Kachina
A l'abri de ses bras, alors que jouent les ménestrels et que les flammes des torches éclairent la table du festin préparée par Ana, Kachi murmure à Joran, ce poème écrit pour lui, un jour :
Sauvage et animal, tu me regardes, et moi je tremble
Tendre et caressant, tu me cajoles, et je frissonne
Mais je nai peur de rien, tant que lon est ensemble
Tu maimes et me comprends, comme jamais personne.
Sombre et mélancolique, je tapprendrai les rires
Tourmenté et fragile, je touvre ma chaumière
Et je suis prête à tout, juste pour ton sourire
Je serai à ton gré, princesse ou bien guerrière.
Félin et élégant, tu tavances, je frémis
Généreux, exigeant, tu es tout à la fois
Moi blottie contre toi, dès que revient la nuit
Cest toujours mon Amour, comme une première fois
La glace a épousé le feu en cette nuit d'octobre de l'an de grâce 1458.
Kachina, est désormais d'Ascazan.
Que commence la fête, qu'on ripaille et qu'on danse, qu'on s'enivre et qu'on chante toute la nuit durant...
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Sauvage et animal, tu me regardes, et moi je tremble
Tendre et caressant, tu me cajoles, et je frissonne
Mais je nai peur de rien, tant que lon est ensemble
Tu maimes et me comprends, comme jamais personne.
Sombre et mélancolique, je tapprendrai les rires
Tourmenté et fragile, je touvre ma chaumière
Et je suis prête à tout, juste pour ton sourire
Je serai à ton gré, princesse ou bien guerrière.
Félin et élégant, tu tavances, je frémis
Généreux, exigeant, tu es tout à la fois
Moi blottie contre toi, dès que revient la nuit
Cest toujours mon Amour, comme une première fois
La glace a épousé le feu en cette nuit d'octobre de l'an de grâce 1458.
Kachina, est désormais d'Ascazan.
Que commence la fête, qu'on ripaille et qu'on danse, qu'on s'enivre et qu'on chante toute la nuit durant...
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