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[RP] Cérémonie d'allégeances à la duchesse Angélyque

Yolanda_isabel
Les choses et les gens - aussi, j'suis pas difficile - défilent devant la mine réjouie de l'Etoile, laquelle de sourire plus encore au fur et à mesure que dans son esprit, les sourires s'affichent sur le visage des gens à chaque macaron. Le macaron, c'le pied ! Vilaine princesse qui lui rend ledit macaron en traitant l'adorable de chose, le petit nez se fronce et pourtant, elle reste sage, même si boudeuse.

Longtemps ? Si peu, voilà Papa et Aimbaud qui arrivent, accrochant un sourire fier sur le visage de la Cadette Josselinière dont le coeur manque d'imploser d'orgueil en voyant son frère aîné si beau - t'y es beau mon fils, si, si - jusqu'à ce que ledit coeur se serre d'angoisse quand son père s'effondre. Bien sur que sa mère l'avait prévenu, il n'est plus jeune son Pair-ternel, mais enfin, cômmême .. De là à leur claquer dans les pattes comme ça, sans prévenir, faudrait pas pousser Pépé 19 dans les fleurs de lys. Un hôchement de tête à l'adresse de la duchesse, avant de courir entre les grandes jambes des adultes, quelques macarons à la main. Et la main libre de glisser dans celle du Josselinière Père.


_ Y faut pas que tu mourus Papa ..Hein ? C'est de l'importance ..

Oui, c'est de l'importance la vie d'un Papa. Les macarons toujours serrés dans la main, l'azur accroche le frère, l'aîné.

_ Il était de la maladie ..

Moins qu'un reproche, une constatation.
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Super-Fifils !, incarné par Erikdejosseliniere
Aimbaud a écrit:


Tandis qu'Aimbaud continuait d'agiter frénétiquement sa toque à la face de son père, il voyait s'attrouper une foule de hauts personnages alentours. Bientôt l'on eu plus à se soucier de passer inaperçu, engouffrés qu'on était sous un igloo de robes et de culottes bouffantes. Le Junior quelque peu impressionné manqua de donner un coup de toque à son infortuné paternel, en foirant son éventaillation. Il tiqua en voyant qu'on lui adressait un regard appuyé :

Je pense que ce jeune homme saura m'en dire davantage sur ce qu'il a.

Ah oui. Alors ça c'était la question piège, genre celle qui a un coefficient de bâtard à l'examen de géographie et tactique militaire, où on peut même pas demander un appel à un ami. En guise d'ami, Aimbaud jeta tout bêtement un regard vide au médicastre, qui le lui rendit bien. Puis lui re-chopant la fraise, il chuchota :

Mais dites-moi ce qu'il a, triple andouille picarde, misérable j'en-foutre ! Vous voyez bien que son état soulève des questions !

Gah ! Geuh ! Oui. C'est très simple. Selon mes pronostiques, c'est tout simplement une forme convulsive d'ergotisme liés à l'ingestion d'un mauvais seigle : spasmes douloureux, diarrhée, fièvre, rêves hallucinatoires liés aux dragons et autres mythologies démoniaques. Il faut pratiquer une bonne grosse saignée et lui faire avaler du pain de froment trempé dans du vin de nos régions. Favorisons les produits du terroirs.


Aimbaud arrêta d'un geste le savant fou qui préparait déjà ses ustensiles, il répondit à la Princesse avec un sourire tout à fait convaincant, pour ne pas créer d'émoi :

Une petite grippe.

Il serra la minuscule patte rosse de Yolanda qui s'était glissée dans la masse, parfumant l'air au passage d'une touche d'essence de fraise des bois. Et parlant à l'oreille de son père, dans l'espoir qu'un fond de conscience l'habite :

Parlez père. Pouvez-vous tenir encore sur vos jambes, que je vous porte jusqu'à la Duchesse et lui disiez votre serment ?

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Maathis
Confusion ! Confusion ! Que penser ? Que dire ? Médecin fou déjà en action. Pour le moment pas dangereux. Allégeance à faire. Ou Parrain à aider. Allégeance à faire. Ou Parrain à aider. Parrain à aider.

