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RP 5rue du bois, la cachette dorée de Myriam11

Myriam11
Après avoir longuement discuter avec Irella, lui faisant part de son désir de baptiser Clément, Myriam l'avait raccompagnée au portail ...la regardant partir, elle lui adressa un signe amical de la main. Irella avait été la seule personne qui était venue la voir depuis bien longtemps...
Myriam admira encore le cheval à bascule, Clément allait se régaler dans quelques mois...elle souleva le jouet pour le rentrer dans la maison...


Mon Dieu qu'il est lourd dit-elle en le posant près de la table Irella a décidement beaucoup de forces pour l'avoir transporté sur un si long trajet. Myriam se pencha, caressant le cheval comme si il avait été pour elle...bel objet, elle sourit, se demandant si Anorion en était l'artiste.

Un bruit soudain lui fit lever la tête, un bruit de froissements, un autre sourd...elle se releva, se dirigeant vers la fenêtre. Elle l'ouvrit en grand...l'oiseau blanc était revenu, épuisé. Elle prit la colombe dans ses mains tremblantes, cherchant des yeux un bout de parchemin...rien. La bête était blottie au creux de ses mains, s'étant cognée contre la fenêtre elle semblait morte, elle ne bougeait pas mais Myriam sentait contre ses doigts les battements de coeur furieux de ce petit voyageur qui revenait bredouille...La missive était arrivée à l'hospital... il n'y avait pas de réponse. Une larme roula sur sa joue chaude, elle porta la colombe à ses lèvres, l'embrassant doucement pour la calmer. Fermant le fenêtre elle s'en fut vers le couffin...l'enfant se réveillait...
Myriam11
Son coeur battait la chamade, enfin Max avait répondu à ses appels...il avait laissé un parchemin au bureau des parrainages. Attendant qu'elle ne soit pas là, il avait déposé la missive près de la porte...Elle l'avait déjà lu mais voulait être chez elle pour la relire encore, au calme, avec leur enfant près d'elle. Myriam entra, Clément dans les bras...il la suivait partout, jamais il ne restait seul...Déroulant le parchemin, elle prit une chaise, tenant le bébé sur ses genoux elle relut calmement...

Citation:
Mon Ange,

Ta colombe m'est parvenue et a apporté avec elle le soleil dans mon coeur. Les jours se ressemblent tellement ici, endeuillés et si difficiles à imaginer car la raison se refuse de croire qu'un tel fléau puisse exister alors qu'Aristote veille sur nous.

Je t'en supplie prends soin de toi et de Clément, les jours sont si longs sans vous mais mon seul espoir, ce qui me fait tenir, c'est que vous alliez bien. Le reste importe peu, ma fatigue... Je ne fais que rêver que le lendemain enfin, le soleil entre à flot à l'hopital et que la maladie s'est éloignée ; que tous les gens repartent et que je puisse rentrer pour vous serrez fort dans mes bras en vous retrouvant rue du bois. Mon seul espoir, pour en arriver là, vient du fait que moins de malades se présentent, petit à petit, nous gagnons du terrain et le nombre de gens guéris est en progression, ce qui est bon signe malgré tout? On m'attend encore et je dois vous quitter sans oublier de te dire ma belle que je t'aime.

Embrasse fort notre fils et prends soin de vous deux. Max.



