Shillia
Avec ma Médaille qui pendait a mon cou et s'entrechoquaient avec l'autre Médaille ce qui faisait cli,cli,cli, on m'entendais de loin..
A petit pas je me dirigeais vers ND de Sion pour Célébré la Messe les villageois étaient là et m'attendaient...
Je fis sonner la cloche..
Bonjour, bonjour, entrons tout est près pour vous recevoir avançons prenez votre place habituel..
Mes Amis, nous allons célébré cette messe tous ensemble avec ferveur et piété
merci a tous d'être si nombreux, commençons par nous faire pardonner
nos péchés présent et passé récitons la confession comme chaque Dimanche que Dieu fait..
Jamais je n'aurais espèrer au tant de ferveur, je suis sur qui en a qui l'ont récité deux fois
Voici ce qui est de demander pardon a notre Seigneur et maitre..
Comme tout les Dimanche après la confession nous récitons le crédo
Prière fédératrice de notre religion ne l'oublions pas
Le Crédo
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.
AMEN
La douce voie des churs m'enchantais leur voient raisonnaient comme le son
du cristal enchanteresse..
Je vais vous lire un passage du livre des vertus qui se nomme lÉclipse
Chapitre VII - « Le paradis » je ne crois pas vous l'avoir déjà lus..Bonne écoute a vous tous!.. les enfants arrêtez de courir dans l'allée rejoignaient vos parents et assoyaient vous sagement et surtout écoutés !..
Citation:
Livre de lÉclipse
Chapitre VII - « Le paradis »
Les sept anges se tenaient face à moi. Ils arboraient un grand sourire plein de gentillesse que venait souligner leur regard plein de tendresse. Pour la première fois depuis que javais laissé mon chien seul dans le champ, je me détendis et memplis de la sérénité quils dégageaient. Ils maidèrent à me lever et Michel, le plus robuste, me fit monter sur son dos. Je rougis à lidée de chevaucher un Archange comme un cheval. Mais ils rirent tous, voyant la gêne safficher sur mon visage. Ces rires nétaient pas moqueurs, mais pleins damitié.
Alors, sept grandes paires dailes magnifiques sétendirent. Ils sapprochèrent du bord et se laissèrent tomber. Je hurlai de terreur, mais mon cri sétouffa lorsque les Archanges redressèrent leur vol et senvolèrent vers la soleil. Je pus voir sous moi lensemble de la lune et me promis intérieurement, si loccasion men était donnée, de toujours vivre dans la vertu, suivant les préceptes dAristote et de Christos, afin de ne jamais plus retourner dans un endroit aussi sordide. Galadrielle me lança un sourire complice et me dit: Cest bien. Tu as pris une judicieuse décision. Puissent les autres vivants faire la même.
Je me demandai comment elle avait pu connaître aussi bien le fond de mes pensées. Mais mon esprit fut bien vite plutôt intéressé par le spectacle qui soffrait à moi. Nous venions de quitter la lune et nous volions dans lespace qui la sépare du soleil. Les étoiles soffraient à mon regard comme autant de spectacles magiques. Je pouvais même discerner de nombreux autres astres dont je ne connaissais pas lexistence, ne pouvant être vus depuis le monde. Mais lessentiel de ma vision était occupé par ce soleil immense, brûlant, que je navais jamais vu daussi près. Je me sentais comme une mouche face à une vache: minuscule.
Nous nous approchâmes si près de lastre divin que des flammes de plusieurs lieues de long nous frôlèrent. Je me demandai si je nallais pas partager avec les sept Archanges une bien funeste fin. Mais Michel, sur lequel jétais toujours juché, me dit: Naie crainte et regarde.. Je vis alors les flammes qui couvraient le soleil souvrir, pour laisser place à un magnifique spectacle. Sous cette couche brûlante se trouvait ce dont javais entendu parler depuis ma plus tendre enfance, sans jamais savoir ce en quoi cela consistait : le Paradis!
Nous atterrîmes dans un lieu magique. Tout était baigné dune douce lumière. Où que je regardais, je ne trouvais pas la moindre obscurité. A perte de vue, il ny avait ni habitation, ni la moindre construction. Ceux qui avaient faim se servaient sur les arbres fruitiers. Ceux qui appréciaient les plaisirs de la détente sallongeaient dans lherbe. Des enfants jouaient innocemment, riant et courant à travers les hautes herbes. Les sept Archanges me prévinrent quils devaient me laisser, leur mission étant terminée. Je les remerciai grandement et leur dis au revoir.
Je décidai de visiter ces lieux enchanteurs. Tous ceux que je rencontrais me souhaitèrent la bienvenue en me souriant. Je leur rendais leur sourire et les remerciais. Tout respirait le bonheur, la bonté et la joie. Alors que je mapprochai dune petite fontaine où leau semblait si claire que je ne résistais pas à lenvie de my désaltérer, je vis deux hommes discuter. Ils me remarquèrent et me firent signe de venir. Jeus alors en face de moi rien de moins quAristote et Christos. Ils maccueillirent avec la plus grande gentillesse. Ils me demandèrent si les lieux me plaisaient et si javais fait un bon voyage. Jétais si ému que je ne savais pas quoi répondre. Je bafouillai quelque vague parole, alors que jessayai encore de réaliser qui se trouvait devant moi. Cest alors que jentendis une voix.
