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[ RP ] Eglise Saint-Nicolaïde de Montmirail (2)

Aziliz
Aziliz reprit à son tour la confession :

- Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Elle donna un p'tit coup de coude à Decan pour la prière et aussi pour lui indiquer les deux bigottes qui maintenant le lorgnaient d'un oeil appréciateur !

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Syriuss
Syriuss senti la présence a coté de lui du Diacre , pria du mieux qu'il put c'est a dire bien

Citation:
Nous confessons à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, nos Amis, parce que nous avons beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Nous supplions tous les Saints, et vous, nos Amis, de prier le Créateur pour nous.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Il nota quand même qu'il était sous haute surveillance , tout comme les croyants masculins , mais le pire était les féminins ( toujours a dire quelque chose contre les femmes , même celles qui venaient a la mess , pour elles une femme qui prit a pêché )

il avait déjà repéré les deux commères , chez lui on disait les pies du Bourg , ou les grenouilles du bénitier , mais de bien braves femmes , celle du genre a prendre la massue d'un soldat en plein combat pour défendre sa virginité contre un ennemi qui se présentait même pas , faut dire qu'elles aimaient connaitre les gens qui les approchaient
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Bradwen
Bradwen se leva pour reprendre la parole

Mes amis, les temps qui viennent s'annoncent troublés. Toublés pour ceux qui désirent voyager, troublés pour ceux qui veulent commercer. Troublés tout simplement pour ceux qui aspirent à la paix. Quoi de mieux en des temps troublés qu'un lieu de refuge ? Un endroit où l'on se sent chez soi ? En sécurité ? En famille ? Autour de ceux que l'on aime et qui nous protège ? Quoi de mieux hein ? Je vous le demande !

Eh bien, nous tous ici rassemblés, nous avons la chance d'appartenir à une famille qui nous soutient, à une famille qui nous aime et que nous aimons. Prenons quelques instants alors pour renouveller nostre foi et notre amour de cette famille ? Pour se sentir proche les uns des autres... Pour ne pas être seul tout simplement que les nuages noirs s'amoncellent à l'horizon.

Bradwen se leva alors et de dirigea vers Pauline et Fernande. Il les regarda l'une puis l'autre et enfin toute l'assemblée.

Mes amis, récitons ensemble le crédo aristotélicien.



Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Aziliz
Aziliz écoutait Bradwen et oui l'avenir du Royaume était loin d'être réjouissant et les troubles qui venaient de l'Anjou n'auguraient rien de bon, mais elle devait prendre les chemins elle aussi et advienne que pourra, seul le Très Haut connaissait la suite de l'histoire.

Elle récita le crédo à son tour :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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--Les.deux.bigottes
Ainsi installées avec Bradwen assis entre elles deux, Pauline et Fernande ne pouvaient décemment pas continue à pérorer. Pieusement elles récitèrent le credo aristotélicien.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Pendant ce temps, à la place de mots, ce fut des regards qu'elles échangèrent, Fernande trouvant visiblement le sieur Syriuss à son goût en lui envoyant un sourire des plus enjoleurs...
Bradwen
Bradwen se leva et se dirigea vers l'autel. En chemin, il dit.

Merci à tout pour c'te credo. C'la fait plaisir, n'est-ce pas d'se rappeler qu'on n'est point seul, qu'on appartient à la grande famille des aristotéliciens. Quand l'ombre se lève sur nos campagnes, il existe encore une lueur d'espoir, car ensemble, oui ensemble, nous sommes plus forts.

Mes amis, existe t-il un espoir ? Un espoir de préserver la paix ? Et si oui, où se trouve t-il ?


Le paysan était arrivé derrière l'autel. Il prit le livre des vertus qui était ouvert à une page, le referma en ayant pris soin de noter la page dans son esprit, le mit sous bras, et vint s'asseoir auprès de dame Aziliz à qui il fit un signe de la teste.

Peut-estre dans ce livre, dame Aziliz ? Qu'en pensez-vous ? Et vous tous ici réunis, pensez-vous que le livre des vertus soit une source d'inspiration pour régler nos problèmes, qu'ils soient petits... ou qu'ils nous semblent gros ? Hum... voyons donc...

Le paysan posa le livre sur ses genoux, l'ouvrit, dégagea une mèche de cheveux qui visiblement, lui barrait la vue, et lut.

Hagiographie de Saint Gabriel...

