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[RP] Chronique d'un homicide annoncé.

Clement_bourreau
Tamorin a écrit:

Ta mère dans mon pieu, bourreau...


le gredin! le voilà qu'il insultait feu la mère de clement!
son sang ne fit qu'un tour! qu'on lui crache dessus, ou qu'on l'insulte il y était habitué, mais qu'on insulte sa mère !

clement plongea la tige dans les flammes et en prit une autre


ma mère?! tu va voir toi! j'vais t'apprendre la politesse!!

puis en hurlant cette fois

j'ai dit ton nom!!


et à ce moment il enfonça la tige rougeoyante dans la main du malheureux tout en la faisant tourner...
le métal traversa sans peine la main du supplicié, dont les hurlement raisonnaient à travers les couloirs....

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Tamorin
Il n'entendit plus rien que sa propre voix qui se déchirait, arqué de tout son corps sans arriver à forcer aucune de ses attaches. La tête en arrière, frottée contre le bois qui le supportait, il garda le visage contracté bien après que le fer aie quitté sa paume, bouffant de grandes goulées d'air pour tenter de calmer l'élancement qui lui saisissait toute la main. Une nuée de points blancs dansaient derrière ses paupières plissées, le narguant de leur indifférence.

j'ai dit ton nom!!

Son nom ? Qu'en avait-il à foutre maintenant, de son nom... Il allait crever là et il pouvait bien le donner au premier venu contre la cessassion de l'acide souffrance qui le griffait par spasmes.

ASSEZ ! assez...

Il déglutit, les lèvres sèches, et papillonant pour chasser la sueur qui lui piquait les yeux.

Tam... orin... Trystan. Forban... Mais j'ai rien fait, bordel ! Libérez-moi !... détachez...
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Clement_bourreau
Tamorin a écrit:

ASSEZ ! assez...
Tam... orin... Trystan. Forban... Mais j'ai rien fait, bordel ! Libérez-moi !... détachez...


voilà qui était mieux! clement en aurait presque oublié l'insulte fait à sa mère....
il reposa la tige dans le foyer, puis ce pencha sur sa victime


et ben voilà mon gars! sa vient tu vois!
alors répète moi sa mieux si tu veux po que j'recommence!
Tam orin? Trystan? forban? m'prend pas pour un idiot!
c'est quoi ton nom exacte?!


puis prenant une nouvelle tige et la pointant vers le visage du malheureux

aller dit moi sa correctement! ou crois moi, même ta mère ne pourra plus te r'connaitre!

clement était chaud! dans son élément, le balourd de service était loin.
lui qui en dehors de son office était un véritable idiot ce montrait plus qu'éfficace dans son travail.
sur de lui il était plus que prêt à travailler avec zèle...

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--Cixi
[ Geôles du castel ]

Elle était seule depuis que le bourreau avait emmené son compagnon de fortune, la peur lui tordait pourtant les entrailles, quand de vagues echos lui revenaient....

Elle se surprit a pleurer et prier pour lui, se promettant de trouver cet homme et de lui transmettre le message...

Elle serra les machoîres, esperant que le bourreau soit moins sot qu'il en ai l'air....

Mais avant toute chose elle devait sortir de la...

Plus de poignard, rien que ces miches comme seule arme...soit.....

Elle déchira son jupon et sa chemise, sa tenue plus qu'indecente la fit sourire....le garde était un homme....comme tous les autres.....
Tamorin
[Salle de torture.]


Tamorin...

Il sentait sa vigueur couler en même temps que les fins ruisseaux de sang qui s'échappaient de sa main ouverte. Aussi il s'économisait, reprenant haleine et presque heureux de répondre docilement à l'ordre du bourreau, gagnant un moment de répit. Sans prix...

... Trystan...

Il aurait percé les yeux du bourreau tant il le dardait de hargne. C'était d'ailleurs tout ce qu'il pouvait distinguer de lui, une paire d'yeux noyés dans un capuchon noir. Figure cauchemardesque pour un instant critique.

Forban.

