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RP 5rue du bois, la cachette dorée de Myriam11

Myriam11
Myriam riait tant elle était heureuse, son bien aimé près d'elle que demander de plus...Elle tira Max par la main et l'entraina gaiement vers la table. Elle sorti une miche de pain et des galettes de maïs. La viande cuite la veille était déjà dans une assiette, elle alla chercher son meilleur vin pendant que Max la regardait faire avec un sourire étrange...Myriam connaissait bien cette expression sur le visage de son amant. La bouteille à la main elle le regarda dans les yeux, son corps fut parcouru de merveilleux frissons.
Elle commencait à de demander si Max avait vraiment faim...ses yeux indiquaient que le repas posé sur la table n'était pas celui qu'il cherchait. Il semblait avoir faim d'autre chose.
Le regard de Myriam se fit plus ardent, elle posa la bouteille sur la table et lentement, les bras ouverts elle avanca vers son tendre amour.


Dis moi mon bien aimé, tu es sur de vouloir manger de suite ? Mais pourquoi reste tu planté là à me regarder avec des yeux de braises, on dirait que c'est moi que tu veux manger.

Myriam se jetta dans ses bras en éclatant de rire, Max la souleva et prit ses lèvres avec gourmandise, elle se laissa aller contre lui...
Max_premier
Bien sûr qu’elles sont pour toi ces fleurs, même si elle ne sont pas aussi jolies que toi, j’ai trouvé que leur variété à cette époque encore méritait de venir décorer ta nouvelle demeure… Leur parfum non plus, ne rivalise pas avec le tiens… Il enfouit sa tête dans son cou et ses cheveux déposés sur ses épaules et apprécia les senteurs de sa belle…

Faim ? hum oui.. mais j’attendrai pour visiter tout, je te l’ai dit, par contre il te faudra beaucoup de temps à me consacrer…
Il lui fit un clin d’œil complice. Un si beau château mérite qu’on regarde tous les coins et plus les pièces sont nombreuses, plus je serai heureux.

Elle l’emmena avec elle, ils se tenaient enlacés et s’embrassaient comme les jeunes amoureux qu’ils étaient, avides d’être l’un avec l’autre. Myriam riait et vers la grande pièce commune il vit la table dressée pour un repas gargantuesque à ce qui lui apparaissait. Elle se déplaçait avec grâce dans sa nouvelle demeure, se conduisant avec lui en parfaite hôtesse, apportant tour à tour le pain, le vin et des galettes de maïs et quand elle revint une dernière fois avec le vin, il ne put lui cacher qu’il n’avait pas si faim de nourritures terrestres que cela…


Elle s’approcha de lui, posa le vin et l’enlaçant lui rétorqua exactement ce qu’il avait envie d’entendre. Il lui sourit malicieusement et quand elle se jeta dans ses bras, il ne put que l’embrasser avec l’appétit d’un ogre pour elle…


Tu as deviné ma belle, j’ai une faim de loup… j’ai envie de te dévorer là… ici… sur cette table qui me parait bien assez grande pour t’y déposer entièrement non ?
Il regarda sa belle et vit qu’elle avait envie de jouer, comme lui… Il l’asseya donc sur la grande table de bois et se mettant face à elle, commença à lui dévorer le cou, faisant jouer ses dents sur la peau blanche de cette peau si douce, faisant mine de ne pouvoir se retenir, y ajoutant quelques bruits dignes d’un grand prédateur, il repoussa ses longs cheveux vers l’arrière et commença à dégager une épaule qu’il se mit à mordiller goulûment, il avait envie de prendre son temps, de transmettre son appétit à sa belle et de voir ses réactions à ce nouveau jeu. La vue sur son décolleté lui donnait bien des idées mais il allait laisser monter le désir et voir les répercussions sur sa belle à sa merci pour l’instant.
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Myriam11
Elle était trop heureuse de se laisser prendre au jeu...Myriam renversa sa tete en arrière et se laissa faire avec délectation. Les ardeurs de Max la rendait folle de désir, ses baisers fougueux, sa langue si douce la laissait sans voix...juste un gémissement jaillit de ses lèvres. Elle releva la tete avec peine, elle avait espéré que ce baiser soit éternel mais se releva et enfoui son visage dans les cheveux de son amant...Elle huma son odeur d'homme impatient d'amour, lui entoura les épaules et le regarda avec gourmandise.