Une fois de plus les larmes menaçaient de couler...se rendant compte de la fatigue de son amant, ne sachant que penser. La missive laissait ressentir une grande lassitude, Max était fort mais le corps avait ses limites...il devait se reposer. Que se passait-il donc ? Sachant que l'épidémie s'éloignait, beaucoup de villageois étant revenus, un doute germa dans son esprit fatigué par tant d'attente, d'angoisses...Lui cachait-il quelque chose ? Elle espérait de tout son coeur qu'il n'était pas malade, il avait tant donné pour les autres. Et Lillaka, comment allait-elle ? La sachant elle aussi très fatiguée depuis longtemps, Myriam s'inquiéta encore plus. Max et Lillaka étant très liés depuis fort longtemps, elle savait qu'ils prenaient soin l'un de l'autre...cette idée la rassura un peu. Il n'y avait point de jalousie dans ses pensées, simplement une interrogation...La séparation durait depuis tant de semaines, son amour lui manquait, le sommeil l'avait quitté, les nuits étaient devenues interminables. Elle essuya une larme, soulevant Clément dans ses bras, elle le serra très fort en l'embrassant avec tout l'amour qu'une mère peu donner à son enfant. Il la regardait avec curiosité...avait-il compris la peine que ressentait sa mère ? Oui, il n'y avait point de doute...D'un geste las elle repoussa une mèche qui barrait son visage, il lui fallait rester forte. Max l'aimait, il aimait son fils...elle se douta que l'attente serait longue mais elle tiendrait le coup pour lui, pour leur fils, pour eux trois...
Max était son premier amour, et resterait le seul amour de sa vie...il avait besoin d'elle pour garder espoir.
Myriam11
Ce soir là,une brise légère balayait son visage aux traits fatigués...quittant le petit lavoir dans la cour ou elle s'épuisait depuis de longues heures, le linge s'étant entassé après tous ces évènements, Myriam se pencha sur Clément qui s'amusait tranquillement à mordiller ses pieds...Couché sur une couverture il était heureux, c'était un enfant tranquille, elle le surveillait quand même étroitement car commençait à savoir se déplacer...en rampant, puis à quatre pattes. Il était curieux de tout, les yeux pétillants il lui fit un grand sourire.

Elle le souleva en riant, l'embrassant de tout son coeur...ramassant la couverture Myriam prit le chemin de la demeure, une idée avait germé dans son esprit, elle devait sortir d'ici...Clément aussi. Il était temps pour lui de connaitre Montmirail et ses habitants. La variole était loin... depuis longtemps...il n'y avait plus de risques.
Elle entra dans la maison, son enfant dans les bras...il tirait sur ses cheveux, elle se mit à rire...évitant de penser au passé. Un jour elle expliquerai tout à son fils...son père l'aimait, mais...
Myriam11
Ils attendaient devant le portillon...dans sa hâte pour aller à l'hospital elle avait oubié les chiens. Ils étaient revenus seuls...ses fidèles compagnons. Elle ouvrit rapidement la porte, Clément dormait dans ses bras...il était toujours aussi chaud, la fièvre collait ses cheveux, il respirait si mal qu'elle en eu le coeur soulevé...une larme de rage coula sur ses joues. Pourquoi lui, pourquoi elle...il était si fragile, si innocent. Ils ne méritaient pas celà...la solitude pesa un peu plus plus lourd sur ses épaules.
Posant son fils dans le couffin, elle sortit, se dirigeant vers le puits elle ramena de l'eau pour la faire chauffer...Les bûches, elle ressortit, il fallait maintenant allumer le feu...la sueur ruisselait sur son visage.
Elle se pencha sur le couffin, déposa un baiser sur le front brûlant de Clément puis s'activa près de la cheminée...
Bradwen
La nuit était déjà tombée lorsque Bradwen se présenta devant la maison de Myriam. Il rentrait de l'hospital et se dirigeait vers le chemin de Melleray...en faisant un petit détour par la rue du bois. Lorsqu'il frappa à la porte, des aboiements de chiens lui répondirent immédiatement. Point rassuré, le paysan n'hésita pas à se présenter.

Dame Myriam, z'etes-là ? C'te moi, Bradwen le paysan. On s'est vu tantost à l'hospital. Z'etes-là ? J'venions juste pour m'assurer qu'vous avez b'soin d'rien... qu'vot' petiot va bien !
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Myriam11
Clément avait prit un bain, longtemps, elle l'avait cajolé pour le calmer. Il était maintenant plus serein, son visage était redevenu rose...grâce à une vieille paysanne qu'elle connaissait, elle avait trouvé un onguent avec lequel elle l'avait frictionné, les anciens avaient leurs remèdes, n'y croyant guère elle avait quand même tenté...Son enfant repirait un peu mieux à présent, la toux se calmait...
Myriam le tenait dans ses bras quand elle entendit un voix au dehors...
Elle déposa le bébé dans le couffin, ne voulant pas le reveiller...ouvrit la porte à Bradwen, son confident...son ami. Il s'était déplacé pour avoir des nouvelles..


