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RP 5rue du bois, la cachette dorée de Myriam11

Myriam11
Elle se mordit les lèvres, le sang coula...se précipitant vers la porte, Myriam la claqua un grand coup...elle tourna la clé. Alpaïade pouvait toujours essayer d'entrer...elle savait qu'elle voulait l'aider mais elle avait peur de cette maladie qui semblait se propager...

Le plafond se mit à tourner, la sueur coulait le long de son visage...elle sentit son ventre se révolter plus fort cette fois ci...se jetant sur le lit, elle eut une pensée pour son bébé, pour son tendre Max puis ce fut le trou noir. Elle était inconsciente, elle avait abusé de ses forces...les rêves se mêlaient à une réalité faite de souffrances....

Elle fut réveillée par des cris aigus...Alpïade ?...non, les pleurs venaient de plus près, elle se souleva, sentant qu'elle était trempée, elle souleva sa jupe...

Un grand sourire illumina son visage malgrè ses craintes et se souffrance...un magnifique petit être hurlait contre sa cuisse...elle le prit délicatement, le regardant avec amour. Il semblait en bonne santé, il était lourd et glissant...
Myriam s'allongea, le plaqua contre son sein gonflé de lait, croyant toujours qu'elle revait...

Non, il était bien vivant ce petit bohomme tant désiré...un beau petit garçon. La nature avait fait son oeuvre seule...
Elle attrapa le couteau qu'elle avait eu soin de poser sur la chaise, elle savait comment faire, ayant vu agir Max, elle coupa le cordon.
Elle resta un long moment ainsi...ne pouvant détacher le regard de son enfant, il tétait goulument. Elle le laverai plus tard. Pour l'instant elle le rechauffait de son corps, elle remonta la couverture...les draps étaient souillés, elle aussi, mais qu'importe...ils attendraient encore un peu.

Alpaïade avait du partir, plus un bruit ne venait de l'extérieur...elle ferma les yeux, des larmes de joie coulaient sur ses traits fatigués...
Myriam11
Elle se leva enfin, enveloppant l'enfant dans des linges propres elle le posa dans le berceau...il fallait le nettoyer mais Myriam prit tout d'abord soin de changer ses habits souillés. La cuvette d'eau était froide...qu'importe, elle se lava à la hâte, enfila des vêtements propres, reprit le bébé et se dirigea vers la grande pièce pour y refaire chauffer de l'eau...l'enfant s'était endormi...la faiblesse ralentissait ses mouvements. Ses jambes la portaient par miracle...elle sourit, tout c'était bien passé, elle avait eu peur, maintenant elle était sereine.
Elle raviva le feu sous le chaudron...les flammes commencèrent à le lécher. Assise sur une chaise, le regard fixé sur le feu elle pensa à Max...comment l'avertir qu'il était papa.
--Alpaide
Elle avait osé… la tribun avait plus de caractère qu’elle ne l’aurait imaginé et elle Alpaïde à qui les hommes ne résistaient en général pas très longtemps s’était vu mettre dehors par cette fluette femme qui allait donner la vie de plus. Peut-être c’est de là d’ailleurs qu’elle tire sa force - oui mais moi je suis têtue…

Elle ne resta pas longtemps devant la porte, elle avait son idée, aller directement à la source pour avoir des réponses à ses questions et en même temps prévenir de l’état de la future mère.

C’est ainsi que l’on vit Alpaïde remonter jupe et jupons et presque en courant se diriger vers l’hôpital.


Alpaïde pour vous servir.
Myriam11
Elle s'en voulait d'avoir laissé cette brave Alpaïde devant la porte...elle ne voulait que des renseignements mais était tombée au mauvais moment...la peur de la contagion avait eu raison d'elle, la douleur et la solitude avait faussé tout jugement chez Myriam...tout ce qu'elle avait voulu, c'était protéger son enfant...Myriam se sentit confuse en y repensant, qu'allait penser Max...Il connaissait cette jeune femme depuis longtemps, elle sentit ses joues rougir en repensant à la porte fermée à cle
Tout en berçant le bébé dans ses bras, elle prit la décision de s'excuser auprès d'elle...plus tard, le danger rodait encore, Alpaïde cotoyait trop de personnes...elle aussi mais ce n'était pas la même chose.

