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[RP] Cérémonie d'allégeances à la duchesse Angélyque

Cardinal
en voyage en le lointain ouest avec les armées des gentils, le beau cardinal ne saurait être présent à la cérémonie d'allégeance en dijon l'éternelle ... ce qui il faut bien l'avouer, ne le chagrinait guère ...

attendant vainement un combat quelconque, le beau cardinal eut tout loisir d'écrire la suivante lettre à le nouvellement élue duchesse de bourgogne :


le beau cardinal a écrit:
duchesse,
le beau cardinal espère que vous aurez la bonté d'excuser son excusable absence et que vous saurez vous contenter de ces quelques lignes en gage de son indéfectible allégeance à l'éternelle bourgogne ...

apprenez donc que nous, cardinal, baron de nuits-saint-georges et duc de beaujeu, réitérons notre allégeance inconditionnelle à l'éternelle bourgogne et reconnaissons en la personne de la charmante angélyque sa duchesse légitime ... puisse-t-elle avec l'aide de l'inhumain aristote guider la bourgogne vers les sommets qu'elle mérite ... entendez encore que dans cette difficile tâche elle pourra compter sur nos humbles compétences et en disposer comme bon lui semble ...

que l'inhumain aristote ait le bonté de faire endurer au beau cardinal mille morts atroces plutôt que de le voir faillir à son serment


après relecture de sa missive, le beau cardinal n'en fut pas content mais toutefois la data, signa, y apposa son sceau et la manda à qui de droit ... espérant être mieux inspiré la prochaine fois ...
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ceterum censeo parvam britanniam delendam esse
Armoria
Les allégeances d'Armoria, c'était tout ou rien : tempête ou torpeur. Là, on en était plutôt à la torpeur... La faute à l'automne, peut-être ? Enfin, torpeur, mais pas au point de ne pas entendre son nom... Quelques pas en avant pour se placer face à la duchesse, et zou, c'est parti.

Ce jour automnal, pour le Duché de Saulieu, je renouvelle mes voeux d'allégeance à la Bourgogne, ses terres, sa couronne et sa Duchesse, sachant leur devoir fidélité, conseil et soutien : comme je le suis de coeur de corps, cette parole m'attache de bon gré.
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Angelyque
La Duchesse vit arriver devant elle une Princesse assez sage pour le coup, il faut dire que tout le monde était bien calme en apparence, de son trône elle n'avait assisté à aucun duel, n'avait pas surpris l'ombre du moindre cancan, que se passait il? la Noblesse était elle devenue sage?

Armoria de Mortain, Duchesse de Saulieu, En échange de votre serment, nous, Angelyque de la Mirandole-Montestier, en notre qualité de Duchesse de Bourgogne vous promettons protection, justice, et subsistance pour votre Duché. Que nous soyons frappée par le Très Haut si nous y faillissons.

Elle s'approcha d'Armoria afin de lui donner l'accolade vassalique, et déposa un macaron dans sa main, tout en lui souriant espieglement

Il paraît que les macarons donnent du plaisir à celui qui les goûte.
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Armoria
Un macaron.

Cochonnerie.

Dans l'esprit de la blonde altesse, le macaron était directement lié à la fadasse cousine de la reine, que cette dernière voulait voir épouser Morgennes, allant jusqu'à dire à celui-ci les pires choses sur Armoria. Les macarons, c'était Kyane, et les chouquettes, c'était la reine. Deux douceurs qu'elle en était venue à exécrer. Malgré la sympathie qu'elle éprouvait pour Angelyque, elle ne put retenir un froncement de nez - c'était physique, que voulez-vous ? La... chose quitta bien vite sa main pour retourner dans celle dont elle venait.


Désolée, Duchesse, je suis, pourrait-on dire, allergique à ces... choses.

Oui, "chose" était décidément un terme parfait pour qualifier macarons et chouquettes. Ainsi que celles qui y étaient liées dans sa mémoire. Inclinant légèrement la tête pour que son refus ne soit pas trop mal pris, et sur un léger sourire ayant la même ambition, elle retourna à sa place.
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Erikdejosseliniere
J'suis maaaaaal !

- Père... tout va bien ?