Jeter un œil à Auxerre. Son tour et pas celui de Parrain. Mieux pour Parrain tout de suite. Décider. Le prendre par l'épaule, meilleure solution ?

Choix. Venir soutenir Parrain, qu'il se présente devant le trône. Aimbaud de l'un, Mellecey de l'autre. Le faire se relever, surtout. Devant sa fille, sauver la face. Devant la duchesse, sauver l'honneur. Devant l'adversité, prier le Très-Haut.

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Armoria
Nom de bleu de mortecouille de pestefoutre ! Un type à fraise ! Un barbier ! Un boucher ! Et le regard émeraude de foudroyer.

Toi, vampire, fais couler une seule goutte de son sang, et je te promets que tu ne seras plus en état de te reproduire.

Et la mignardise qui se faisait du souci... Doux christos !

Mais non, voyons, les papas ne meurent point aussi aisément...

Non, ce n'était pas vrai, mais quoi ? Lancer la petite tout de go, dans le vilain monde des grands où les papas et les mamans peuvent mourir n'importe quand ? L'empêcher de croire encore un peu - ça ne durerait guère - que les papas étaient des supers-héros nainvincibles ? Ah morbleu, non ! Sûrement pas ! Et hop, un sourire rassurant par là-dessus, et avec ça, ma bonne dame ? Avec ça ? Ben avec ça, m'âme Sonia, vous me mettrez un Maathis perplexe devant son pair-rain qui décide de prendre le taureau par les cornes... Et le pair-du par l'épaule ?
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Erikdejosseliniere
Y en un un qui n'en veut..? Vraiment...? Une fois... Deux fois... Trois fois !

Gné !

Mais pourquoi fallait-il donc que les dragons puent à ce point du bec ? Que les Princesses fussent si Rosy ? Que les Altesses braillent en verlan ? Que les Maath soient sans échec ? Que les fils soient aussi leur père, et réciproquement ? Que le plafond s'écroule sans jamais tomber ? Que la Bourgogne frise les lumières du Ristote ? Qu'Angélyque devienne nonne ? Que les Jedaï dominent le monde ? Que ma bastarde lazer à quadruple rayon zircon frappe les Golgoth 22 de leur toute puissance ? Que les médicastres médicisent ? Que Levan se lève ? Que les Fils ne boutonnent point du pif ? Que... Que... Que...

Une fois de plus, mais plus dramatiquement :


Gnééééééééééééééééééééééééé !
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A good chiken is a dead chiken. Lion's & Co itou !
Maathis
Pair-oxysme de la cérémonie. Parrain sur l'épaule. Marraine vanillée chassant le tartufe... Duchesse pair-due dans ses pensées. Tableau pour riches heures du duché de Bourgogne, assurément. Manque clerc pour écrire tout ça. Perdu après dans les mémoires ! Déjà bien vieux le Mellecey.

Tous pair-turbés par Parrain ! Devant sa bien jeune fille !! Le gnééé du moment. Pas arrangeant le Parrain... Et atteint on dirait.
Quoi faire à part rien ? Attendre peut-être. Différence avec rien ? L'espoir !

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Mildiou
Bah, s'était invité chez les piples.

Pas de souci, il connaissait tous les titres qui flattaient : vostre farcse, vostre dinsdonnesrie, etc. Il connaissait leur forme primitive de langage, aussi.

N'importe quel connaisseur vous dira que la truffe mal famée a un goût étrange, nul sanglier ne s'en dédira.

Il en vit une au milieu d'un troupeau servile assoiffé d'intérêt modérément simulé.

Sans hésiter, il s'avança et demanda :

Vous êtes inscrite sur fesse-bouc ? Je le sens...

Large sourire
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Senatore Mildiou y Basta della Bolognèse
Mamamouchi du Culte du Grand Baveux
Ministre des Etranges et Autres Affaires
Angelyque
La Duchesse dont la patience avait des limites tapa brutalement du pied sur le sol.