Mon tendre Max, nous avons encore d'autres pièces à visiter, je vais te faire admirer celle que je préfère si tu veux bien....mais en attendant laisse moi descendre, sinon c'est moi qui vais te dévorer...d"amour. Attention, moi aussi je suis affamée.
Elle l'entraina vivement vers un lieu qu'il ne connaissait pas encore mais qu'elle avait décoré avec amour...Max était encore dans son nuage quand elle le fit sortir en riant de la pièce.

La chienne avait levé la tete mais savait que sa maitresse était heureuse...seuls ses yeux surveillaient. Ils brillaient dans la pénombre, Pépita était le témoin secret de leur amour si puissant que rien ne pouvait retenir maintenant...
Myriam carressa sa chienne, lança à Max un regard un brin coquin et l'embrassa avec une passion qui le laissa cloué sur place...

Max la suivait, elle savait ou elle allait...surprise.
Myriam11
.... Pépita se leva et se dirigea vers la porte, elle voulait sortir...comme à son habitude elle voulait faire savoir qu'elle était là..elle aussi!! Myriam lui ouvrit et la chienne s'en alla chasser les lapins, qu'elle n'attraperait jamais, dans les herbes aux alentours.
Myriam se mit à rire et se retournant vers Max, elle recommenca à le narguer gentillement....

Cette fois ci nous sommes seuls mon bien aimé, prends ma main, ferme les yeux, je te dirige droit vers ma cachette...tu vas etre surpris, j'ai fais celà pour nous. Nous allons etre tranquille pour un moment.
Myriam déposa un baiser sur les lèvres de son amant et l'entraina vers un lieu ou nul à part eux ne pouvait entrer...La porte se referma derrière les deux amants, Myriam était aux anges ,Max semblait surprit mais content, celà se voyait dans ses yeux ....La demeure était grande mais elle savait toujours ou elle voulait entrainer son Amour. Un lieu de paix et de tranquillité pour pouvoir enfin etre tranquille..Elle quitta sa jupe, elle avait chaud, se dirigea vers une pièce illuminée et ouvrit la porte en grand.
La lumière illuminait la chambre, Myriam se retourna et scruta le regard de son bien aimé. Il semblait comblé d'aise...Elle lui sauta au cou en l'embrassant avec une fougue peu commune et le fit basculer sur les draps étincelants de blancheur; il la serra dans ses bras et à partir de ce moment là, plus rien n'avait d'importance pour eux deux, à part s'aimer....Pépita veillait au dehors.
Myriam11
Un bruit étrange la tira de son son demi sommeil...Myriam se leva rapidement, Max était parti depuis déjà quelques heures , elle s'était endormie et ne l'avait pas entendu sortir....Comme toujours il était discret, ce qu'elle aimait chez lui.

Elle secoua la tete et passa une main dans ses cheveux pour les arranger, peine perdue...Elle était heureuse mais fatiguée.
Elle chercha en premier dans la maison mais tout était calme...
Elle sortit discrétement par la porte et découvrit l'origine du bruit.

Qui etes vous, dit elle à l'inconnu qui se tenait devant elle ?

Myriam fit un bond en arrière en voyant le spectacle qui se déroulait devant elle...
Max_premier


Le lendemain du bal masqué :

Max avait fait plusieurs allers-retours entre la salle des fêtes et le bureau de Myriam la veille au soir, essayant de la persuader de venir s’amuser. Il avait fini par l’entraîner presque de force et s’était persuadé que derrière un des masques des dames du bal son ange s’y trouvait. Lui-même bien déguisé, elle n’aurait pu le reconnaître. Il avait fini par la rejoindre pour passer la fin de la nuit mais au petit matin avant qu’elle ne fût réveillée il s’était sauvé discrètement pour remettre son costume.

Revenant après avoir pris le temps de s'occuper de ses bètes chez lui. Il entendit un bruit assez fort qui apparemment fit sortir de son sommeil sa belle car il la retrouva sur le pas de la porte et se dit qu’il allait profiter de l’occasion vu qu’elle posait une question, il allait y répondre même si ce n’était pas lui le premier intéressé car en cherchant bien, il ne vit personne d’autre à moins qu’il soit particulièrement petit ou habile à trouver un endroit parfait pour se cacher.

