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RP 5rue du bois, la cachette dorée de Myriam11

Max_premier
Il l’avait laissé parlé tout en la regardant préparer le repas puis elle s’était rapprochée de lui, pâle, l’avait entouré de ses bras et il avait juste retenu la fin de sa phrase. Max...tu vas bien ? Regarde moi !!!

Elle l’avait emmené pour s’assoire dans le grand fauteuil est s’était mis devant lui à genoux.

Là il essaya de retrouver ses idées, l’enfant au milieu des chiens, Myriam qui attend un enfant, Max tu vas être papa….


Tout d’un coup, il se redressa, l’air hagard mais le sourire aux lèvres… Il attrapa Myriam par les épaules pour la relever puis la souleva de terre et la fit tourner doucement… je vais être père ? C’est vrai ?

Je vais être papa !!!!! Il se mit à rire aux éclats et embrassa Myriam de mille baisers tendres et il la fit tournoyer encore un peu dans les airs jusqu’à ce que la tête lui tourne et qu’il s’affala avec elle, sur le lit, tout en prenant soin de ne pas lui faire mal…

Ma belle, merci…. C’est le plus beau cadeau que tu peux me faire pour cette fin d’année. Je t’aime et j’aimerai aussi ce petit… garçon ou fille peu importe… Il posa ses mains doucement sur son ventre…

Il souriait à sa belle, complètement gaga, l’embrassait, la serrait dans ses bras… quand il entendit devant la porte des enfants chantés. Il se redressa sur un coude :
Oh je crois que nous avons de la visite… Il se leva, attrapa la cape de Myriam et lui entoura les épaules.. Toi.. tu te couvres et maintenant, tu devras suivre ce que je te dis… Il sentait ses joues chaudes et il enfila lui-même son mantel non loin, entourant de son bras les épaules de Myriam, il l’emmena sur le perron pour regarder le spectacle et écouter les enfants…

Oh Esquimote mais qui sont tous ces enfants ?
Il n’eut pas la patience d’attendre la réponse qu’il lui dit tout d’un coup… Je vais être papa !!!! et il regarda gaiement les enfants se mordant les lèvres, de n’avoir pu tenir sa langue plus longtemps… se demandant si sa belle apprécierait cette confidence mais il était si fier et heureux qu’il voulait que tout le monde le sache.
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Esquimote
A la joie des enfants, Max et Myriam apparurent sur le perron.

Max avait l'air tout joyeux, et lorsqu'il lui demanda d'où venaient tous ces enfants, Esqimote n'eut même pas le temps de lui répondre, qu'il se précipitait pour lui annoncer la merveilleuse nouvelle..

Ohhhhhhh félicitations à vous deux... Un enfant quoi de plus merveilleux pour sceller votre amour. Je comprend donc maintenant l'air bien fatigué que je te trouvait Myriam à la Mairie, et ton empressement à rentrer.. Prends bien soin de toi et de ce petit ange..

Allez la nuit va bientôt tomber, il est temps de rentrer les enfants... Retrouvons-nous demain rue des Ambuleurs.

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By esquimote at 2009-11-26
Myriam11
Myriam s'était retrouvée dehors, bien couverte par la cape que lui avait mise Max...elle était encore sur son petit nuage. Max était content, il avait bondit de joie à l'idée d'être papa. Le chant des enfants était merveilleux, elle regarda son bien aimé avec amour, les bras autour de sa taille, elle s'accrochait à lui, elle était si heureuse...

Bien sur elle avait eu peur de sa réaction, maintenant tout devenait irréel...Max n'avait pu s'empecher d'annoncer la nouvelle à Esquimote, Myriam ne lui en voulait pas, au contraire, elle en était fière, il semblait si heureux. Le chant des enfants s'élevait dans la froidure de l'hiver, les voix étaient claires, elle sentit son coeur chavirer de joie. Elle pensa au bébé, bien au chaud dans son ventre...un jour il serait au milieu des autres, chantant Noel...garçon ou fille, il était déjà aimé, il scellait leur amour.