Cela faisait quinze bonnes minutes qu'elle attendait que le Vicomte de Mellecey vienne lui présenter ses hommages et prêter allégeances, or celui-ci taâit tranquillement la discute avec les autres nobles, devant un Tri qui avait l'air visiblement ivre mort...

Elle poussa un long soupir, tourna la tête en direction de Phylogène afin de voir si elle aussi était aussi excédée qu'elle, en pure perte, son visage était aussi fermé que d'habitude.

Sortant discretement de sous ses jupes un petit miroir en argent, offert par une ancienne Duchesse justement, Angelyque en profita pour regarder si son chignon était encore bien en place, vérifia qu'aucune miette de macaron ne subsistait sur ses lèvres, puis satisfaite du résultat, rangea le tout à sa place.

Elle darda un regard courroucé vers le Vicomte Maathis, lui indiquant par un petit mouvement des lèvres que c'était à son tour

Après tout il y avait assez de monde pour s'occuper du Tri, et la Duchesse savait que pour le guérir il n'y avait que deux solutions, de l'eau frâiche sur le visage et un bon bouillon, afin de le purger.

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Vouss voulez une Bourgogne resplendissante? votez BOUM!!
Ingeburge
Les plans au cordeau, les organisations à la seconde près, les projections millimétrées n'ont qu'une seule raison d'être : être mis à mal, saccagés, détruits. Le plan de Phylogène en ce jour était d'assurer un rythme soutenu afin que tous - duchesse régnante en tête – ne périssent point d'ennui et ne finissent pas par s'endormir pu pire encore, car il y a de quoi littéralement mourir tant les cérémonies d'allégeances peuvent se révéler fort longues. Ayant l'expérience de la chose, le héraut s'était donc efforcé de tout mettre en œuvre pour que le déroulement de l'événement se passe au mieux et que la succession des hommages se fasse de la manière la plus fluide possible. Tout avait bien fonctionné, jusqu'à l'arrivée d'Erik de Josselinière, arrivée qui équivalait à rajouter une personne sur la liste et à sacrifier la lettre remise plutôt par la fille du Tri. Et, à tout bien y penser, ce n'était pas seulement cette arrivée qui chamboulait toute l'organisation maniaque d'Ingeburge, non, car cette arrivée était censée tout perturber non pas tout de suite mais après, au moment où le duc de Corbigny aurait été appelé. Et là, ce qui perturbait la chose avant même que cela dût survenir, c'était le comportement du vicomte de Mellecey qui, s'étant approché du petit groupe en lieu et place du trône, restait là, les bras ballants.

Ballants jusqu'à ce qu'il décide d'attraper le fébrile et débile Pair de France par un bout, histoire de le mettre... debout. Ingeburge remarqua le regard qu'Angelyque lui adressa et si jusque lors, elle s'était contentée de ne rien dire et de rester quelque peu en retrait – les odeurs et autres émanations humorales, très peu pour elle – ce geste esquissé par la régnante la poussa à prendre les choses en main.
A Maathis, elle déclara donc :

— Monseigneur, un physicien est présent et la princesse de Chantilly aussi; nous savons tous deux combien elle excelle dans le soin à donner aux corps blessés et éprouvés. Et, tenez, voilà le valet envoyé par mes soins de retour avec la besace de Son Altesse.
Le domestique venait en effet de réapparaître, quelque peu essoufflé.

Le héraut poursuivit sur sa lancée :

— Laissez donc Sa Seigneurie aux bons soins de la princesse et avancez avec moi jusqu'au trône. Là, vous pourrez prêter cette allégeance que Sa Grâce la duchesse de Bourgogne attend et que vous ne sauriez lui faire attendre davantage. Et, vous pourrez aussi et ainsi, de ce fait, lui apporter quelques renseignements sur l'état du duc de Corbigny, état qui ne doit pas manquer de la préoccuper.
Et joignant le geste à la parole, l'officier royal retourna près d'Angelyque, se glissant derrière son pupitre, ses yeux opalins ne quittant pas le vicomte de Mellecey.