Bradwen, je suis heureuse de vous voir, mais entrez donc. Prenez place, j'avais préparé un repas, vous devez être fatigué. Vous aviez raison, Clément va mieux, il a surement dû prendre froid, je me suis angoissée si vite...c'est ma nature, personne ne me changera. Il est le seul être qui me reste, je l'aime tant que parfois je ne réfléchis point.

Un sourire se dessina sur son visage, Bradwen était vraiment un homme comme elle en connaissait peu...sensible, aimant son prochain et si serviable...Son regard changea...ses yeux brillaient, elle sentit un frisson... elle était soulagée.
Bradwen
La porte s'ouvrit et tout de suite le visage de dame Myriam semblait plus serein que lors de sa visite à l'hospital. En l'entendant dire que son petit allait mieux, Bradwen ne put retenir un soupir de soulagement.

Ah ben j'suis ben content qu'il aille mieux vot'petiot !... Vous savez, tantôt, à l'hospital, quand j'vous avions dit qu'ça d'vait point être grasve, j'le pensions... mais j'pensions aussi qu'vous alliez voir Max ou Lillaka pour vous assurer qu'c'était point grasve. Alors quand j'vous avions vu quitté l'hospital toute seule... comme ça... j'vous avoue que j'me suis inquiété un p'tit peu.

Bradwen tendit l'oreille, écoutant les bruits à l'intérieur de la maison.

Il... Il dort ? J'entends rien... il a l'air d'estre ben paisible alors...

Elle l'invita à entrer mais il déclina l'invitation...

Non, non dame, j'venais point pour vous déranger... j'voulais juste m'assurer qu'tout allait bien. Si vous avez b'soin d'quelque chose pour vous ou vot'petiot, n'hésitez point à passer chez moi. J'habite au 3, chemin de Melleray, dans l'bout d'Montmirail. Si j'peux vous aider, j'le ferais avec plaisir. En attendant, faut qu'j'travaille un peu dans ma forge... On vient d'm'expliquer pourquoi mes couteaux coupaient moins bien qu'les aut'... et faut qu'j'essaie l'truc qu'on m'a donné afin qu'j'honore rapidement les contrats qui m'tombent d'ssus !

Bradwen s'en retournait lorsqu'il s'arrêta et se retourna vers la maison pour ajouter :

Vous savez, vot'mari, y'fait un travail fantastique à l'hospital ! J'admire son dévouement !

Puis, il reprit la route qui le menait à Melleray.
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Myriam11
Les jours passaient...Clément était à présent guéri, mais elle avait veillé tant d'heures, tant de nuits...la fatigue se lisait de plus en plus sur son visage.
Elle prépara son enfant, il irait à la messe avec elle...le serrant fort dans ses bras, Myriam l'embrassa tendrement sur le front. Il se mit à jouer maladroitement avec une mêche de cheveux, elle les attachait rarement...ils restaient libres sur ses épaules.
Déposant Clément dans son couffin, elle se dirigea vers la chambre pour changer de vêtements...ceux qu'elle portait gardaient les traces d'une lessive bien matinale dans l'eau fraîche du petit lavoir. Il faisait beau, elle en profitait pour tout nettoyer... l'espoir ne quittait pas son coeur meurtri. Elle attendait encore, parfois son regard se perdait dans la poussière du chemin, s'arrêtant à l'orée du bois ou au tournant qui menait à Montmirail...
Myriam11
Il y avait fort à faire en ce jour printanier...déjà puiser l'eau fraîche du puits, une grande quantité. Il fallait nettoyer ce qui servait de petit lavoir...enlever les mauvaises herbes qui commençaient à envahir le chemin et le tour du bassin. Le courage était revenu...elle avait fait un rêve merveilleux, revoyant le sourire si doux de son amant, sentant la chaleur de ses bras. Elle l'avait vu tenant Clément à bout de bras, le faisant sauter sur ses genoux, embrassant tendrement la peau si douce et parfumée de son petit cou. Les rires fusaient...elle était heureuse de les voir réunis à nouveau, le père souriait avec amour à son enfant , le tableau était si vivant, si réel, qu'elle s'était reveillée...croyant sentir la chaleur de Max contre elle. La place à coté était désepérement vide...elle tatait encore le drap blanc, cherchant sa présence. Elle s'était vite levée mais ce rêve lui aussi fait prendre conscience du courage de Max...il était formidable, plein d'amour pour son prochain. Elle savait que pour lui le repos était rare, tout ce qu'elle espérait à présent fut qu'il ne soit pas malade...Elle pria fort pour tous ceux qui travaillaient à l'hospital, sachant qu'ils risquaient leur vie, elle était fière de Max...Max, Max...elle secoua la tête.