Myriam pensa aux friandises qu'elle avait dans le buffet, elle se retourna, voulant aller les chercher...Esquimote partait déjà, le vent était glacial, la neige recommençait à tomber. Il fallait que les enfants aillent se réchauffer...elle s'approcha de Mya, celle ci semblait avoir adopté Esquimote, elle en fut contente.
Au revoir Esquimote, à bientôt les enfants, je vous porterai les friandises chez Max, il se fait tard, votre marraine a raison, rentrez vite au chaud. Ne vous en faites pas, vous aurez les friandises demain, je ne vous oublie pas et encore merci pour vos si belles chansons.

Elle leva la tête vers son amant, posant délicatement ses lèvres sur les siennes elle lui dit.


Je t'aime mon amour, tu es merveilleux, notre enfant le sera aussi, je suis sure qu'il va te ressembler, je te promets de prendre soin de moi...enfin de noux deux maintenant. Rentrons si tu veux bien, il fait vraiment froid, je vais te préparer une infusion, j'ai besoin d'un peu de repos, je vais ensuite m'allonger un peu. Mais...tu peux venir me rejoindre pour me réchauffer.

Elle eu envie d'éclater de rire en voyant le regard de Max, décidement Myriam ne changerai jamais, elle avait besoin de la présence de son amour, de sa chaleur, ses caresses...ils rentrèrent enlacés, à l'intérieur les chiens aboyaient, surement encore une bêtise d'Oscar.
Myriam11
Allongée bien au chaud sous les couvertures Myriam revait, elle repensait à cette soirée...elle y penserait toujours. Esquimote chantant avec les enfants sous la neige, la joie de son bien aimé à l'annonce du bébé à venir....Maintenant elle était seule, Max avait du repartir chez lui, il avait du travail.

Elle savait qu'il était encore sous le choc, elle non plus ne s'y attendait pas, mais ce petit était maintenant une joie pour elle, l'aboutissement de leur amour...Elle s'habilla à la hâte pour raviver le feu, il faisait très froid ce matin là.

Elle chercha les chiens des yeux, ils n'étaient pas dans la maison...

Pepita, Oscar, venez vite.Avec eux près d'elle, la tristesse d'être seule semblait moins lourde...
Myriam11
En cette période de Noel, Myriam se sentait seule...la lune lune était pleine mais l'air était glacial. Les chiens étaient couchés à ses pieds, elle leva le visage au ciel et fit une prière. Le bébé commencait à bouger dans son ventre...une pure merveille, une sensation nouvelle mais tellement agréable. Elle pensait à son amour, le père de son enfant...Max, tu me manques pensa-elle, reviens vite.

Myriam remonta sa cape, caressa les chiens et s'en fut vers le puits, il fallait tirer de l'eau pour ce soir, demain...elle avait le temps, elle devait se reposer.
Myriam11
En se reveillant Myriam avait décidé que ce jour serait un jour de Fêtes, elle avait retrouvé le moral, elle voulait que tout soit beau et acceuillant chez elle...Elle se leva vite, mais quand elle chercha son jupon elle comprit vite pourquoi il avait disparu durant la nuit...

Oscar viens ici, je sais que tu es encore un chiot mais ne touche plus à mes habits...Pépita, tu pourrais le surveiller un peu. Sortez de votre cachette, sinon gare à vous.

Elle se mit à rire en pensant aux bétises du chiot, elle aurait du fermer la porte de la chambre, Oscar était plein de vie, Pépita avait une nouvelle jeunesse...elle était contente.

Tant pis pour le jupon, je mets ma jupe mais attention, j'arrive.

Elle s'habilla hâtivement, la chambre était glaciale, se dirigea vers la grande salle pour raviver le feu. Deux paires d'yeux noirs la fixaient sous la table...ils savaient ce qu'ils avaient fait. Elle se baissa, fit mine de les gronder puis les caressa tendrement.

Elle se releva, sentant tout à coup un léger frolement dans son ventre, le bébé voulait aussi une caresse, elle se mit sur le vieux fauteuil, une main sur son ventre elle se mit à rever, Max emplissait son esprit...leur enfant aussi.
Max_premier
Il avait travaillé d'arrache-pied, avait voulu être là ce jour là, le dernier de l'année près de sa future femme et de son enfant à venir.