Non, tout n'allait pas bien... Mais alors vraiment pas... Et le Pair-iclite en était déjà à se reprocher son double état de faiblesse : celui du corps qui le faisait souffrir le martyr, celui du coeur, qui l'avait fait accepter de suivre, sans bien réfléchir aux éventuelles conséquences, son aîné. Mais pourquoi fallait-il donc que ce coche file si vite sur les routes cahotantes de cette course chaotique aux allures de Paris-Drakkar (du nord) qui aurait dérivé vers un nauséeux Paris-Brancard, quoi que de Bourgogne ? Erik n'était guère en état de se poser, aussi précisément, de telles questions aussi fines, mais les hauts-le-coeur et les bas-le-ventre qui le tenaillaient parlaient bien assez d'eux-mêmes ! Il fallait cependant que cette course du diable s'acheva un moment ou l'autre et c'est dans une déglutition affreuse que le pauvre hère se retrouva repoussé vers le fin fond de la carriole infernale tandis que ce malotru de cocher, exhorté à montrer toutes ses compétences de pilote hors-pair - c'est le moins qu'on puisse en dire - par un Aimbaud grisé par les trépidations de la machine, c'est donc ainsi que ce Hollandais Volant de la route s'appliqua dans un superbe dérapage contrôlé juste en bas des marches du Palais des Ducs de Bourgogne. Exactement. La morale et les bonnes moeurs nous interdisent de préciser quelles en furent les conséquences induites (et immédiates), si ce n'est qu'aucune bassine ne fut assez prompte pour éviter le pire... Il faudrait sans aucun doute changer les brocarts de ce cercueil ambulant pour une prochaine course...

Se laissant littéralement porter par Aimbaud - Pauvre Fils écrasé par l'éternel poids du Père. Tu craques, fili ?- et plus exactement par le garde débile, mais bien costaud, c'est en tel équipage, le médicastre pas bien loin, que le planton de service annonça pile avant qu'il fut trop tard :


Sa Grâce... Hum... Erik de Josselinière, Duc de Corbigny et son fils Aimbaud !

Ajoutant sans possibilité d'être entendu :

Du moins... ce qu'il en reste...

Les portiers de les laisser passer... Le fils indiquant du doigt une... Enfin, plusieurs places susceptibles de recevoir le petit groupe... Il était moins une, l'heure étant certainement bien proche où les portes du Palais allaient devoir se refermer. Mais il est vrai que la nuit tombe fort vite en cette saison. D'ailleurs, le regard glauque du Tri ne parvenait guère à apercevoir autre chose que des étoiles... L'une d'elles d'ailleurs...

Yolanda...

...Furent ses seuls mots encore audibles avant que de sombrer dans une sorte de coma catatonique éveillé.
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Angelyque
Bah voilà!!! la Princesse Armoria qui lui rendait séance tenante son macaron, la Duchesse de depêcha de l'engouffrer dans sa bouche, c'est qu'ils étaient comptés les macarons! un pour chaque noble, Angelyque esperait que beaucoup preteraient allégeance par missive, cela serait autant de macarons de mangés, à partager entre elle et Yolanda assurément, la Duchesse baissa le regard vers la petite fille et lui caressa les cheveux, elle était la plus mignonne de toutes, mais c'était normal, son pair-père n'était il pas le plus charmant de tous?

C'est à ce moment là qu'elle entendit la voix grave et...cassé du vieux tri qui ananait le nom de sa princesse....elle réfléchit quelques secondes, à voir la mine du tri, il n'avait pas passé une nuit paisible, elle poussa un long soupir, peut être que le su-sucre à son papa le sortirait de cette torpeur qu'Angelyque commençait à connaître, souvent les allégeances le mettait dans cet état là


Yolanda, ma chère petite, regarde...il y a ton papounet là...tu peux aller lui donner un bout de macaron...

La Duchesse grimaça...elle imaginait le pire...comment donner un baiser vassalique à un homme ivre...tout tri-adoré qu'il fut, à l'idée, elle sentit un haut le coeur l'envahir, il fallait trouver une solution et vite....
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Ingeburge
Et la solution, ce fut de passer à autre chose, de ne pas laisser de temps mort, de continuer, de suivre la feuille de route et doit blanc du héraut de suivre les noms pour savoir à qui serait le tour... Emmaline. Bingo. Et Phylogène de se lever, de s'avancer de quelques pas, et d'indiquer :
— Par volonté de Sa Grâce Angelyque de la Mirandole-Montestier, dame Emmaline a conservé le droit de jouir du titre et du fief de Saint-Léger-sur-Dheune, suite à la disparition du seigneur dont elle dépendait, Monseigneur Virgile d'Herbamtour, vicomte de Chamilly.
Puis, déroulé de parchemin, pour la dernière fois de la journée, ouf :
Citation:


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Citation:
Nous,
Angélyque de la Mirandole,
Duchesse de Bourgogne par la Grâce de Sa Majesté,

à

Phylogène

Salutations

Faisant suite aux certificats de déshérence publiés et à la requête de la Hérauderie, en notre âme et conscience et conséquemment à notre position sur le trône de Bourgogne et à notre prérogative ducale en icelle matière décidons ce qui suit :

- Que Sieur Olivier1er, seigneur de Dennevy et Dame Emmaline, dame de Saint-Léger-sur-Dheune, en raison des services rendus et à leur fidélité pour la Bourgogne, garderons usage de leurs titres et possession de leurs fiefs.

