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RP 5rue du bois, la cachette dorée de Myriam11

Max_premier
Max réfléchit très vite... il tenait sa future femme dans ses bras et leur futur enfant se faisait discret mais malgré tout, avec la peur que ressentait Myriam, il se manifestait, ce qui n’était pas bon du tout à ce moment là de la grossesse… Pas question de lui faire prendre plus de risque.

Myriam, il fait noir d’accord mais j’ai du feu et le loup ne l’aime pas… Je ne peux pas laisser Rasta seule là bas.. surtout que si ça se trouve, c’est à cause de la viande qu’ils sont là…

Je vais prendre une torche et de la viande coupée en petit morceaux… je les lancerai à la volée si je vois les loups, du côté opposé où se trouve Rasta.. Ils seront occupés, et je pourrai aller la voir… Elle a son épée dis-tu… il faut que je m’en méfie…avec la torche je ne pourrai me défendre et moi je n’ai pas d’épée… Ah mais je sais, j’ai ma hache à la taille, celle que je viens d’acheter à Lyse pour mon bois… elle sera suffisamment solide pour retenir les coups … il regarda Myriam apeurée.. enfin contenir et désarmer Rasta…

Reste là.. et je ne te donne pas le choix.. Je ne veux absolument pas que tu prennes de risques.. Pépita est trop vieille et Oscar trop jeune aussi pour m’accompagner… ils veilleront sur toi…


Allez voilà.. c’est ce que Rasta voulait que je me montre virile et homme.. elle va être gâtée…
Il se mit à rire afin de détendre l’atmosphère et se prépara très vite. Embrassant son ange passionnément avant de partir. Il referma la porte derrière lui, direction la forêt… Elle lui avait dit l’avoir laissé par là…. Il tenait fermement sa torche à gauche et sa hache à droite, la viande dans un sac de toile en bandouillère.

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Myriam11
Myriam essayait de contenir son angoisse...elle craignait pour Rasta qu'elle avait laissé seule dans la forêt, elle n'avait pu faire autrement dans son état actuel...elle devait penser au bébé, Rastakouette semblait si lontaine, l'esprit si embrumé qu'elle en avait oublié les risques qu'elle encourait. Son tendre Max essayait de la rassurer, elle se serra contre lui, son coeur battait la chamade, elle respira fort...Elle était venue chercher de l'aide...elle ne voulait pas l'abandonner seule face à un loup mais elle avait délaissé son épée depuis plusieurs semaines, les mains nues elle ne pouvait rien faire.

Max, mon épée est contre l'armoire, prends la si tu veux, une hache ne te suffit pas. Merci d'aller aider Rastakouette, moi je ne veux pas risquer la vie de notre enfant. Je l'aime tant déjà, comme toi. Fais attention à toi mon amour, reviens vite. Je sais que Pépita est vieille mais elle peut t'aider elle aussi, elle est encore vaillante et prête à te défendre. Si tu penses que la viande va être un leurre pour le loup, je te crois. Mais surtout pense à nous...et à cette pauvre Rastakouette.

Elle le regarda partir dans la nuit, il n'avait pris que sa hache et une torche...son coeur se serra, elle le suivit des yeux, il partit vers la forêt au pas de course, lui aussi avait peur pour Rastakouette...que faisait-elle en ce moment. Myriam ferma les yeux, comme elle l'avait promit à Max, elle resta à l'intérieur...le hurlement se fit entendre à nouveau, elle retourna vers la cheminée, elle voulait faire une grosse flambée...comme si elle voulait protéger la maison et le trésor qu'elle renfermait...leur enfant, si minuscule encore...Les chiens vinrent se coucher près d'elle.

Dans un élan de détresse, mais surtout pour garder le moral elle se mit à préparer une soupe avec quelques légumes et un morceau de viande salée...elle allait les attendre avec confiance. Elle aurait voulu rester près de Rasta...elle n'avait pas pu et s'en voulait.
Myriam11
Quand la marmite commença à frémir Myriam y jetta les légumes et les morceaux de viande...les chiens la regardaient avec gourmandise mais elle n'y fit pas cas. Elle était trop inquiète...soudain ils se jettèrent sur la porte en jappant. Elle se retourna vivement, les mains protégeant son ventre, elle avança lentement...la soupe commencait à bouillir, une odeur douce embaumait la pièce.

Encore ce hurlement...ou étaient Max et Rastakouette, elle avait décidé d'aller voir mais la fatigue l'avait gagné.