Les cochons nourris, les champs avaient trouvé le travail d'ouvriers tôt ce matin là. Il avait été au marché acheter sa farine de blé et à un bucheron le bois nécessaire pour faire fonctionner son échoppe.

Toute la matinée, il avait pétri le pain, laissé lever puis mis à cuire de belles miches dorées mais surtout ce qui l'avait tenu heureux toute la journée c'était le cadeau qu'il avait trouvé et il n'était pas peu fier en cette fin de journée particulière d'apporter ceci avec une belle miche de pain croustillante à la rue du bois chez sa belle.




Il la trouva assise dans son fauteuil près du feu. Pour une fois, elle l'avait écouté et se reposait et il s'approcha d'elle doucement. Bonsoir ma belle, me voilà... je voulais t'apporter ceci pour que l'on fête ensemble le passage à la nouvelle année avec plein de jolis rêves pour notre plus beau cadeau à venir.

Il regarda Myriam qui posait ses mains sur le couffin en osier. Tu veux bien que je reste cette nuit près de vous ? J'ai envie de passer les douze coups de minuit allongé près des personnes les plus chères à mon coeur.
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Myriam11
Elle avait cru que c'était encore un rêve...mais ce parfum si bien connu, elle le le sentait de loin. Max était près d'elle...elle n'avait pas revé...

Elle ouvrit les yeux, encore endormie elle embrassa son amour avec tendresse puis vit le couffin...

Merci mon tendre Max, il est magnifique, notre enfant va être comme un roi dans ce berceau. Tu es vraiment le plus attentif des futurs papa. Je t'aime tant, le petit aussi, ou la petite, je suis comblée.

Elle se leva doucement, enlaça Max, lui glissa un mot à l'oreille et l'entraina vers la chambre...

Je suis heureuse que tu sois ici pour l'arrivée de cette nouvelle année, je n'attendai que toi, j'espère que tu n'es pas trop fatigué car moi je suis en pleine forme maintenant. Alors attends toi à passer une nuit blanche.

Elle regarda son bien aimé avec un air coquin, raviva le feu, puis l'entraina vers leur nid d'amour...Myriam tenait le couffin dans ses bras, elle savait déjà ou le placer...

Max était un ange, son enfant aussi, leur enfant...fruit de tant d'amour et de passion. Elle sourit, la porte se referma sur eux...les chiens gardaient la maison.

La lune était pleine, le ciel étoilé, l'amour régnait...elle était heureuse, cette nuit elle était avec son amour, ils allaient s'aimer encore et encore...

L'air au dehors était glacial mais son coeur avait chaud...
Max_premier
Ils s’étaient souhaités mutuellement beaucoup d’amour pour cette nouvelle année à venir pour eux même mais aussi pour l’enfant à venir. Max avait insisté sur le fait que la santé aussi était importante, car il ne savait que trop que soigner les gens que l’on aime était difficile.

Ils s’étaient aimés tendrement et amoureusement. Max était précautionneux habituellement mais encore plus maintenant qu’il voyait le petit ventre de sa belle s’arrondir. Tout en douceur, ses mains avaient parcouru ses courbes qui se remplissaient, ses hanches s’étaient légèrement élargies ainsi que sa taille, sa poitrine avait aussi quelques rondeurs qu’il trouvait fort agréables comme tous les hommes. Même si les femmes enceintes ne se trouvent pas belle, pour lui comme beaucoup d’autres, elles étaient magnifiques et il ne se lassait pas de la voir épanouie dans ses bras. Le feu crépitait dans la cheminée, les chiens les gardaient sagement. La vie s’annonçait belle et prometteuse pour le couple.


Au petit matin, il avait dû reprendre son trajet, laissant sa belle endormie dans les draps froissés. Il avait commencé sa pastorale et bientôt il pourrait prendre sa future femme dans les bras toutes les nuits et devant tous sans le moindre regard réprobateur. Pour lui elle était déjà sa femme, et il lui avait promis fidélité mais il savait malgré ses paroles contraires que pour Myriam être officiellement son épouse était important et il s’y était fait en fait… même plutôt bien... comme de devenir bientôt papa, maintenant c’était une chose de claire ... il était responsable d’elle et de son futur enfant.