- Qu'en raison de l'ancienne trahison d'Ombre02, seigneur de Sémur-en-Brionnais, envers notre Duché, et suite au décès de son suzerain, le Duc Morkail, celui-ci ne pourra conserver son rang ni son fief, avec toutes les conséquences héraldiques qui s'imposent dès lors.

- Qu'enfin il soit su que la Comtesse Erwyndyll ne peut se reconnaître de la Seigneurie d'Anzy dont elle portait le nom par seules épousailles mais sans que patente ni douaire ne lui fussent jamais rédigé en bonne et due forme, avec les conséquences héraldiques qui s'imposent idem relativement à son blasonnement.

Pour le Duché de Bourgogne,
Angélyque de (etc)

Rédigé et scellé au Palais des Ducs de Bourgogne le dix-huitième jour d'Otcobre de l'an de grâce MCDLVIII.






    Par le présent contreseing, nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Héraut d'armes royal dit Phylogène prenons acte de la décision de Sa Grâce Angelyque de la Mirandole-Montestier, duchesse de Bourgogne :


    • de prendre pour vassaux messire Athos de la Bronze, dit Olivier1er, et dame Emmaline, suite au décès de leur suzerain Virgile d'Herbamtour, dit Verbam, vicomte de Chamilly, en précisant que ledit messire et ladite dame devront respectivement prêter allégeance pour les fiefs de Dennevy et Saint-Léger-sur-Dheune et en porter le titre et les armes;

    • de refuser de prendre pour vassaux Sa Grandeur Erwyndyll d'Harlegnan et le sieur Ombres02, suite au décès de leur suzerain Morkail de Hautefond, duc du Brionnais et vicomte de Bonnencontre, tous deux se voient donc respectivement destitués de leur titre de dame d'Anzy et de seigneur de Sémur-en-Brionnais, le premier fief retournant dans le giron du Brionnais et le second, non, ayant été octroyé alors que ville bourguignonne.




    Rédigé et scellé à Dijon le dix-huitième jour d'octobre de l'an de grâce MCDLVIII.




















Et Ingeburge de conclure :
— Dame Emmaline est donc invitée à prêter allégeance pour son fief de Saint-léger-sur-Dheune.

Finalement, l'officier regagna sa place, derrière son pupitre, et rangea le contreseing dans sa reliure... reliure qui ne fut pas refermée de suite car l'on vint lui remettre les missives de Casanier et du beau Cardinal.
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Phylogène, duchesse d'Auxerre, Grand Maître des Cérémonies de France
« Aultre n'aurai. »
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Joueuse quelque peu accaparée par le RP du sacre, je n'oublie pas les RP/demandes en cours, promis!
Emmaline
Emmaline de St Léger sur Dheune s’avança doucement a l’appel de son nom, elle regarda Olivier en passant pres de lui ,lui faisant un petit sourire inquiet puis s’agenouilla au pied de la Duchesse .
Elle la regardait émue ,elle la trouvait radieuse sur son trône, malgré l'émotion ,elle lui fit un grand sourire amical


- Votre Grace, vous me faites un trés grand honneur ,une grande joie et un soulagement intense en me permettant de conserver le fief de mon regretté suzerain, que je ne peux oublier.
Il doit me regarder de la haut et etre soulagé lui aussi ,il était si fier de m’avoir pour vassale ,c’était un homme bon ,avec de grandes valeurs ,parti beaucoup trop tôt


Emmaline sentait que l’émotion la gagnait en se remémorant le vicomte de Chamilly, elle enchaina vite avant que sa voix ne devienne trop tremblotante .

Je serai votre fidele vassale et veillerai
sur vous jusqu’à ma mort, je vous donnerai conseil si nécessaire et me battrait pour vous défendre au péril de ma vie .


