avait servi de père. "Donnez-moi un point fixe et un levier et je soulèverai la Terre." Il tourna la tête en tous sens et avisa un grand candélabre. Il l'en débarrassa de ses cierges et avec dextérité bloqua un de ses bras sous le robinet et poussa de toutes ses forces. Miracle ! Ce dernier daigna bouger et se ferma enfin.

Ouf ! Voilà qui est fait ! Par ma faute l'église Aristotélicienne ne prendra pas l'eau et ne s'abîmera point dans la vase. Si tant est qu'elle n'y soit pas déjà... ajouta-t-il à voix basse.

Il reposa le candélabre et l'orna de ses bougies puis entreprit de vider le baptistère avec ses mains en coupe. Satisfait de son travail qui dura quelques minutes, il s'épongea le front.

Bon bon, voilà qui devrait aller. Quant à l'eau du sol, ben je peux pas y faire grand chose hein ! Elle finira bien par s'évaporer !

Ploc, ploc... Clapotant sur le chemin du retour, il sortit de l'église avec la mine du pèlerin qui vient de confier ses espérances au Très Haut. Ses bottes laissaient traces humides dans l'allée et sur le parvis, mais il n'en avait cure, pour une fois les dégâts causés n'étaient pas tant considérables...

DONG ... DONG ... DONG ....DONG ....DONG ....
Avant de célébré la messe il y avait toute une préparation, mon habit devait être impeccable, mon pain tout frais, mon vin ni chaud ni froid..
J'envoyais mon enfant de chœur sonner les cloches comme tout les Dimanche, pour appeler les paroissiens a la messe...Le dernier DONG .... venait de tinter !..
Je regardais les paroissiens s'installer, l'un faisant tomber une chaise, l'autre
laissant passez son épouse en premier avec les enfants qui suivaient sans bruit pour une fois..

Quand tout ce petit monde étaient bien installer et me regardaient pour voir si j'allais commencer la messe, j'étais toujours les mains joint l'air bêta..
Je me décidais à prendre la parole

Bonjour, mes amis (e), tout le monde est bien installer sur sa chaise ou sur le banc..
Nous allons comme vous le savaient réciter la confession comme chaque Dimanche que Dieu fait...


Après sa nous sommes plus léger, laver de nos pêchés d'hier et d'aujourd'hui, j'espère que vous avaient passez une bonne semaine
que pour vous la vie est belle..
Poursuivons, ne nous arrêtons pas en si bon chemin, comme d'habitude
prions en disant notre Crédo aristotélicien


je sortie mon livre des Vertus pour lire un passage comme chaque Dimanche a la célébration de la messe

Je vais vous lire un passage du livre des Vertus comme nous en avons l'habitude chaque Dimanche..un passage d'histoire vraie qui a été écris spécialement pour les messes et toute cérémonie religieuse..

GRUICCCCC

Après avoir marché pendant deux jours pour célébré la messe, a notre Église de Vaudemont, mon panier avec toute mes préparation faite la veille, je me dirigeais d'un pas ferme vers notre Église..Heureuse de la retrouvée..j'ouvrais les deux portes en grand, pour laissez entrée un peu soleil..Je sonnais les cloches a toute volée, elle vibraient de tout leurs forces, à peine arrêter que les paroissiens arrivaient de toute part, Une bise par çi un serrement de main par là..quel que mots échangeaient..

Bonjour, mes amis, Bonjour, Spagyricus , mes amis installer vous sur une chaise ou sur le banc..
Tous le monde est bien installer, mes amis, comme chaque Dimanche et depuis peu, je re célébré la messe ici et a Saint Dié qui n'a pas de clerc, alors en attendant je fait des aller retour pour que nos village respectif aient des messes pour les villageois..
Bien sur celle çi n'est pas la même qu'ici..Mais elle se ressemble tous au final..

Mes amis commençons à nous confessez demandez pardon de nos péchés!..
en récitant la confession..

Le tribun était assis en fond de salle, loin des bancs d'honneur qu'il ne goûtait guère. Ce qui ne l'empêcha pas de saluer Shillia en retour. Il écoutait avec attention la diaconesse qui oeuvrait toujours à merveille. A sa façon certes, qui n'était sans doute pas des plus académiques, mais qui pour autant restait parlante aux âmes honnêtes.

Il écoutait ce passage de la vie du Prophète avec goût. Cette révélation lui rappelait celle qui avait été sienne. Oh ! L'Eternel ne s'était évidemment pas adressé à lui d'un façon aussi directe. Il n'en était pas digne. Mais le chemin parcouru l'avait amené vers la Voie qui lui semblait Juste, la Voie de la Vertu.

Ces pensée présentes à l'esprit, il gagna l'autel pour communier. Puis ceci fait il attendit la fin de l'office pour gagner le parvis de l'église. Dame Shillia s'activait déjà à son départ. Elle qui parcourait le Duché pour assurer la diffusion de la Parole. Il admirait cette abnégation au service de l'Amitié.
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C'est pensif que le tribun venait se recueillir en ce premier d'automne. Les feuilles rougeoyaient avant de bientôt tomber. Il espérait que certains masques tomberaient également bientôt. De certains comportements qui ne lui plaisaient guère, il ne comprenait pas l'origine. C'est tout à ses interrogation qu'il se pencha sur le Livre des Vertus, l'ouvrant au hasard comme il aimait à le faire parfois. Et, guidé par la volonté divine, il entreprit de (re)lire l'hagiographie de l'Archange Miguaël...

Et c'est parmi ces lignes qui courraient sous ses yeux, il trouva réponse...


Hum... lâcha-t'il de façon gutturale... Serait-ce là la source de tant de méchanceté ???...

C'est avec autant de réflexions qu'il en avait en entrant que le Tribun repartit en direction du village, récitant une courte prière entre ses dents. Pardonne à mon frère et à tous les autres... Ils ne savent pas ce qu’ils font....
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