Il avait passé encore quelques nuits chez lui mais avec le froid de l’hiver, sa maison lui paraissait si triste, sachant que ici, sa belle l’attendait impatiemment. Il revenait tous les jours, apportant de l’eau, du bois, du pain tout frais mais ce n’était pas comme de vivre tout le temps ensemble encore, il le savait… Cette journée avait été particulièrement froide, les vents humides avaient apporté avec eux de la neige en gros flocons et il avait décidé de rentrer tôt, de se laver, de se faire beau et de retourner chez Myriam et d’y rester si elle le voulait bien.

La nuit était déjà tombée en cette fin d’après-midi, quand il poussa la petite barrière et toquant légèrement était entré chez elle…

Bonsoir ma belle, aurais-tu une petite place pour un vagabond frigorifié ? Sur son bras un panier avec encore un pain doré sorti de son four le jour même, une bouteille d’hydromel, son nectar préféré qu’il avait acheté sur le marché à l’occasion des fêtes de fin d’année.
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Myriam11
Ils avaient passés des moments merveilleux, des instants de bonheur qui resteraient à jamais gravés dans son coeur...Myriam repensait à ces instants quand elle entendit un bruit à la porte. Les chiens n'avaient pas aboyé, ce devait être Max, ils l'adoraient, c'était la fête quand il arrivait.

Elle se retourna et se trouva face à son bien aimé...il avait l'air glacé mais un grand sourire illuminait son doux visage. Ses bras étaient chargés de victuailles ...un pain bien doré et savoureux comme seul Max savait les faire et une bouteille d'hydromel, son péché mignon...Elle lui sauta au cou, posant l'assiette qu'elle tenait dans la main elle l'embrassa avec fougue.

Mon amour, tu es frigorifié, tes lèvres sont bleues, viens près du feu pour te réchauffer. Ton panier m'a l'air vraiment succulent, merci mon tendre Max. Je crois qu'un petit verre de ton délicieux nectar va te faire du bien. Embrasse moi encore, tu vas poser ta main sur un endroit de mon corps qui va te faire oublier le froid et la neige.

Elle entraina Max vers la cheminée, le débarrassa de son panier et se lova contre lui pour le réchauffer...mais aussi pour être plus près de lui, elle avait besoin de son odeur, de sa présence. L'enfant à naitre bougea délicatement, il avait senti que son père était là. Elle en était sure, le bébé ressentait ses sentiments, il savait qu'elle était heureuse...Myriam prit les mains de Max et les posa doucement sur son ventre qui commençait déjà à s'arrondir un peu. Son corps avait changé, ses seins étaient gonflés, ses hanches s'étaient élargies...elle avait abandonné son épée et son bouclier, ses braies étaient dans l'armoire, elle ne mettait que des jupes maintenant. Elle était une femme épanouie, grâce à son amour. Max la regardait avec amour, il avait reprit un teint normal, elle posa la tête sur son torse et sentit son coeur battre la chamade...

Elle savait que son bien aimé suivait les pastorales, ils souhaitaient être unis pour la vie, mais elle ne voulait pas le forcer...il y avait aussi leur enfant, l'enfant de l'amour, personne ne pouvait les critiquer. Ils s'aimaient, cet enfant était l'aboutissement de tout...de cet amour si pur et profond.

Mon amour, tu sais bien que tu peux rester ici tant que tu veux, pour toujours. C'est ce que nous souhaitons, notre enfant et moi même. Tu es ici chez toi, chez nous.

Elle prit la tête de Max, le regarda droit dans les yeux, lui fit un sourire radieux, celui d'une femme comblée et l'embrassa encore et encore...mais il était temps de préparer le repas. Elle pensa alors que son bien aimé était encore mouillé...Ne bouge pas mon tendre amant, je vais chercher des habits secs, surtout ne bouge pas. Je t'aime, nous avons besoin de toi mon amour, ne tombe pas malade à cause de moi.