Mais avant, je vous mets en contexte. Gabriel est un jeune homme qui travaille en tant que pécheur pour un certain Léviathan, un estre immonde, malfaisant, méchant, qui passe son temps à battre et à injurier ceux qui travaillent pour lui...
Citation:

C'est à cette époque que Gabriel rencontra un vieux mendiant aveugle qui lui dit ceci :

Citation:

« Comprends peuple que c’est toi qui te distingues et non ta naissance,
comprends peuple que Dieu te jugera en fonction de tes actes et non de ta naissance.
Il te place sur le chemin, et ce sont tes pairs les hommes qui, sciemment ou pas, le rendront sinueux ou droit, t’en éloigneront ou t’en rapprocheront mais c’est à toi et seulement à toi de décider là et vers où tu marches car au final c’est pour toi que tu marches.
Certes, tu dois marcher pour tes frères, tes sœurs et pour Dieu, mais c’est ton salut qui est en jeu.
En aimant Dieu, en aimant tes frères et tes sœurs les humains, tu ne peux qu’y gagner, si ce n’est sur Terre, ce sera ailleurs, dans l’astre du jour.
C’est à toi-même et à tes frères que Dieu te confronte car ce sont là tes plus grands ennemis bien que beaucoup cherchent à être bons. »


Ces dernières paroles emplirent son cœur et son âme et par la suite, la vie de Gabriel fut une sorte d’acceptation de tout le malheur du monde. Il avait déjà appris à subir le mal sans résister, maintenant, il savait qu'il devait surtout le comprendre, car pour lutter contre lui, quoi de mieux que de semer la paix et l’amour à l’intérieur même de ce mal ?
Citation:









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Syriuss
Syriuss qui écoutait Bradwen attentivement récita le credo



Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Decanisy
bon ben les deux dames emblait avoir changer de cible..pensa-t-il peut etre me croit elle muet vu que j'ai récité les prieres dans ma tête.. esquissant un sourire

il écouta bradwen
--Les.deux.bigottes
Pendant la lecture du livre des vertus, Pauline et Fernande restèrent tête baissée. Les deux bigottes, donnant l'impression d'écouter pieusement le diacre Bradwen, s'échangeaient de temps à autre quelques mots.

Tu as raison Fernande, m'a l'air bien tendre l'p'tit barbu là-bas. On l'dirait sage comme une image, mais sais-tu quoi ? Parait que ce sont les pires une fois que...

Chut Pauline, ce ne sont point d'sages pensées tu as là !...Et c'lui à la grande tignasse là, seul dans son coin, t'en penses quoi ? Tu n'm'as pas donné ton avis tout à l'heure !
Bradwen
Bradwen se leva de sa place et d'un bras levé vers le ciel, il entama son sermon avec vigueur.


Effectivement, c'est à nous de décider de ce que nous voulons. Le libre arbitre, mes amis... Le libre arbitre ! Dieu a donné aux hommes la faculté de décider de leur destin et dans nostre société, nous avons donné à un petit nombre d'entre nous la possibilité de décider pour la majorité. Est-ce correct ? Je pose la question : est-ce correct ?

Pendant tout ce temps, le paysan n'avait cessé de gesticuler, appuyant ses vigoureuses paroles de geste vifs et brusques. Il passait d'un fidèle à un autre, commençant du costé de Decanisy pour finir près de Domino. Il y mettait de la fougue comme s'il récitait l'un de ses contes.

Eh bien oui puisque nous l'avons voulu ainsi ! Mais nous avons aussi le droit de réaffirmer nos préférences. Nous avons le droit de dire que nous préférons la paix à la guerre. La guerre, mes amis, n'a jamais rien résolu. L'histoire de nostre comté peut en témoigner. Cela fait des années que nous avons des hostilités avec l'Anjou. Nous nous sommes maintes fois battus, nous avons pris leurs cités, ils ont pris les nostres, et au final qu'en est-il ? C'est toujours avec l'Anjou que nous nous disputons aujourd'hui ? En vérité, je vous le demande, y'a t-il eu un vainqueur ?

Se retournant vers Syriuss, il discoura comme s'il l'interpellait, mais en réalité, il aurait pu interpeller n'importe qui. D'ailleurs, il n'attendit de réponse et continua.

Alors, que faire ? Y'a t-il une solution ? Oui, mes amis ! Faisons la paix une fois pour toute. Tempérons nos ardeurs... La Tempérance ! Voici la solution ! La tempérance qu'incarne si bien Saint-Gabriel ! Nous sommes bien souvent emportés par nos idées, nos opinions. Nous croyons détenir la vérité, mais qui peut se targuer d'une telle réalité ?

Le paysan était en sueur, emporté qu'il était dans son presche. Il tourna sur lui-mesme pour regarder les fidèles présents, puis s'assit près de Domino comme pour mieux reprendre ses esprits. Sa voix se fit plus calme, plus posée.

Oui, mes amis, évitons de nous emporter comme je viens de le faire... mais n'y a t-il meilleure représentation d'un comportement que l'on ne contrôle plus ? Mes amis, aujourd'hui, je vous invite à faire savoir à nostre comtesse que nous aimons plus la paix que la guerre, que nous aspirons à cette paix, que nous l'appelons de nos voeux. La guerre, mes amis, n'a jamais rien résolu dans nostre coin d'royaume.

Bradwen marqua un nouveau temps d'arrest pour regarder tout à chacun.