Elle entendit les cloches au loin...pourquoi ?
Myriam11
Elle avait du s'endormir car il faisait jour...une lueur pâle entrait dans la pièce, il régnait ici un froid digne de la grange. Myriam se précipita vers la cheminée pour y rajouter du bois...Le gamin l'avait informé, la soupe était prête, elle attendait, les yeux fixés aux flammes Myriam pensa au loup...elle était sure que c'était une louve. Une bête qui avait faim et qui voulait nourrir ses petits...le froid de ces derniers jours avait fait sortir les loups, ils s'avançaient vers le village, sortant des bois, elle était une des premières à les entendre, à les sentir...elle n'avait pas peur, les loups étaient des animaux comme les autres, ils s'attaqueraient en premier au bétail. Elle devait quand même se méfier, elle était seule avec les chiens.

Les bûches avaient toutes été brulées, elle devait sortir, aller jusqu'au tas de bois derrière la maison...elle s'assura que les chiens se tenaient tranquilles sous la table, ils n'avaient aucune chance contre un loup...elle alla chercher son épée, jetta la cape sur ses épaules et ouvrit la porte lentement...aucun bruit, juste le souffle du vent dans la cîme des arbres scintillants de glace...
Myriam11
Elle sentait le danger mais le froid commençait à entrer dans la maison...elle devait faire vite. Refermant la porte derrière elle, une torche à la main elle prit le chemin qui menait vers le tas de bois...la neige crissait sous ses bottes, elle frissonna, surement le froid.

Elle serra son épée de l'autre main et avança dans le brouillard qui se formait devant elle...la fatigue se faisait ressentir, elle se sentait un peu lourde, c'était normal mais elle n'avait jamais ressenti cette sensation de si grande solitude...peut être son état y était pour quelque chose. Elle attendait son amour, l'enfant à venir était lui en pleine forme...elle sourit intérieurement, il lui procurait la plus grande joie de sa vie. Elle pensa à Max, écrasant une larme sur son visage gelé et continua à avancer.

Ou es tu mon tendre Max, je t'attendrai le temps qu'il faudra...Myriam arriva devant le tas de bois, à genoux elle ramassa des bûches,se relevant avec une agilité qui lui était coutumière, même en étant grosse elle se savait vive, défendant sa progéniture, comme une louve...elle fit demi tour , le regard fixé vers le bois attenant, doucement elle entra dans la maison, laissant tomber le bois à ses pieds Myriam s'essuya le front, elle était brulante...
La torche était tombée dans le chemin...son épée était lourde, elle la posa sur la table et caressa les chiens qui lui faisaient la fête...
Luidji
cToc toc toc

Luidji tambourinait à la porte , il faisait noir , le temps étaient humides et des hululements sinistres glaçaient la peau du dos

La porte s'entrouvrit , Luidji dis très fort à cause du vent : Myriam ; , C'est Luidji
!


La porte s'ouvrit sur Myriam tenant en laisse ces chiens , le visiteur entra , referma , le vent lui s'engouffrait dans l'espace .


Scusi de te déranger , je sais que tu es seule pour l'instant ,mais si Max arrive , tu veux bien lui dire que ma Christinella est mal , je crois bien qu'elle va avoir ses bébés ; Je suis perdu , sait pas quoi faire ....

Merci et encore pardon de te déranger , je me sauve , je dois rester auprès de ma bellissima.

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Myriam11
Myriam était encore avec les chiens quand elle entendit des coups frappés avec frorce à la porte...elle s'y précipita et ouvrit. Elle avait reconnu la voix...Luidji se tenait devant elle, il entra, parlant vite, il semblait affollé. Elle comprit vite que la délivrance de Christinella était arrivée...Max n'était pas là.

Max était à la battue...que faire ? Elle décida d'aller le chercher, sachant que ceci n'était pas prudent mais Christinella avait besoin de lui. Elle lacha les chiens dans la maison, elle avait encore sa cape sur le dos...

Attends Luidji, je viens avec toi, ensuite j'irai à la recherche de Max. Tu as raison, il faut faire vite et surtout ne pas laisser Christinella seule.


Luidji avait déjà disparu à l'angle du jardin, il était plus rapide qu'elle...le vent s'engouffra sous sa cape trempée. Elle frissonna, regarda en arrière, fixant à nouveau le bois...il lui semblait aperçevoir deux yeux qui luisaient, surement son imagination.
Max_premier
Max avait augmenté la cadence de son pas en arrivant en haut de la rue du bois surtout quand il vit une silhouette au loin repartir à toute vitesse et qu'il crut voir de la lumière dans l'entrebaillement de la porte de Myriam.

Allez mon gars, dépêches-toi, dit-il au villageois qui le suivait avec la respiration forte et rauque.. Allez, va falloir que tu arrêtes un peu l'alcool et les prises hein ? tu m'as l'air bien empoté et je vois là bas quelque chose qui se passe, allez rattrapes moi.