Myriam se dirigea vers la chambre, laissant Max reveur devant le feu de cheminée...
Max_premier
Max soufflait dans ses mains mais quand Myriam les lui saisit pour les poser sur son ventre arrondi, il ne put que ressentir fièrement les quelques petits tressaillements de son enfant à ce contact. Il trouve que j’ai les mains froides lui aussi, ça le fait bouger. Dit-il en souriant. Sa main droite restait sur le ventre pendant que la gauche discrètement, inconsciemment longeait les formes plus pulpeuses de sa compagne. Son torse était contre sa poitrine et il la sentait se gonfler contre lui, ses hanches venaient aussi se lover dans ses mains. Elle était épanouie et il écouta avec plaisir l’invitation à rester pour toujours.

C’était bien tentant surtout quand il se trouvait dans cette position lui faible homme à la merci du pouvoir d’une femme comblée, se laissant convaincre à coups de baisers, il n’en sentait même plus ses vêtements mouillés mais Myriam le lui fit rappeler et commença à lui ôter un à un ses habits, le laissant torse nu devant le feu. Elle se saisit de la couverture posée sur le fauteuil et il put se frictionner pendant qu’elle se sauvait cherchant des vêtements secs. Elle lui avait parlé de repas mais de se faire déshabiller ainsi lui avait donné envie de tout autre encas.

Il ne pouvait lui résister et elle le savait, d’ailleurs, il n’avait pas envie de lui résister, c’était si bon d’être aimé, il l’attendit sagement regardant les flammes monter dans la cheminée et se frottant encore un peu les mains devant elles.

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Myriam11
Elle était revenue de la chambre avec des habits secs, elle avait trouvé son bien aimé toujours aussi pensif mais enfin réchauffé...D'une main douce elle l'avait attiré une fois de plus vers elle, lui passant les doigts sur la peau, elle l'avait caressé avec amour, résistant à une envie toujours aussi présente quand il se tenait devant elle.

Il avait passé les habits, elle l'avait aidé avec une grande douceur, le regardant avec amour et gourmandise...mais le repas devait être préparé car elle savait qu'il avait faim, son amant devait manger pour reprendre des forces.

Elle se recula, admira Max Tu es si beau mon amour, je vais de ce pas nous faire un bon repas, ensuite nous irons nous reposer un peu, tu as eu trop froid.


Myriam s'approcha une fois encore de Max, l'enfant bougeait...elle voulait que lui aussi sente encore ce cadeau du ciel, elle prit les mains de son tendre et les posa sur son ventre...

Après un gros baiser fougeux, ils se mirent à table...la suite restera une fois de plus un merveilleux souvenir. Max partit au petit matin chez lui, il avait à faire, les temps étaient durs...

Elle irai l'aider, elle pouvait encore le faire...Max semblait si triste en partant.
Myriam11
Assise sur le vieux fauteuil, la tête entre les mains Myriam réfléchissait...il fallait qu'elle trouve vite une solution. Elle savait Rastakouette forte et sachant manier l'épée...mais face à un loup...trop de Couchen coulait dans son sang, elle avait peur pour elle.

Son esprit s'envola vers son amour, elle se sentait si seule, sachant son amie en danger...elle ne voulait plus sortir de la maison, le bébé semblait lui aussi inquiet, il bougeait beaucoup, elle devait se calmer et trouver que faire...c'est alors que les chiens se mirent à hurler à la mort près d'elle. Elle les regarda avec surprise, au dehors un autre hurlement, plus lugubre, résonna dans la nuit...encore un loup. Elle se leva, avança vers la fenêtre et scruta la nuit maintenant tombée. Elle n'y voyait goutte, la nuit était noire...Max, mon tendre amour, ou es tu? pensa Myriam en retenant un sanglot de désespoir. Elle fit taire les chiens et se servit une tisane bouillante, fixant la porte il ne lui restait qu'à prier...
Max_premier


En remontant la rue du bois.

Max ce jour là, avait eu sa journée allongée… la bibliothèque à l’archevêché lui donnait toujours du fils à retordre… Heureusement, il n’était pas seul, dans cette histoire, il s’était trouvé un compagnon de pastorale. Messire Ophion suait comme lui à manipuler tous ses livres sacrés… Ce n’était pas dénué d’intérêt loin de là mais tellement distant des réalités de sa vie jusqu’à maintenant.