EDIT : relecture
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Phylogène, duchesse d'Auxerre, Grand Maître des Cérémonies de France
« Aultre n'aurai. »
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Joueuse quelque peu accaparée par le RP du sacre, je n'oublie pas les RP/demandes en cours, promis!
Maathis
Auxerre qui lui parle. Oups, oui, duchesse, allégeance, tout ça. Rôle du héraut.
Mellecey jamais très attentif. Enfin plus maintenant. Cérémonial usé jusqu'à la corde. Quarante-neuvième séance d'allégeances !


— Effectivement, duchesse, mais daignez comprendre mon angoisse et mon tourment à voir ainsi mon cher Parrain.

Trop froide la duchesse. Penser cérémonie quand Parrain malade.

Mais raisonnable. Laisser Parrain un moment, s'avancer vers le trône. Angelyque attend !

Sortir l'épée, la prendre nue dans ses mains. La présenter à la Couronne. L'offrir. Un genou en terre. Serment immuable, éternel. Bourgogne d'abord, Bourgogne surtout, Bourgogne toujours.


— Nous, Athanase Serwane Damase Basile Maathis, vicomte de Mellecey et seigneur de Pisy, tutélaire de la Toison d'Or, renouvelons, en tant qu'il est de besoin, notre serment d'attachement et de dévouement à la couronne de Bourgogne, et en son représentant légitimement élu, l'assurant comme il a toujours été, de notre indéfectible fidélité, de notre infrangible aide et de notre incorruptible conseil. Que félon soyons déclaré, si jamais faillissions...

Silence suite à l'acte. Attente après supplique consacrée. Juré devant le Très-Haut. Yeux dans les yeux d'Angélyque. Seuls entendus les gémissements de Parrain. Que sursis lui soit accordé...
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Angelyque
Enfin, il venait vers elle! Angelyque avait l'impression qu'il s'était écoulé des heures entières depuis que Phylogène avait demandé à ce que le Vicomte de Mellecey vienne lui prêter allégeance, ça c'était avant l'arrivée du Tri, Tri vers qui Angelyque lança un coup d'oeil inquiet, il ne bougeait toujours pas, pire, il ne parlait pas, ce qui était totalement anormal, se pourrait il qu'il ait attrapé une maladie? un genre de peste ou pire encore une maladie honteuse comme Snell? A quel moment pourrait elle donc quitter ce trône pour aller aux nouvelles?

La Duchesse posa à nouveau son regard sur le Vicomte Maathis tandis qu'il mettait un genou à terre...ah ce qu'il était beau le Vicomte Maathis! charmant, bien élevé!! rien à voir avec celui dont elle s'était amouraché dernièrement! le Vicomte Maathis était toujours calme et sûr de lui, un bon parti assurément, viendrait sans doute le jour où elle devrait faire le deuil de son époux et penser à nouveau à convoler en justes noces...

Elle écouta attentivement l'allégeance de Maathis et lui répondit


Athanase Serwane Damase Basile Maathis, vicomte de Mellecey et seigneur de Pisy, En échange de votre serment, nous, Angelyque de la Mirandole-Montestier, en notre qualité de Duchesse de Bourgogne vous promettons protection, justice, et subsistance pour votre Vicomté et votre Seigneurie. Que nous soyons frappée par le Très Haut si nous y faillissons.

Elle attendit que le Vicomte se releva et se leva à son tour tout en se rapprochant de lui, elle posa ses deux mains autour de son visage et approcha lentement ses lèvres afin de les unir à celles de Maathis, sans doute resta t-elle quelques secondes de plus que nécéssaire puisqu'elle entendit un toussotement dans la salle.

Rougissant quelque peu, elle recula puis piocha un macaron dans la corbeille servant à cet effet


Puisse ce macaron symboliser mon attachement à vous Vicomte, il paraît qu'en manger fait battre les coeurs!

Se tournant ensuite vers Phylogène, la Duchesse lui demanda

Serait-il possible de prendre des nouvelles du Duc de Corbigny ou de le faire porter jusqu'au trône? Nous lui sommes fort attachée et nous nous faisons du souci à son sujet.