Sa mâchoire se contracta, il jeta un coup d'oeil fiévreux à la nouvelle tige de fer fumante qui cotoyait son visage de trop près. Un sursaut de rage l'emporta, il cria de sa voix enrouée :

C'est mon nom ! J'en jure !... Tamorin, j'vous dit...! Tamorin Forban... Pitié...
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Clement_bourreau
[Salle de torture.]

Tamorin a écrit:

Tamorin...
... Trystan...
Forban.
C'est mon nom ! J'en jure !... Tamorin, j'vous dit...! Tamorin Forban... Pitié...


voilà qui était mieux! et plus clair! loin d'être un sadique, quoi que, clement était très pointilleux dans son office.
il éloigna la tige du visage de Tamorin, la remis dans le foyer et dit en lui tapotant la joue


et ben voilà mon gars! là t'es clair. bon alors m'sieur Trystan Tamorin Forban! tu vois si tu parle sa s'passera mieux pour toi!
tien pour t'montrer que chui po si méchant qu'sa, sa t'fra du bien sa


sur ces mots clement saisie un sot d'eau fraiche et le versa sur Tamorin histoire de le rafraichir avant la suite....
de plus un supplicié qui baisse sa garde est bien plus sensible à la douleur, clement le savait bien....


alors Trystan! dit moi c'que t'as fait! on l'sait tout les deux hein! t'es po là pour rien! t'es cuit, tu l'sais, reste à savoir si tu veux souffrir ou pas...

il accompagna ses mots en prenant une tige bien rouge et en la pointant sur l'autre main du Tamorin...histoire de lui montrer qu'il ne plaisantait pas....

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Tamorin
Le fer rouge se posta au dessus de sa paume encore vierge.

NON ! NON ! nnh !

C'était comme s'il se cabrai, le Tamorin. Un homme qui ruait, cloué comme un insecte rare sur la table d'étude d'un érudit. De tous ses efforts résultaient peu d'exploits, tout juste parvenait-il à décoller les épaules et à s'user les articulations.

Le seau d'eau froide lui avait remis les nerfs à blanc. Le corps glacé après la fusion, il ruisselait dans la fournaise. Peut-être ses convictions aussi s'évaporaient...


J'ai fait que dalle ! Crois-moi, espèce de cintré ! J'y pionçais, dans l'foin, j'le connais même pas ton put'fion d'juge !

A mesure qu'il parlait, sa voix prenait un trémolo qu'il ne pouvait contenir. Comme un sanglot étouffé, de savoir que quoi qu'il prononce et jusqu'au nom de Dieu, sa main gauche allait en subir très vite les conséquences.
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Clement_bourreau
Tamorin a écrit:
NON ! NON ! nnh !
J'ai fait que dalle ! Crois-moi, espèce de cintré ! J'y pionçais, dans l'foin, j'le connais même pas ton put'fion d'juge !


clement écoutait sa victime gindre, il en fallait plus pour l'arrêter! en fait seul la duchesse le pouvait maintenant....

il ce pencha sur Tamorin et lui dit


joue pas à sa avec moi mon gars! un type qui n'a rien à ce r'procher il hésite po à dire son nom! toi même sa il a fallu insister! et pour moi un gars qui veut pas dire son nom a forcément un truc à ce reprocher....

puis en hurlant tel un rugissement caverneux

parle! dit moi c'que t'as fait! parle! parle!

il accompagna ses mots en enfonçant la tige rougeoyante dans la main encore intacte de Trystan, il le fit en la faisant tourner, mais plus lentement cette fois! histoire que le Tamorin la sente bien bruler ses chairs en passant à travers.
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Tamorin
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHhhhhhhhhhhhh.....!

...

C'était donc pour ça que les salles de torture n'étaient pas percés de vitraux, les carreaux n'auraient pas fait long feu avant d'exploser au son des cris retentis... Insoutenable, tout comme sa douleur, la plainte du torturé se réduisit, à mesure que le fer relâchait la pression, à un feulement maladif. Si peu de temps passé en compagnie du bourreau, et déjà il était méconnaissable, le teint blafard et fiévreux, le torse barré d'une longue brûlure et ses mains réduites à des gueules calcinée.

