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[ RP ] Eglise Saint-Nicolaïde de Montmirail (2)

Aziliz
Gardez l'enfant dans vos bras s'il ne veut pas s'en séparer!

Aziliz obtempéra et s'assit à la place indiquée par la Diaconesse, Clément qui avait fait ami ami avec l'Evêque fit une p'tite moue boudeuse... pourvu qu'il ne se mette point à pleurer pensa t'elle pour elle même.... puis regardant Irella :

- Apparemment il a élu pension dans mes bras on dirait bien !

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Maria_paz
Blottie en bout de banc, au fond, la sauvageonne n’en mène pas large. Ne connaissant pas les promis, ou si peu, elle est volontairement entrée en lousdé.
Les priantes, elle n’y met plus les ripatons depuis belle lurette.
Refoulant les images d’un lourd passé et la gorge dans un étau, elle triture le bas de sa limouze pour une fois immaculée. Signe d’effort d’ailleurs, mais faut pas trop descendre le regard, surtout vers ses bottes douteuses.

Ses pensées vagabondent. Ce mariage, elle le trouve très beau. Simple et serein. Les futurs époux, amoureux, sont heureux et souriants. C’est une belle cérémonie. Les chants la font frissonner.
Son regard se perd… Elle n’avait jamais assisté à un mariage. Du coup, elle ne parvenait pas à s’imaginer en mariée et vivre un tel évènement. Disons qu’elle n’y avait même jamais pensé. Quelle drôle d’idée ! Ça lui sautait au ciboulot comme ça, sans prévenir ! oh elle avait bien failli enfiler l’anneau de force mais l’enflure était probablement cul de jatte à l’heure qu’il était… c’était logé dans les grandes profondeurs d’une mémoire cachée, amnésie volontaire ?

Ses mirettes se hissent jusqu’au vitraux. Le soleil, dans une aimable joute avec les nuages, s’amuse à rallumer la palette de couleurs vives dont sont vêtus des personnages bibliques sertis de laiton. Un rai plus vif que les autres vient percuter sa pupille, la gauche pour ceux qui veulent savoir. Maria retient un sourire en coin, on pourrait pour ainsi dire que l’bon Dieu m’a tapé dans l’œil…

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Remolino de sentimientos
--Soeurmarietherese


Marie-Thérèse s'essuyait le front d'un revers de manche quand elle réapparut. Les moines poussaient toujours la chansonnette.

Un coup d'œil rapide dans l'assistance et elle repère Honoré. Son neurone ne fit qu'un tour.
"Honoré, Marmiton... Marmiton est là!" marmonne-t-elle.

Un nouveau coup d'œil à l'assistance. " L'évêque n'lui a pas r'fourgué d'aller distribuer fleurette, 'core une fois?!!"
Ni une, ni deux, elle fait un pas et tombe nez à nez avec Max.

Ben, mon grand! T'es beau comme un coeur! Viens là que j't'embrasse!

Un baiser qui claque, une accolade sincère et un pas de côté pour prendre la place qui venait de se libérer. Elle fit se pousser Honoré à la place d'Aziliz, ne se voyant pas passer par dessus les jambes immenses de ce grand échalas.

Merci, Monseigneur... et bien l'bon jour. Qu'est-ce vous avez fait de Supermarmi... non, frère, frère Marmiton, j'veux dire.
Honore.saint_cyr
Aziliz permit à Honoré de s'asseoir à côté d'elle, il prit donc place et échangea quelques mots avec la dame, c'est ainsi qu'il fit la connaissance du jeune Clément, ce dernier ne semblait pas trop farouche. Pendant ce temps là, les moines continuaient à entonner quelques chants de circonstance et les cloches sonnaient toujours, Honoré se demanda où était la mariée, il ne l'avait pas vue, elle était plutôt discrète la jeune femme, il irait la saluer dés son arrivée...