Qui je suis Demoiselle ? Je suis Chilpéric… j’étais au bal hier soir et je vous ai vu avoir du mal à vous cacher derrière de belles zébrures jaunes et noires et j’avais envie de vous porter le prix que je vous ai attribué juste après votre départ dans la salle de bal, puis-je ?
Myriam11
La faible lueur matinale zébrait le ciel de couleurs multicolores, elle tenait toujours la porte, fit glisser une main vers sa hanche...l'homme qui se tenait devant elle semblait entouré de brume, la clarté de ce moment semblait irréelle, il était vétu de noir mais son visage lui renvoyait une lumière éblouissante...le soleil se levait sur le masque. Myriam retint un cri en serrant les dents...puis, écarquillant les yeux de stupeur et de soulagement elle reconnu le masque d'or.
Elle souffla tout en regardant Max avec étonnement. Lui otant le masque elle l'embrassa avec fougue.


Max, mon tendre amour, tu veux me faire mourir de peur, c'est celà dit'elle en lui passant les bras autour du cou. Mais quel est ce bruit que je viens d'entendre, il semblait venir de dehors...je comprends maintenant pourquoi Pépita n'a pas aboyé, elle t'avait reconnu. J'ai du rever, pourtant je suis bien éveillée..

Elle entraina son bien aimé vers l'intérieur quand un craquement se fit entendre à sa droite. Myriam se retourna, elle était rassurée par la présence de Max, se sentant plus hardie elle partit en direction de l'angle de la maison, Max essaya de la retenir mais elle voulait savoir, la peur revenait, elle voulait pouvoir dormir tranquille. Elle tourna à l'angle et se retrouva face à ...une vache qui la regardait avec de grands yeux tristes. La pauvre bête se régalait des fleurs qu'elle avait planté avec tant d'amour. Les branchages craquaient sous son poids...elle frotta ses cornes contre le mur, puis lentement fit demi tour et s'engagea vers le petit chemin menant au puit.

Myriam éclata de rire et sauta dans les bras de Max...

Mon tendre amour, dis moi que je suis vraiment stupide, j'ai eu peur d'une pauvre vache perdue. Tu as le droit de te moquer de moi, mais dis moi quel est le prix qui m'a été attribué hier soir au bal, celui de l'abeille la plus maladroite de Montmirail j'imagine...Je me sens vraiment honteuse mais mon costume fait à la hate n'a pas survécu à la maladresse de mes pieds qui ont butés contre l'épée. Quelle idée de prendre une arme pour aller à un bal vas tu me dire...mais c'est une habitude chez moi, elle me quitte rarement. La prochaine fois je ferai en sorte d'etre digne de Messire Chilpéric . Pour etre franche, je t'avais reconnu quand tu es sorti du bal en début de soirée...je connais si bien ta démarche , quand à moi, au moins je n'ai piqué personne .Elle prit la main de son amant et ensemble ils entrèrent pour une collation bien méritée.
Max_premier
Max ? qui est donc Max ? Il n’eut pas le temps de continuer son petit jeu qu’elle lui avait enlevé son masque et l’embrassait avec fougue…

Et bien dit donc, tu fais ça à tous les inconnus ? Je vais finir par me poser des questions. Il la tenait maintenant dans les bras quand un autre bruit se fit entendre, un craquement, des piétinements. Il allait se mettre devant elle pour voir ce qui se passait mais elle fut plus rapide que lui et sans peur, le laissant en arrière elle se précipita sur le côté de sa maison et là, le spectacle après le doute passé la fit éclater de rire et le rejoindre aussitôt.

Il regarda la pauvre vache gourmande et sa belle encore un peu sous le choc qui se moquant d’elle-même, se mit à lui dire qu’il pouvait en faire autant, mélangeant tout sur ces entrefaites, la peur de la vache, le bal masqué et le costume déchiré.


Tu m’avais reconnu ? Hum à quoi donc me vaut cet honneur, ma démarche est si particulière ? car ma voix, je l’avais bien déguisée me semble-t-il ou alors c’est que ce Chilpéric là, te faisait quelques effets ? Son masque d’or peut-être ?
Il remis le masque devant son visage et tout en la suivant faisait semblant de vouloir l’attraper et l’embrasser.