Enfin...tout c'était bien passé...involontairement elle avait réussi à mettre seule au monde un petit ange...hurlant . Il avait faim.

Plus tard les chiens entrèrent doucement, la queue battante, ne sachant pas ce qu'il se passait...elle se baissa tenant l'enfant entre ses mains, elle le leur présenta...
Myriam11
La chambre était étincellante, le soleil entrait à flot...profitant d'une matinée de repos Myriam avait tout remit en ordre.
Le couffin en osier que Max lui avait offert il y a quelques mois brillait tant elle l'avait lustré...à l'intérieur, enfoui sous une couverture bleue qu'elle avait réussi à trouver dans ses affaires, l'enfant dormait...enfant de l'amour dont le père ne connaissait même pas l'arrivée en ce monde. Max était injoignable...elle serait patiente, sachant qu'en se rendant à son bureau elle finirait bien par trouver un gamin des rues qui lui rendrait service pour quelques piecettes...non, elle ne voulait pas exposer un enfant à ce qu'elle craignait.

Elle attendrait...et...petit Max aussi. Elle éclata de rire, ne sachant quel prénom donner à l'enfant, elle voulait en décider avec son père, elle l'avait surnommé petit Max.

Petit Max...elle se pencha au dessus du couffin, souleva délicatement les couvertures pour admirer ce petit corps si fragile, se baissa encore et posa un tendre baiser sur son front...

Elle ferma la fenêtre puis se rendit dans la grande pièce...un bilan l'attendait. Elle avait du travail.

Les chiens avaient adopté l'enfant de suite, ils étaient couchés dans le couloir...surveillant la chambre. Elle connaissait bien ses animaux, sachant que le bébé serait bien gardé, pourtant les chiens étaient doux comme des agneaux...mais si gros qu'ils faisaient fuir tout le monde ...se trouvant souvent seule, ceci était une bonne chose. Elle attrapa ses parchemins, prit une chaise et se mit au travail...la porte était grande ouverte...
Myriam11
Le soleil était de retour, profitant de ses doux rayons elle se mit en route vers le lavoir...L'enfant ne dormait pas, il était couché dans son couffin, elle avait décidé qu'une petite promenade leur ferait du bien à tous...même les chiens suivaient. Ainsi elle craignait moins les brigands.

Une question la rendait malheureuse, mal à l'aise...son enfant n'avait toujours pas de prénom...elle aurait tant voulu attendre Max, décider avec lui, mais il ne connaissait même pas son fils...

Elle s'arrêta à l'ombre d'un peuplier aux feuilles si claires tant elles étaient jeunes, prenant petit Max dans ses bras, un larme coula sur le visage de l'enfant...c'était une larme à elle. Ne pouvant plus continuer ainsi, son coeur était déchiré, elle semblait se cacher aux yeux des villageois...pourtant cet enfant issu d'un amour profond avait un père. N'osant pas annoncer sa naissance publiquement tant que Max ignorait sa venue au monde, Myriam ne savait que faire...l'instant était dur pour elle.

Le petit être qu'elle avait dans les bras, fruit d'un amour partagé paraissait inexistant aux yeux de Montmirail...il n'avait pas de prénom, ne connaitrait peut être jamais son père...elle avait mal, son coeur battait à tout rompre dans sa poitrine. Sentant qu'elle était fiévreuse, elle eut peur pour l'enfant...elle pensa à Max, à Lillaka...à l'hospital.
Elle reprit doucement ses esprits, mettant son malaise sur le compte de l'angoisse et se remit en route lentement après avoir couché son ange dans le couffin...un rayon de soleil balaya ses cheveux encore rares, elle y vit des reflets clairs, il aurait les cheveux de son père pensa t'elle en souriant...les siens étaient bruns. Décidement il ressemblait de plus en plus à Max...