Hébété, les yeux peinant à s'ouvrir sans en montrer le blanc, il voulu articuler une réponse, et du s'y reprendre à plusieurs fois avant qu'un son veuille filtrer. Son visage trempé n'exprimait plus rien, et ne pouvait partant parler pour lui. Ses pensées en outre s'entre-choquaient avec une folie furieuse, une confusion où seule l'alarme de la douleur savait prendre le dessus.


Bourreau... tu... fais... fausse route.

Il referma les yeux, éreinté. Cependant il tramait sa plaidoirie à vive allure.

J'ai r'chigné... à dire mon nom. J'voulais point... point qu'ma réputation... pâtisse d'cette err... erreure d'justice... 'Suis honnête homme, j'y ai dit, j'fréquen...! j'fréquente les nobles, mesme la duchesse... L'm'aime bien, et ! et... si qu'elle s'rait là...! M'acquitterait !... ça !

Il acheva brusquement, pris d'une quinte de toux. Son discours, il y croyait presque dur comme fer, y mettait toute sa foi, sa seule amarre pour s'accrocher à la vie.
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Clement_bourreau
Tamorin a écrit:

Bourreau... tu... fais... fausse route.
J'ai r'chigné... à dire mon nom. J'voulais point... point qu'ma réputation... pâtisse d'cette err... erreure d'justice... 'Suis honnête homme, j'y ai dit, j'fréquen...! j'fréquente les nobles, mesme la duchesse... L'm'aime bien, et ! et... si qu'elle s'rait là...! M'acquitterait !... ça !


là clement vit rouge! la duchesse maintenant?! ben voyons et qui lui avait demandé de soumettre ce gredin à la question hein?

vile menteur! la duchesse hein?!

il lui balance une bonne grosse baffe

et à ton avis gros malin qui m'a d'mandé d'm'occuper d'toi hein?

deuxième grosse baffe, sur l'autre joue cette fois! pas de jalouse...

c'est la duchesse elle même qui m'a fait appeler! c'est sur son ordre que j't'interroge!

il remet la tige dans les flammes, rajoute du bois, sort une tige bien rougeoyante la met très prêt du visage de Tamorin tout en lui saisissant le visage par la mâchoire et lui cri

parle maintenant! parle ou j'te r'fait le visage au fer rouge!!
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Tamorin
Respiration saccadée. Yeux écarquillés de terreur, joues brûlantes de fièvres et de coups. La pointe rouge fumait si près de son visage qu'elle lui chauffait déjà la peau d'une manière peu soutenable. Son coeur sollicité déjà par moult coups de sangs s'en emballa de plus belle.

La voix du bourreau éclata à son oreilles.

Malgré les doigts puissants qui lui ensserraient la mâchoire, il parvint à suppliquer en s'écriant :


Grasce ! J'dis vr'ay ! El' m'a point vu ! L'm'a point vu ! Par' pitié...! L'duchesse ignor'e qu'c'est moi !... qu'el...! qu'el'a fait empr'isonner !
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Clement_bourreau
Tamorin a écrit:
Grasce ! J'dis vr'ay ! El' m'a point vu ! L'm'a point vu ! Par' pitié...! L'duchesse ignor'e qu'c'est moi !... qu'el...! qu'el'a fait empr'isonner !


Tamorin insistait dans ses affirmations! ce commençait à énerver clement!
mais en même temps sa l'amusait...on est bourreau ou on l'est pas.....
il ce dit qu'il serait judicieux de le suivre.....après tout sa victime guide sa main...à sa façon


Ah ouais?! elle t'as point vue?! et elle te r'connaitrait hein?! ben alors vue c'que t'es d'jà fait vaut mieux po pour moi qu'elle te r'connaisse hein?!

puis toujours aussi joviale il s'exclama

Oh sa r'froidie si vite....petit ricanement cruel

clement lâcha le visage de Trystan, plongea la tige dans le foyer, et en prit une autre bien vive


Ah ben voilà c'est mieux hein mon gars?!