Elle baissa la tête ,puis enchaina

Nous, Emmaline de St Léger sur Dheune ,prêtons allégeance à la Couronne de Bourgogne et nous jurons fidélité à la Duchesse Angelyque de la Mirandole sa digne representante . Nous vous promettons aide et conseil et c'est avec honneur que je mettrai ma vie au service de mon Duché et de votre Grâce .
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Erikdejosseliniere
Aimbaud a écrit:


[T'inquiète, p'pa. Tout va bien se passer.]

La troupe Corbigniesque traversa couloirs et salles des glaces, resserrée comme un banc de sardines comprimé dans une seule boîte, pour soutenir tant bien que mal le résidus de Pair de France, lequel, bien qu'amaigrit par la fièvre et les suées, n'en pesait pas moins l'équivalent d'un de ces gros tonnelet de vin de son domaine, dont il était amateur. Dans la foulée, Aimbaud n'avait de cesse de s'emberlificoter les poulaines dans des franges de tapis. Le bras du Père sur l'épaule du Fils — et du saint esprit — semblait peser une tonne ! Les portes de la Salle du Trône apparurent au Junior telles un Picon-bière dans le désert. Ses jambes chancelaient déjà dangereusement, son dos criait grâce. Une crampe maléfique allait bientôt s'immiscer en sa chair !

Sa Grâce... Hum... Erik de Josselinière, Duc de Corbigny et son fils Aimbaud !

A temps, les portes s'ouvrirent sur les protagonistes trébuchants. La délivrance ne tarda pas, l'on put décharger le Duc inerte sur un siège. la marchandise était arrivée à bon port : non point très fraîche, mais livrée à temps ! Aimbaud se hâta de pousser un râle peu orthodoxe, tout en exécutant une cabriole de saltimbanque qui fit craquer toutes ses vertèbres. Il oublia de se soucier des convenances, trop occupé à faire rouler sa nuque et ses épaules en miettes, fourbu, laminé, mais bel et bien soulagé. Enfin, il put constater que son Père gisait sans connaissance, la langue quelque peu pendante et l'oeil vitreux. Alarme !

Le médicastre ! Des sels, du vent !

Il secoua le pauvre docteur qui faillit en avaler sa fraise. Puis se tourna vers le trône où dominait ce qui ne pouvait être que la duchesse, épatante de noblesse et de satin, dont la gorge bien en vue ne manqua pas d'éveiller l'intérêt de notre Angevignon. L'oeil revint vers son père, qui ne réagissait que bien peu aux tapes qu'on lui administrait, et aux lotions qu'on lui fourrait sous la narine... Bigre de foutre, que faire ?

Dans l'attente de la suite des événements, il ôta sa toque en peau de loutre sauvage et l'agita auprès d'Erik, afin de l'éventer.


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Armoria
Un malade ? Une souffrance ? Une blessure ? Rien de tel pour remettre la vanillée dans le sens de l'action : d'autant plus si le sujet est un ami. Elle ne fut guère longue, relevant légèrement ses jupons pour éviter de trébucher, ce qui, vous en conviendrez, est tout de suite moins élégant en public, guère longue, donc, contrairement à sa robe, vu que ladite robe se doit d'être légèrement - ben oui, légèrement, elle ne va pas montrer ses chevilles, hein, bandes de malhonnêtes - guère, donc, longue, suivez un peu, ça fait trois fois que je vous le dis, à rejoindre son com-pair, posant un intérieur de poignet tout frais sur le front tout moite.

Dieu du ciel, mais quelle idée de venir dans un tel état !
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Angelyque
La Duchesse vit se diriger vers elle Emmaline.

Elle était elle aussi émue de la voir devant elle et se remémora la cérémonie d'anoblissement à laquelle elle avait été conviée, plusieurs souvenirs remontèrent à la surface, Angelyque avait apprécié le Vicomte de Chamilly, énormément, la dernière fois qu'elle l'avait vu, c'était à Cruzy, à peine avait il appris qu'elle était malheureuse, il avait pris son cheval afin de lui rendre une visite, jamais elle n'aurait pu imaginer que c'était la dernière fois qu'elle le verrait.

Elle était heureuse d'être la Duchesse qui avait pris la décision de laisser les fiefs aux deux vassaux de Verbam, qui le méritaient bien qui plus est.

Elle sourit avec bienveillance à Emmaline, se remémorant également toutes les fois où elle avait hurlé sur son époux car il passait bien trop de temps au goût d'Angelyque auprès de la jolie procureur qui dans son premier acte d'accusation avait dit que l'accusé etait le Juge.


Emmaline, Dame de St Léger sur Dheune, En échange de votre serment, nous, Angelyque de la Mirandole-Montestier, en notre qualité de Duchesse de Bourgogne vous promettons protection, justice, et subsistance pour votre Seigneurie. Que nous soyons frappée par le Très Haut si nous y faillissons.