Sans laisser le temps aux pas lourds du villageois de le suivre, il se mit à courir, manquant de faire un vol planer au croisement de l'aller et de la rue du bois.

Là sur le seuil en plein vent, il la vit qui scrutait.
Oh Mon Ange.. Que fais-tu là dans ce vent et ce froid dis moi... Allez vite, rente j'arrive avec un ... il se retourna et vit un long sillon de buée suivre le villageois qui tentait de le rattraper bon il va arriver...

Qu'est-ce qu'il se passe ? tu nous attendais pour le chaudron de soupe ? Désolé ma belle mais cela a été un peu plus long que prévu.. y'a eu un malaise là bas, une mère a été mal quand elle a cru voir les loups emmener son enfant
. Il la tenait par les épaules et doucement l'obligeait à rentrer chez elle pour qu'elle retourne au chaud. Il l'embrassa tendrement et s'approcha avec elle de la cheminée où des effluves de soupe se faisaient sentir.Tu as eu de la visite au fait ? J'ai cru voir quelqu'un en arrivant ? Hum cela sent bien bon..
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Myriam11
Myriam se laissa faire, elle n'en croyait pas ses yeux, Max était enfin de retour...surement pour venir chercher la soupe car elle apercevait une personne derrière son bien aimé. Elle rentra avec lui, le prenant par le cou, elle lui rendit son baiser avec passion. Myriam était soulagée, elle avait eu un moment d'hésitation au dehors...elle devait se ménager mais Christinella avait besoin d'aide, rapidement...

D'une voix tremblante, le froid, la fatigue, la peur de sortir seule avec ce loup tout près, elle expliqua à Max ce qui se passait.

Enfin, tu es de retour mon tendre amour, effectivement j'ai bien eu de la visite, c'était Luidji, il te cherchait. Il te faut aller chez lui très vite car les bébés vont naître, il est très anxieux, Christinella a besoin de toi mon amour. J'imagine que tu viens chercher la soupe, mais je crois qu'elle va encore attendre. Je me voyais mal partir seule sur les chemins, à ta recherche. Je me sens mieux déjà, je suis gelée mais ton regard me réchauffe.
Myriam fit entrer le pauvre homme qui se tenait timidement à la porte, il semblait fort essoufflé...elle l'invita à s'assoir de peur qu'il ne tombe. Il avait la couleur d'une tomate bien mûre. Elle retourna vers Max qui réfléchissait devant la cheminée...elle connaissait son tendre amour, il était le seul à pouvoir aider la future maman. Elle lui prit le visage entre les mains, l'embrassant avec fougue...il allait repartir, elle le savait, c'était normal.
La soupe pouvait attendre, d'autres hommes viendraient la chercher plut tard...elle pensa à Christinella, caressa son ventre qui recommencait à onduler, un sourire se dessina sur son visage fatigué...
Max_premier
Max tenant Myriam dans ses bras, s’apprêtait à se saisir du chaudron quand elle lui parla de la visite de Luidji qui le cherchait lui-même pour son épouse Christinella.

Les bébés ? Tu as dit les bébés ? Mais euh.. hum.. ils veulent me faire devenir chèvre, un seul ne suffit plus, il faut qu’ils en prépare plusieurs à la fois.

Il arrêta son mouvement pour chercher la soupe et se mit la tête contre la poutre surplombant la cheminée pour réfléchir. Voilà encore des complications, des jumeaux, moi je n’en ai jamais mis au monde ... j’ai juste aider Lillaka et encore c’était un seul enfant et la maman n’en était pas à sa première naissance, elle avait plus l’habitude que moi.

Myriam s’approcha alors de lui, pendant que le pauvre villageois reprenait son souffle assis confortablement plus loin. Il se laissa embrasser, puisant dans ce baiser la force de réagir, passant sa main sur le ventre de sa douce, il sentit ému encore les petits soubresauts. J’espère que toi, tu es tout seul hein ? Faut pas me faire des frayeurs toi aussi.

Myriam, je vais renvoyer le villageois pour chercher quelqu’un d’autre et venir prendre le chaudron. Tu crois que les chiens le laisseront entrer si nous ne sommes pas là, tous les deux ? Car tu vois, là… j’aimerai bien avoir ton aide. Je ferai attention à ne pas t’en demander de trop mais au moins que dès que l’un est sorti, tu puisses le prendre et que je continue tranquillement tu vois ? Car j’ai peur que Luidji lui soit pas vraiment à la hauteur et puis c’est un homme et déjà que moi je dois être courageux mais lui, pas sûr qu’il tienne le coup.. ou en tout cas, je le placerai pour qu’il tienne les mains et le dos de Christinella mais pas plus... A moins que sur place il n’ait pensé à demander de l’aide. Tu veux bien te couvrir chaudement et m’accompagner ? Ah et puis il faut que j’envoie un mot à Esqui à la battue, elle reste avec la mère là tu sais ? Celle qui a perdu son fils. Il n’ajouta pas qu’elle pensait que ce soit les loups qui l’avaient emporté. Il s’approcha de l’homme et lui demanda de l’attendre, le temps qu’il rédige une note pour Esquimote et attendit que Myriam lui dise ce qu’elle pensait pouvoir faire.
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Myriam11
Myriam s'était blottie contre Max, elle l'avait écouté calmement, ce n'était pas le moment de paniquer...son bien aimé semblait inquiet, elle le comprennait. Elle le serra plus fort puis plongea ses yeux dans les siens. Elle allait l'aider, elle allait l'accompagner près de Christinella...