Que veux-tu faire de ton homme masqué ? Quel endroit veux-tu lui faire découvrir ?
Le masque ne pouvait pas cacher ses yeux malicieux et l’ayant attrapé, il la dévorait des yeux. Je ne me moquerai jamais de toi.. mais j’aurai aimé te faire tourner sur la musique là bas.. Ils avaient refermé la porte derrière eux et imaginant quelques troubadours lancer la mesure sur un air entraînant, il lui attrapa la main, le masque toujours baissé, la cape noire sur le dos, il l’entraîna dans la grande salle qu’il connaissait maintenant, la faisant tourner et chantonnant l’air qu’il avait en tête.
Myriam11
Sa frayeur matinale était maintenant bien loin...Myriam se laissait guider dans les bras de Max. Le masque d'or étincelant la rendait encore plus attirée par l'homme qui se trouvait devant elle, la tenant fermement pour virevolter dans la pièce à demi éclairée, le soleil était son complice.
Ils dansaient en mesure, chantant ensemble un air des troubadours entendu au bal. La cape noire se resserait de plus plus autour d'elle...
Tout en suivant Max dans cette danse entrainante, Myriam apercut le déguisement qui gisait sur le vieux fauteuil...elle eu un pincement au coeur. Qu'importe se dit'elle, la prochaine fois je tacherai d'etre plus habile dans mon travail de couturière. Butina attendrait les beaux jours pour ressortir ses rayures jaunes et noires.
Max ne pouvoir imaginer quel point elle connaissait son corps musclé tout en étant fin, sa démarche si attirante pour elle, son odeur dont elle était imprégnée. C'est pour celà qu'elle pensait l'avoir reconnu dans l'ombre de la porte de la salle des fetes...elle ne s'était pas trompée. Une femme amoureuse reconnaissait son amant instinctivement, elle devait etre comme les louves, fidèle et respectueuse pour la vie à un seul male...et Max était son male.

Levant les pieds elle glissa un mot à l'oreille de son bien aimé. Max la regarda avec un petit air mi etonné, mi amusé, ota son masque, sa cape et lui tendit la main.

J'ai une petite surprise pour toi mon tendre Max, je n'ai pas besoin de miel pour t'attirer et ne t'en fais pas, les inconnus j'en ai encore jamais vu par ici , il n'y a que toi dans mon coeur. Ferme les yeux.


Elle le dirigea lentement ,avec malice et fierté vers la petite pièce qu'elle avait décoré pour lui. Elle espérait qu'il serait content...
Tu peux ouvrir les yeux mon amour, cette pièce sera ton domaine quand tu viendras chez moi, je sais que tu as besoin de place pour tes plantes. Ne fais pas cette tete, je ne veux pas te retenir prisonnier, je veux tout simplement te voir plus souvent. Embrasse moi et retombe sur terre, le bal est fini...

Myriam entoura Max de ses bras, elle ouvrit sa chemise et posa sa tete sur son torse. Son amant la regarda avec un air gourmand, tout en regardant autour de lui, il caressa son visage et ensemble s'allongeairent sur le petit lit que Myriam avait pensé mettre....au cas ou Max serait fatigué.
Ils roulèrent sur le lit, enlacés, le désir avait pris le dessus. le soleil était haut dans le ciel, l'amour avait prit place.
Les mains de Myriam se firent gourmandes...tout était calme. Pépita dormait devant la porte.
Max_premier


A la découverte de la surprise de Myriam

Il avait déposé son déguisement quand elle lui avait chuchoté vouloir lui montrer une surprise. Sous ces directives, il lui tendit la main tout en fermant les yeux, amusé par ce genre de jeu, elle retournait la situation comme à chaque fois et cela lui plaisait bien en fait. Le jeu du chat et de la souris était très agréable, il se laissait faire en confiance et quand elle l’eut conduit dans un petit couloir qu’il sentit par sa main libre et qu’un peu de lumière filtra à travers ses paupières, il eut l’autorisation d’ouvrir les yeux.