Angelyque se pencha ensuite vers elle pour lui faire l'accolade vassalique et lui remit un macaron

Puisse t'il vous apporter le bonheur ma chère amie!
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Emmaline
La Duchesse avait un visage trés doux et un franc sourire ,Emma etait trés émue,elle ne sut dire que trois mots

je vous remercie

Elle repartit a sa place serrant le macaron contre son coeur
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Ingeburge
Le regard dans le vague mais les oreilles grandes ouvertes, Phylogène suivait toujours le déroulement des échanges et elle put ainsi ajouter une jolie petite croix à côté du nom d'Emmaline. L'instant était émouvant mais elle ne se laissait pas distraire, comptant que trois personnes devaient encore passer : Maathis, Erik... et elle-même. Non, elle demeurait attentive, c'est pourquoi elle perçut qu'il subsistait encore un peu d'agitation du côté de l'assemblée après l'arrivée tonitruante du Tri qui semblait, pour autant qu'elle pût en juger de là où elle se trouvait, plutôt mal en point. Balançant deux secondes sur ce qu'il convenait de faire, elle opta d'abord pour l'appel du vassal suivant, ayant vu la Vanillée se rendre près du Josselinière, elle était donc assurée que de ce côté, les choses étaient prises en main.

Sa voix légèrement rauque s'éleva donc :

— Le vicomte de Mellecey est invité à se présenter à Sa Grâce.

Puis, ni une ni deux, le héraut se rendit ensuite jusqu'au groupe formé par un duc de Corbigny manifestement inconscient, un adolescent visiblement inquiet, un médicastre passablement décontenancé et une princesse soigneusement appliquée. La froidure étant à ses yeux l'un des maux les plus insidieux et l'automne étant bel et bien là, l'Auxerroise maugréa :
— Quand je pense que je lui avais offert un mantel des plus douillets et multi-poches, connaissant ses habitudes. Mais comme il me bat froid, au final... il a froid... ou pas.
Parce qu'évidemment, on pouvait être malade pour bien d'autres raisons et ce devait être le cas présentement, vu la mine d'Erik. Mais Ingeburge, la maladie, les blessures, elle n'y connaissait pas grand chose. Alors, se souvenant soudainement avoir vu Armoria à l'œuvre dans un campement de blessés en Arles, elle cessa de râler pour indiquer à la dame de Saulieu :
— Je puis envoyer un valet à l'office afin que de l'eau fraîche, un bassinet et du linge si cela peut vous être utile, Votre Altesse. Et il y a là vin soutenant mis à disposition de tous.
D'un geste, elle désigna la table montée sur tréteaux accueillant rafraîchissements et mets commandés par elle et destinés à contenter la noblesse.
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Phylogène, duchesse d'Auxerre, Grand Maître des Cérémonies de France
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Armoria
Elle hocha la tête :

Merci, Vot... Phylogène.

Eh oui, la froide brune était là pour l'hérauderie, ce jour, et pas au nom de l'église.

Je pense que ce jeune homme saura m'en dire davantage sur ce qu'il a. Ou Erik lui-même, s'il s'en sent la force.

Car elle n'avait encore jamais vu le miniricou, ou alors, très vite et depuis fort longtemps - et encore.

Si le valet que vous mandez pouvait prévenir le mien que je voudrais de l'écorce de saule ? Ma besace est dans ma voiture.
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Maathis
Le Corbigny pas frais. Ça faisait désordre. Encore abusé de la boisson, Parrain. Ou pas ! Enfin pas frais. Mais alors pas frais du tout. Pas franchement pair-cutant. Pas tout à fait lui-même.

Mal à la tête. Écharpe de soie azur dessus. Pair-turban ! Arrêter les barriques surtout. Mauvais d'en prendre trop. Problème du trop bon vin de Bourgogne. Et Parrain aime les barriques. Avisant l'assistance. Non, non, Coluche, vraiment mort !

Mellecey fort surpris. Bien longtemps qu'il n'avait pas vu Parrain. Trop longtemps même apparemment. Du laisser-aller, beaucoup de laisser-aller. Toute une escorte pour la paire pers de Corbigny. Puis Chantilly, qui accourrait auprès du père pair, fit du fils fi.

Réagir ! Vite, avec grand empressement. Une formation de médicastre, tout de même. Mellecey pour accourir auprès de Parrain. Du vent et des sels, bon, pour commencer. Et après, une bonne purge.

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