puis saisissant violemment Tamorin par les cheveux il continua

alors comme au point où j'en suis vaut mieux pas pour moi qu'elle te r'connaisse! j'commence par quoi hein?! la joue droite? la gauche? au milieu? t'as une préférence? et si j'te crevais un œil pour commencer?!

clement accompagnait ses mots en approchant progressivement la tige du visage de Trystan en la faisant tournoyer mais sans encore le toucher
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Tamorin
Tamorin cracha un grognement quand le bourreau lui souleva la tête en le tirant par les cheveux pour l'avoisiner de près à un tisonnier nouvellement brûlant. Il ferma immédiatement les yeux, les plissant fort. Un rempart assez fragile pourtant que des paupières plissées, face à du métal en fusion.

Les dents serrées et toujours à l'aveugle, ses nerfs lâchèrent dans une flopée d'insultes :


Charogne ! Chien de ta race ! Raclure ! Sale fumier ! Crève ! Crèèève !

La douleur l'avait fait animal. Il s'élança de toute sa force en avant, se frappant à ses fers, les dents affranchies pour mordre de plein fouet dans la chair poilue du bras de l'encapuchonné.
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Clement_bourreau
Tamorin a écrit:
Charogne ! Chien de ta race ! Raclure ! Sale fumier ! Crève ! Crèèève !


et le voilà qui l'insulte et qui le mord! clement retire son bras en vitesse! la douleur est vive et il ne peut retenir un

aile!!Oh tu va voir gredin!

clement remet la tige dans le foyer, frotte son bras douloureux et entame une série de grosse baffe à droit et à gauche tour à tour!

prends sa ! et sa!

puis il sort un carcan, sorte d'étau, dans lequel il bloque la tête de Tamorin et la fixe à la table.

à tu veux jouer au malin!? là tu bougera plus la tête! et sa c'est pour te passer l'envie d'me mordre

sur ces mots il lui envoie un violent coup poing sur la bouche lui cassant une ou deux dents!
il sort ensuite une tige du foyer s'approche de Tamorin


t'as une belle balafre à gauche toi hein?! pas très symétrique tous sa! bouge pas rire gras j'vais égaliser ta face!

à ce moment il applique la tige sur la joue droite de tamorin!
et toujours aussi "professionnel" il ajoute


et là? tu va parler oui?!
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Tamorin
La vengeance d'un bourreau... Il l'avait provoqué, elle s'abattait.

Aux mandales qu'il prit, sa tête valsa ni plus ni moins qu'une bannière battue par de violentes saccades de vent. Un coup de poing colossal acheva la débandade, fauchant les premières dents. Il n'y eut plus un cri, Tamorin descendait.
Littéralement, il chutait en arrière, enlacé par un armada de forces insaisissables qui le poussaient à sombrer, profond, loin, où les bruits s'étouffaient d'eux-même, comme couverts de chanvre molletonneux, où même la lumière n'avait pas accès, quant à la douleur elle resta en surface, confondue de chaud-froid, puis fut soufflée et disséminée. Docile, il relâcha toute amarre ou bribe de conscience, pour s'embarquer au plus vite avant que d'être rattrapé.

Dans ses chairs ne palpitèrent plus l'ombre d'une tension.

Jusqu'à l'instant honni.

Sans qu'il ne puisse rien faire pour l'en empêcher, chacun de ses muscles se contracta à nouveau, le tirant de l'abîme où il s'était plaisamment aventuré. Convulsé, il ne pu rouvrir les yeux, il hurlait. Le fer chaud le mordait à la joue.


et là? tu va parler oui?!

Parler... oui... Parler.
Il hoqueta, une gorgée de sang maquilla son menton. Une inspiration étranglée. Quelque chose de dur s'invita dans sa gorge avec le souffle qu'il prit. Dur comme une dent. Une dent !...
Horreur. Il ne pu plus respirer. Il se déchira d'une toux suffocante. Le bourreau n'avait qu'à s'en prendre qu'à lui-même, le supplicié allait crever étouffé.


Gh.....!
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