Une vague d'amour lui transperça le coeur...Max, revient vite.
Myriam11
En rentrant chez elle après une longue promenade, Myriam fit téter petit Max, le berçant tendrement elle se mit à réfléchir...
Il n'y avait qu'une solution à son problème. Elle coucha le bébé qui s'endormait sur son épaule, revint vers le grande pièce à grands pas...

Elle se précipita vers un de ses pigeons, lui nouant à la patte une missive écrite depuis plusieurs jours...



Mon amour, tu es l'heureux père d'un merveilleux petit garçon. Il est la joie de ma vie. Je comprends que tu ne puisses venir nous rejoindre, prends soin de toi et de Lillaka...elle a besoin de toi...Montmirail aussi. Tu me manque, je ne sais si tu reviendras un jour, mais saches que ton fils est aussi merveilleux que toi. Je ne t'oublierai jamais...
Je t'aime, nous t'aimons. Reviens vite.
Ta future. Myriam


Elle ouvrit la fenêtre, embrassa le pigeon et lui fit prendre son envol vers l'hospital...elle ne pouvait faire autrement, mais arriverait-il un jour à destination...elle n'y croyait plus.

Elle referma la fenêtre et regarda son épée...elle devait aussi aider Montmirail, mais d'une autre façon...
Max_premier
Un gamin venait en courant de l'hôpital, comme le lui avait dit l'homme là bas, il devait poser le parchemin devant la porte, sans la toucher, sans l'ouvrir et sans essayer de rencontrer qui que ce soit aux alentours et repartir aussi vite ce qu'il fit.

Citation:


Mon Ange,

Tu ne sais pas le bonheur que m’a donné ton message ce matin. Il sera le rayon de soleil de tous mes jours loin de vous et je prie que cette épidémie s’arrête au plus vite pour venir vous rejoindre et vous embrasser. Tu m’annonces un petit garçon merveilleux et pour connaître sa mère, je n’en ai aucun doute. Embrasses le pour moi et dis lui combien je l’aime déjà. Je fais au mieux pour venir au plus vite t’embrasser toi aussi.
Ma belle tribunette, tu me manques toi aussi. Je t’aime… Il me tarde tant de vous retrouver.
Max ton tendre futur époux, si tu veux bien encore l’attendre.
Myriam11
Les chiens semblaient avoir flairé une présence à l'extérieur mais ils n'aboyaient pas...la truffe contre la porte Pépita remuait la queue.
Myriam traversa la pièce, collant son oreille à la porte il lui sembla entendre un bruit de galopade, un rodeur...non, les chiens ne se comporteraient pas ainsi. Elle regarda par la fenêtre, ne voyant personne elle alla ouvrir pour résoudre ce mystère....
La peur l'avait quitté depuis longtemps...elle avait apprit à vivre seule avec son enfant mais Max hantait ses journées...il lui manquait tant qu'elle passait de longues heures dans la pièce qu'elle lui avait aménagé, l'odeur des plantes séchées, la vue des fioles, tout lui rappelait son amant. Elle restait là sur le fauteuil, son enfant dans les bras, revant que Max était près d'elle, qu'il coupait le bois dehors, qu'il soulevait son fils en riant...c'est dans cette pièce qu'elle trouva un prénom pour le bébé...Clément..., ce prénom lui allait si bien, elle était sure que Max serait d'accord....

Elle ouvrit vivement la porte d'entrée...personne. C'est alors qu'elle vit un parchemin posé devant ses pieds. Quelqu'un était venu et reparti aussi vite que l'éclair. Elle se baissa, attrapa le parchemin, le tournant dans ses mains, son coeur se mit à battre plus vite...elle sentait au fond d'elle que Max avait reçu sa missive...
Elle l'ouvrit, se mit à lire, des larmes coulèrent sur ses joues...enfin elle avait des nouvelles de son amour, il avait reçu la missive, il allait bien...Elle essuya ses joues, continuant à lire, sa vue se troublait tant les larmes affluaient. Elle leva les yeux au ciel et dit tout haut, remerciant Aristote :

Je vous remercie mon Dieu, Max va bien, il sait maintenant qu'il a un fils. Protegez le car je l'attendrai toute ma vie, sans lui je ne suis rien, Clément doit connaitre son père, il le mérite.