Un bruit étrange se fit entendre au portillon, les chiens se mirent à aboyer furieusement. Elle se baissa pour prendre Clément...que se passait-il ? Elle se hâta vers l'entrée, écrasant au passage les hautes herbes du chemin...elle allait avoir du travail avant de tout dégager.
Myriam11
Tout en essayant d'éviter les branches qui jonchaient le sol, l'hiver n'avait pas épargné les arbres, elle contourna la maison et s'avança au portillon...curieusement elle ne vit rien, seul le ciel devenait menaçant. De gros nuages noirs venant du lointain se découpaient au dessus du village, un grondement proche se fit entendre...L'orage n'était pas loin. Il lui sembla voir une forme derrière un arbre le long du chemin...Les chiens aboyaient toujours, la truffe au vent, ils avaient senti une présence inconnue.
Une goutte lui effleura le visage, elle regarda encore autour d'elle...rien ne bougeait. Seule la cîme des arbres commençait à s'agiter. Clément se mit à pleurer quand un éclair zébra le ciel...il était temps de rentrer se mettre à l'abri, les chiens surveillaient. Myriam pensa à un vagabond, elle n'avait pas peur mais se méfiait toujours des inconnus...
Tout à coup le ciel se déchira...elle courut se réfugier à l'intérieur. Claquant la porte derrière elle, elle la ferma à clé, tout en berçant Clément qui continuait à pleurer, elle se dirigea vers la fenêtre...le sentiment de solitude se fit ressentir à nouveau, plus fort, elle se savait seule, loin du village, isolée avec son enfant...L'épée n'était pas loin, tournant la tête Myriam s'assura qu'elle était toujours à sa place, près de la cheminée...
Son fils avait faim. Déboutonnant sa chemise, elle lui offrit un sein blanc gonflé de lait. Il plongea ses yeux dans les siens, tétant goulument...elle sourit tout en regardant une dernière fois au dehors...le vieux fauteuil lui tendait les bras, elle s'y réfugia le temps de la tétée...
--Herlock_chaume
L'introduction de ce rp se trouve ici


Accompagné de son fidèle compagnon, Herlock Chaume était venu en mandat à Montmirail pour régler une affaire de la plus haute importance. Suivant le protocole établi par la compagnie des cents associés, compagnie à laquelle il appartenait, Herlock vint se présenter à la tribun de Montmirail pour obtenir sa participation à ses travaux.

Bonjour dame... voyons...

Il consulta ses registres que lui tendait son compagnon.

Ah oui voilà... dame Myriam ! Mes dossiers me disent que vous êtes la tribun de Montmirail. Alors je me présente : Herlock Chaume, enquêteur pour la compagnie des cents associés.

J'ai été mandaté pour enquêter et résoudre une affaire qui se nomme désormais chez nous : "La guerre de Montmirail". Un regroupement de paysans de votre village à demander à ma compagnie d'enquêter et de régler une dispute entre plusieurs de vos paysans.

Il consulta une nouvelle fois ses dossiers puis lut à haute voix :

La dénommée Aziliz, dame de son état, semble être en conflit ouvert avec le sieur Tak, comte consort du Maine et Galadryel, également dame de son état. D'autres personnes semblent également être impliqué dans cette affaire.