Et si nos appels à la paix sont suffisamment nombreux, qui sait ? Ils pourraient bien faire des petits ? Et si ? Et si la Touraine en faisait ainsi ? Et si la Bretagne joignait ses voix aux nostres ? Et si l'Anjou parlait de conserve avec le Maine pour une fois ? Et si chacun de nous, chaque paysan, chaque vagabond, chaque artisan et chaque érudit appelait ses autorités à la tempérance ? ... Alors, peut-estre, ...oui, peut-estre que le resve d'une paix durable pourrait devenir réalité...

Le paysan était éreinté. Son presche l'avait fatigué, mais c'était une bonne fatigue. Il y avait mis tout son coeur, toute sa volonté. Il n'était habile à trouver les bons mots, faire de belles phrases, mais il remplaçait cette lacune par une conviction profonde qu'il espérait contagieuse.
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Aziliz
Sage était la voix du Diacre Bradwen, même si ses paroles l'avaient emporté plus loin que prévu, il était tellement persuadé que grâce à des appels à la Paix auprès de ceux qui gouvernaient le Comté pourraient aboutir, Aziliz en doutait fort trop d'enjeux de pouvoir, de religion comme d'habitude, il l'avait si bien fait remarqué les hostilités entre l'Anjou incluant maintenant l'alliance du Ponant (si dérangeante envers le Roy) et le Maine ne se calmeraient jamais, il y aurait des trêves sûrement mais jamais de paix entre ces deux peuples.

Après ce sermon elle en déduisit que Bradwen était fait pour devenir Diacre et même sûrement plus haut dans la hiérarchie, il avait trouver sa voie et remplaçait la Diaconesse Irella avec brio.

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Syriuss
Syriuss avait entendu Bradwen faut dire qu'il avait pas eu le choix , il etait a coté de lui

Citation:
Alors, que faire ? Y'a t-il une solution ? Oui, mes amis ! Faisons la paix une fois pour toute. Tempérons nos ardeurs... La Tempérance ! Voici la solution ! La tempérance qu'incarne si bien Saint-Gabriel ! Nous sommes bien souvent emportés par nos idées, nos opinions. Nous croyons détenir la vérité, mais qui peut se targuer d'une telle réalité ?


Et une bonne croisade !! c'est pas une solution ça? vont tous manger de l'infidèles ou se faire bouffer , les Ordres vont comme d'ab se tirer dans les pattes et le Royaume de France continuera a vivre comme avant , les pauvres plus pauvres , les riches aussi radins , mais les" va de la gueule " seront absent pour causse de Croisade avec les clés des ceintures de chasteté accroché a leurs cou , et le métiers de forgerons sera celui de l'avenir

qui veux la clééééééééééééééééééé !!!!!!!
pensa le grand
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Decanisy
don camillo aurait pas fait mieux pensa decanisy en même temps qui pouvait bien etre ce don camomille auquel il pensait il ne savait il était un peu perdu dans ces pensées en ce moment...

et puis ce mit a applaudir en se levant !!!


bravo encore !!! vive le diacre bradwenn !!! éh euh...

et se rassit rouge de honte
Bradwen
Le paysan sourit à la réaction de Decanisy.

Merci Sieur, mais la cause est ben plus importante que l'diacre !

Se tournant alors vers Aziliz, il se remémora un souvenir de l'histoire de Montmirail.

Je me rappelle... Oui, je me rappelle vostre arrivée à Montmirail dame Aziliz. C'était justement après la prise du Mans par l'sieur Finam. J'me rappelle la difficulté d'certains vagabonds d'l'époque. S'nourrir était ben compliqué ! Les affres d'la guerre, c'te ça aussi !... Mais mesme si tout n'a point été parfait, j'me rappelle qu'il y a eu une belle solidarité des montmiraleurs pour v'nir en aide à ceusses qui en avaient b'soin. Espérons que c'te fois-ci, la bonté contenue dans chacun d'entre nous passe avant nos mauvais penchants.

Le paysan se dirigea alors vers l'autel, les bras croisés dans le dos, le teste basse. Arrivé à l'Autel, il ajouta.

Quelques p'tites nouvelles maintenant avant d'passer à c'te communion qui nous attend ici... D'abord, j'voulions vous annoncer qu'un nouvel evesque a été nommé au diocèse du Mans en remplacement de Monseigneur Saint-Cyr. Il s'agit de Monseigneur Chapoto. Souhaitons-lui tous la bienvenue en terre mainoise !

Enfin, enfin, j'vous inviterions tous à avoir une pensée dans vos prières du soir pour ceusses qui voyagent. Puisse Dieu prendre soin d'eux en ces temps troublés. Et parmi tous ces voyageurs, j'vous inviterai à avoir une pensée pour la diaconesse Irella qui s'trouvent actuellement à Chinon et qui officient en c'moment mêsme. Nos pensées vous accompagnent diaconesse !

Bon, mes amis, que ceusses qui ont une p'tite soif s'approchent d'l'autel ! Nous avons ben mérité d'nous rafraichir, vous n'trouvez pas ?



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Decanisy
ah ben c'est point de refus ....

c'est qui fait chaud ici non ?


pis bon courage au futur voyageur aussi !!!
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