Elle entra enfin, décidée à rédiger une autre missive...elle trouverait bien une personne qui veuille la remettre à Max en étant prudent...Montmirail était désert, les villageois avaient peur...
Myriam11
Son enfant dans les bras, tournant et retournant dans la pièce, Myriam cherchait une solution...elle ne voulait mettre personne en danger. Le pigeon était bien arrivé, son visage rayonnait car elle savait que son amour allait bien. Maintenant Max devait connaitre le prénom de son enfant...
Clément s'était endormi dans ses bras, plus elle le regardait, plus Max lui apparaissait...son fils était comme lui, calme, la peau si douce...il souriant en dormant.
Un ange...Clément était un petit être si calme, souriant et si beau. Il grandissait vite, elle pensa à Max... Elle l'embrassa délicatement sur le front, ne voulant pas le réveiller...elle devait rédiger sa missive pour son amour si loin d'elle. Le bébé bougea un peu, en le couchant dans le couffin elle continua à regarder ce don du ciel...
Se sentant moins seule, le courage était revenu. Une brise légère entrait par la fenêtre, elle caressa la joue de son enfant puis se mit au travail.
Elle voulait que Max sache qu'elle l'attendrait toujours, il était l'amour de sa vie, son souffle, sa raison de vivre...
Elle prit un parchemin, la plume trainait à coté, elle la prit, rêvant aux si beaux moments passés ensembles avec son amant, Myriam commença à rédiger sa missive...le lavoir, les remparts, la chambre ...elle secoua la tête en se penchant sur le parchemin...Max était en danger, elle le sentait...la maladie avait fait des morts, il y en aurait d'autres, Max et Lillaka avaient tant de courage et de volonté qu'elle se sentit tout à coup inutile...mais que faire pour les aider, les serfs avaient besoin d'elle, Clément aussi...surtout lui, si fragile et si confiant. Elle devait prendre garde...la mort rodait, mais sa volonté était si forte qu'elle s'était résignée à être éloignée de Max. Elle devait penser à leur enfant tant désiré...le protéger était une priorité...
Elle se plongea dans sa missive, la plume tremblait dans sa main...rester forte, lutter, prier...
Myriam11
Les mots se bousculaient dans sa tête, elle avait tant de choses à dire à Max...mais elle devait faire vite, le pigeon devait partir rapidement, la maladie sévicait, la guerre menaçait...elle devait trouver une nourrice pour Clément, elle serait peut être appelée à défendre Montmirail, il lui fallait trouver une villageoise pour garder son bébé. Elle regretta d'avoir été odieuse avec Alpaïde...maintenant elle avait besoin de son aide...décidement Myriam était toujours aussi impulsive.
Elle se pencha sur le parchemin...




Mon coeur,
Je suis si heureuse de te savoir en bonne santé, j'ai si peur pour toi. Notre petit Clément commence à sourire, je lui parle souvent de toi, il sait que son papa l'aime de tout son coeur, il est trop petit pour comprendre tout, mais ressent déjà tout l'amour que ses parent lui porte. Il est si beau, si calme comme toi mon amour. Je l'embrasse pour deux, sachant qu'il doit te manquer, mais son coeur ressent ton amour, j'en suis sûre, je le vois dans ses yeux quand je lui parle de toi. Je t'attendrai toute ma vie, sans toi elle n'a plus de sens. Reviens vite, je sais que pour le moment tu dois être débordé mais j'ai appris à être patiente.
Montmirail est vide, les ruelles désertes, la peur est palpable. Je reste chez nous pour protéger Clément, j'évite les rencontres mais nous nous promenons parfois près du bois avec les chiens.
Je t'embrasse de tout mon coeur, j'imagine tes baisers ardents, tes mains douces, la chaleur de tes bras...tu es si loin de nous.
Je t'aime. Ta future qui garde espoir grâce à notre rayon de soleil.
Myriam


Elle roula la missive, l'attachant avec un ruban bleu. Se dirigeant une fois de plus vers ses pigeons...choisit le plus blanc, le plus pur...fixa la missive à sa patte, elle le tint un instant sur sa poitrine, sortit et le lâcha en direction de l'hospital. Il tournoya un moment au dessus de la demeure puis disparu derrière les arbres...