Dans un premier temps, il va me falloir rencontrer tout ces gens, discuter avec eux et démêler cet écheveau qui semble digne de la Créature Sans Nom ! J'aimerai compter sur votre appui. Je souhaite même, si vous le désirez, vous intégrer à l'équipe d'enquête ici présente... c'est à dire... mon fidèle compagnon et moi-même ! Votre connaissance des personnes impliquées dans l'affaire et notre impartialité devrait être la recette gagnante pour régler ce conflit qui n'a que trop duré. Madame, qu'en pensez-vous ?
Myriam11
Après avoir couché Clément dans la chambre, ce dernier s'étant endormi contre sa poitrine, elle entendit à nouveau un bruit venant de l'extérieur. Par la fenêtre elle n'aperçevait rien...ouvrant vivement la porte, Myriam se trouva fâce à deux inconnus...Après un bref instant de stupeur, reprenant un air amical, elle écouta l'homme qui se présentait comme étant un enquêteur pour une compagnie qu'elle ne connaissait guère...Elle comprit qu'Aziliz avait encore un problème, les paysans semblaient s'être regroupés pour regler des conflits entre eux...il y avait toujours eu des disputes entre les paysans. Elle eut envie de rire...Ce qui la laissa plus soucieuse, ce fut elle entendit le nom de Tack, celà devenait plus grave...La querelle entre eux lui paraissait loin, que se passait-il encore...

Bonjour Messire, cette histoire me parait bien étrange, je pensais les querelles terminées mais si vous avez besoin de moi je suis prête à vous aider. Je connais Dame Aziliz, mon role est aussi calmer les conflits, malheureusement les paysans volent de leurs propres ailes et rares sont ceux qui viennent se confier à moi. J'ai plutôt affaire aux serfs, mais je désire aussi aider les paysans. Vous pouvez compter sur moi, j'aimerais moi aussi y voir plus clair dans toutes ces affaires.

Elle était sincère...voulant que la paix règne entre les paysans, Myriam décida d'aider Messire Herlock_Chaume...et son compagnon. Que se paissait-il ? Montmirail semblait si calme en ce moment...trop calme.
--Herlock_chaume
Madame, vous faites preuve de grande bonté !

J'avais oublié de vous préciser. Mon rôle ici n'est point de condamner ou de punir, mais juste de comprendre et d'aider. Soyez encore une fois assurée de mon impartialité dans cette affaire. Je n'ai rien à gagner ni d'un côté ni de l'autre... Ce dernier point met donc fin à la procédure protocolaire de présentation de l'enquête.

Herlock rendit ses documents à son compagnon et prit du vélin et une plume.

Maintenant, pourriez-vous me donner l'adresse des sus-nommés dame Aziliz, dame Galadryel et comte Tak afin que je recueille leur témoignage ?... ou mieux accepteriez-vous de venir avec moi pour faire office de témoin de leur déclaration ?
--Clodomir
Clodomir prenait des notes sur les propos du tribun.
"Dame Aziliz, dame Galadryel sont des paysannes..."
"Il semblerait qu'on entende moins parler de cette affaire qu'auparavant..."

Le jeune homme attendait la suite...

"Pourriez-vous nous dire ce que vous savez de cette histoire?"
Myriam11
Se tournant vers l'autre homme...

Messire, je ne sais absolument pas ce qui se passe actuellement, comme je l'ai précisé, les paysans se confient très peu à moi, uniquement lorsque celà est vraiment grave. Mais quel est donc ce regroupement de paysans ? Vous me voyez fort étonnée, si je connaissais les noms, peut être que celà m'aiderais pour vous répondre. Peut être une dispute en taverne...Par contre, si vous voulez les adresses des personnes concernées, je vous conseille de vous rendre au bureau du cadastre de Montmirail. Je pense que vous y rencontrerez Dame Galadryel. Je suis désolée, je ne connais pas l'adresse de tous les villageois, certains sont en voyage, d'autres restent très discrets sur leur résidence.

Des pleurs se firent entendre...ils venaient de la chambre. Clément était reveillé, elle pensa à Max, elle aurait tant voulu qu'il soit près d'elle...
Que puis-je d'autre pour vous Messire ?
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