Surpris, il regarda la pièce arrangée avec goût, des étagères multiples, une table de travail et sa chaise, un lit. Tout était petit mais tout était à sa place. Il la regarda cherchant dans ses yeux la réponse à ses questions mais n’eut pas le temps de les poser qu’elle lui annonça que ce lieu lui était réservé pour venir y travailler mais pour se trouver plus près d’elle surtout.

Il n’avait encore partagé aucun logement avec une femme à part enfant avec sa mère et il lui fallut quelques minutes pour réaliser et si la situation inconsciemment lui donna quelques doutes, ils furent vite balayés quand il vit dans les yeux de sa belle et dans ses gestes tout l’amour qu’elle lui portait. Il la vit lentement lui ouvrir sa chemise et posé avec tendresse sa tête sur son torse. Il lui caressa les cheveux, passant sa main lentement dans ses boucles et s’attardant sur sa nuque chaude puis attirant doucement son menton vers lui, l’embrassa tendrement, la tenant pour l’emmener sur le petit lit où ils se mirent à rouler en souriant.


Il sentit les mains douces de sa belle passer sous la chemise, caressant avec soin son torse, les yeux à demi-fermé comme si elle voulait à la manière d’un malvoyant découvrir et retenir tous ses muscles qu’il bombait instinctivement. Il se laissait faire, appréciant d’être ainsi son objet.

Je suis chez toi, à ta merci… merci pour tout cela, je suis très touché et je vais voir comment m’organiser mais pour l’instant, fais de moi ce que tu veux… je suis à toi.
Il lui sourit malicieusement ouvrant grand les bras sur les côtés, laissant son torse dénudé, fermant les yeux en souriant.
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Myriam11
Les bras en croix, Max était étendu sur le petit lit ....Myriam le regardait avec amour, elle l'avait pour elle seule...enfin, elle l'espérait. Un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres, il était à sa merci, abandonné et confiant. Elle était heureuse que cette pièce lui plaise, elle y avait mit tant d'amour pour la décorer, tant d'heures prisent sur son sommeil mais qu'importe, il était là, c'est tout ce qu'elle souhaitait.
Elle se pencha lentement et l'embrassa avec fougue. De ses mains fiévreuses elle continua son exploration, Max était fin mais musclé, son torse était chaud et doux comme tout son corps...Elle sentit monter en elle une vague d'amour et tenta de la calmer. Elle retira les mains gourmandes et d'un geste rapide se laissa tomber sur son bien aimé tout en lui emprisonnant les poignets. Il leva la tete avec un regard surpris et amusé à la fois...


Je te tiens, voyons qui est le plus fort dit'elle en riant...Hum, je crois que je n'ai aucune chance mais essayons quand meme. Je coupe du bois tous les jours, regarde mes muscles....
Max en profita pour se libérer entièrement , tendrement mais fermement il l'entoura de ses bras...Myiam était prise à son propre piège mais c'est ce qu'elle cherchait. Les yeux fermés elle leva le visage vers son amant et attendit un baiser. Elle ne tenta pas de se libérer, les bras de Max lui faisaient un nid douillet et rassurant. Elle blottit la tete sur son torse et d'un geste doux lui caressa le dos....Mais il était temps de passer aux choses sérieuses, elle devait lui faire découvrir tant de choses encore..Elle roula sur le coté et se retrouva au sol. Elle avait oublié que le lit était petit, trop petit...Après un instant de stupeur elle éclata de rire en voyant la tete que faisait son bien aimé.

Ce n'est rien mon tendre amour, le lit n'est pas haut et j'aurais du faire attention dit'elle en lui tendant la main.
Elle se releva et se jetta dans ses bras en riant. Viens, j'ai un tas de choses à te faire découvrir dans cette pièce, tu es chez toi ici, c'est ton domaine...
Mais en attendant allons manger un peu, la faim commence à me tenailler. Ensuite je te ferais découvrir le reste de ma cachette...tu n'es pas au bout de tes surprises...
Max_premier
Il était là abandonné, prisonnier d’amour, elle le regardait avec un sourire malicieux un sourire de louve affamée comme elle le disait, ce qui n’était pas fait pour lui déplaire. Il se laissa embrasser goulûment et caresser. Elle aimait le parcourir pour se rassurer peut-être qu’il fût bien là en chair et en os et plus en rêve comme ils se l’écrivaient quelques temps plus tôt. Son regard se fit plus intense et la voilà qu’elle se jette sur lui, lui retenant les poignets de force.