Pas de soucis mon tendre Max, je viens avec toi, les chiens ne diront rien si d'autres personnes arrivent mais pour ne pas qu'ils s'échappent je vais les enfermer dans l'autre pièce. Les hommes pourront entrer tranquillement pour venir prendre la soupe. Attends moi un instant, je vais chercher des habits plus chauds puis nous irons vite chez Luidji. En attendant peux tu servir un verre à ce pauvre homme, il semble à bout de force.

Elle se précipita vers la chambre, changea de chemise et de bas, ils étaient trempés puis revint vers Max...

Max attendait, debout près du villageois...Elle l'embrassa tendrement dans le cou pour essayer de le détendre.
Je suis prête, nous pouvons y aller, attends, Pépita, Oscar, venez ici et restez tranquille.

Elle prit les chiens, les enferma dans la pièce du fond puis revint vivement vers Max qui l'attendait...la cape sur les épaules, elle était prête pour le départ...avec une certaine angoisse quand même. Mais elle avait confiance en son bien aimé...
Max_premier
Il avait été dans sa petite pièce où il entreposait plantes et potions, quelques fioles aussi que lui avait confié Lillaka et la petite poche de cuir qu’elle avait laissé à sa disposition, contenant quelques ustensiles, il en aurait besoin.

Il réfléchit très vite, hésitant, ne voulant pas se tromper mais il ne prit que des choses simples, pour ne pas faire prendre de risque à la future mère ni à ses enfants, le tout enroulé dans un grand tissu de lin, il prit le baluchon sur son épaule et remontant son mantel sur ses épaules, attendit Myriam. Elle l’embrassa pour le réconforter et il lui prit le bras pour l’aider à marcher plus sûrement et rapidement en direction de la maison de Luidji et Christinella.

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--Bourru_le_villageois
Le villageois parlait avec Irella la diaconesse comme s'ils étaient du même monde. Faut dire qu'elle a l'air bien simple c'te dame là et puis ma foi, pas mal gironde aussi... Il la regardait de biais puis tourna le regard, de peur qu'elle ne devine ses pensées pas très sérieuses.

Comment on m'appelle ? Ben ma moitié m'appelle l'bourru parce qu'il parait que je ronfle beaucoup la nuit. Mais ça c'est des histoires, moi j'entends rien.

On approche de chez la dame Myriam annonça-t-il, espérant qu'elle lui demanderait pas son nom de baptême vu qu'il l'était pas vraiment.
Irella
Arrivant devant la porte de la demeure du tribun, Irella frappa à la porte tout en continuant la conversation.

Bon... Et bien , Bourru, si ça ne vous fait rien, nous allons prendre la soupe et ensuite je me rendrai auprès de cette dame qui accouche. Je pense que je pourrai être utile à un moment.

Dame Myriam! C'est Irella! et ... Bourru!


Bourru? Bourru? c'est un petit nom, ça? Vous en avez bien un autre... demanda-t-elle en se retournant vers le sieur.
Myriam11
Myriam venait de revenir en coup de vent, bien trop vite à son goût, elle avait failli être reduite en poussière par une charette, elle veillait surtout à ne pas glisser...ce n'était pas le moment. Elle se dirigea vers la chambre, il lui fallait plus de draps pour l'accouchement de Christinella, quand elle entendit frapper à la porte. Elle fit demi tour, la fatigue commencait à se faire ressentir...

Irella, c'est vous, bonjour, je viens juste de rentrer pour prendre quelques draps pour Christinella. Mais, vous êtes partie vous aussi ? Bonjour Messire, Messire...Bourru. Entrez donc, je ne peux rester longtemps, Max a besoin de nous.
Vous avez de la chance de me trouver ici mais j'avais justement laissé la porte ouverte pour que des villageois viennent chercher le chaudron de soupe. J'étais partie avec Max chez pour l'aider et je dois vite y retourner, heureusement leur demeure est toute proche.

Elle s'effaça pour les laisser entrer...
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