Attendant que la cérémonie débutât, Honoré observait les allées et venues des convives, c'est ainsi qu'il vit entrer une plantureuse roussette qui avait entre les mains un mantel. Elle salua Honoré et tout en s'approchant du prélat elle agitait l'habit en direction de Max, ça lui appartenait donc, décidément, pensa Honoré, ce mariage est placé sous le thème de la distraction...Max ne manqua pas de venir récupérer ledit mantel, qu'il enfila rapidement puis il se permit un commentaire sur la jeune femme....Honoré n''était pas né de la dernière, il avait bien vu à qui il avait affaire, il sourit et répondit:


- Un coin sombre dites-vous? Je doute qu'en ce jour où vous répandez la lumière en brillant par votre comportement, elle ne puisse icelieu trouver un endroit de crépuscule, disons que je suis protégé, d'une certaine manière! Et Honoré pouffa, puis il fit son plus beau sourire à la dame...charmeur qu'il pouvait être. S'ensuivirent; également, un signe de tête cordial de Bradwen à l'évêque et la venue de la très exubérante Soeur-Marie Thérèse, qui s'avança non sans laisser poindre un certain intérêt.

Tout en poussant le prélat pour poser son séant, plutôt ..rebondi.. Elle s'enquit de la présence de Marmiton, qu'elle appelait familièrement supermarmi..Honoré se dit que le sobriquet de supermarmite lui siérait davantage mais bon, il préféra garder ça pour lui...il dit seulement:


- Ah non ma soeur, pas aujourd'hui, il est resté au diocèse, je lui ai préparé une liste de tâches, il a de quoi faire! Pourquoi vous aviez quelque chose à lui dire?Et Honoré reporta son regard vers l'autel...
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LE DOGME
Max_premier
Les cloches s’arrêtent enfin de sonner, les frères continuent plus doucement de chanter maintenant et toute rougeaude, Marie-Thérèse essoufflée, ce que l’on serait à moins en ayant tiré les cordes des cloches aussi longtemps, arrive elle aussi dans le chœur, elle le voit et toujours aussi discrète vient lui faire compliment sur sa tenue, lui colle une bise baveuse et claquante sur la joue et le tient fermement un instant dans ses bras si solides.

Merci Marie-Thérèse, vous êtes en beauté aussi aujourd’hui… Il la regarde et lui fait un clin d’œil en souriant.

Encore quelques personnes nouvellement arrivées,
Myriam en connaît du monde pensa-t-il, moi je sors si peu de mes fioles et de mes herbes que je ne connais pas grand monde en fait.

Le temps s’écoule et cela commence à l’inquiéter… il l’avait pourtant vu sur le parvis de l’église. Elle a confié Clément et … elle a oublié quelque chose ? Elle a changé d’avis ? Son «émotivité» se transforme peu à peu en anxiété. Il sent légèrement le sang redescendre et tend son cou vers l’entrée, espérant la voir entrer.
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Decanisy
ayant vu messire Bradwen lui faire signe d'approcher il se rendit à ses coté

ben l'merci messire j'me sentirais moins seul a vos coté et puis y fait froid dans l'fond las bas doit y avoir un courant d'air....
Bradwen
Et puis, vous oubliez quelque chose sieur ! On voit ben mieux d'ici !

le temps passait et Myriam n'avait toujours pas reparu. Le paysan commençait à s'inquiéter. Il apostropha son voisin.

V'nez sieur Decanisy, y'a quelque chose qui n'est pas normal. Allons faire un tour dehors pour voir si Myriam n'est point dans les parages. Elle m'semblait ben nerveuse c'te matin. Ceci dit, ça s'comprend un peu... Peut-estre qu'elle a b'soin d'aide !

Et sur ces mots, le paysan se dirigea vers la sortie de l'église... à la recherche de la mariée perdue.
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Decanisy
fort bien jvous suis... mais peut etre faudrait il déja savoir ou chercher....

pffftttt pas facile c't'histoire... pensa t-il...menfin je suis... pensa t-il...
--Alpaide
Mais j'ai rien dit moi... mais je veux bien être votre lumière si vous le voulez au crépuscule, pourquoi pas. Je veux bien rivaliser contre le soleil et puis la lune, elle fait faire de jolies choses parfois et je ne parle pas de la m... euh jusqu'à l'aube je veux dire... nous pourrions profiter de sa clairvoyance. Elle cherchait de jolis mots, c'est que l'homme était raffiné.

Une matrone s'imposa et Alpaïde la laissa lourdement s'installer, elle écouta...
"- Ah non ma soeur, pas aujourd'hui"
ah ma soeur ce n'est donc pas une intime.