Elle le mit au défi, ce qui le fit sourire, il la laissa jubiler une minute ou deux, constata que ses bras s’étaient effectivement raffermis aux travaux des bois puis sans plus de difficulté l’attrapa en se tournant et la fit glisser dans ses bras près de lui. Elle ferma les yeux et il put rejoindre ses lèvres entrouvertes prêtes à être conquises d’un baiser fougueux. Elle posa sa tête contre son torse et tendrement enveloppée de ses bras se laissa aller à la volupté.


Nous sommes bien ici, même petit ce lit peut servir tu vois ? Elle roula sur le côté pour constater les faits et se retrouva au bord du lit puis à terre. Il se retint d’éclater de rire avant de savoir si elle n’avait rien puis la regardant rire elle-même, rassuré il la rejoint en riant. Tu n’as rien mon ange ? Tu n’as pas besoin d’un petit massage pour te remettre d’aplomb ? lui proposa-t-il d’un air faussement sérieux.

Il l’aida à se relever et la reçut dans les bras. Elle lui annonça vouloir lui faire d’autres surprises et lui proposa de manger. Hum j’adore tes surprises ma belle, manger oui, j’ai grand faim, comme la dernière fois ? ajouta-t-il en la suivant la tenant par la taille, ayant eu juste le temps de remettre sa chemise un peu en ordre. Hum… toutes les cachettes oui, je veux tout découvrir avec toi. Ils riaient et marchaient vite, comme de jeunes fous dans les couloirs de la maison. Max se sentait bien ici, la maison était chaleureuse et sa propriétaire encore plus.
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Myriam11
Bras dessus bras dessous, ils parcoururent le long couloir qui menait à la cuisine. Elle avait faim, Max aussi. Elle avait tout prévu, le repas serait simple mais copieux.
Poussant la porte d'un coup du genou Myriam entra dans la cuisine, Max essayait de lui arranger sa jupe qui était encore toute froissée...qu'importe pensa t'elle, ils étaient seuls, Myriam n'avait que faire de sa tenue quand elle était chez elle. Elle était nature, et n'avait aucune contrainte dans sa demeure. Meme l'épée restait dans son coin, près de la cheminée, mais toujours prête à la défendre. Avec Max elle ne risquait rien, mais bien souvent elle était seule et sa chienne était trop vieille. Pépita dormait beaucoup...trop même.
Elle posa les assiettes sur la table, la viande, la miche de pain et les galettes.
Elle sentit soudain un souffle chaud dans son cou, se retourna et embrassa son amant avec amour.

Max avait ce regard qu'elle connaissait bien maintenant, elle l'entoura de ses bras, puis ....mais non, il fallait manger, prendre des forces. Il fallait encore aller au puits pour tirer de l'eau. L'hiver arrivait à grand pas, il fallait aussi couper du bois.
Myriam ne voulait pas que Max se sente géné, elle avait l'habitude de faire ces besognes, elle gardait tout pour elle, ses joies et ses peines...ses corvées .
En regardant son tendre Max, Myriam se sentit fléchir...lui sautant au cou elle le força à s'assoir pour manger.

Le repas terminé Myriam débarrassa la table avec un air complice, Max semblait fatigué, elle se pencha sur lui, passant la main dans ses cheveux elle lui murmura à l'oreille...

Viens mon bien aimé, tu sembles las, il est temps d'aller faire un tour au dehors, l'air est pur, frais, je vais te reveiller...

Elle ota ses chausses, sa jupe, son jupon blanc virevoltant autour d'elle, Myriam prit la main de Max et tout en continuant à enlever ses habits elle l'entraina vers le lavoir..... son lavoir. Il fallait se reveiller...
Elle savait comment faire.
Myriam11
Elle tira Max avec entrain, il avait l'air fatigué...surement la digestion. L'air était encore doux, les fleurs étaient toujours là, sauf celles englouties par cette pauvre vache. Myriam faillit exploser de rire en repensant à cette histoire..une grosse peur pour rien.
Elle se retourna et sourit à son tendre amour.
Mon doux, tu avances, ou faut'il que je te porte ? Je ne pense pas y arriver mais je j'ai une idée pour te faire marcher plus rapidement.