Ainsi nous pourrions vérifier par nous même son état de santé.

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Ingeburge
Des nouvelles du duc de Corbigny ou le faire avancer jusqu'au trône?

Des nouvelles auraient pu être fournies, et de première main, par le vicomte de Mellecey lui-même, vicomte auquel le héraut avait conseillé de rassurer la duchesse de Bourgogne. Mais Maathis, s'il avait enfin prêté allégeance à une régnante qui commençait à perdre patience, n'avait pas tenu compte de la recommandation formulée. L'émoi sûrement, l'émoi suscité par l'état fiévreux du Tri. Et c'était bien cet état qui empêchait un quelconque déplacement, c'était en tous les cas ce qu'Ingeburge croyait. Et comme des nouvelles, elle pouvait en fournir elle-même, elle indiqua, après s'être approchée du trône :

— Sa Seigneurie le duc de Corbigny semble être indisposée Votre Grâce. D'après ce que j'ai cru comprendre quand je me trouvai encore à ses côtés il y a quelques minutes de cela, une grippe est à craindre. Mais, soyez rassurée, Son Altesse Armoria est actuellement en train de s'enquérir de son état et un médicastre se trouve également présent.

Un coup d'œil fut jeté vers la salle et elle demanda :
— Dois-je appeler Sa Seigneurie, Votre Grâce?
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Phylogène, duchesse d'Auxerre, Grand Maître des Cérémonies de France
« Aultre n'aurai. »
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Joueuse quelque peu accaparée par le RP du sacre, je n'oublie pas les RP/demandes en cours, promis!
Armoria
La blonde altesse, aux petits soins pour son tri-pote, releva le museau à ces mots, et fit une moue éloquente, suivie d'un geste de dénégation. Entendez : "franchement, je sais pas si c'est le moment, là..."

Elle continuait à surveiller le médicastre-vampire du coin de l'œil, des fois qu'il aurait eu l'idée saugrenue de sortir sa lancette. Elle avait farfouillé dans son nécessaire, et en avait tiré de l'écorce de saule, qu'elle envoya le valet préparer, avec les recommandations d'usage.

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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Ingeburge
Le héraut avait fort bien perçu le geste esquissé par la princesse vanillée car lorsqu'elle avait demandé à la duchesse de Bourgogne ce qu'il convenait de faire, son regard s'était en effet porté à ce moment-là sur le petit groupe entourant le duc de Corbigny. Elle-même jugeait qu'il n'était guère recommandé de faire déplacer le Tri jusqu'au trône et si cela n'avait tenu qu'à elle, elle l'aurait fait déjà porter en un endroit plus calme du palais – ce n'était pas la place qui manquait. Mais justement, rien ne dépendait d'elle en la matière et elle préférait s'en référer à celle qui avait en ce jour le pouvoir de décider. La demande d'Ingeburge avait donc été formulée pour la forme car elle jugeait ne pouvoir faire autrement, s'effaçant derrière les obligations de sa charge.

Le regard interrogatif, elle attendait qu'Angélyque lui réponde, son esprit, parallèlement, se remémorant une certaine scène survenue en ce même lieu il y a quelques mois de cela. Etrange comme parfois les événements se répètent. C'est pourquoi, en souvenir de cela et parce qu'elle était tout de même faite de chair – glacée mais de la chair quand même – elle reprit la parole et elle se permit d'indiquer :

— Sa Seigneurie est faible.
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Phylogène, duchesse d'Auxerre, Grand Maître des Cérémonies de France
« Aultre n'aurai. »
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Maathis
Supplique rendue. Baiser vassalique aussi. Idée plutôt agréable avec Angélyque. Étonné, surpris de la voir faire durer l'instant. Pourquoi pas...

Mellecey toujours pour la Bourgogne. Accepter macaron. Original, pour allégeance. Et plaisant. Délicieux même.

S'incliner devant trône. Rejoindre sa place. Retrouver Parrain et lui prêter assistance.

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