Dîtes moi m'sieur l'évêque, vous n'avez pas votre dame avec vous ? Je veux dire, vous avez le droit non ? d'avoir femme et enfants à votre niveau ? Cela n'offense pas Aristote que la diaconesse ait un mari alors un évêque c'est tout pareil non ? Vous y avez déjà pensé si ce n'est pas fait ?

A l'église... il n'y avait que Alpaïde pour oser cela mais après tout, c'était la première fois qu'elle avait du temps à perdre en ce lieu, autant le mettre à profit.

Puis des rumeurs emplirent doucement l'église, les cloches s'étant tues, les voix portaient, couvrant parfois les chœurs. Des bancs se vidaient, des gens sortaient rapidement et Max devenait blanc comme un linge.


Mais où donc est la brunette ? Elle va pas laisser macérer Maxounet comme ça pensa-t-elle si fort qu'elle se demanda si elle ne l'avait pas dit tout haut.

Alpaïde pour vous servir.
Honore.saint_cyr
Le prélat commençait à s'inquiéter de l'absence de la future mariée et il n'était pas le seul. Ne voulant pas céder à la panique, il se laissa conter fleurette par la jeune Dame qui avait rhabillé le futur marié, cette image fit sourire l'évêque, d'autant plus qu'elle avait de la suite dans les idées...souriant il lui dit:

- Eh bien mon enfant, votre beauté ne peut être niée et je suis certain que vous y metteriez du vôtre pour m'entourer de votre plus profonde affection, malheureusement, contrairement à ce que vous pensez, je ne puis céder, je suis prêtre ordonné, j'ai fait voeu de chasteté, je ne peux donc avoir ni femme, ni enfants.

Honoré lui fit le baise main et ajouta:

- Quant à irella, elle est clerc laïc, elle a donc le droit de prendre époux et de porter sa descendance, comprenez-vous la différence?

L'évêque était de plus en plus assailli par les appréhensions, il allait falloir se mettre à l'évidence, Myriam avait bel et bien disparu, il se leva et fit une proposition aux gens présents:

- Mes enfants, nous nous devons de prendre l'absence de Myriam au sérieux, ne serait-il pas judicieux de partir à sa recherche, tous ensemble?
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LE DOGME
Aziliz
Aziliz n'osait pas bouger de sa place Clément dans les bras, le cajolant du mieux qu'elle puisse le berçant tout en lui donnant de légers baisers sur sa petite tête toute douce, elle ne voulait point qu'il sente l'anxiété qui commençait à la gagner depuis qu'elle avait vu sa Marraine sortir en courant de l'église, puis l'Eveque Honoré St Cyr se leva, elle tourna la tête vers lui :

- Mes enfants, nous nous devons de prendre l'absence de Myriam au sérieux, ne serait-il pas judicieux de partir à sa recherche, tous ensemble?

Liz un peu perdue ne savait plus que faire, elle voulait partir à la recherche de sa Marraine, la retrouver, la ramener afin qu'elle puisse réaliser son plus beau rêve, son union avec l'homme de sa vie mais elle sentait au fond d'elle même que quelque chose de grave avait dû se produire et instinctivement elle reserra le p'tit Clément contre elle !

- Moi je vous accompagne Mon Père dit elle en se levant finalement je garderai avec moi Clément s'il devient trop lourd vous m'aiderez à le porter ou Messire Syriuss, répondit-elle en lui faisant signe de la rejoindre.

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Syriuss
Citation:
Mes enfants, nous nous devons de prendre l'absence de Myriam au sérieux, ne serait-il pas judicieux de partir à sa recherche, tous ensemble?