Myriam lui lacha la main, elle défit les derniers lacets de son corsage, remonta son jupon pour éviter d'écraser les si belle fleurs. D'une main elle remonta ses cheveux bouclés, se retourna et d'un regard coquin défiat Max.
L'herbe était fraiche sous ses pieds, l'eau du puits surement glacée, celle du lavoir aussi...mais tant pis. Ils avaient besoin d'un peu de fraicheur pour avoir les idées claires.
Comme une gamine elle se dirigeat en sautillant vers le petit lavoir, elle lacha ses cheveux, mit son corsage sur la margelle et ...non, l'eau était trop froide. Le jupon qui avait été blanc était autour de sa taille, elle fit un autre essai, trempa sa main dans l'eau.
Un souffle chaud dans le cou lui réchauffa le corps et le coeur, Max était enfin là, mais décidement l'eau était froide. Elle tourna sur la pointe des pieds et embrassa son amant avec amour.


Je crois que je préfère me rafraichir à l'intérieur dit'elle d'une petite voix, l'eau est glacée et moi aussi. Prends moi dans tes bras, j'ai froid.

Max la regardait en souriant, quelle idée de vouloir plonger dans le lavoir, ce n'était plus la saison...Il l'entoura de ses bras, la souleva comme une plume et prit le chemin de la maison...ils avaient tant de choses à découvrir ensemble....quelle idée avait elle encore eu là. Il savait qu'il ne la changerait pas, Myriam était imprévisible et tétue. C'était peu etre pour cette raison qu'il l'aimait.
Max_premier
Max avait le ventre emplit, repus. Après avoir couru jusqu’à la cuisine où elle avait tout prévu, Max avait fait un repas très simple mais goûteux. Il avait à plusieurs moments essayé de la détourner du repas, en l’embrassant, en la prenant dans ses bras, sur ses genoux après qu’elle l’ait forcé à s’assoire mais elle avait très faim et lui aussi, il se surprit. L’amour donne de l’appétit.

Profitant de la tiédeur de la cuisine, de l’ambiance qui y régnait et surtout de l’après-repas, Max laissait faire sa belle. Elle tournait autour de lui, rangeant ceci, nettoyant cela. Il aimait à la regarder ainsi et quand elle lui demanda de sortir, il eut bien du mal à se sortir de la chaise.


Tu es sûr ma belle dehors ? tu ne préfèrerais pas…
Il n’eut pas le temps de continuer qu’elle l’avait déjà entraîné sur le pas de la porte à l’arrière de sa maison, qu’elle fit tomber un à un ses vêtements le laissant ébahit et sans voix. Elle l’attira près du lavoir mais il avait du mal à savoir ce qu’elle lui voulait.. Me porter euh… je sais que tu es forte mais…

Souriant, il la vit le regarder avec envie et défaire lentement le lien de son corsage laissant apparaître la peau blanche de son cou, elle remonta les jambes et son jupon pour laisser les quelques fleurs résistantes aux premiers froids enjoliver les alentours puis sautilla, lâchant ses cheveux qui retombèrent sur ses épaules cachant sa poitrine dénudée. Seul le jupon la cachait maintenant et quand elle trempa la main dans l’eau froide, il voulut la retenir et s’approcha près d’elle, elle se retourna et l’embrassa puis se blottit dans ses bras. Il lui sourit, relevant une mèche de ses cheveux qui tombait dans ses yeux. Tu es folle ma belle, tu vas prendre froid et je devrai te soigner, allez zou… on rentre, j’ai bien meilleur idée pour te tenir chaud et puis masser tes fesses qui ont souffert tout à l’heure. Il faut que je teste les huiles que j’ai déjà concoctées pour les thermes.

Il l’avait attrapé dans les bras et soulevé sans mal et après l’avoir embrassé passionnément, il la ramena dans la maison, dans la petite pièce qu’elle lui avait réservée. Il la coucha sur le lit et l’entoura d’une couverture.


Attends moi là, je prépare tout et je viens te masser, reposes toi pendant ce temps là, j’en ai pas pour longtemps, je cours chez moi et te rejoins.
Il l’embrassa encore une fois et se mit à courir jusque chez lui, rue des Ambuleurs.
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