Lui qui était passé de majordome à vagabond apprenant l’herboristerie puis éleveur de cochons, le voilà maintenant se dépatouillant avec la vie d’Aristote et de Christos…


Enfin, heureux d’avoir fait dans sa journée, la réponse aux questions posées et s’être occupé d’un bon cochon bien gras, dont il pourrait vendre les morceaux à sa bouchère préférée, il s’apprêtait justement à la rejoindre, remontant la rue du bois non loin de la forêt… mais là, des hurlements se firent entendre là.. si près.. dans les arbres si proches et quelques temps après, en retour un hurlement à la mort chez sa belle…

Ni une, ni deux.. le voilà avec ses morceaux de viande à se mettre à courir à toute vitesse au pire, il les lâcherai aux fauves pour les distraire mais pour l’instant, ils étaient encore à lui. Il avait tout bien enveloppé mais l’odeur du sang devait être insupportable pour des bêtes affamées…

Il laissa passer les deux premières maisons, la troisième un peu plus éloignée, jetant un peu angoissé tout de même des regards derrière lui mais non, les loups n’étaient pas en vu. Il ne voulait tout de même pas tenter le « sans nom » comme aurait dit l’évêque pour voir s’il avait raison. Il fut encore plus heureux, quoique non, pas plus mais de manière différente de voir le 5 arriver et le voilà qui franchit en courant le petit chemin pour s’engouffrer dans l’entrée chez Myriam…


Ma belle !!!! Mon Ange !!! Où es-tu ? J’ai des choses pour toi et j’ai entendu Pépita et Oscar hurler, c’est à cause des loups… mais ne t’inquiètes pas, ils ne sont pas là... ils sont restés dans la forêt. Il alla poser ses morceaux de viande enveloppés dans la cuisine de Myriam et se lava les mains avant de venir vers la grande salle où il trouva Myriam angoissée venant vers lui…

Mais.. qu’est-ce qu’il se passe ? Tu vas bien dis moi ? le bébé ?
Il la prit dans ses bras, elle tremblait et ne retient pas longtemps son sanglot… Il n’osait plus bouger, attendant qu’elle se calme en lui caressant les cheveux… Je suis là.. calmes-toi…
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Myriam11
Myriam avait entendu la porte s'ouvrir, les chiens aussi, ils sautèrent sur Max avec joie...ils sentaient que leur maîtresse avait besoin de lui. Elle se blottit dans ses bras en sanglottant, les paroles n'arrivaient pas à sortir de sa bouche. Montrant la fenêtre sombre, elle fit un signe à son bien aimé puis reprit son souffle...enfin Max était là.

Mon amour, enfin te voilà, je ne sais que faire. Rastakouette est encore seule dans la forêt, je pense qu'un loup n'est pas loin. Elle est dans un état qui lui a enlevé toute peur, j'ai essayé de la raisonner quand je l'ai trouvé ainsi mais elle ne semble plus rien comprendre. J'ai peur pour elle. Je ne pouvais pas rester, le bébé est fragile, moi aussi. les chiens avaient senti sa faiblesse, ils s'étaient sauvés pour m'avertir et la protéger. J'ai préféré aller les chercher avant la nuit , ils étaient avec elle, sachant que j'allais suivre. Que faire ?

Elle embrassa Max encore plus fort, le serrant très fort contre elle le regarda avec amour, elle savait qu'il l'aiderait, elle avait confiance en lui. Mais il faisait si noir au dehors...les hurlements se firent encore entendre...Myriam se figea. Elle lui serra les mains, puis les posa sur ventre, l'enfant se manifestait, il était en pleine forme...pas Rastakouette.
Elle sourit quand elle vit son regard heureux en sentant les petits coups de bébé, mais il fallait faire vite, Rastakouette avait son épée à la main, seule dans la forêt, les loups autour...


Merci mon amour pour la viande, tu es un ange, celà m'évite un voyage demain. Mais que faire pour Rasta ?
Myriam l'enlaca, regardant la porte, elle ne voulait pas que Max se fasse attaquer par les loups...elle savait que Rastakouette était forte...contre les hommes, pas contre les loups.
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