Elle referma la cage...ils avaient l'habitude de la voir tous les jours...les pigeons aussi faisaient patie de sa vie.
Irella
A deux reprises, depuis la naissance du petit Clément, les chemins de Myriam et Irella s'étaient croisés. A deux reprises, cette dernière n'avait eu le temps de prendre le temps. Ce jour, elle le prit, le temps, celui qui n'avait pas encore réussi à lui filer entre les doigts, et du moulin d'Anorion à la rue du bois, elle porta l'objet encombrant.

Avec l'aide d'Anorion, enfin, Anorion avait tout fait, elle n'avait été utile que pour quelque assemblage de pièces, ... où en étais-je déjà? Ah oui! Avec l'aide d'Anorion, elle avait imaginé un présent pour l'enfant.

Elle se présenta à la demeure de Myriam, pas mécontente de poser l'imposant objet devant elle. Une fois fait, elle frappa trois coups brefs à la porte.
Myriam11
Elle était assise à table, vérifiant encore ses notes avant de faire bilan quand on frappa à la porte...elle fit coucher les chiens, Clément dormait, il ne fallait pas que des aboiements le reveille. Elle se leva et alla ouvrir la porte en se demandant bien qui venait la voir...les visites étaient si rares chez elle.

Dame Irella, quel plaisir de vous voir , je vous rencontre de temps en temps mais j'ai rarement l'occasion de bavarder avec vous. Entrez donc, n'ayez crainte, mes deux monstres ne sont pas méchants dit-elle en riant.
Elle lacha les chiens dans le jardin...d'un geste amical elle invita Irella à entrer...son regard fut attiré par...
Irella


... le cheval à bascule qu'Irella avait posé sur le seuil.

Une fois la surprise passée de vous débouler les deux chiens qui s'enfuirent dans le jardin, Irella se retourna vers Myriam.

Bonjour, dame Myriam. J'en profite de monter au village pour venir vous saluer. J'ai apporté un petit présent pour le petit Clément. Oh bien sûr, il ne s'en servira pas dans l'immédiat. Mais quand viendra le moment...

Irella remarqua les traits tirés de la jeune maman.Elle prit le cheval en bois.

Vous laisse-t-il quelque répit la nuit? demanda-t-elle en suivant Myriam dans sa demeure.
Myriam11
Elle aperçut un magnifique jouet...un cheval à bascule, elle s'imagina déjà Clément le chevauchant...dans quelques mois.
Myriam adressa un grand sourire à Irella tout en s'effaçant pour la laisser entrer...

Ce cheval est vraiment beau, merci Dame Irella, c'est vraiment gentil à vous d'avoir pensé à Clément et à venir me voir. Vous êtes la seule à vous être déplacée, je croyais que tout Montmirail avait oublié le pauvre tribun . La fatigue avait prit le dessus, l'angoisse aussi mais tout va mieux maintenant dit-elle en offrant une chaise à Irella Clément est un bébé tranquille, ne me réveillant la nuit que pour téter, ce qui est normal elle regarda Irella droit dans les yeux, Myriam se sentait un peu abandonnée...Max ne venait plus, son bureau restait vide...les villageois ne se rendaient pas compte qu'un tribun se devait d'être présent tous les jours...même si elle ne se faisait pas remarquer, Myriam veillait continuellement, pas de repos pour les tribuns... Vous savez, j'arrive à m'occuper de Clément tout en faisant mon travail de tribun, il est calme comme son père , mais ce qui m'inquiète c'est le peu de villageois motivés pour les parrainages, ceci hante mes nuits car je dois être rapide si je veux les sauver . Enfin, parlons d'autre chose. Je vous offre une infusion ? Max a été un très bon maître pour moi, il m'a enseigné l'art d'en faire de délicieuses .
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