Syriuss qui attendait patiemment et qui voyait qu'une chose clochait
Surtout qu'il connaissait Myriam et qu'elle lui avait plusieurs fois parlé de son futur mari Max , et oui le grand parlait avec elle de Phytothérapie en taverne et voila comment il avait fait connaissance

il la savait femme d'honneur , donc une femme bien et il se devait d'aider au recherche

Puis je vous accompagner et a aider a porter Clément , il doit peser Aziliz non? depuis le temps que vous le portez

Il avait pas dégainé son épée de peur d'effrayer le Prélat et surtout le petit Clément

et un type de près de deux mètres pour 120 kg ça doit décourager certaines personnes mal intentionnées
Irella
Tant qu'il y avait eu du mouvement dans les rangs, Irella avait regardé le ballet amusée. Max avait fini de s'habiller avec l'aide de cette femme que Max appelait Alphy et qui maintenant s'entretenait avec Honoré. A la hauteur des sourcils de Marie-Thérèse qui ne perdait rien des paroles échangées, Irella décela une surprise certaine sur le visage de la soeur, son regard balayant tour à tour le curé et son interlocutrice.

On sentait pourtant une certaine tension monter auprès des amis du couple. Irella essayait de capter le regard de Max.Mais il semblait scruter la porte à l'affut d'une entrée.
Il fallait prendre une initiative et ce fut Honoré qui fit cette proposition qui fut rapidement entendu puisque déjà Aziliz se levait pour le suivre.

Irella rejoint les rangs qui redescendaient la nef. Elle ne prit pas le temps de retirer son aube et ni le surplis. Les passants furent certainement surpris de voir un cortège sortir de l'église et s'organiser sur le parvis pour une recherche efficace.
La diaconesse prit Marie-Thérèse sous son aile, à moins que ce ne soit le contraire, et prit la direction des remparts.

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Max_premier
Les invités, les amis faisaient tout pour faire passer le temps, discutant plus ou moins bruyamment mais cela faisait déjà un moment que Bradwen et Decanisy étaient partis à la recherche de Myriam.

Il était là, lui, les bras tombant, ne voyant pas son fils qui gigotait dans les bras d'Aziliz ni Marie-Thérèse qui s'intéressait aux discussions de l'évêque et d'Alpaïde. Il n'avait pas vu non plus ce dernier, son parrain Honoré se lever et rassembler du monde pour partir à la recherche de la mariée, avec un regard des plus inquiet.

Il était là, tétanisé et même Irella qui ne passait pas inaperçue en se déplaçant dans sa tenue de diaconesse, il ne la vit pas. Elle rejoignit le groupe de recherche et lui le calme revenu dans l'église, s'effondra, incapable de savoir quoi faire, tant tout se bousculait dans son esprit. Il avait pourtant l'habitude de se démener quand il savait les gens en danger autour de lui mais là.. tout tournait autour de lui, il était complètement perdu, ne sachant absolument pas, où commencer.


Assis sur les marches en pierre gelées, il mit sa tête dans ses mains et resta là... combien de temps, aucune idée. La nuit était tombée et c'était une simple ombre qui sortit du bâtiment vidé, des heures plus tard sans le moindre mot, recroquevillé dans son mantel blanc.
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Honore.saint_cyr
Tout les invités étaient sortis de l'église pour aller à la recherche de Myriam et Honoré leur avait embôité le pas, il fallait à tout prix la retrouver.

Quelque heures plus tard, Honoré s'était rendu compte que Max n'avait pas suivi, voilà que lui aussi avait disparu. Ni une ni deux, Honoré retourna vers l'église et il croisa son pauvre filleul, il faisait peine à voir, qu'allait-il pouvoir lui dire pour tenter de le réconforter?

Honoré entoura les épaules de max de son bras droit et tout doucement il lui parla:


- Max, mon filleul, je sais combien ça doit te prendre aux tripes de ne pa savoir pourquoi elle n'est pas revenue, nous pouvons tout imaginer, soit, il lui est arrivé malheur, soit, elle ne s'est pas sentie prête, elle a pris peur et s'est enfuie, à l'heure actuelle, rien ne nous permet de comprendre.

Honoré resta silencieux quelques minutes avant de continuer...

- Je suis certain que tu trouves que c'est injuste qu'on te fasse subir une telle épreuve, tu en veux au monde entier et je te comprends, il va pourtant falloir que tu te prépares au pire, je serai là pour te soutenir et pour t'écouter, il te suffira de m'appeler, je ne t'abadonnerai pas.

L'évêque se tut et prit Max par le bras pour le ramener chez lui:

- Allez viens Max, tu dois te reposer, je te ramène chez toi!

Le silence fut de mise jusqu'à la demeure du filleul d'Honoré.
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LE DOGME
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