Sypous
Chapitre VII - « Le paradis »
Les sept anges se tenaient face à moi. Ils arboraient un grand sourire plein de gentillesse que venait souligner leur regard plein de tendresse. Pour la première fois depuis que javais laissé mon chien seul dans le champ, je me détendis et memplis de la sérénité quils dégageaient. Ils maidèrent à me lever et Michel, le plus robuste, me fit monter sur son dos. Je rougis à lidée de chevaucher un Archange comme un cheval. Mais ils rirent tous, voyant la gêne safficher sur mon visage. Ces rires nétaient pas moqueurs, mais pleins damitié.
Alors, sept grandes paires dailes magnifiques sétendirent. Ils sapprochèrent du bord et se laissèrent tomber. Je hurlai de terreur, mais mon cri sétouffa lorsque les Archanges redressèrent leur vol et senvolèrent vers la soleil. Je pus voir sous moi lensemble de la lune et me promis intérieurement, si loccasion men était donnée, de toujours vivre dans la vertu, suivant les préceptes dAristote et de Christos, afin de ne jamais plus retourner dans un endroit aussi sordide. Galadrielle me lança un sourire complice et me dit: Cest bien. Tu as pris une judicieuse décision. Puissent les autres vivants faire la même.
Je me demandai comment elle avait pu connaître aussi bien le fond de mes pensées. Mais mon esprit fut bien vite plutôt intéressé par le spectacle qui soffrait à moi. Nous venions de quitter la lune et nous volions dans lespace qui la sépare du soleil. Les étoiles soffraient à mon regard comme autant de spectacles magiques. Je pouvais même discerner de nombreux autres astres dont je ne connaissais pas lexistence, ne pouvant être vus depuis le monde. Mais lessentiel de ma vision était occupé par ce soleil immense, brûlant, que je navais jamais vu daussi près. Je me sentais comme une mouche face à une vache: minuscule.
Nous nous approchâmes si près de lastre divin que des flammes de plusieurs lieues de long nous frôlèrent. Je me demandai si je nallais pas partager avec les sept Archanges une bien funeste fin. Mais Michel, sur lequel jétais toujours juché, me dit: Naie crainte et regarde.. Je vis alors les flammes qui couvraient le soleil souvrir, pour laisser place à un magnifique spectacle. Sous cette couche brûlante se trouvait ce dont javais entendu parler depuis ma plus tendre enfance, sans jamais savoir ce en quoi cela consistait : le Paradis!
Nous atterrîmes dans un lieu magique. Tout était baigné dune douce lumière. Où que je regardais, je ne trouvais pas la moindre obscurité. A perte de vue, il ny avait ni habitation, ni la moindre construction. Ceux qui avaient faim se servaient sur les arbres fruitiers. Ceux qui appréciaient les plaisirs de la détente sallongeaient dans lherbe. Des enfants jouaient innocemment, riant et courant à travers les hautes herbes. Les sept Archanges me prévinrent quils devaient me laisser, leur mission étant terminée. Je les remerciai grandement et leur dis au revoir.
Je décidai de visiter ces lieux enchanteurs. Tous ceux que je rencontrais me souhaitèrent la bienvenue en me souriant. Je leur rendais leur sourire et les remerciais. Tout respirait le bonheur, la bonté et la joie. Alors que je mapprochai dune petite fontaine où leau semblait si claire que je ne résistais pas à lenvie de my désaltérer, je vis deux hommes discuter. Ils me remarquèrent et me firent signe de venir. Jeus alors en face de moi rien de moins quAristote et Christos. Ils maccueillirent avec la plus grande gentillesse. Ils me demandèrent si les lieux me plaisaient et si javais fait un bon voyage. Jétais si ému que je ne savais pas quoi répondre. Je bafouillai quelque vague parole, alors que jessayai encore de réaliser qui se trouvait devant moi. Cest alors que jentendis une voix.
Sypous
Merci a tous, approchés pour ceux qui veule la communions il y en aura pour tout le monde voici ce pain voici ce vin partageons le entre nous tous..Que le très haut nous guide et nous accompagne vers la vertus..
Tien mon enfant que ce vin est cette bouchée de pain te purifie à jamais.
merci!..Ma Mère.
Tien ma fille que ce vin est cette bouchée de pain te purifie à jamais.
merci!..Ma Mère.
Tien mon fils que ce vin est cette bouchée de pain te purifie à jamais.
merci!..Ma Mère.
Bon Dimanche a tous et surtout une bonne semaine a Dimanche prochain si vous le voulez bien!..